Résultats des écrits (Printemps 2011)
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités pour le concours 2011
allez zou un petit sujet intéressant liant médicaments et internet:
Le Point.fr - Publié le 04/01/2011 à 18:10
Médicaments sur Internet : plus de mal que de bien
Les autorités sanitaires sont très vigilantes. Il serait bien que les consommateurs le deviennent davantage.
La moitié des médicaments vendus sur Internet seraient des contrefaçons, selon la dernière estimation de l'Organisation mondiale de la santé. De plus, des produits falsifiés sont également proposés, ce qui expose à de nombreux risques pour la santé. C'est pourquoi les messages de prudence et de mise en garde se succèdent. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afsaaps), qui a récemment émis une nouvelle alerte sur le sujet, rappelle que "seul le circuit pharmaceutique offre les garanties nécessaires de sécurité et de fiabilité, notamment parce qu'il est régulièrement contrôlé par les autorités sanitaires".
Depuis 2006, l'Afssaps met en place des campagnes d'information sur ce thème, précisant par exemple qu'un médicament proposé à prix cassé risque fort d'être une contrefaçon, au mieux (!) sans effet, au pire dangereuse. Et elle participe depuis 2009 à l'opération Pangéa, Cette initiative, annuelle, internationale et coordonnée par Interpol et l'OMS est destinée à lutter contre la vente illicite de médicaments sur Internet. En 2010, l'opération Pangea III, qui s'est déroulée du 5 au 12 octobre, a notamment permis d'identifier 164 sites illégaux de vente de médicaments, dont 19 rattachés à la France.
Vente de substances vénéneuses en ligne
L'Afssaps procède également, depuis fin 2009, à des achats de produits de santé sur Internet pour en évaluer la qualité et signaler des sites illicites aux cyberpoliciers et cyberdouaniers. L'analyse en laboratoire de ces produits a permis de mettre en évidence des non-conformités majeures qui peuvent mettre en danger la santé des patients. Parmi les dix-sept produits achetés, douze présentés comme des médicaments pouvaient être contrefaits (antiviraux, antipsychotiques, médicaments contre l'obésité). Les cinq autres étaient vendus comme des compléments alimentaires à visée amaigrissante ; trois d'entre eux contenaient une ou plusieurs substances pharmacologiquement actives, dont de la sibutramine, inscrite sur la liste des substances "vénéneuses" et qui nécessite une surveillance particulière du patient.
D'autre part, des études de pharmacovigilance permettent de mettre à jour les effets secondaires plus ou moins sévères entraînés par la prise de médicaments achetés sur Internet. Entre 2001 et 2008, une quarantaine de cas ont été déclarés à l'Afssaps, la majorité concernant des produits amaigrissants, mais aussi parfois des produits stimulants ou défatigants, notamment à base d'hormones (DHEA, mélatonine, prégnénolone, une hormone prescrite sous contrôle médical et biologique ...) ou encore des anabolisants stéroïdiens.
Début décembre, l'Afssaps a lancé une nouvelle procédure, cette fois pour examiner la vente par Internet de NeuroAid*, un produit issu de la médecine traditionnelle chinoise destiné à favoriser la récupération après un accident vasculaire cérébral. Selon une responsable de l'agence, ce site "pose un certain nombre de problèmes, surtout le fait de pouvoir commander un produit n'ayant pas d'autorisation de mise sur le marché". Peu auparavant, une mise en garde avait été émise concernant, une fois encore, la présence de l'anti-obésité sibutramine dans des produits vendus sur Internet. Autant de "traitements" qui resteront commercialisés tant qu'il y aura des clients ...
Le Point.fr - Publié le 04/01/2011 à 18:10
Médicaments sur Internet : plus de mal que de bien
Les autorités sanitaires sont très vigilantes. Il serait bien que les consommateurs le deviennent davantage.
La moitié des médicaments vendus sur Internet seraient des contrefaçons, selon la dernière estimation de l'Organisation mondiale de la santé. De plus, des produits falsifiés sont également proposés, ce qui expose à de nombreux risques pour la santé. C'est pourquoi les messages de prudence et de mise en garde se succèdent. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afsaaps), qui a récemment émis une nouvelle alerte sur le sujet, rappelle que "seul le circuit pharmaceutique offre les garanties nécessaires de sécurité et de fiabilité, notamment parce qu'il est régulièrement contrôlé par les autorités sanitaires".
Depuis 2006, l'Afssaps met en place des campagnes d'information sur ce thème, précisant par exemple qu'un médicament proposé à prix cassé risque fort d'être une contrefaçon, au mieux (!) sans effet, au pire dangereuse. Et elle participe depuis 2009 à l'opération Pangéa, Cette initiative, annuelle, internationale et coordonnée par Interpol et l'OMS est destinée à lutter contre la vente illicite de médicaments sur Internet. En 2010, l'opération Pangea III, qui s'est déroulée du 5 au 12 octobre, a notamment permis d'identifier 164 sites illégaux de vente de médicaments, dont 19 rattachés à la France.
Vente de substances vénéneuses en ligne
L'Afssaps procède également, depuis fin 2009, à des achats de produits de santé sur Internet pour en évaluer la qualité et signaler des sites illicites aux cyberpoliciers et cyberdouaniers. L'analyse en laboratoire de ces produits a permis de mettre en évidence des non-conformités majeures qui peuvent mettre en danger la santé des patients. Parmi les dix-sept produits achetés, douze présentés comme des médicaments pouvaient être contrefaits (antiviraux, antipsychotiques, médicaments contre l'obésité). Les cinq autres étaient vendus comme des compléments alimentaires à visée amaigrissante ; trois d'entre eux contenaient une ou plusieurs substances pharmacologiquement actives, dont de la sibutramine, inscrite sur la liste des substances "vénéneuses" et qui nécessite une surveillance particulière du patient.
D'autre part, des études de pharmacovigilance permettent de mettre à jour les effets secondaires plus ou moins sévères entraînés par la prise de médicaments achetés sur Internet. Entre 2001 et 2008, une quarantaine de cas ont été déclarés à l'Afssaps, la majorité concernant des produits amaigrissants, mais aussi parfois des produits stimulants ou défatigants, notamment à base d'hormones (DHEA, mélatonine, prégnénolone, une hormone prescrite sous contrôle médical et biologique ...) ou encore des anabolisants stéroïdiens.
Début décembre, l'Afssaps a lancé une nouvelle procédure, cette fois pour examiner la vente par Internet de NeuroAid*, un produit issu de la médecine traditionnelle chinoise destiné à favoriser la récupération après un accident vasculaire cérébral. Selon une responsable de l'agence, ce site "pose un certain nombre de problèmes, surtout le fait de pouvoir commander un produit n'ayant pas d'autorisation de mise sur le marché". Peu auparavant, une mise en garde avait été émise concernant, une fois encore, la présence de l'anti-obésité sibutramine dans des produits vendus sur Internet. Autant de "traitements" qui resteront commercialisés tant qu'il y aura des clients ...
ESI Croix Rouge Begles 2011/2014
Re: Actualités pour le concours 2011
Le Point.fr - Publié le 03/01/2011 à 19:00
Un nouveau test pour détecter les cellules cancéreuses bientôt sur le marché
Johnson and Johnson a annoncé un accord avec un hôpital pour commercialiser un test capable de détecter la moindre cellule cancéreuse.
Source AFP
Le géant pharmaceutique américain Johnson and Johnson (J&J) a annoncé, lundi, un accord avec l'Hôpital général du Massachusetts pour commercialiser un test sanguin capable de détecter la moindre cellule cancéreuse, ouvrant la voie à une plus grande efficacité des traitements.
"Cette nouvelle technologie a le potentiel d'offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques", explique Robert McCormack, responsable de l'innovation technologique et de la stratégie de Veridex, filiale de Johnson and Johnson spécialisée dans les tests in vitro. "Récolter les informations contenues dans ces cellules dans un contexte clinique in vitro pourra aider à sélectionner les traitements et à voir comment les malades y répondent", ajoute-t-il dans un communiqué.
Remplacer les biopsies, coloscopies et mammographies
"Il y a un besoin urgent et grandissant de technologies de pointe et non invasives pour aider à sélectionner un traitement et à surveiller la réponse tout au long de l'évolution de la maladie", souligne le docteur Nicholas Dracopoli, directeur général de la recherche sur les marqueurs biologiques au sein de Johnson and Johnson.
Ce test sanguin capable de détecter la présence de la moindre cellule cancéreuse en circulation dans le sang grâce à un éventail de marqueurs génétiques et de protéines devrait pouvoir un jour remplacer les techniques actuelles de dépistage, comme les mammographies, les coloscopies ainsi que les biopsies, estiment ces chercheurs.
Les recherches précédentes ont montré que la plupart des cancéreux avaient des cellules malignes en circulation dans leur sang, signe que le cancer s'est déjà propagé ou est sur le point de faire des métastases. La FDA, l'agence américaine de réglementation des médicaments et des produits alimentaires, a déjà autorisé la commercialisation de cette technologie dite CTC ("Circulating Tumor Cell") pour dénombrer les cellules cancéreuses sur des malades souffrant de cancers du sein, de la prostate et du côlon qui se sont généralisés.
Test plus sensible
Un décompte d'au moins trois cellules cancéreuses par échantillon de sang débouche sur un pronostic mauvais, indiquant probablement que la maladie continue de progresser. Le nouveau test qu'entend mettre au point et commercialiser Johnson and Johnson est, selon le géant pharmaceutique, plus sensible et permet de détecter la présence d'un cancer avant qu'il ne soit découvert par les méthodes existantes de dépistage. Le test se présente sous la forme d'une micro-puce informatique contenant tout un éventail d'anticorps qui s'attachent à la surface des cellules cancéreuses et les rend lumineuses pour faciliter leur détection et leur capture pour analyse.
Les résultats des recherches effectuées sur cette micro-puce avaient été publiés dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine ainsi que dans la publication britannique Nature. Une équipe française menée par le docteur Jean-Louis Viovy de l'Institut Curie avait annoncé en septembre 2010 la mise au point d'un "laboratoire sur puce" pour détecter et analyser les cellules tumorales lors de "micro-biopsies" de malades atteints de différents types de leucémie. Leurs travaux avaient été publiés dans les annales de l'Académie nationale des sciences (PNAS) américaine. Ces mêmes chercheurs français travaillent sur une nouvelle génération de puce afin de détecter des cellules tumorales dans le sang, à l'instar de la micro-puce de Veridex.
Un nouveau test pour détecter les cellules cancéreuses bientôt sur le marché
Johnson and Johnson a annoncé un accord avec un hôpital pour commercialiser un test capable de détecter la moindre cellule cancéreuse.
Source AFP
Le géant pharmaceutique américain Johnson and Johnson (J&J) a annoncé, lundi, un accord avec l'Hôpital général du Massachusetts pour commercialiser un test sanguin capable de détecter la moindre cellule cancéreuse, ouvrant la voie à une plus grande efficacité des traitements.
"Cette nouvelle technologie a le potentiel d'offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques", explique Robert McCormack, responsable de l'innovation technologique et de la stratégie de Veridex, filiale de Johnson and Johnson spécialisée dans les tests in vitro. "Récolter les informations contenues dans ces cellules dans un contexte clinique in vitro pourra aider à sélectionner les traitements et à voir comment les malades y répondent", ajoute-t-il dans un communiqué.
Remplacer les biopsies, coloscopies et mammographies
"Il y a un besoin urgent et grandissant de technologies de pointe et non invasives pour aider à sélectionner un traitement et à surveiller la réponse tout au long de l'évolution de la maladie", souligne le docteur Nicholas Dracopoli, directeur général de la recherche sur les marqueurs biologiques au sein de Johnson and Johnson.
Ce test sanguin capable de détecter la présence de la moindre cellule cancéreuse en circulation dans le sang grâce à un éventail de marqueurs génétiques et de protéines devrait pouvoir un jour remplacer les techniques actuelles de dépistage, comme les mammographies, les coloscopies ainsi que les biopsies, estiment ces chercheurs.
Les recherches précédentes ont montré que la plupart des cancéreux avaient des cellules malignes en circulation dans leur sang, signe que le cancer s'est déjà propagé ou est sur le point de faire des métastases. La FDA, l'agence américaine de réglementation des médicaments et des produits alimentaires, a déjà autorisé la commercialisation de cette technologie dite CTC ("Circulating Tumor Cell") pour dénombrer les cellules cancéreuses sur des malades souffrant de cancers du sein, de la prostate et du côlon qui se sont généralisés.
Test plus sensible
Un décompte d'au moins trois cellules cancéreuses par échantillon de sang débouche sur un pronostic mauvais, indiquant probablement que la maladie continue de progresser. Le nouveau test qu'entend mettre au point et commercialiser Johnson and Johnson est, selon le géant pharmaceutique, plus sensible et permet de détecter la présence d'un cancer avant qu'il ne soit découvert par les méthodes existantes de dépistage. Le test se présente sous la forme d'une micro-puce informatique contenant tout un éventail d'anticorps qui s'attachent à la surface des cellules cancéreuses et les rend lumineuses pour faciliter leur détection et leur capture pour analyse.
Les résultats des recherches effectuées sur cette micro-puce avaient été publiés dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine ainsi que dans la publication britannique Nature. Une équipe française menée par le docteur Jean-Louis Viovy de l'Institut Curie avait annoncé en septembre 2010 la mise au point d'un "laboratoire sur puce" pour détecter et analyser les cellules tumorales lors de "micro-biopsies" de malades atteints de différents types de leucémie. Leurs travaux avaient été publiés dans les annales de l'Académie nationale des sciences (PNAS) américaine. Ces mêmes chercheurs français travaillent sur une nouvelle génération de puce afin de détecter des cellules tumorales dans le sang, à l'instar de la micro-puce de Veridex.
ESI Croix Rouge Begles 2011/2014
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Entraînement à l'oral 2011
Bonjour
Pour passer le concours en 2011, quels conseils pour bien se préparer à l'oral ?
Merci pour vos réponses
Vivi
Pour passer le concours en 2011, quels conseils pour bien se préparer à l'oral ?
Merci pour vos réponses
Vivi
Re: Actualités pour le concours 2011
L'hospitalisation à domicile : une formule qui se développe malgré les obstacles
03.1.2011
[hopital.fr] L'hospitalisation à domicile (HAD) connaît une croissance rapide depuis les années 2000. Cependant, elle ne représente encore qu'une part minime de l'offre de soins hospitaliers et se heurte à certaines difficultés.
D'après un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), publié en novembre dernier, le développement de l'HAD (+119% d'activité depuis 2005) répond à une demande croissante de prise en charge à domicile, de la part des patients comme des aidants. Cette tendance encore marginale (0,45% des séjours d'hospitalisation complète) devrait s'amplifier avec le vieillissement de la population, l'augmentation des maladies chroniques (20% des Français), le développement du maintien à domicile et le déficit actuel de notre système d'assurance maladie. L'HAD permet en effet à certains malades souffrant de pathologies graves, aigües ou chroniques de pouvoir bénéficier de soins médicaux et paramédicaux à domicile. Les dépenses non directement liées à ces actes (nourriture, produits d'hygiène...) étant à la charge du malade, le coût d'une journée d'HAD est moins élevé, pour l'assurance maladie, qu'une journée d'hospitalisation complète.
L'HAD intervient dans des champs variés, mais la périnatalité, les soins palliatifs et la cancérologie représentent près de 60% des séjours. Malgré une prise en charge en matière de périnatalité traditionnellement forte en HAD (prise charge du nouveau-né, surveillance de grossesse à risque, retour précoce après accouchement...), le rapport souligne des lacunes en terme de qualité et sur le plan médico-économique. En matière de soins palliatifs (18% des séjours), une large majorité de Français déclare préférer rester au plus près de leur famille dans les derniers moments et mourir à domicile. L’intérêt de l’HAD dans le cadre d’une pathologie comme le cancer est également avéré mais certaines difficultés techniques, les évolutions thérapeutiques et le fort développement des chimiothérapies en hospitalisation de jour pourraient limiter la poursuite de son développement. Les contrôles réalisés par l'assurance maladie en 2009 ont en effet révélé un nombre élevé de difficultés : "seuls 36% des séjours ne comporteraient aucune anomalie", selon le rapport de l'Igas. Les lacunes du système tarifaire expliqueraient, en partie, cette situation et une étude nationale des coûts a été lancée en 2009 pour y remédier.
Lors de la 14e journée nationale de l'hospitalisation à domicile, qui s'est déroulée le 9 décembre dernier, le ministre de la santé, Xavier Bertrand, a annoncé trois axes de travail : définir plus clairement le périmètre de l'HAD dans l'offre de soins actuelle, faire évoluer le modèle de financement et développer la télémédecine. Selon lui, "l'hospitalisation à domicile est un sujet qui engage l'avenir de notre système de santé".
Vous pouvez consulter l'intégralité du rapport de l'Igas sur le site de la Documentation française.
03.1.2011
[hopital.fr] L'hospitalisation à domicile (HAD) connaît une croissance rapide depuis les années 2000. Cependant, elle ne représente encore qu'une part minime de l'offre de soins hospitaliers et se heurte à certaines difficultés.
D'après un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), publié en novembre dernier, le développement de l'HAD (+119% d'activité depuis 2005) répond à une demande croissante de prise en charge à domicile, de la part des patients comme des aidants. Cette tendance encore marginale (0,45% des séjours d'hospitalisation complète) devrait s'amplifier avec le vieillissement de la population, l'augmentation des maladies chroniques (20% des Français), le développement du maintien à domicile et le déficit actuel de notre système d'assurance maladie. L'HAD permet en effet à certains malades souffrant de pathologies graves, aigües ou chroniques de pouvoir bénéficier de soins médicaux et paramédicaux à domicile. Les dépenses non directement liées à ces actes (nourriture, produits d'hygiène...) étant à la charge du malade, le coût d'une journée d'HAD est moins élevé, pour l'assurance maladie, qu'une journée d'hospitalisation complète.
L'HAD intervient dans des champs variés, mais la périnatalité, les soins palliatifs et la cancérologie représentent près de 60% des séjours. Malgré une prise en charge en matière de périnatalité traditionnellement forte en HAD (prise charge du nouveau-né, surveillance de grossesse à risque, retour précoce après accouchement...), le rapport souligne des lacunes en terme de qualité et sur le plan médico-économique. En matière de soins palliatifs (18% des séjours), une large majorité de Français déclare préférer rester au plus près de leur famille dans les derniers moments et mourir à domicile. L’intérêt de l’HAD dans le cadre d’une pathologie comme le cancer est également avéré mais certaines difficultés techniques, les évolutions thérapeutiques et le fort développement des chimiothérapies en hospitalisation de jour pourraient limiter la poursuite de son développement. Les contrôles réalisés par l'assurance maladie en 2009 ont en effet révélé un nombre élevé de difficultés : "seuls 36% des séjours ne comporteraient aucune anomalie", selon le rapport de l'Igas. Les lacunes du système tarifaire expliqueraient, en partie, cette situation et une étude nationale des coûts a été lancée en 2009 pour y remédier.
Lors de la 14e journée nationale de l'hospitalisation à domicile, qui s'est déroulée le 9 décembre dernier, le ministre de la santé, Xavier Bertrand, a annoncé trois axes de travail : définir plus clairement le périmètre de l'HAD dans l'offre de soins actuelle, faire évoluer le modèle de financement et développer la télémédecine. Selon lui, "l'hospitalisation à domicile est un sujet qui engage l'avenir de notre système de santé".
Vous pouvez consulter l'intégralité du rapport de l'Igas sur le site de la Documentation française.
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Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
Bonjour.
Étant donné que je n'ai pas beaucoup de chance d'obtenir le concours, je n'en tente qu'un seul, Nancy Lionnois ou Brabois je ne sais pas encore.
Étant donné que je n'ai pas beaucoup de chance d'obtenir le concours, je n'en tente qu'un seul, Nancy Lionnois ou Brabois je ne sais pas encore.
ESI 2012-2015 à Lionnois 

- cristalia-cinderella
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Re: Actualités pour le concours 2011
Voici un quiz pour tester vos connaissance sur le coeur : http://www.sciencesetavenir.fr/quiz/sci ... oeurs.html


ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Stage S1 : long séjour en gériatrie
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Re: Actualités pour le concours 2011
Buflomédil: le nouveau médicament polémique
L'Afssaps envisage de le retirer du marché. Selon la revue Prescrire, il pourrait être à l'origine de complications cardiaques et neurologiques susceptibles d'être mortelles.
Le processus de réévaluation du buflomédil pourrait aboutir dans les prochaines semaines à un retrait ou une suspension de ce médicament vasodilatateur, a indiqué ce mardi un responsable de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Selon la revue médicale indépendante Prescrire, le buflomédil doit être retiré du marché en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels. Ce médicament est commercialisé notamment sous les noms de marque de Fonzylane (fabriqué par Cephalon) et Buflomédil EG.
"C'est effectivement un produit qui est en cours de réévaluation du bénéfice-risque (...). On est dans le processus final de la réévaluation du bénéfice-risque", a déclaré sur France-Info Fabienne Bartoli, adjointe du directeur général de Afssaps, évoquant une décision "dans les premières semaines de cette année 2011".
"Ça veut dire qu'effectivement il est dans un processus où l'aboutissement pourrait être un retrait, voire une suspension, parce que c'est un produit qui est commercialisé au niveau européen, de l'autorisation de mise sur le marché", a-t-elle ajouté.
Le rapport bénéfice-risque de certains médicaments sont réevalués depuis plusieurs mois
Fabienne Bartoli a également précisé que si tel était le cas, ce serait "pour des mésusages". "C'est un produit avec une marge thérapeutique étroite, ce qui veut dire que si vous changez un tout petit peu la dose, vous pouvez effectivement avoir des accidents", a-t-elle expliqué, évoquant la possibilité de gestes suicidaires.
Des procédures sont engagées depuis plusieurs mois pour réévaluer le rapport bénéfice-risque de certains médicaments, possiblement dangereux, a indiqué ce mardi sur RTL le ministre de la Santé Xavier Bertrand, réagissant à la publication de la revue Prescrire.
La revue Prescrire, qui avait donné l'alerte sur le Mediator, désigne également l'anti-inflammatoire nimésulide (Nexen, fabriqué par Therabel Lucien Pharma, et autres noms de marque) et la vinflunine (Javlor, fabriqué par les laboratoires Pierre Fabre) un anticancéreux utilisé dans le traitement de certains cancers avancés de la vessie.
L'express.fr
L'Afssaps envisage de le retirer du marché. Selon la revue Prescrire, il pourrait être à l'origine de complications cardiaques et neurologiques susceptibles d'être mortelles.
Le processus de réévaluation du buflomédil pourrait aboutir dans les prochaines semaines à un retrait ou une suspension de ce médicament vasodilatateur, a indiqué ce mardi un responsable de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Selon la revue médicale indépendante Prescrire, le buflomédil doit être retiré du marché en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels. Ce médicament est commercialisé notamment sous les noms de marque de Fonzylane (fabriqué par Cephalon) et Buflomédil EG.
"C'est effectivement un produit qui est en cours de réévaluation du bénéfice-risque (...). On est dans le processus final de la réévaluation du bénéfice-risque", a déclaré sur France-Info Fabienne Bartoli, adjointe du directeur général de Afssaps, évoquant une décision "dans les premières semaines de cette année 2011".
"Ça veut dire qu'effectivement il est dans un processus où l'aboutissement pourrait être un retrait, voire une suspension, parce que c'est un produit qui est commercialisé au niveau européen, de l'autorisation de mise sur le marché", a-t-elle ajouté.
Le rapport bénéfice-risque de certains médicaments sont réevalués depuis plusieurs mois
Fabienne Bartoli a également précisé que si tel était le cas, ce serait "pour des mésusages". "C'est un produit avec une marge thérapeutique étroite, ce qui veut dire que si vous changez un tout petit peu la dose, vous pouvez effectivement avoir des accidents", a-t-elle expliqué, évoquant la possibilité de gestes suicidaires.
Des procédures sont engagées depuis plusieurs mois pour réévaluer le rapport bénéfice-risque de certains médicaments, possiblement dangereux, a indiqué ce mardi sur RTL le ministre de la Santé Xavier Bertrand, réagissant à la publication de la revue Prescrire.
La revue Prescrire, qui avait donné l'alerte sur le Mediator, désigne également l'anti-inflammatoire nimésulide (Nexen, fabriqué par Therabel Lucien Pharma, et autres noms de marque) et la vinflunine (Javlor, fabriqué par les laboratoires Pierre Fabre) un anticancéreux utilisé dans le traitement de certains cancers avancés de la vessie.
L'express.fr
ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
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Re: Actualités pour le concours 2011
L'accouchement est-il trop médicalisé?
Un sondage pour le magazine Parents montre que la moitié des mères ont trouvé la procédure standardisée et peu adaptée à leurs besoins. Est-ce votre cas?
Mettre son enfant au monde, chez soi, hors du cadre hospitalier. Une tendance appréciée par des stars comme le couple Polnareff. Les femmes ne sont encore que 2% choisir d'accoucher chez elles, compte une récente enquête du Collège national des gynécologues et obstétriciens français et du Collège national des sages-femmes.
Pourtant, 49,1% des femmes jugent la procédure en hôptial standardisée, et pas réellement adaptée à leurs besoins et à leurs envies, selon une enquête pour le magazine Parents et publiée par 20Minutes.fr. Plus significatif encore: dans le cas d'une nouvelle grossesse, 25 % des mères souhaiteraient accoucher ailleurs que dans une maternité classique.
Aujourd'hui, sur les 850.000 naissances chaque année en France, "à peu près 1.000 - 1.500, se passent à domicile", dont une part de façon non programmée, compte pourtant la présidente de l'Ordre des sages-femmes.
Risques
"Ca reste très confidentiel et ce n'est pas une pratique que nous recommandons, bien évidemment, car elle n'est pas dénuée de risque", tempère le président du Collège national des gynécologues. "Quand tout se passe bien, c'est parfait. Mais on n'est pas à l'abri d'un problème, pour le bébé surtout", ajoute-t-il : bébé qui se présente mal, qui ne veut pas sortir, cordon qui s'enroule autour du cou... Pour la mère, c'est le risque hémorragique qui est le plus redouté.
"Aujourd'hui le seul choix qu'ont les femmes qui veulent vraiment un accouchement physiologique, c'est d'accoucher à domicile. On en arrive à des extrémités qui mettent les gens en danger", s'agace la présidente du conseil des sages-femmes.
Pour la présidente de l'Ordre des sages-femmes, les maisons de naissances seraient "une bonne alternative, en prévention des accouchements sauvages et des accouchements faits avec des doulas (femmes sans formation médicale accompagnant la naissance, NDLR)". L'initiative, soutenue par l'ancienne ministre de la Santé Roselyne Bachelot, devait permettre aux femmes d'accoucher accompagnées d'une sage-femme, dans un environnement non médicalisé, plus accueillant qu'une salle de naissance, mais sécurisé de par sa proximité immédiate avec un service de maternité. De quoi réagir sans perdre de temps au cas où un geste médical (forceps, césarienne...) s'avèrerait nécessaire. Une proposition refusée par le Conseil constitutionnel le 16 décembre.
Et vous?
Comment avez-vous vécu votre accouchement? Avez-vous mis votre enfant au monde à l'hôpital? Chez vous? Ailleurs? Quel accompagnement préférez-vous pour ces circonstances?
Sondage Parents/Instituts des mamans, réalisé sur 300 mères d'enfants de 0 à 1 an, entre le 12 et le 15 novembre 2010.
L'express.fr
Un sondage pour le magazine Parents montre que la moitié des mères ont trouvé la procédure standardisée et peu adaptée à leurs besoins. Est-ce votre cas?
Mettre son enfant au monde, chez soi, hors du cadre hospitalier. Une tendance appréciée par des stars comme le couple Polnareff. Les femmes ne sont encore que 2% choisir d'accoucher chez elles, compte une récente enquête du Collège national des gynécologues et obstétriciens français et du Collège national des sages-femmes.
Pourtant, 49,1% des femmes jugent la procédure en hôptial standardisée, et pas réellement adaptée à leurs besoins et à leurs envies, selon une enquête pour le magazine Parents et publiée par 20Minutes.fr. Plus significatif encore: dans le cas d'une nouvelle grossesse, 25 % des mères souhaiteraient accoucher ailleurs que dans une maternité classique.
Aujourd'hui, sur les 850.000 naissances chaque année en France, "à peu près 1.000 - 1.500, se passent à domicile", dont une part de façon non programmée, compte pourtant la présidente de l'Ordre des sages-femmes.
Risques
"Ca reste très confidentiel et ce n'est pas une pratique que nous recommandons, bien évidemment, car elle n'est pas dénuée de risque", tempère le président du Collège national des gynécologues. "Quand tout se passe bien, c'est parfait. Mais on n'est pas à l'abri d'un problème, pour le bébé surtout", ajoute-t-il : bébé qui se présente mal, qui ne veut pas sortir, cordon qui s'enroule autour du cou... Pour la mère, c'est le risque hémorragique qui est le plus redouté.
"Aujourd'hui le seul choix qu'ont les femmes qui veulent vraiment un accouchement physiologique, c'est d'accoucher à domicile. On en arrive à des extrémités qui mettent les gens en danger", s'agace la présidente du conseil des sages-femmes.
Pour la présidente de l'Ordre des sages-femmes, les maisons de naissances seraient "une bonne alternative, en prévention des accouchements sauvages et des accouchements faits avec des doulas (femmes sans formation médicale accompagnant la naissance, NDLR)". L'initiative, soutenue par l'ancienne ministre de la Santé Roselyne Bachelot, devait permettre aux femmes d'accoucher accompagnées d'une sage-femme, dans un environnement non médicalisé, plus accueillant qu'une salle de naissance, mais sécurisé de par sa proximité immédiate avec un service de maternité. De quoi réagir sans perdre de temps au cas où un geste médical (forceps, césarienne...) s'avèrerait nécessaire. Une proposition refusée par le Conseil constitutionnel le 16 décembre.
Et vous?
Comment avez-vous vécu votre accouchement? Avez-vous mis votre enfant au monde à l'hôpital? Chez vous? Ailleurs? Quel accompagnement préférez-vous pour ces circonstances?
Sondage Parents/Instituts des mamans, réalisé sur 300 mères d'enfants de 0 à 1 an, entre le 12 et le 15 novembre 2010.
L'express.fr
ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Re: Actualités pour le concours 2011
Une ampoule d'atropine retrouvée dans une boîte de morphine
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Suite à la découverte d'une ampoule d'atropine dans une boite de morphine, le laboratoire Aguettant a fait savoir qu'il procédait actuellement au retrait d'un lot de morphine correspondant à 18.000 boites.
Voila une découverte plutôt inquiétante qui a été faite dans un hôpital dont ni le nom, ni la localisation n'ont été dévoilés. En effet, une ampoule d'atropine a été découverte au milieu d'une boite de morphine, les deux produits étant totalement différents. Ainsi, AP explique que si la morphine est connue de tous pour être un antidouleur très puissant, l'atropine elle, a pour conséquence de modifier le rythme cardiaque.
Le produit aurait donc pu être dévastateur s'il avait été injecté à la place de la morphine. Le laboratoire Aguettant procèdent actuellement au retrait de 18.000 boites de dix ampoules de morphine en solution injectable 10 mg/ml. Et l'Afssaps d'appeler "à la vigilance les médecins et les infirmières libérales susceptibles d'administrer une ampoule de morphine provenant d'une pharmacie de ville". Une enquête a été ouverte afin de déterminer comment une telle erreur a pu se produire, au remplissage des ampoules, ou bien lors de son conditionnement.
Sources : Maxisciences.com
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Suite à la découverte d'une ampoule d'atropine dans une boite de morphine, le laboratoire Aguettant a fait savoir qu'il procédait actuellement au retrait d'un lot de morphine correspondant à 18.000 boites.
Voila une découverte plutôt inquiétante qui a été faite dans un hôpital dont ni le nom, ni la localisation n'ont été dévoilés. En effet, une ampoule d'atropine a été découverte au milieu d'une boite de morphine, les deux produits étant totalement différents. Ainsi, AP explique que si la morphine est connue de tous pour être un antidouleur très puissant, l'atropine elle, a pour conséquence de modifier le rythme cardiaque.
Le produit aurait donc pu être dévastateur s'il avait été injecté à la place de la morphine. Le laboratoire Aguettant procèdent actuellement au retrait de 18.000 boites de dix ampoules de morphine en solution injectable 10 mg/ml. Et l'Afssaps d'appeler "à la vigilance les médecins et les infirmières libérales susceptibles d'administrer une ampoule de morphine provenant d'une pharmacie de ville". Une enquête a été ouverte afin de déterminer comment une telle erreur a pu se produire, au remplissage des ampoules, ou bien lors de son conditionnement.
Sources : Maxisciences.com
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Re: Actualités pour le concours 2011
Article intéressant sur le médicament Mediator qui crée la polémique depuis déjà plusieurs mois maintenant , il est assez long donc je vous donne le lien directement.
+ cliquez ici +
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Actualités:Bilan de ce qui va changer en 2011
Bonjour,
Je vous propose un petit bilan de ce qui va changer en 2011 d’après le journal de la santé du 03.01.2011.
Une vraie mine de thème à exploiter pour préparer l’écrit de CG
° Consultation chez le généraliste à 23 euros : Bonne année, bonne santé et bon portefeuille !
° Révision des lois de bioéthique début février: levée de l’anonymat des donneurs de gamètes ?
°Dossier Médical Personnel (MDP) : Partage du dossier médical du patient par tous les professionnels de santé (loi de 2004)
°Médecine de proximité et dépendance : Grd nouveau chantier de Sarkozy
°Procès de l’hormone de croissance : en mai un bon sujet pour les oraux
°Médiator : Le rapport sera rendu le 15 janvier
Je vous propose un petit bilan de ce qui va changer en 2011 d’après le journal de la santé du 03.01.2011.
Une vraie mine de thème à exploiter pour préparer l’écrit de CG
° Consultation chez le généraliste à 23 euros : Bonne année, bonne santé et bon portefeuille !
° Révision des lois de bioéthique début février: levée de l’anonymat des donneurs de gamètes ?
°Dossier Médical Personnel (MDP) : Partage du dossier médical du patient par tous les professionnels de santé (loi de 2004)
°Médecine de proximité et dépendance : Grd nouveau chantier de Sarkozy
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- cristalia-cinderella
- Insatiable
- Messages : 612
- Inscription : 14 nov. 2010 22:03
Re: ORAL DU CONCOURS IFSI
Des conseils : rester naturel mais en ayant bien préparé ses motivations, lire l'actualité peut te préparée à la culture générale tout comme à l'oral.
Après, j'en vois pas d'autre.
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ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
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Re: Actualités:Bilan de ce qui va changer en 2011
MDP ? c'est pas DMP ^^ ?
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- Régulier
- Messages : 34
- Inscription : 25 nov. 2010 17:03
Re: Actualités:Bilan de ce qui va changer en 2011
très interessant ce que t'a mis lubllune!
Je vous rappelle aussi les mesures préconiser par le ministre de la santé pour réduire les déficit de la sécu:
-Contrôle fréquent des arrêts de travail
-augmentation du forfait hospitalier de 16 à 18E
-augmentation des taxes sur l'alcool et le tabac
-les médecins devront payé 50cts s'ils n'utilisent pas la carte vital
-Médecins à 23E et non remboursement des 2E
-Déremboursement de certains médicament

Je vous rappelle aussi les mesures préconiser par le ministre de la santé pour réduire les déficit de la sécu:
-Contrôle fréquent des arrêts de travail
-augmentation du forfait hospitalier de 16 à 18E
-augmentation des taxes sur l'alcool et le tabac
-les médecins devront payé 50cts s'ils n'utilisent pas la carte vital
-Médecins à 23E et non remboursement des 2E
-Déremboursement de certains médicament