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manouche974
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par manouche974 »

Il y a 3,6 millions de très mal-logés en France

Ils vivent dans des cabanes, en famille nombreuses à l'hôtel ou n'ont pas de toit... Dans son 16e rapport, la Fondation Abbé-Pierre tire la sonnette d'alarme.

Avec la crise économique, des milliers de ménages jusqu'à présent épargnés sont désormais confrontés à des difficultés pour se loger décemment, un problème qui concerne aussi les propriétaires, selon le 16e rapport de la Fondation Abbé Pierre publié mardi.

"Les plus fragiles sont renvoyés vers des solutions de logement toujours plus indignes et plus fragiles, et ceux sur le fil ont commencé à basculer", résume Christophe Robert, directeur des études de la Fondation.

Selon son rapport, fin 2010, plus de 3,6 millions de personnes étaient très mal logées (cabanes, familles nombreuses en chambres d'hôtel...) voire sans abri (33.000).

Pour résoudre le problème, "Il faudrait produire environ 500.000 logements par an pendant plusieurs années", estime-t-il. Mais le nombre de mises en chantier ne cesse de diminuer depuis 2007 (environ 350.000 en 2010 contre 435.000 en 2007).

Dans ces conditions la crise s'aggrave, les services d'hébergement d'urgence sont "sous pression", les plus démunis, s'enfoncent un peu plus: ils se réfugient dans des cabanes, des caves, des parkings, alimentant une "zone grise" du logement, ou se rassemblent sur "des territoires d'exclusion", générant une "tiers-mondisation" du parc de logements.

Solutions "indolores pour les politiques publiques, ce qui n'incite pas la société civile à se mobiliser", dénonce M. Robert.

Parallèlement, de plus en plus de ménages sur le fil avant la crise basculent à l'occasion d'un licenciement, d'une rupture familiale.

Parmi eux, des salariés aux rémunérations "faibles ou même moyennes", des chômeurs, "mais aussi des retraités, des commerçants, des intermittents du spectacle, des auto-entrepreneurs" qui ne peuvent plus répondre à l'explosion des prix de l'immobilier.

"C'est le monde des (...) 15 millions de personnes dont les fins de mois se jouent à quelques dizaines d'euros près, selon le Médiateur de la République", précise le rapport.

Témoin de la dégradation, l'Union sociale pour l'habitat (USH) estime que "les impayés de plus de trois mois ont augmenté de plus de 13% entre fin 2008 et fin 2009". "Les décisions de justice prononçant l'expulsion n'ont jamais été aussi nombreuses depuis dix ans (106.938 en 2009)", note aussi la Fondation Abbé Pierre.

Dans un deuxième volet, elle critique la politique d'une "France de propriétaires" défendue par Nicolas Sarkozy, "une aspiration partagée mais un processus inégalitaire".

Les ménages modestes, qui gagnent entre 1,5 et 3 fois le Smic, sont en effet de moins en moins nombreux à devenir propriétaires: "ils représentaient 45% des acquéreurs de résidences principales en 2003, à peine plus de 30% cinq ans plus tard".

Accéder à la propriété peut aussi être "un piège", en particulier lorsque l'endettement, "banalisé", devient trop important.

Le mal logement n'est pas l'"apanage des locataires", souligne le rapport: lorsque les ressources viennent à manquer, certains propriétaires ne peuvent plus entretenir leur résidence ou payer les échéances, et peuvent même finir expulsés.

Outre la nécessité de "produire massivement sans délai", la Fondation Abbé Pierre plaide pour une "maîtrise des prix" notamment en "encadrant les loyers de relocation", un renforcement de la loi SRU qui impose un quota de 20% de logements sociaux aux communes de plus de 3.500 habitants ou encore un programme quinquennal de résorption des 600.000 logements indignes.

A 16 mois des élections présidentielles, elle veut inciter les futurs candidats à faire du logement "un des trois ou quatre thèmes majeurs de leurs programmes".

SOURCE: L'express
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angel23
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par angel23 »

Après le scandale du Mediator, l'Afssaps place 77 médicaments sous surveillance

LEMONDE pour Le Monde.fr | 31.01.11 | Mis à jour le 01.02.11


Soucieuse de transparence après le scandale du Mediator, l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a publié, lundi 31 janvier, une liste de 77 médicaments qui font l'objet d'un suivi renforcé en France. En fait, ils sont beaucoup plus nombreux en y ajoutant douze classes de médicaments, notamment des vaccins antigrippaux ou anti-hépatite B, ainsi que des antidépresseurs pour enfants – qui complètent cette liste.

Cette publication intervient après le scandale du Mediator, et la remise, le 15 janvier, du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS). "Il est clair que la publicité donnée à cette liste est une manière de rebondir sur cette affaire", a reconnu le professeur Didier Houssin, directeur général de la santé, lors d'une conférence de presse, lundi, au ministère de la santé.

"Ce n'est qu'une première étape dans le processus d'amélioration du dispositif de pharmacovigilance en France", a ajouté M. Houssin, réforme souhaitée par le gouvernement. La revue Prescrire, qui a largement contribué à faire éclater le scandale du Mediator, réclamait son retrait en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques, parfois mortels.

PATIENTS, MÉDECINS ET PHARMACIENS INVITÉS À LA PRUDENCE

"Tous les médicaments sont surveillés, et le médicament n'est pas un produit comme les autres", a rappelé Didier Houssin. Cette liste de médicaments comprend des médicaments qui font l'objet d'un suivi renforcé, ou pour lesquels des signaux de risque ont été détectés, justifiant une vigilance accrue, précise l'Afssaps.
Mais attention, a prévenu Didier Houssin, les patients qui prennent des médicaments figurant sur cette liste "ne doivent pas interrompre leur traitement sans avoir préalablement pris conseil auprès de leur pharmacien et/ou consulté leur médecin". Le directeur général de la santé invite patients, médecins et pharmaciens à la prudence. Environ 12 000 médicaments sont commercialisés en France, dont 8 000 en officine.

Figurent dans cette liste les médicaments anti-douleur contenant du DXP (dextropropoxyphène) comme le Di-Antalvic, le Propofan (Sanofi-Aventis) et leurs génériques, qui feront l'objet d'un retrait d'autorisation de mise sur le marché (AMM) le 1er mars.

L'Afssaps avait déjà annoncé en juin 2009 le retrait progressif de ces médicaments, avant le retrait définitif préconisé par l'agence européenne du médicament (EMEA). Car toute réévaluation se fait au niveau européen. Néanmoins, dès lors qu'un médicament est commercialisé dans plusieurs Etats membres, un Etat peut décider de sa suspension "s'il y a urgence", estime Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l'Afssaps.

"CETTE LISTE A VOCATION À ÊTRE ACTUALISÉE ET COMPLÉTÉE"

Autres exemples : le Noctran, utilisé pour les troubles du sommeil et recouvrant l'association de trois principes actifs "sans intérêt", fait l'objet d'une proposition de retrait qui sera examinée en mars. Le Fonzylane, prescrit chez les personnes ayant du mal à mouvoir leurs membres inférieurs, et ses génériques devraient être bientôt retirés du marché car ils contiennent du buflomédil, une substance jugée nocive.

Figurent aussi dans la liste publiée lundi des médicaments bien connus du grand public tels que l'adjuvant de lutte contre l'obésité Alli. Commercialisé en France depuis le 6 mai 2009 par GlaxoSmithKline (GSK), Alli a obtenu son AMM au niveau européen. La réévaluation du bénéfice/risque est aujourd'hui envisagée car "il y a des problèmes de mésusage dans 30% des cas et des risques de troubles pancréatiques et hépatiques", dit l'Afssaps.

Autre exemple, le Champix, médicament d'aide au sevrage tabagique, commercialisé par Pfizer, pour lequel le renouvellement d'AMM est en cours. Un avis devrait bientôt être rendu en raison de signalements de troubles psychiatriques et de conduites suicidaires.

"Cette liste a vocation à être actualisée et complétée", a ajouté Fabienne Bartoli, qui appelle à la prudence. "Les patients doivent identifier le risque pour éventuellement en parler à leur médecin et être sûrs que cet effet indésirable-là n'est pas pour eux et ne fait pas, dans leur cas, pencher la balance du côté des risques plutôt que de celui des bénéfices", a-t-elle expliqué.

"Le rapport bénéfice-risque est individuel, a précisé le docteur Francis Abramovici, médecin généraliste. Tout médicament efficace comporte des risques. Sinon, c'est un placebo."

Pascale Santi

http://www.afssaps.fr/Activites/Surveil ... edicaments

http://www.afssaps.fr/Activites/Surveil ... s-risques/
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par angel23 »

Médicaments sous surveillance : l’analyse de Prescrire ( revue médicale indépendante )

L'analyse de Prescrire sur la liste de 77 médicaments sous surveillance publiée par l'agence française du médicament (Afssaps), a été présentée par Bruno Toussaint, Directeur de la Rédaction, lors d’une conférence de presse qui s'est tenue le 1er février 2011.

L'ampleur du drame, du désastre du Mediator° (benfluorex) doit beaucoup à la rétention d'information, au silence, à la non-communication, à la diffusion d'informations erronées ; entraînant une perte de confiance massive et parfois excessive.

En réaction, et en prévention d'autres désastres, il est très important que désormais les médicaments, leurs qualités, leurs défauts, soient un sujet de large débat permanent dans la société, car certains médicaments sont très utiles à des soins de qualité, et la bonne conduite des soins nécessite une confiance éclairée des patients. Pour des soins de qualité, les patients ont besoin de soignants qui leur déconseillent Mediator° ; les soignants ont besoin de patients qui ne leur réclament pas Mediator°.

La remise en cause soudaine de nombreux médicaments inquiète les patients, bouscule et complique le travail des médecins, des pharmaciens, des infirmiers etc. D'un autre côté, on a vu avec Mediator° que le silence et la routine irréfléchie ont des conséquences qui se mesurent du côté des patients en milliers de victimes, jusqu'à la mort. Il faut donc faire face à cette remise en cause, même si cela demande des efforts.

La publication de la liste des 77 médicaments sous surveillance par l'Agence française des produits de santé (Afssaps) le 31 janvier 2011 est un balbutiement maladroit d'une agence habituée aux relations confidentielles avec les firmes et non à la communication publique avec les patients, d'une agence centrée sur la réglementation et non sur les soins.

Cette liste est confuse, et malgré le délai pris pour la publier, elle est livrée sans réel mode d'emploi, sans piste d’action pour les patients et les soignants, sans comporter pour chaque médicament ni analyse des alternatives, ni prise en compte du progrès ou non-progrès apporté par ce médicament, et par exemple sans même mentionner le ou les avis de la Commission de la transparence correspondants.

Les effets indésirables d'un médicament sont pourtant toujours à évaluer en regard de ses bénéfices, situation par situation, selon la gravité de la maladie et l'existence d'alternatives thérapeutiques.

La liste de l'Afssaps est hétérogène. Elle comprend :

1. des médicaments qu'il est urgent de cesser d'utiliser car leur balance bénéfices-risques est manifestement défavorable même s'ils sont encore munis d'une autorisation de mise sur le marché (AMM) en France ou en Europe :

* quinine dans les crampes, risques mortels sans efficacité au-delà de l'effet placebo ; retrait d'AMM en 1995 aux États-Unis d’Amérique !
* pioglitazone qui expose au cancer de vessie sans avantage sur d'autres médicaments du diabète ;
* nimésulide qui expose à de graves atteintes du foie sans avantage sur d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) mieux tolérés ;
* bupropione, amphétaminique sans avantage sur la nicotine mais beaucoup plus dangereuse ;
* agomélatine sans efficacité antidépressive vraiment démontrée mais dont les risques à long terme sont mal cernés ;
* etc.

Il n'y a pas lieu de surveiller particulièrement ces médicaments, il y a lieu de les retirer du marché.

C'est un gaspillage des ressources collectives de surveiller les médicaments qui doivent de toute façon quitter le marché au plus tôt.

2. des médicaments intéressants dans certaines situations et pour certains patients, et qu'il est utile de mieux connaitre :

* imatinib ;
* déférasirox ;
* etc.

Il manque alors les explications et surtout les liens vers les outils de notifications d'effet indésirables.

3. des médicaments de base dans certaines situations, dont l'intérêt est absolument certain et dont la surveillance est liée à des risques réels mais contrebalancés par un bénéfice réel, et sans meilleure alternative : méthadone, buprénorphine, lévothyroxine.

Si l'Afssaps met vraiment en priorité son rôle de protection des patients, elle doit désormais :

* mettre en garde, énergiquement et arguments à l'appui, les patients contre les médicaments plus dangereux qu'utiles, sans attendre le terme des procédures administratives ;
* faciliter très fortement la notification aux Centres régionaux de pharmacovigilance des signalements de possibles effets indésirables des médicaments qui méritent d'être mieux connus ; en veillant à ce que ces Centres aient les moyens de traiter efficacement ces signalements ;
* progresser en communication claire et argumentée vers les patients et les professionnels de santé, sans perdre de temps à chercher à protéger les médicaments ni les firmes pharmaceutiques.

Quoi qu’il en soit, les patients concernés par un médicament de la liste ont intérêt à discuter avec le médecin et le pharmacien de l'intérêt réel de ce médicament dans leur cas personnel, et des alternatives à ce médicament.

Prescrire n'a pas publié de liste de médicaments à retirer du marché. Dans notre numéro de janvier, nous avons publié un bilan de l'année 2010 en 34 pages, dans lequel nous récapitulons notamment les médicaments à retenir ou non parmi ceux sur lesquels nous avons travaillé et publié en 2010. Un journaliste de la presse grand public a calculé que, dans ces 34 pages, Prescrire recommande aux abonnés soignants de ne pas utiliser 32 médicaments (« médicaments à écarter de sa liste »). Il ne s'agit donc pas d'une liste exhaustive de tels médicaments.

On nous demande parfois pourquoi nous ne tenons pas à jour la liste des médicaments dont Prescrire déconseille l’emploi.

C’est que cette liste n’est pas opérationnelle sans l’argumentaire adapté à chaque situation, pour que chaque professionnel et chaque patient en discutent ensemble.

Nous considérons que notre priorité est d’apporter les éléments d’information au fur et à mesure au professionnel, à charge ensuite pour lui d’aborder la question au moment opportun avec le patient.

© Prescrire 1er février 2011
Apprendre
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Apprendre »

Vraiment très bien votre travail :)
Cependant, je trouve que vous avez plus ou moins "négligé" l'actualité sociale...
Mais, je le répète, c'est déjà très bien.
lauryz
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par lauryz »

Coucou tout le monde je vous annonce qu'un groupe facebook a été créer pour ceux qui tentent le concours de 2011,ca approche alors pourquoi pas s'entraider et se motiver pour nos révisions :) Si le cœur vous en dit voici le lien du groupe :


http://www.facebook.com/?ref=logo#!/hom ... 3044584282

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Chocobon
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Chocobon »

lauryz a écrit :Coucou tout le monde je vous annonce qu'un groupe facebook a été créer pour ceux qui tentent le concours de 2011,ca approche alors pourquoi pas s'entraider et se motiver pour nos révisions :) Si le cœur vous en dit voici le lien du groupe :


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C'est une très bonne idée mais le lien ne marge pas donc si tu pouvais me donner le nom du groupe stp :D
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Chocobon
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Chocobon »

Les souffrances des enfants du divorce

Selon une étude de l'Union des familles en Europe, 48 % d'entre eux affirment que la séparation a perturbé leur vie amoureuse.

A l'heure de la banalisation du divorce, la souffrance des enfants a-t-elle été oubliée ? Alors que 2,9 millions de mineurs vivent avec un seul parent et que près d'un mariage sur deux se termine par une rupture, il s'agit de «réussir son divorce» et de «préserver le couple parental».

Un credo illusoire, selon l'Union des familles en Europe.«Comment vit-on vraiment le divorce de ses parents ?», s'est interrogée l'association, qui prône la défense des intérêts des familles et souhaite contrebalancer les thèses actuelles sur le «divorce heureux».

Dans une enquête, elle a posé la question à 1137 personnes, âgées de 18 ans à plus de 56 ans, «victimes» d'une rupture parentale.

Pour l'écrasante majorité (88 %), cette séparation a eu des effets à long terme sur leur personnalité. Certains disent avoir peur d'être abandonné, manquer de confiance, souffrir de dépression. «J'ai un sentiment de culpabilité étouffant», se plaint un sondé. «J'ai peur que tout s'écroule du jour au lendemain», ajoute un autre. «Je ne fais pas confiance aux hommes», constate une troisième. Quelques éclaircies nuancent néanmoins ce tableau. «Je sais m'adapter à toutes les situations», «cela m'a permis de mûrir plus vite», avancent les plus optimistes.

«Le divorce a rendu une poignée d'entre eux plus coriaces. Mais c'est presque devenu un tabou de dire que les enfants souffrent énormément du divorce de leurs parents, s'insurge Dominique Marcilhacy, porte-parole de l'association, aujourd'hui, tout le monde défend la même thèse : si les parents vont bien, les enfants vont bien. Tenir un autre discours serait trop culpabilisant. Avec plus de 55 % de divorces prononcés par consentement mutuel, on entretient le mythe du divorce heureux.


«Certains s'en sortent très bien.

Pour cela, il faut avant tout qu'ils gardent le lien avec leurs deux parents et que des derniers arrêtent de les impliquer dans leurs disputes» , résume Stéphane Clerget. Une ligne de conduite apparemment difficile à tenir. 40 % des sondés indiquent ne pas avoir maintenu de lien régulier avec le parent qui n'avait pas la garde, généralement le père.

Quant aux querelles, elles ont la vie dure. 61 % des ex-conjoints continueraient à ferrailler sur la question sensible de la pension alimentaire. Dans cette ambiance, près de la moitié des enfants de divorcés avouent qu'ils ont dû faire un choix affectif entre leurs deux parents. Plus des deux tiers ont entendu leur père ou mère refaire régulièrement le procès de l'absent. Un souvenir cuisant. «Ne pas dénigrer l'autre parent et tenir l'enfant à l'écart des disputes» : c'est la leçon qu'ils retiennent tous de cette expérience malheureuse.

source le figaro
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Chocobon
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Chocobon »

Récidive : les failles d'un système

Un arsenal de mesures de surveillance existe pour suivre les criminels sexuels. Mais il n'est pas synonyme de risque zéro.

Dès lundi, quinze jours après la disparition de Laëtitia près de Pornic et la mise en examen de son agresseur présumé pour «enlèvement suivi de mort», le garde des Sceaux, Michel Mercier, remettra ses propositions pour éviter de nouveaux «dysfonctionnements». Mais, avec le drame de Pornic, a resurgi la question de la récidive des criminels sexuels et celle de leur suivi judiciaire. Chaque crime de ce type s'accompagne de cette interrogation : comment, malgré l'arsenal de mesures existantes, un homme condamné le plus souvent à une lourde peine, identifié comme dangereux, peut-il ensuite passer au travers des mailles du filet ? «Il n'existe pas de risque zéro», répondent souvent les professionnels du monde judiciaire, critiquant une attention politique et médiatique disproportionnée.

Si la lutte contre la récidive s'est beaucoup renforcée ces dernières années, quelques failles persistent.
L'un des principes posés par les spécialistes de la récidive est qu'une sortie de prison «encadrée» est toujours préférable à une sortie dite «sèche», où, après des années passées en cellule, le condamné est mis dehors du jour au lendemain. Chargé d'une mission sur l'exécution des peines, le député (UMP) Éric Ciotti s'interroge, lui, sur la pertinence de «ces aménagements de peine quasi systématiques». Cependant, tout le monde reconnaît que, face à une surpopulation carcérale chronique, «la pression est forte pour faire sortir les détenus de façon anticipée». Les directeurs de prison sont les premiers à demander aux magistrats de leur accorder cet oxygène, qui permet aussi de maintenir une forme d'espoir pour «les longues peines». Enfin, parmi les criminels sexuels, la récidive, dramatique lorsqu'elle survient, est cependant rare. Le psychiatre Pierre Lamothe, responsable du Pôle santé mentale des détenus à Lyon, livre ces chiffres, personnels, mais communément admis : environ 10 % des violeurs récidivent mais le cas d'un violeur qui tue sa victime lors d'un deuxième viol ne survient qu'une ou deux fois par an en France. Quant au cas de l'agresseur sexuel meurtrier qui récidive, tel l'assassin de la joggeuse Nelly Crémel, il ne se produirait qu'une fois tous les cinq ans. Ce risque, bien qu'humainement effroyable, est donc minime statistiquement.

Comment s'exercent les contrôles ?

C'est le service pénitentiaire d'insertion et de probation (Spip) qui intervient sous le contrôle du juge de l'application des peines (JAP). Là, c'est le «flux à réguler» qui paraît parfois démesuré: un seul magistrat peut avoir quelque deux cents ex-détenus à suivre en même temps… Résultat, «les JAP ont souvent l'œil rivé sur leurs dossiers et oublient qu'il y a des bonhommes derrière», constate un de leurs anciens collègues. Pour l'avocat général à la Cour de cassation et ancien procureur, Yves Charpenel, «ce suivi social, pour être efficace, est très lourd en terme de moyens humains». En général, le bénéficiaire d'une conditionnelle devra pointer une fois par mois auprès du Spip qui s'enquerra de son travail, de ses rendez-vous avec le psychiatre, etc. En cas d'entorses et selon leur gravité, la mesure peut être révoquée, ce qui signifie le retour en prison. À l'inverse, lorsque les Spip sont débordés, le contrôle peut devenir plus élastique…

le figaro
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Chocobon »

Ces sujets de bioéthique qui divisent l'opinion

Avant le débat parlementaire sur le projet de loi, les polémiques dépassent le clivage droite-gauche.

Examen du projet de loi sur la bioéthique en commission des lois de l'Assemblée nationale, proposition sénatoriale sur l'euthanasie, jugement sur l'accouchement sous X… les polémiques dépassent le traditionnel clivage politique à quelques jours d'un débat parlementaire qui s'annonce agité.

• Don de gamètes

La mesure concernant la levée de l'anonymat du don de gamètes constituait l'une des principales avancées du projet de loi sur la bioéthique préparé par Roselyne Bachelot. Or, lors de l'examen du texte mercredi, la commission des lois a décidé de maintenir l'anonymat. Depuis 1973, 50.000 enfants sont nés de dons de gamètes. Certains militent pour la levée de l'anonymat, mais les banques du sperme craignent une chute des dons.

• Embryon: transfert post-mortem

Contre l'avis du gouvernement, l'Assemblée a adopté en commission le transfert d'un embryon après le décès de son père, si celui-ci en a donné son consentement préalable. Cette disposition - limitée dans le temps et soumise à l'avis de l'agence de la biomédecine - est différente de l'insémination post-mortem, toujours interdite. Deux amendements identiques avaient été présentés par l'UMP et le PS. Nora Berra a indiqué que cela revenait à «faire naître un orphelin». Le rapporteur du texte, l'UMP Jean Leonetti, s'est abstenu.

• Euthanasie

Le débat sur la fin de vie ne fait pas partie de la révision des lois bioéthiques mais il refait régulièrement surface, opposant défenseurs des soins palliatifs et partisans de la légalisation de l'euthanasie. Cette semaine, pour la première fois, une proposition de loi commune de sénateurs UMP, PS et PC sur une «assistance médicalisée à mourir» a franchi une étape législative après avoir été adoptée par la commission des affaires sociales. Mais la droite a fait bloc derrière François Fillon pour dénoncer cette initiative, et les sénateurs se sont prononcés contre. La France a déjà changé sa législation en 2005 avec l'adoption de la loi Leonetti, qui a instauré un droit au «laisser mourir».

• Mères porteuses

Le principe de la gestation pour autrui (GPA) devrait être rejeté sans surprise. En 2008, un groupe de travail du Sénat avait créé la polémique en proposant une légalisation encadrée de cette procédure. À droite, l'ex-secrétaire d'État à la Famille Nadine Morano, qui s'était dite en faveur de l'autorisation des mères porteuses fait figure d'exception. La question fait surtout débat au PS. Fin 2010, le sujet a fait l'objet de deux tribunes. La première, soulignant le risque d'«instrumentalisation du corps féminin», rassemblait les ex-premiers ministres Michel Rocard et Lionel Jospin et le porte-parole du PS Benoît Hamon. L'autre, en faveur d'une légalisation, était notamment signée par la philosophe Élisabeth Badinter.

Accouchement sous X

L'accès aux origines gagne du terrain. Pour la première fois, la justice a annulé le statut de pupille de l'État d'un bébé né sous X. Une petite fille de 18 mois va être confiée à ses grands-parents contre l'avis de sa mère. En janvier, la députée UMP Brigitte Barèges a remis au premier ministre un rapport préconisant la suppression de l'accouchement sous X au profit d'accouchement «dans la discrétion». Son but: permettre aux enfants abandonnés d'avoir accès à leurs origines à leur majorité.

le figaro
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danae.c
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par danae.c »

Chocobon a écrit :
lauryz a écrit :Coucou tout le monde je vous annonce qu'un groupe facebook a été créer pour ceux qui tentent le concours de 2011,ca approche alors pourquoi pas s'entraider et se motiver pour nos révisions :) Si le cœur vous en dit voici le lien du groupe :


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oui j'avoue si tu pouvais donner le groupe pcq effectivement ça ne marche pas! merci d'avance!
kiki OZEN
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par kiki OZEN »

l'hopital: la derniere réforme

LES DETAILS DU PROJET " HPST"
dont 4 chapitres:

la modernisation des établissements de santé
cela passe par l'organisation descommunautés hospialières de territoire
(CHT), qui permettront aux établissements de santé de coordonner leurs interventions ( liens plus étroit entre médecin de ville et hopital).
le projet d 'établissement sera élaboré par le président de la communauté médicale d'établissement ( CME), sous l 'autorité du chef d'établissement.

la qualité ds soins pour tous les Francais
le projet vise à améliorer la répartition des médecins en France
La région sera organisatrice des permanances de soins
Le nombre des médecins formés sera fonction des besoins locaux
La médecine générale sera revalorisée
De nouvelles formes d'organisation de cabinets de groupe seront développées

Le renforcement de la prévention et santé publique
cette volonté de prévention se traduit par la volonté d'interdire la vente d'alcool aux jeunes , la vente des "cigarettes bonbons" et par " l'éducation " des patients

L'organisation du systéme de santé
Le projet prévoit la création des agences régionales de santé ( ARS), qui auront pour mission la mise en place du projet sur terrain , ainsi que la coordination des hopitaux avec la médecine de ville ( généralistes et spécialistes) et le secteur médico-social ( maisons de retraites, ESAT, ect...)

LE PLAN HOPITAL 2008-2012
il est la prolongation du plan 2007 et a un double objectif: améliorer l'action de l'hopital et poursuivre la modernisation des équipements.
Le financement de ce plan s'élève à prés de10 milliards d 'euros d'investissements.

Les projets retenus et financés doivent répondre à trois axes:

-achévement de la mise aux normes ( travaux anti- incendie, de désamiantage, antisismiques);

- développement de l'information ( dossier médicale numérisé,partagé)

-accompagnement de la recomposition hospitaliére régionale et du schéma régional d'organisationsanitaire (SROS)


ces projets doivent émaner de l'ensemble des établissements .Ils mettent en évidence la maitrise des couts avec des outils de mesure.


Enfin, il convient d'y intégrer le critére développement durable et de réduction des dépensenses énergétiques.
Melilou1315
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par Melilou1315 »

C'est une super idée, merci beaucoup !

Bon évidemment, on va surement nous parler du médiator, et des 77 médicaments qui risquent d'être retirés du marché . Il va falloir se tenir au courant .
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elfira
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par elfira »

Bonjour,
Avez vous vu les infos ce matin ? le manque de médecins pour faire passer des examens type scanner, irm va faire développer des "super infirmiers" pour la pratique de ces techniques médicales ! à suivre...
ESI 2012-2015 OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !
La force ne vient pas des capacités physiques mais d'une volonté invincible. (Gandhi)
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juliecr
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par juliecr »

Manifeste pour la santé et le bien-être des chômeurs

Comme les salariés disposent d'une médecine du travail, les chômeurs devraient pouvoir bénéficier d'une médecine du chômage.

A l'occasion des 15es Journées nationales de prévention du suicide, consacrées le 5 février 2011 au thème "Suicide et crise économique", le Pr Michel Debout lance un manifeste avec cinq propositions pour la santé et le bien-être des chômeurs et sans-emploi. Le plus grave effet humain de la crise économique depuis 2008 est l'augmentation du nombre de chômeurs et sans-emploi qui concerne aujourd'hui plus de 4 millions de Françaises et Français. Le chômage provoque l'isolement, un sentiment de désespérance et de culpabilité.
Lire notre article: Changeons de regard sur les chômeurs
La perte d'emploi entraîne des problèmes matériels, voire le surendettement qui peuvent désorganiser les familles jusqu'à la rupture. La vraie réponse est dans le retour à l'emploi que la crise rend plus incertain et plus long à obtenir. Nous affirmons que les chômeurs et sans-emploi ont le droit comme l'ensemble des salariés à la protection de leur santé et de leur bien-être.

Nous appelons pour cela à:

I. Assurer à tout chômeur, et pendant les deux années qui suivent la perte d'emploi, un suivi médical comparable à celui qui est réalisé par la médecine du travail pour les salariés en activité (état de santé physique, mental, relationnel et son évolution).

II. Considérer l'impact humain des restructurations qui est actuellement sous-estimé: on ne s'occupe au mieux que de l'aide à la recherche d'emploi mais très rarement de la santé des salariés concernés, ceux qui restent dans l'entreprise et ceux qui doivent la quitter.

III. Créer en France un observatoire du suicide, des conduites suicidaires et des situations de détresse psychologique et relationnelle pour mieux connaître les publics les plus exposés et mettre en oeuvre les programmes de prévention qui manquent encore dans notre pays.

IV. Changer le regard de la société vis-à-vis de chômeurs et des chômeurs vis-à-vis de leur propre situation. Acteur économique et social à part entière attaché à l'amélioration de ses compétences professionnelles et préparant son avenir, le chômeur ne peut être réduit à un "quémandeur" d'emploi.

V. Aider le chômeur à sortir de son isolement pour vivre sa situation dans la réalité collective : une campagne nationale de solidarité avec les chômeurs doit être engagée au plus tôt.

L'Express, publié le 02/02/2011
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juliecr
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Re: Actualités pour le concours 2011

Message par juliecr »

De nouveaux métiers de santé pour épauler les médecins

Les infirmiers les plus expérimentés pourraient devenir des «praticiens» aux compétences élargies.

Des «super infirmiers» pour venir en renfort de médecins débordés. C'est un peu l'idée que le rapport sur les «nouveaux métiers en santé», remis mercredi au gouvernement, espère concrétiser. Tout pousse à inventer de nouvelles professions de santé. Les besoins croissent, avec le vieillissement de la population et la multiplication des pathologies chroniques. Les médecins, déjà rares dans certaines banlieues ou campagnes, n'en sont qu'au début de la baisse de leurs effectifs - la passe la plus difficile est annoncée pour 2020-2025. La «demande sociale de se prémunir contre la maladie» est de plus en plus forte, alors que les médecins n'ont guère le temps de se consacrer à la prévention. En dehors de l'encadrement d'une équipe à l'hôpital, les infirmiers n'ont pas de perspective d'évolution professionnelle. Enfin, les finances de la Sécu ne permettent plus de payer des médecins pour des tâches qui pourraient être confiées à d'autres…

Or, il existe en France un creux entre infirmiers, kinés, manipulateurs radio et autres assistants dentaires (le plus souvent bac + 3) et médecins, qui effectuent au bas mot neuf ans d'études. Le rapport du député Laurent Hénart, du Pr Yvon Berland, président de l'université d'Aix-Marseille, et de Danielle Cadet, directrice des soins à l'AP-HP, part du principe que la création de métiers intermédiaires baptisés «praticiens», de niveau master, envisagée depuis des années, fait désormais consensus. Il se concentre sur la façon d'y parvenir.

Les auteurs préconisent de s'emparer des possibilités ouvertes par la loi Bachelot, qui permet d'élaborer des protocoles nationaux prévoyant dans quels cas une partie de l'activité des médecins peut être déléguée à d'autres. Ils suggèrent de s'y atteler immédiatement dans des domaines prioritaires (premier recours, pathologies chroniques, vieillissement, dépendance, cancer). Prescription d'examens ou renouvellement d'ordonnance par une «infirmière praticienne», détartrage par un «hygiéniste dentaire» au lieu d'un dentiste, anesthésie locale et petite chirurgie par un pédicure… : les idées, inspirées de l'étranger, ne manquent pas.

Le rapport recommande de construire ces nouveaux métiers à partir de ceux déjà existants, en les faisant passer de bac + 3 à bac + 5 avec une formation mais aussi une validation de leur expérience. Pour cela, les auteurs proposent de rapatrier la formation des professions paramédicales dans le giron de l'État, via les universités, alors qu'elle a été confiée aux régions il y a six ans. Enfin, le document met en garde contre le risque de «complexifier» le système et de multiplier les intervenants autour d'un même patient ; pour éviter ce piège, il conseille d'analyser les besoins, pour en déduire les métiers et donc les formations nécessaires, plutôt que d'inventer des diplômes et de réfléchir ensuite aux tâches à confier à leurs titulaires.

Les pays pionniers se sont lancés dès les années 1960. Laurent Hénart estime possible de voir les premiers «praticiens» en activité dans les deux ans. Et ce, malgré l'attitude parfois un peu schizophrène des médecins qui demandent à se concentrer sur leurs activités essentielles mais redoutent une concurrence «au rabais». «Ce risque est écarté puisque les médecins participeront à la rédaction des protocoles fixant le cadre d'intervention des praticiens et à leur évaluation, répond Laurent Hénart. J'y vois plutôt le moyen de sortir du débat dans lequel ils risquent de plus en plus d'être enfermés : face à la hausse des besoins et à la mauvaise répartition des médecins, peuvent-ils garder la liberté d'installation ?»

Le figaro 03/02/2011
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