Résultats des écrits (Printemps 2011)
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- mini-mandine
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Re: oral 2ans après bac
Bonsoir ! Moi je pense qu'il faut être sincère lors de l'oral, quand on ment ça se voit tout de suite, surtout s'ils te posent des questions approfondies sur ton parcours et que tu n'es pas cohérente ou que tu bafouille, ça le fait pas trop.. Soit honnête avec eux, montre leur que tu as envie de le faire, c'est ça qu'ils veulent entendre ! 

ESI 2011/2014 IFSI Avicenne
Passage en 3e année le 04 février !!
Passage en 3e année le 04 février !!
Re: oral 2ans après bac
je suis un peu dans le meme cas que toi, j'ai deja présenter le concours et cette année je suis inscrite en médecine mais je retente le concours puisque c'est bien infirmiere que je veux fair
perso je te conseille pas de mentir parce que si il arrive a le voir la c'est mort de chez mort peux importe ce que tu diras tu ne seras plus crédible du tout.
on sait tous qu'il n'y a pas besoin d'un schéma type pour etre pris au concours tout le monde peut y arriver. Dans ton cas je te conseille d'essayer de sortir de ton parcour tout ce qui a pu consolider ton choix du metier d'infirmiere et pas un autre.
et puis tu a deja tenter le concours une fois donc l'envie était deja la bien avant ton année de medecine et ta licence en bio et c'est sur ce genre de chose que tu dois insister à l'oral

perso je te conseille pas de mentir parce que si il arrive a le voir la c'est mort de chez mort peux importe ce que tu diras tu ne seras plus crédible du tout.

on sait tous qu'il n'y a pas besoin d'un schéma type pour etre pris au concours tout le monde peut y arriver. Dans ton cas je te conseille d'essayer de sortir de ton parcour tout ce qui a pu consolider ton choix du metier d'infirmiere et pas un autre.
et puis tu a deja tenter le concours une fois donc l'envie était deja la bien avant ton année de medecine et ta licence en bio et c'est sur ce genre de chose que tu dois insister à l'oral

concours 2012, je l'aurais un jour, je l'aurais ...
Re: inscription prise en compte?
Je ne sais pas précisément, mais pas mal de temps quand même!keyared a écrit :le débit se fait au bout de cmb de temps environ?
APHP => Admise à Cochin
CR => 3e sur LC
St Jo => recalée
CR => 3e sur LC
St Jo => recalée
Re: oral 2ans après bac
Si tu as déjà présenté le concours, je pense que c'est déjà une preuve de ta motivation. Ensuite faire une année de médecine n'est pas honteux, au contraire puisque tu as déjà des connaissances (par exemple en anatomie) qui pourront te servir pendant tes études.
Simplement il ne faut pas que le jury est l'impression que tu ais raté médecine et que par dépit tu te rabattes sur ce concours. Mais effectivement je doute que mentir soit une bonne idée, surtout que des parcours atypiques ils en voient défiler.
Simplement il ne faut pas que le jury est l'impression que tu ais raté médecine et que par dépit tu te rabattes sur ce concours. Mais effectivement je doute que mentir soit une bonne idée, surtout que des parcours atypiques ils en voient défiler.
Re: oral 2ans après bac
Tout a été dit !
En effet, le jury ne tient pas (ou peu compte) du fait que le candidat ai été en médecine. Il faut juste leur montrer que tu n'as pas gardé les défauts GRANDEMENT présents en première année de médecine, dont un égo surdimensionné...
Je rajouterai juste quelque chose sur ce que tu fais en ce moment.
Tu es actuellement en licence de Biologie, la "science du vivant". Sans mentir pour autant, je suis sûr que ce n'est pas un hasard si tu es allé voir là-bas.
Moi même, avant de passer mon troisième concours IFSI, je suivais une licence de Psychologie. Sers t'en ! Je ne dis pas par là de mentir au jury, mais si tu es passé en Biologie, même pour faire simplement passer le temps, c'est par intêret de l'être vivant, dont l'homme.
En effet, le jury ne tient pas (ou peu compte) du fait que le candidat ai été en médecine. Il faut juste leur montrer que tu n'as pas gardé les défauts GRANDEMENT présents en première année de médecine, dont un égo surdimensionné...
Je rajouterai juste quelque chose sur ce que tu fais en ce moment.
Tu es actuellement en licence de Biologie, la "science du vivant". Sans mentir pour autant, je suis sûr que ce n'est pas un hasard si tu es allé voir là-bas.
Moi même, avant de passer mon troisième concours IFSI, je suivais une licence de Psychologie. Sers t'en ! Je ne dis pas par là de mentir au jury, mais si tu es passé en Biologie, même pour faire simplement passer le temps, c'est par intêret de l'être vivant, dont l'homme.
Re: Actualités pour le concours 2011
Bonjour,
Je souhaite passer le concours ide...La nouvelle réforme concernant ce concours me questionne...Pas une librairie chez moi ne propose un livre pour s'entrainer à faire des analyses de synthèse avec une bonne méthode ...en réflexion en logique ect ect....
Et les numériques....pourquoi exiger des as,au moment du concours je précise, des calculs de dose alors que certains élèves en 3 années ne savent toujours pas faire un produit en croix?pourquoi ne pas leur apprendre à l'ifsi comme les élèves ide??
et si certains l'ont eu passé est-il possible pour eux d'éclairer ma lanterne sur les sujet d'analyse et synthèse avec calcul de dose compris dedans
merci beaucoup et bisoous..
Je souhaite passer le concours ide...La nouvelle réforme concernant ce concours me questionne...Pas une librairie chez moi ne propose un livre pour s'entrainer à faire des analyses de synthèse avec une bonne méthode ...en réflexion en logique ect ect....
Et les numériques....pourquoi exiger des as,au moment du concours je précise, des calculs de dose alors que certains élèves en 3 années ne savent toujours pas faire un produit en croix?pourquoi ne pas leur apprendre à l'ifsi comme les élèves ide??
et si certains l'ont eu passé est-il possible pour eux d'éclairer ma lanterne sur les sujet d'analyse et synthèse avec calcul de dose compris dedans
merci beaucoup et bisoous..
- cristalia-cinderella
- Insatiable
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Re: Actualités pour le concours 2011
@éphémère : il y a un topic entrainement à la culture général 2011 et un topic aptitude numérique 2011 donc h'hésite pas à posez tes questions la dessus.
Le Sénat rejette la légalisation de l'euthanasie
Un amendement voté ce mardi supprime l'article premier de la proposition de loi.
La commission des Affaires sociales du Sénat, examinant une proposition de loi sur l'euthanasie, a adopté mardi matin un amendement qui supprime l'article premier du texte visant à légaliser cette pratique.
L'article premier, considéré comme l'article-clé, indique que "toute personne capable majeure, en phase avancée ou terminale d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable, lui infligeant une souffrance physique ou psychique qui ne peut être apaisée ou qu'elle juge insupportable, peut demander à bénéficier (...) d'une assistance médicalisée permettant, par un acte délibéré, une mort rapide et sans douleur".
L'amendement présenté par la sénatrice UMP de Paris Marie-Thérèse Hermange, qui estime que la proposition de loi avait été adoptée en commission, le 18 janvier, "dans la précipitation". "Comment par exemple définit-on la souffrance, notamment psychique, pour le parent qui a un enfant autiste, schizophrène ou maniaco-dépressif ?", s'interroge-t-elle.
"Le débat a été tronqué"
"L'appareil de l'Etat n'a pas voulu de débat", commente Philippe Lohéac, délégué général de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), joint par LEXPRESS.fr. "Le débat a été tronqué, poursuit-il. Le vote du 18 janvier a été inattendu. Le débat de la commission sociale du Sénat était redouté, à raison. Pourtant, nous pensons sérieusement que l'euthanasie finira par être légalisée. Les prochains débats auront lieu lors de l'élection présidentielle. Comptez sur les 120 délégués de l'ADMD pour recueillir les propositions et les engagements des candidats sur ce thème !"
Lundi, François Fillon a clairement manifesté lundi son opposition à l'euthanasie, dans une tribune au journal Le Monde.
La commission des Affaires sociales avait adopté le 18 janvier par 25 voix, 19 contre, et deux abstentions, une proposition de loi droite-gauche visant à légaliser l'euthanasie, suscitant un large débat dans la classe politique.
L'express.fr
Le Sénat rejette la légalisation de l'euthanasie
Un amendement voté ce mardi supprime l'article premier de la proposition de loi.
La commission des Affaires sociales du Sénat, examinant une proposition de loi sur l'euthanasie, a adopté mardi matin un amendement qui supprime l'article premier du texte visant à légaliser cette pratique.
L'article premier, considéré comme l'article-clé, indique que "toute personne capable majeure, en phase avancée ou terminale d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable, lui infligeant une souffrance physique ou psychique qui ne peut être apaisée ou qu'elle juge insupportable, peut demander à bénéficier (...) d'une assistance médicalisée permettant, par un acte délibéré, une mort rapide et sans douleur".
L'amendement présenté par la sénatrice UMP de Paris Marie-Thérèse Hermange, qui estime que la proposition de loi avait été adoptée en commission, le 18 janvier, "dans la précipitation". "Comment par exemple définit-on la souffrance, notamment psychique, pour le parent qui a un enfant autiste, schizophrène ou maniaco-dépressif ?", s'interroge-t-elle.
"Le débat a été tronqué"
"L'appareil de l'Etat n'a pas voulu de débat", commente Philippe Lohéac, délégué général de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), joint par LEXPRESS.fr. "Le débat a été tronqué, poursuit-il. Le vote du 18 janvier a été inattendu. Le débat de la commission sociale du Sénat était redouté, à raison. Pourtant, nous pensons sérieusement que l'euthanasie finira par être légalisée. Les prochains débats auront lieu lors de l'élection présidentielle. Comptez sur les 120 délégués de l'ADMD pour recueillir les propositions et les engagements des candidats sur ce thème !"
Lundi, François Fillon a clairement manifesté lundi son opposition à l'euthanasie, dans une tribune au journal Le Monde.
La commission des Affaires sociales avait adopté le 18 janvier par 25 voix, 19 contre, et deux abstentions, une proposition de loi droite-gauche visant à légaliser l'euthanasie, suscitant un large débat dans la classe politique.
L'express.fr
Dernière modification par cristalia-cinderella le 25 janv. 2011 16:34, modifié 1 fois.
ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
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- cristalia-cinderella
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Re: Actualités pour le concours 2011
"L'oubli fait partie du bon fonctionnement de la mémoire"
Arnaud d'Arembeau est chercheur au FNRS, équivalent du CNRS belge. Docteur en Sciences psychologiques, il décrypte le concept d'e-mémoire décrit par Gordon Bell dans Total Recall. Et en détaille les risques.
Total Recall, manuel pour constituer sa propre mémoire électronique, propose d'enregistrer tous nos faits et gestes, de la naissance à la mort. Mais le droit à l'oubli n'est-il pas indispensable à l'Homme?
L'oubli fait partie du bon fonctionnement de la mémoire qui opère naturellement et automatiquement un mécanisme de sélection: on ne retient que les informations qui nous semblent importantes et qui sont susceptibles de jouer un rôle.
L'émotion et la pertinence personnelle peuvent être des facteurs déterminants dans ce choix. Par exemple, lorsqu'on va faire des courses au supermarché, il est utile de retenir où nous avons garé notre voiture. Mais il n'est pas nécessaire de retenir toutes les places de parking utilisées au cours de notre vie... Pis, mémoriser toutes ces informations risquerait d'être néfaste: on arriverait au point de ne plus savoir du tout où est stationné notre véhicule.
Se souvenir de tout peut-il présenter un risque?
Le concept développé par Total Recall peut conduire à plusieurs dérives. La durée du souvenir est généralement plus courte que l'évènement lui-même. L'homme peut se souvenir en deux minutes de deux semaines de vacances à l'autre bout du monde. Mais s'il est matériellement possible de revivre en temps réel ces vacances paradisiaques, il existe un risque de vivre continuellement dans le passé et de se déconnecter de la réalité.
Se souvenir de tout risque également de provoquer des interférences. A force d'avoir trop d'informations, il devient impossible de sélectionner, parmi elles, les plus pertinentes. L'hypermnésie, qui se traduit par une exaltation de la mémoire due à une suractivité du cerveau, en est l'illustration. Cette maladie conduit en effet des patients à être assaillis par des souvenirs intrusifs. Or, à long terme, les souvenirs encodés par la mémoire permettent de se construire. L'une des fonctions de la mémoire sélective est de mieux appréhender les expériences passées pour planifier le futur. Sans cette hiérarchie des souvenirs, difficile de se construire.
En quoi la mémoire est-elle importante dans la construction de soi?
Notre sentiment d'identité est construit sur la reconstitution de certains souvenirs... qui ne sont pas forcément réalistes! Les individus ont en effet tendance à se forger une image positive d'eux-mêmes ce qui contribue à leur bien-être psychologique, voire à leur santé physique. S'ils ont un accès illimité et intemporel à tout ce qu'il ont accompli, de bon ou de mauvais, dans leur vie, cette "positivité" risque de s'amoindrir et d'avoir des répercussions sur le moral, le physique...
Une e-mémoire pourrait-elle être utile aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer?
Ce système de mémoire électronique pourrait s'avérer intéressant pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et même, de manière plus générale, pour toute personne présentant des problèmes de mémoire. Des travaux récents montrent en effet que l'accès à des souvenirs d'événements passés chez des personnes présentant des difficultés de mémoire (et chez tout un chacun d'ailleurs) peut être facilité lorsque l'on présente à ces personnes des indices très spécifiques, comme par exemple une série de photos qui ont été prises au cours de l'événement au moyen d'une "sensecam". Ces données montrent que l'utilisation de ce type de technologie permet aux personnes d'accéder à des informations qui ont été effectivement stockées en mémoire mais auxquelles elles ne parvenaient plus à accéder.
L'express.fr
Arnaud d'Arembeau est chercheur au FNRS, équivalent du CNRS belge. Docteur en Sciences psychologiques, il décrypte le concept d'e-mémoire décrit par Gordon Bell dans Total Recall. Et en détaille les risques.
Total Recall, manuel pour constituer sa propre mémoire électronique, propose d'enregistrer tous nos faits et gestes, de la naissance à la mort. Mais le droit à l'oubli n'est-il pas indispensable à l'Homme?
L'oubli fait partie du bon fonctionnement de la mémoire qui opère naturellement et automatiquement un mécanisme de sélection: on ne retient que les informations qui nous semblent importantes et qui sont susceptibles de jouer un rôle.
L'émotion et la pertinence personnelle peuvent être des facteurs déterminants dans ce choix. Par exemple, lorsqu'on va faire des courses au supermarché, il est utile de retenir où nous avons garé notre voiture. Mais il n'est pas nécessaire de retenir toutes les places de parking utilisées au cours de notre vie... Pis, mémoriser toutes ces informations risquerait d'être néfaste: on arriverait au point de ne plus savoir du tout où est stationné notre véhicule.
Se souvenir de tout peut-il présenter un risque?
Le concept développé par Total Recall peut conduire à plusieurs dérives. La durée du souvenir est généralement plus courte que l'évènement lui-même. L'homme peut se souvenir en deux minutes de deux semaines de vacances à l'autre bout du monde. Mais s'il est matériellement possible de revivre en temps réel ces vacances paradisiaques, il existe un risque de vivre continuellement dans le passé et de se déconnecter de la réalité.
Se souvenir de tout risque également de provoquer des interférences. A force d'avoir trop d'informations, il devient impossible de sélectionner, parmi elles, les plus pertinentes. L'hypermnésie, qui se traduit par une exaltation de la mémoire due à une suractivité du cerveau, en est l'illustration. Cette maladie conduit en effet des patients à être assaillis par des souvenirs intrusifs. Or, à long terme, les souvenirs encodés par la mémoire permettent de se construire. L'une des fonctions de la mémoire sélective est de mieux appréhender les expériences passées pour planifier le futur. Sans cette hiérarchie des souvenirs, difficile de se construire.
En quoi la mémoire est-elle importante dans la construction de soi?
Notre sentiment d'identité est construit sur la reconstitution de certains souvenirs... qui ne sont pas forcément réalistes! Les individus ont en effet tendance à se forger une image positive d'eux-mêmes ce qui contribue à leur bien-être psychologique, voire à leur santé physique. S'ils ont un accès illimité et intemporel à tout ce qu'il ont accompli, de bon ou de mauvais, dans leur vie, cette "positivité" risque de s'amoindrir et d'avoir des répercussions sur le moral, le physique...
Une e-mémoire pourrait-elle être utile aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer?
Ce système de mémoire électronique pourrait s'avérer intéressant pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et même, de manière plus générale, pour toute personne présentant des problèmes de mémoire. Des travaux récents montrent en effet que l'accès à des souvenirs d'événements passés chez des personnes présentant des difficultés de mémoire (et chez tout un chacun d'ailleurs) peut être facilité lorsque l'on présente à ces personnes des indices très spécifiques, comme par exemple une série de photos qui ont été prises au cours de l'événement au moyen d'une "sensecam". Ces données montrent que l'utilisation de ce type de technologie permet aux personnes d'accéder à des informations qui ont été effectivement stockées en mémoire mais auxquelles elles ne parvenaient plus à accéder.
L'express.fr
ESI 2011-2014 George Daumézon Lille
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Stage S1 : long séjour en gériatrie
Re: Actualités pour le concours 2011
Un rapport accablant sur les tensions à l'hôpital
Dans un rapport au vitriol, le Médiateur de la République fait état de 14 000 requêtes pour maltraitance, violence ou encore insatisfaction.
Un chirurgien insultant un adolescent obèse, des patients non respectueux des soignants, des étudiants bafouant le principe de laïcité... Le bilan annuel du Médiateur de la République, publié ce mardi, dresse un tableau édifiant des tensions vécues à l'hôpital.
Dans un court rapport, le pôle santé sécurité soins (PSSS) du Médiateur indique avoir reçu près de 14 000 requêtes, la plupart sur son numéro vert: 0810 455 455.
Les requêtes les plus nombreuses concernent les "événements indésirables, médicaux ou chirurgicaux", devant les "maltraitances et les violences" (20%), "l'insatisfaction des patients et des familles" (14%) et "les infections associées aux soins" (14%).
Des manifestations d'agressivité sont courantes en milieu hospitalier, notamment de la part de patients aux urgences, mais cette attitude peut aussi, de façon surprenante, provenir de personnels soignants.
"Tu es entouré de graisse et tu vas bientôt crever"
Mais si certains dérapent, un grand nombre de soignants paient un lourd tribut à l'exercice d'une profession difficile.
Selon le rapport, le PSSS a "créé en septembre 2010 une cellule d'accompagnement et de soutien des professionnels", qui peut intervenir "après un événement traumatique grave (accident médical, tentative de suicide, accident grave, violences)".
Parmi les exemples, le rapport cite celui d'un jeune garçon, âgé de 14 ans, qui venait d'être opéré de l'appendicite et qui a été agressé verbalement en ces termes le lendemain par son chirurgien: "Pourquoi je t'ai opéré? De toute façon, tu es entouré de graisse et tu vas bientôt crever."
"C'est affligeant", a commenté Loïc Ricour, directeur du PSSS. "Pourquoi cette violence verbale, on est au delà de la maltraitance, pourquoi ce transfert d'agressivité vers le patient-usager", s'est-il interrogé, alors qu'il n'y avait aucune situation de stress. "Dans cette affaire le soin a perdu tout sens, c'est une violence incontrôlée, inconsciente et qui a été niée", a-t-il dit. L'affaire s'est conclue par des excuses -tardives- du chirurgien.
L'Express
Dans un rapport au vitriol, le Médiateur de la République fait état de 14 000 requêtes pour maltraitance, violence ou encore insatisfaction.
Un chirurgien insultant un adolescent obèse, des patients non respectueux des soignants, des étudiants bafouant le principe de laïcité... Le bilan annuel du Médiateur de la République, publié ce mardi, dresse un tableau édifiant des tensions vécues à l'hôpital.
Dans un court rapport, le pôle santé sécurité soins (PSSS) du Médiateur indique avoir reçu près de 14 000 requêtes, la plupart sur son numéro vert: 0810 455 455.
Les requêtes les plus nombreuses concernent les "événements indésirables, médicaux ou chirurgicaux", devant les "maltraitances et les violences" (20%), "l'insatisfaction des patients et des familles" (14%) et "les infections associées aux soins" (14%).
Des manifestations d'agressivité sont courantes en milieu hospitalier, notamment de la part de patients aux urgences, mais cette attitude peut aussi, de façon surprenante, provenir de personnels soignants.
"Tu es entouré de graisse et tu vas bientôt crever"
Mais si certains dérapent, un grand nombre de soignants paient un lourd tribut à l'exercice d'une profession difficile.
Selon le rapport, le PSSS a "créé en septembre 2010 une cellule d'accompagnement et de soutien des professionnels", qui peut intervenir "après un événement traumatique grave (accident médical, tentative de suicide, accident grave, violences)".
Parmi les exemples, le rapport cite celui d'un jeune garçon, âgé de 14 ans, qui venait d'être opéré de l'appendicite et qui a été agressé verbalement en ces termes le lendemain par son chirurgien: "Pourquoi je t'ai opéré? De toute façon, tu es entouré de graisse et tu vas bientôt crever."
"C'est affligeant", a commenté Loïc Ricour, directeur du PSSS. "Pourquoi cette violence verbale, on est au delà de la maltraitance, pourquoi ce transfert d'agressivité vers le patient-usager", s'est-il interrogé, alors qu'il n'y avait aucune situation de stress. "Dans cette affaire le soin a perdu tout sens, c'est une violence incontrôlée, inconsciente et qui a été niée", a-t-il dit. L'affaire s'est conclue par des excuses -tardives- du chirurgien.
L'Express
Re: Actualités pour le concours 2011
Un rapport parlementaire préconise «l'accouchement dans la discrétion», autrement dit que les mères biologiques laissent des éléments d'identité pour que l'enfant adopté puisse les retrouver à sa majorité.
S'achemine-t-on vers la fin de l'accouchement sous X ? Cette pratique, autorisée par la loi depuis 1941, permet à une mère d'abandonner son enfant sans délivrer son identité. Mais aujourd'hui, notamment sous la pression d'associations d'enfants nés de cette façon, ce droit est remis en question. Un rapport parlementaire remis la semaine dernière à François Fillon préconise de le remplacer par «l'accouchement dans la discrétion», qui implique que la mère donne systématiquement son identité.
«Cela ne signifie pas pour autant que l'enfant apprendra automatiquement le nom de sa mère biologique, explique Brigitte Barèges, députée UMP du Tarn-et-Garonne et auteure du rapport, au figaro.fr. Il ne le saura que s'il en fait la demande auprès du Conseil national d'accès aux origines personnelles (Cnaop, créé en 2002 ndlr)». Selon cette disposition, l'enfant abandonné pourra entamer la démarche à sa majorité.
Nom, dossier médical et photo
L'élue, qui a été chargée d'enquêter par l'ex-secrétaire d'Etat à la FamilleNadine Morano en mai, recommande que la mère laisse dans son dossier son nom, des renseignements médicaux comme la présence de maladies héréditaires dans la famille, voire une photo. «Tout le monde a envie de savoir à qui il ressemble», justifie-t-elle.
La législation actuelle, révisée en 2002, permet déjà à la mère biologique de remplir un dossier, identifiant ou non, accessible à l'enfant via le Cnaop. Certaines n'y laissent qu'une lettre, une photo, ou le récit de l'accouchement par un tiers. Leur identité, quand elle est connue, n'est révélée qu'avec leur accord, l'institution faisant office de médiateur entre la mère et l'enfant. Ce dernier peut demander à prendre connaissance des documents dès 16 ans s'il est accompagné dans sa démarche par ses parents adoptifs. «Certains attendent bien plus tard pour se manifester, souvent à un tournant de leur vie, quand ils deviennent parents ou perdent leurs parents adoptifs, explique Brigitte Barèges. Parfois, il leur suffit de voir une photo ou de lire une lettre. Ils ne vont pas plus loin».
Favoriser l'accompagnement
Si «l'accouchement dans la discrétion» venait à remplacer l'accouchement sous X, il ne serait plus possible à la mère d'empêcher que son enfant apprenne son identité, s'il en fait la demande. Ni, par conséquent, qu'il cherche à la contacter, une fois ces informations connues. «Il y aura peut-être des coups de téléphone, des lettres, admet Brigitte Bagères. Mais rien n'oblige la mère à lui ouvrir sa porte». C'est pour faciliter d'éventuelles retrouvailles qu'elle insiste sur le développement d'un service d'accompagnement dans ces démarches. «Parfois la mère peut simplement avoir besoin de temps. Ça peut se concevoir».
Les défenseurs de l'accouchement sous X invoquent le risque de voir se développer les accouchements sauvages, dangereux pour la santé de la mère et de l'enfant, des abandons risqués, voir des infanticides. A l'inverse, les associations d'enfants nés sous X dénoncent la grande souffrance causée par l'ignorance des origines.
«La France est le seul pays, avec l'Italie, qui autorise encore l'accouchement sous X, souligne Brigitte Barèges, qui recommande qu'une enquête parlementaire soit conduite sur le sujet pour l'approfondir. «On parle d'humain ici, c'est un débat de société». Selon la Coordination des Actions pour le Droit à la connaissance des Origines, 400.000 personnes seraient nées sous X en France.
Le Figaro
25/01
S'achemine-t-on vers la fin de l'accouchement sous X ? Cette pratique, autorisée par la loi depuis 1941, permet à une mère d'abandonner son enfant sans délivrer son identité. Mais aujourd'hui, notamment sous la pression d'associations d'enfants nés de cette façon, ce droit est remis en question. Un rapport parlementaire remis la semaine dernière à François Fillon préconise de le remplacer par «l'accouchement dans la discrétion», qui implique que la mère donne systématiquement son identité.
«Cela ne signifie pas pour autant que l'enfant apprendra automatiquement le nom de sa mère biologique, explique Brigitte Barèges, députée UMP du Tarn-et-Garonne et auteure du rapport, au figaro.fr. Il ne le saura que s'il en fait la demande auprès du Conseil national d'accès aux origines personnelles (Cnaop, créé en 2002 ndlr)». Selon cette disposition, l'enfant abandonné pourra entamer la démarche à sa majorité.
Nom, dossier médical et photo
L'élue, qui a été chargée d'enquêter par l'ex-secrétaire d'Etat à la FamilleNadine Morano en mai, recommande que la mère laisse dans son dossier son nom, des renseignements médicaux comme la présence de maladies héréditaires dans la famille, voire une photo. «Tout le monde a envie de savoir à qui il ressemble», justifie-t-elle.
La législation actuelle, révisée en 2002, permet déjà à la mère biologique de remplir un dossier, identifiant ou non, accessible à l'enfant via le Cnaop. Certaines n'y laissent qu'une lettre, une photo, ou le récit de l'accouchement par un tiers. Leur identité, quand elle est connue, n'est révélée qu'avec leur accord, l'institution faisant office de médiateur entre la mère et l'enfant. Ce dernier peut demander à prendre connaissance des documents dès 16 ans s'il est accompagné dans sa démarche par ses parents adoptifs. «Certains attendent bien plus tard pour se manifester, souvent à un tournant de leur vie, quand ils deviennent parents ou perdent leurs parents adoptifs, explique Brigitte Barèges. Parfois, il leur suffit de voir une photo ou de lire une lettre. Ils ne vont pas plus loin».
Favoriser l'accompagnement
Si «l'accouchement dans la discrétion» venait à remplacer l'accouchement sous X, il ne serait plus possible à la mère d'empêcher que son enfant apprenne son identité, s'il en fait la demande. Ni, par conséquent, qu'il cherche à la contacter, une fois ces informations connues. «Il y aura peut-être des coups de téléphone, des lettres, admet Brigitte Bagères. Mais rien n'oblige la mère à lui ouvrir sa porte». C'est pour faciliter d'éventuelles retrouvailles qu'elle insiste sur le développement d'un service d'accompagnement dans ces démarches. «Parfois la mère peut simplement avoir besoin de temps. Ça peut se concevoir».
Les défenseurs de l'accouchement sous X invoquent le risque de voir se développer les accouchements sauvages, dangereux pour la santé de la mère et de l'enfant, des abandons risqués, voir des infanticides. A l'inverse, les associations d'enfants nés sous X dénoncent la grande souffrance causée par l'ignorance des origines.
«La France est le seul pays, avec l'Italie, qui autorise encore l'accouchement sous X, souligne Brigitte Barèges, qui recommande qu'une enquête parlementaire soit conduite sur le sujet pour l'approfondir. «On parle d'humain ici, c'est un débat de société». Selon la Coordination des Actions pour le Droit à la connaissance des Origines, 400.000 personnes seraient nées sous X en France.
Le Figaro
25/01
ESI 2011-2014 Mont de Marsan
)))

Re: Actualités pour le concours 2011
Les 5 mesures du rapport secret sur le Mediator
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En prévision d'une réforme de la politique du médicament, Nicolas Sarkozy a commandé à Bernard Debré un rapport sur ce thème.
Tirer les conclusions au plus vite. Comme l'annonçait LEXPRESS.fr le 18 janvier, deux conseillers de l'ombre de Xavier Bertrand, Bernard Debré et Philippe Even, ont été chargés par Nicolas Sarkozy de lui remettre un rapport pour le mois de mars sur la réforme du système du médicament.
Selon le Pr Even, une ébauche de propositions sur la réforme des agences sanitaires a été réalisée avec le Pr Debré. "On fera une première mouture de notre rapport dans une quinzaine de jours et mi-mars nous donnerons au ministre de la Santé, Xavier Bertrand, le fruit de nos réflexions", a-t-il dit.
"Nous, on va chercher à faire des propositions", a déclaré pour sa part Bernard Debré. "J'ai dit au président et à Xavier Bertrand que je serai "très vigilant sur la suite qui sera donnée à notre rapport", a-t-il ajouté.
Ce jeudi matin, France Info a révélé les principales mesures préconisées par Debré et Even et qui feront l'objet d'une loi.
L'Afssaps serait financée par l'Etat.
Pour "reprendre le pouvoir que les médecins et les politiques ont donné aux labos", le rapport préconise cinq mesures phares.
L'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) serait directement financée par l'Etat. Jusqu'à aujourd'hui, elle est financée par l'industrie pharmaceutique.
La liste des contrats qui lient médecins et labos sera publiée. Il s'agit de lever le voile sur de possibles conflits d'intérêt.
Tout le système du médicament, "de la certification au prix", sera contrôlé par des personnalités indépendantes qui seront nommées.
Les médecins seront réévalués tous les cinq ans.
Enfin, un site Internet et une chaîne TNT seront spécifiquement consacrés à informer le grand public.
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En prévision d'une réforme de la politique du médicament, Nicolas Sarkozy a commandé à Bernard Debré un rapport sur ce thème.
Tirer les conclusions au plus vite. Comme l'annonçait LEXPRESS.fr le 18 janvier, deux conseillers de l'ombre de Xavier Bertrand, Bernard Debré et Philippe Even, ont été chargés par Nicolas Sarkozy de lui remettre un rapport pour le mois de mars sur la réforme du système du médicament.
Selon le Pr Even, une ébauche de propositions sur la réforme des agences sanitaires a été réalisée avec le Pr Debré. "On fera une première mouture de notre rapport dans une quinzaine de jours et mi-mars nous donnerons au ministre de la Santé, Xavier Bertrand, le fruit de nos réflexions", a-t-il dit.
"Nous, on va chercher à faire des propositions", a déclaré pour sa part Bernard Debré. "J'ai dit au président et à Xavier Bertrand que je serai "très vigilant sur la suite qui sera donnée à notre rapport", a-t-il ajouté.
Ce jeudi matin, France Info a révélé les principales mesures préconisées par Debré et Even et qui feront l'objet d'une loi.
L'Afssaps serait financée par l'Etat.
Pour "reprendre le pouvoir que les médecins et les politiques ont donné aux labos", le rapport préconise cinq mesures phares.
L'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) serait directement financée par l'Etat. Jusqu'à aujourd'hui, elle est financée par l'industrie pharmaceutique.
La liste des contrats qui lient médecins et labos sera publiée. Il s'agit de lever le voile sur de possibles conflits d'intérêt.
Tout le système du médicament, "de la certification au prix", sera contrôlé par des personnalités indépendantes qui seront nommées.
Les médecins seront réévalués tous les cinq ans.
Enfin, un site Internet et une chaîne TNT seront spécifiquement consacrés à informer le grand public.
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Re: Actualités pour le concours 2011
Environnement et santé : les chantiers 2011...
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Les ministères en charge de l'Ecologie et de la Santé viennent de présenter leurs principales priorités pour 2011. Au programme, l'amélioration de la qualité de l'air intérieur et extérieur, le développement de la bio-surveillance, et un accroissement de la lutte contre la pollution chimique et le bruit.
L'information des consommateurs sur les substances volatiles émises par les produits de construction et de décoration sera accentuée. Un renforcement des règles d'étiquetage est également prévu, concernant les peintures, dalles PVC, sols stratifiés, parquets, moquettes... Celui-ci permettra ainsi de disposer d'une information complète sur les niveaux d'émission des 10 substances les plus préoccupantes pour la santé, et cela dès le 1er janvier 2012. Des mesures de la qualité de l'air seront mises en oeuvre dans 150 établissements scolaires, et dès 2015 cette surveillance sera étendue à tous les lieux accueillant des populations sensibles.
Début mars, une étude ambitieuse et de longue durée sera lancée auprès de 20 000 enfants et adolescents. Baptisée ELFE pour Etude longitudinale française depuis l'Enfance, cette cohorte sera suivie de la période intra-utérine à l'âge de 20 ans. ELFE doit notamment permettre d'évaluer l'impact de l'environnement sur le développement et la santé. Un autre travail devrait débuter en 2012. Il portera sur une population de 5 000 sujets de 6 à 75 ans, dont l'imprégnation par certaines substances - métaux lourds, phtalates, dioxines, pesticides... sera évaluée.
Par ailleurs, un plan d'action national sur la réduction des résidus médicamenteux dans l'eau devrait être présenté courant 2011. Quant aux cartes de bruit des grandes infrastructures de transport et des grandes agglomérations, elles seront publiées avant la fin de l'année.
Sources : destinationsante.com
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Les ministères en charge de l'Ecologie et de la Santé viennent de présenter leurs principales priorités pour 2011. Au programme, l'amélioration de la qualité de l'air intérieur et extérieur, le développement de la bio-surveillance, et un accroissement de la lutte contre la pollution chimique et le bruit.
L'information des consommateurs sur les substances volatiles émises par les produits de construction et de décoration sera accentuée. Un renforcement des règles d'étiquetage est également prévu, concernant les peintures, dalles PVC, sols stratifiés, parquets, moquettes... Celui-ci permettra ainsi de disposer d'une information complète sur les niveaux d'émission des 10 substances les plus préoccupantes pour la santé, et cela dès le 1er janvier 2012. Des mesures de la qualité de l'air seront mises en oeuvre dans 150 établissements scolaires, et dès 2015 cette surveillance sera étendue à tous les lieux accueillant des populations sensibles.
Début mars, une étude ambitieuse et de longue durée sera lancée auprès de 20 000 enfants et adolescents. Baptisée ELFE pour Etude longitudinale française depuis l'Enfance, cette cohorte sera suivie de la période intra-utérine à l'âge de 20 ans. ELFE doit notamment permettre d'évaluer l'impact de l'environnement sur le développement et la santé. Un autre travail devrait débuter en 2012. Il portera sur une population de 5 000 sujets de 6 à 75 ans, dont l'imprégnation par certaines substances - métaux lourds, phtalates, dioxines, pesticides... sera évaluée.
Par ailleurs, un plan d'action national sur la réduction des résidus médicamenteux dans l'eau devrait être présenté courant 2011. Quant aux cartes de bruit des grandes infrastructures de transport et des grandes agglomérations, elles seront publiées avant la fin de l'année.
Sources : destinationsante.com
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Re: Actualités pour le concours 2011
C'est la premiere fois que je poste une actu...bonne chance pour la derniere ligne droite les prépa ifsiens!On sera tous ESI 2011-2014!(Esperons!)
Le Roaccutane accusé de pousser au suicide
Alors que plusieurs adolescents se sont suicidés lorsqu'ils étaient sous traitement pour de l'acné, le Roaccutane et ses génériques font aujourd'hui l'objet d'une plainte et sont surveillés de près par l'Afssaps (Association française de sécurité sanitaire des produits de santé).
Alexandre a 17 ans lorsqu'il se suicide en juillet 2007. Ce Niçois était sous traitement pour l'acné, et son père intente aujourd'hui un procès contre le Roaccutane et ses génériques, avec le soutien de l'association AVRG ou "Victime du Roaccutane et génériques". Mis en sur le marché en 1986 par le laboratoire Roche, le Roaccutane est un traitement lourd contre l'acné qui a été retiré du marché en 2008 mais qui continue à être prescrit sous des formes génériques comme le Curacné, l'Isotretinoïne Teva, le Procuta ou encore le Contractné. Ce sont ces traitements génériques qui avaient été prescrits à Alexandre, qui s'est suicidé trois jours après l'arrêt des médicaments. Il avait alors laissé un message à sa mère avant de commettre l'irréparable : "Maman, je ne sais pas ce que j'ai depuis 3 semaines, mais là, j'en ai marre, j'en peux plus, j'ai toujours mal quelque part, les articulations, le dos, les ongles incarnées, ma peau me gratte tout le temps. C'est des petites choses mais accumulées c'est dur".
Le père de l'adolescent soupçonne fortement les génériques du Roaccutane d'être à l'origine du mal-être de son enfant et assigne aujourd'hui en justice le laboratoire Roche, Expanscience et Pierre Fabre. L'homme n'est pas seul dans sa démarche car une autre personne qui a pris du Roaccutane accuse le médicament d'être à l'origine de sa dépression. Si l'on en croit l'AVRG, le Roaccutane et ses génériques seraient à l'origine de 25 à 27 cas de suicides entre 1986 et 2009 et l'Assaps recommande depuis 2009 à ce que les patients sous ce traitement soient étroitement surveillés.
SOURCE: Maxisciences
Le Roaccutane accusé de pousser au suicide
Alors que plusieurs adolescents se sont suicidés lorsqu'ils étaient sous traitement pour de l'acné, le Roaccutane et ses génériques font aujourd'hui l'objet d'une plainte et sont surveillés de près par l'Afssaps (Association française de sécurité sanitaire des produits de santé).
Alexandre a 17 ans lorsqu'il se suicide en juillet 2007. Ce Niçois était sous traitement pour l'acné, et son père intente aujourd'hui un procès contre le Roaccutane et ses génériques, avec le soutien de l'association AVRG ou "Victime du Roaccutane et génériques". Mis en sur le marché en 1986 par le laboratoire Roche, le Roaccutane est un traitement lourd contre l'acné qui a été retiré du marché en 2008 mais qui continue à être prescrit sous des formes génériques comme le Curacné, l'Isotretinoïne Teva, le Procuta ou encore le Contractné. Ce sont ces traitements génériques qui avaient été prescrits à Alexandre, qui s'est suicidé trois jours après l'arrêt des médicaments. Il avait alors laissé un message à sa mère avant de commettre l'irréparable : "Maman, je ne sais pas ce que j'ai depuis 3 semaines, mais là, j'en ai marre, j'en peux plus, j'ai toujours mal quelque part, les articulations, le dos, les ongles incarnées, ma peau me gratte tout le temps. C'est des petites choses mais accumulées c'est dur".
Le père de l'adolescent soupçonne fortement les génériques du Roaccutane d'être à l'origine du mal-être de son enfant et assigne aujourd'hui en justice le laboratoire Roche, Expanscience et Pierre Fabre. L'homme n'est pas seul dans sa démarche car une autre personne qui a pris du Roaccutane accuse le médicament d'être à l'origine de sa dépression. Si l'on en croit l'AVRG, le Roaccutane et ses génériques seraient à l'origine de 25 à 27 cas de suicides entre 1986 et 2009 et l'Assaps recommande depuis 2009 à ce que les patients sous ce traitement soient étroitement surveillés.
SOURCE: Maxisciences
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Re: Actualités pour le concours 2011
Le Di-Antalvic interdit à partir de mars
L'Afssaps révèle lundi la liste complète des médicaments "sous surveillance" réclamée par le gouvernement.
Eviter le prochain scandale sanitaire. C'est l'objectif de la liste publiée par l'Afssaps qui recense les 77 médicaments "sous surveillance", réclamée par le gouvernement. Le plus connu d'entre eux est sans conteste le Di-Antalvic et autres médicaments anti-douleur contenant du DXP (dextropropoxyphène) comme le Propofan. Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) leur sera retiré "au 1er mars", selon l'Affsaps.
Cette liste dévoilée lors d'un point de presse du Pr Didier Houssin, directeur général de la Santé, et de Fabienne Bartoli, adjointe du directeur général de l'Afssaps. Le ministre de la Santé a précisé que la publication de cette liste est l'occasion d'expliquer où en sont pour ces médicaments les procédures de surveillance et de réévaluation.
Cette liste est complétée de 12 familles de médicaments également sous surveillance.
Un certain nombre de ces 77 médicaments font partie d'une liste déjà connue de 59 médicaments qui sont sous surveillance dans le cadre d'une procédure spéciale de suivi d'éventuels effets indésirables appelée "plan de gestion des risques".
Cette liste, établie depuis plusieurs années et dont l'Afssaps fait régulièrement état, couvre un spectre très vaste, avec par exemple une pilule du lendemain et des vaccins contre la méningite ou pour prévenir le cancer du col de l'utérus. Parmi ces 59 produits, certains sont utiles et d'autres contestables.
Devant le scandale suscité par le Mediator des laboratoires Servier, qui serait responsable de 500 à 2000 morts, deux autres médicaments devraient notamment être sous peu interdits. Il s'agit du Fonzylane ou "buflomédil", et du Nizoral, un anti-mycosique en comprimés pris par voie orale.
Le buflomédil "disparaîtra des rayons des pharmacies d'ici 15 jours à trois semaines maximum"
Selon Le Figaro, la commission d'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), dont l'avis est seulement consultatif, a demandé leur retrait. Le buflomédil, utilisé dans les artérites, est un vasodilatateur commercialisé sous le nom de Fonzylane par la firme américaine Cephalon et comme génériques par une quinzaine de firmes dont Merck, Mylan et Biogaran, la filiale de Servier.
Ce médicament "disparaîtra des rayons des pharmacies d'ici 15 jours à trois semaines maximum", a indiqué ce dimanche un responsable de l'Afssaps.
Cette agence, dont dépend la commission d'AMM, avait indiqué début janvier que le processus de réévaluation de ce médicament, dans le collimateur de la revue Prescrire, pourrait aboutir au retrait ou à la suspension dans les prochaines semaines. La revue médicale indépendante Prescrire avait réclamé à maintes reprises le retrait du marché du buflomédil en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels.
De son côté, le Nizoral pris par voie orale (molécule: kétoconazole) des laboratoires américains Janssen Cilag, mis sur le marché en 1982, est accusé de favoriser la survenue d'hépatites fulgurantes. Il s'agit de décès ou de personnes ayant dû bénéficier d'une greffe de foie, précise le Figaro.
Le Multaq (substance active: dronédarone), utilisé pour des troubles du rythme cardiaque et pour lequel l'Agence européenne du médicament a recommandé une surveillance rapprochée des fonctions hépatiques des patients, figure également sur la liste des 76 médicaments "sous surveillance".
Plusieurs cas d'hépatites sévères ont en effet été signalés, hors de France, notamment aux Etats-Unis, chez les patients traités avec ce médicament, commercialisé en France depuis fin octobre 2010.
L'express.fr
L'Afssaps révèle lundi la liste complète des médicaments "sous surveillance" réclamée par le gouvernement.
Eviter le prochain scandale sanitaire. C'est l'objectif de la liste publiée par l'Afssaps qui recense les 77 médicaments "sous surveillance", réclamée par le gouvernement. Le plus connu d'entre eux est sans conteste le Di-Antalvic et autres médicaments anti-douleur contenant du DXP (dextropropoxyphène) comme le Propofan. Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) leur sera retiré "au 1er mars", selon l'Affsaps.
Cette liste dévoilée lors d'un point de presse du Pr Didier Houssin, directeur général de la Santé, et de Fabienne Bartoli, adjointe du directeur général de l'Afssaps. Le ministre de la Santé a précisé que la publication de cette liste est l'occasion d'expliquer où en sont pour ces médicaments les procédures de surveillance et de réévaluation.
Cette liste est complétée de 12 familles de médicaments également sous surveillance.
Un certain nombre de ces 77 médicaments font partie d'une liste déjà connue de 59 médicaments qui sont sous surveillance dans le cadre d'une procédure spéciale de suivi d'éventuels effets indésirables appelée "plan de gestion des risques".
Cette liste, établie depuis plusieurs années et dont l'Afssaps fait régulièrement état, couvre un spectre très vaste, avec par exemple une pilule du lendemain et des vaccins contre la méningite ou pour prévenir le cancer du col de l'utérus. Parmi ces 59 produits, certains sont utiles et d'autres contestables.
Devant le scandale suscité par le Mediator des laboratoires Servier, qui serait responsable de 500 à 2000 morts, deux autres médicaments devraient notamment être sous peu interdits. Il s'agit du Fonzylane ou "buflomédil", et du Nizoral, un anti-mycosique en comprimés pris par voie orale.
Le buflomédil "disparaîtra des rayons des pharmacies d'ici 15 jours à trois semaines maximum"
Selon Le Figaro, la commission d'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), dont l'avis est seulement consultatif, a demandé leur retrait. Le buflomédil, utilisé dans les artérites, est un vasodilatateur commercialisé sous le nom de Fonzylane par la firme américaine Cephalon et comme génériques par une quinzaine de firmes dont Merck, Mylan et Biogaran, la filiale de Servier.
Ce médicament "disparaîtra des rayons des pharmacies d'ici 15 jours à trois semaines maximum", a indiqué ce dimanche un responsable de l'Afssaps.
Cette agence, dont dépend la commission d'AMM, avait indiqué début janvier que le processus de réévaluation de ce médicament, dans le collimateur de la revue Prescrire, pourrait aboutir au retrait ou à la suspension dans les prochaines semaines. La revue médicale indépendante Prescrire avait réclamé à maintes reprises le retrait du marché du buflomédil en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels.
De son côté, le Nizoral pris par voie orale (molécule: kétoconazole) des laboratoires américains Janssen Cilag, mis sur le marché en 1982, est accusé de favoriser la survenue d'hépatites fulgurantes. Il s'agit de décès ou de personnes ayant dû bénéficier d'une greffe de foie, précise le Figaro.
Le Multaq (substance active: dronédarone), utilisé pour des troubles du rythme cardiaque et pour lequel l'Agence européenne du médicament a recommandé une surveillance rapprochée des fonctions hépatiques des patients, figure également sur la liste des 76 médicaments "sous surveillance".
Plusieurs cas d'hépatites sévères ont en effet été signalés, hors de France, notamment aux Etats-Unis, chez les patients traités avec ce médicament, commercialisé en France depuis fin octobre 2010.
L'express.fr
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Re: Actualités pour le concours 2011
La carence en oméga 3 favoriserait la dépression
La progéniture de souris nourries avec un régime déficitaire en oméga 3 présente plus de signes d’anxiété et de dépression.
Alors qu’une étude espagnole, publiée récemment dans PLoS One, vient de montrer qu'une alimentation trop riche en graisses trans et en graisses saturées est associée à un risque de dépression plus élevé, cette nouvelle recherche précise encore le lien entre graisses alimentaires et humeur.
Des chercheurs français et espagnols y ont étudié des souris nées de mères nourries avec un régime alimentaire faible en acides gras oméga-3 et alimentées de la même façon.
Ces souris ont présenté des comportements indicatifs d'anxiété et de dépression. Les animaux étudiés avaient des niveaux réduits de plasticité neuronale dans le cortex préfrontal et le noyau accumbens, deux territoires cérébraux liés aux troubles de l'humeur.
« Nos résultats peuvent maintenant corroborer les études cliniques et épidémiologiques qui ont montré des associations entre un déficit en oméga-3 et les troubles de l'humeur », expliquent Olivier Manzoni et Sophie Layé, deux des auteurs de l’étude publiée dans Nature Neuroscience. « Pour déterminer si la carence en oméga-3 est responsable de ces troubles neuropsychiatriques des études complémentaires sont, bien entendu, nécessaires ».
Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés que l'on trouve en grandes quantités dans certains poissons gras. Ils sont dits essentiels car le corps ne peut pas les synthétiser. L’alimentation des pays développés est largement déficitaire en oméga-3.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
30/01/2011
La progéniture de souris nourries avec un régime déficitaire en oméga 3 présente plus de signes d’anxiété et de dépression.
Alors qu’une étude espagnole, publiée récemment dans PLoS One, vient de montrer qu'une alimentation trop riche en graisses trans et en graisses saturées est associée à un risque de dépression plus élevé, cette nouvelle recherche précise encore le lien entre graisses alimentaires et humeur.
Des chercheurs français et espagnols y ont étudié des souris nées de mères nourries avec un régime alimentaire faible en acides gras oméga-3 et alimentées de la même façon.
Ces souris ont présenté des comportements indicatifs d'anxiété et de dépression. Les animaux étudiés avaient des niveaux réduits de plasticité neuronale dans le cortex préfrontal et le noyau accumbens, deux territoires cérébraux liés aux troubles de l'humeur.
« Nos résultats peuvent maintenant corroborer les études cliniques et épidémiologiques qui ont montré des associations entre un déficit en oméga-3 et les troubles de l'humeur », expliquent Olivier Manzoni et Sophie Layé, deux des auteurs de l’étude publiée dans Nature Neuroscience. « Pour déterminer si la carence en oméga-3 est responsable de ces troubles neuropsychiatriques des études complémentaires sont, bien entendu, nécessaires ».
Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés que l'on trouve en grandes quantités dans certains poissons gras. Ils sont dits essentiels car le corps ne peut pas les synthétiser. L’alimentation des pays développés est largement déficitaire en oméga-3.
J.I.
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30/01/2011
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