Résultats des écrits (Printemps 2011)
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
En fait j'ai envoyé mon dossier à Aix et il m'était demandé d'inscrire un autre IFSI en tant que 2eme choix or il n'y avait, parmi le choix que j'avais, que des IFSI pour lesquels le concours était le même jour... Donc j'ai du mal à saisir !sylmar a écrit :Salut !advf68 a écrit :coucou
moi ça sera mulhouse le 30 mars et je viens tout juste d'envoyer le dossier !!!!
à mon avis c'est soit l'un ou l'autre !!!Flo-13 a écrit :Bonjour,
Je passe le concours à Aix en Provence le 26/03 .
Si je veux également passer celui d'Aubagne (qui a lieu le même jour), les résultats d'Aix seront-ils pris en compte pour Aubagne ou faut-il que je fasse un choix entre les deux ?
Je suis assez d'accord. En général, chaque ifsi organise son propre concours. Si mes souvenirs sont bons, il n'y a que pour l' AP-HP et l' AP-HM et la Bretagne (encore que je ne sois plus sûre) pour lesquels tu ne passes qu'un seul concours et selon ton classement et tes souhaits, tu es orienté vers un ifsi.
Mais dans ton cas, je pense que tu devras faire le choix entre Aix et Aubagne.
ESI 2011-2014
S1: Ehpad, S2: Chir viscérale, vasculaire et ortho/traumato, S3: Addictologie, sociothérapie, S4: Libéral, S5: Ehpad
S1: Ehpad, S2: Chir viscérale, vasculaire et ortho/traumato, S3: Addictologie, sociothérapie, S4: Libéral, S5: Ehpad
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
Parce que en PACA tu passe un concours pour la région, mais il faut bien que tu précise qu'elle IFSI tu veut intégrer si tu a le concours. Donc ton 1er choix c'est Aix (logique si tu leurs envoie le dossier a eux) Et tu doit choisir en 2eme choix un IFSI dans le quelle tu pourrai être intégrer si tu n'est pas prit à Aix.Flo-13 a écrit : En fait j'ai envoyé mon dossier à Aix et il m'était demandé d'inscrire un autre IFSI en tant que 2eme choix or il n'y avait, parmi le choix que j'avais, que des IFSI pour lesquels le concours était le même jour... Donc j'ai du mal à saisir !
Bien sur tu peut ne pas être prit dans aucun des deux, et je crois que même si tu a préciser des 2 choix, ils peuvent te proposer d'autre IFSI de la région si tu est prit dans aucun de tes 2 choix, En fonction de tes notes bien sur.
J'espère que se que j'ai écrit est compréhensible

ESI 2011 - 2014
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
Merci beaucoup pour tes explications, elles sont très claires 
Il ne reste plus qu'à obtenir les meilleures notes possibles et ce sera parfait !

Il ne reste plus qu'à obtenir les meilleures notes possibles et ce sera parfait !
ESI 2011-2014
S1: Ehpad, S2: Chir viscérale, vasculaire et ortho/traumato, S3: Addictologie, sociothérapie, S4: Libéral, S5: Ehpad
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- chachoualex
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- Messages : 114
- Inscription : 27 avr. 2008 11:19
- Localisation : calvados
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
moi je me suis inscrite que pour celui de caen. Je travail au CHU de Caen et j'aimerais être financé.
Admise IFAS CAEN --> rentrée en septembre 2014
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
IFSI Bon Secours de Metz et IFSI Marie Madeleine de Forbach
☤ESI 2011-2014☤ Metz Bon-Secours
Re: Actualités pour le concours 2011
Accros à la médecine esthétique
La scène se passe dans le cabinet de médecine esthétique d'un quartier chic de la capitale. Une patiente s'emporte : «Puisque je vous dis que j'en ai vraiment besoin ! Les rides sur mon front, je les vois encore !» Le médecin tente de la raisonner : «Madame, vous êtes déjà venue la semaine dernière, il faut laisser au produit le temps d'agir et puis il est impératif d'espacer les injections de plusieurs mois. - Bon alors faites-moi des séances de laser à la place !» insiste la patiente. Un cas isolé ? Pas sûr. «Certaines actrices voudraient qu'on les pique tous les jours», témoigne Maryse Slous, médecin esthétique à Paris. Sans doute la vision de corps parfaits, de silhouettes zéro défaut exhibées par les médias peuvent-elles conduire à ce genre d'interventionnisme débridé. Et dans les salles d'attente, désormais, il n'est plus rare de croiser une adepte des injections à répétition, un quinqua démarrant une liposuccion du ventre et enchaînant avec les cuisses, les fesses, puis les bras ou encore des femmes pourtant jolies désirant une transformation globale, nez, bouche, poitrine, pommettes…
Sont-ils tous accros pour autant ?
Pas nécessairement. «Il faut distinguer plusieurs types de patients, explique Stéphane Guichard, chirurgien plasticien et esthétique. Certaines personnes traitent un défaut bien précis et s'arrêtent là. D'autres veulent gommer plusieurs imperfections et reviennent d'autant plus facilement que la première intervention s'est bien passée. Ces deux catégories constituent l'essentiel des consultations. Elles ne posent aucune difficulté. Et puis il y a le problème des demandes pathologiques. Il s'agit en général de patients qui entreprennent des opérations à répétition soit parce qu'ils courent après un idéal inatteignable, soit parce qu'ils viennent réparer une chirurgie ratée et qu'ils se sentent dénaturés. Dans ces cas-là, on peut parler de véritable addiction. Mais cela demeure encore rare», tempère le docteur Guichard.
D'après la psychiatre et psychothérapeute Françoise Millet-Bartoli, auteur notamment de La Beauté sur mesure, psychologie et chirurgie esthétique (Odile Jacob) , les femmes seraient plus touchées que les hommes. Surtout la tranche des 40-60 ans, d'une grande fragilité narcissique. «C'est un moment de transition très déstabilisant, une période où l'on perd beaucoup de choses. Les enfants s'en vont, la jeunesse s'efface, les signes de l'âge s'installent, les divorces sont fréquents et le chômage pas rare.» De quoi faire sérieusement vaciller toutes les certitudes que l'on avait acquises jusqu'ici et douter de son identité.
Les personnes atteintes de disgrâces imaginaires cèdent aussi plus facilement à la frénésie opératoire. «Ceux qui souffrent de dysmorphophobie se focalisent sur des défauts physiques qui n'existent pas ou sont minimes, et n'ont de cesse de les corriger, explique Françoise Millet-Bartoli. Ils sont obnubilés par la moindre ridule, au point, pour certains, de ne plus se montrer. En réalité, leurs défauts supposés masquent une insatisfaction plus profonde. À travers une intervention, ces personnes recherchent en quelque sorte une chirurgie de la personnalité “par physique interposé”».
«Tout ira mieux dans ma vie»
Charge alors au chirurgien ou au médecin de les rediriger vers un psy. Car ce n'est pas forcément en modifiant une partie de son corps que l'on améliorera une estime de soi défaillante. D'après la psychiatre, les interventions à répétition révèlent d'ailleurs bien souvent un état dépressif sous-jacent, que les patients ne veulent - ou ne peuvent - pas reconnaître. Reste que la chirurgie et la médecine esthétique peuvent aussi améliorer considérablement la vie relationnelle et aider à prendre confiance en soi.
Comment, alors, repérer les demandes pathologiques ? Maryse Slous estime que l'on devient addict dès lors que l'on réclame des injections tous les deux à trois mois. «Dans ces cas-là, j'oriente vers des soins moins agressifs d'électrostimulation ou de la lumière pulsée.» «Le critère, c'est d'avoir une requête construite, insiste pour sa part le docteur Guichard. Et avant tout, une personne se fait opérer pour elle, pas pour sauver un mariage, plaire à ses enfants ou pour copier les amies.»
Pour Françoise Millet-Bartoli, les patients doivent se poser la question : qu'est-ce que j'en attends ? L'intervention sera bénéfique si on recherche un effet bonne mine, défatiguant, pour booster son moral et sa confiance en soi. Si la demande est trop vague, «tout ira mieux dans ma vie», ou au contraire trop précise, «je veux le même nez que Claudia Schiffer», alors on risque l'insatisfaction et l'engrenage de la multirécidive.
La scène se passe dans le cabinet de médecine esthétique d'un quartier chic de la capitale. Une patiente s'emporte : «Puisque je vous dis que j'en ai vraiment besoin ! Les rides sur mon front, je les vois encore !» Le médecin tente de la raisonner : «Madame, vous êtes déjà venue la semaine dernière, il faut laisser au produit le temps d'agir et puis il est impératif d'espacer les injections de plusieurs mois. - Bon alors faites-moi des séances de laser à la place !» insiste la patiente. Un cas isolé ? Pas sûr. «Certaines actrices voudraient qu'on les pique tous les jours», témoigne Maryse Slous, médecin esthétique à Paris. Sans doute la vision de corps parfaits, de silhouettes zéro défaut exhibées par les médias peuvent-elles conduire à ce genre d'interventionnisme débridé. Et dans les salles d'attente, désormais, il n'est plus rare de croiser une adepte des injections à répétition, un quinqua démarrant une liposuccion du ventre et enchaînant avec les cuisses, les fesses, puis les bras ou encore des femmes pourtant jolies désirant une transformation globale, nez, bouche, poitrine, pommettes…
Sont-ils tous accros pour autant ?
Pas nécessairement. «Il faut distinguer plusieurs types de patients, explique Stéphane Guichard, chirurgien plasticien et esthétique. Certaines personnes traitent un défaut bien précis et s'arrêtent là. D'autres veulent gommer plusieurs imperfections et reviennent d'autant plus facilement que la première intervention s'est bien passée. Ces deux catégories constituent l'essentiel des consultations. Elles ne posent aucune difficulté. Et puis il y a le problème des demandes pathologiques. Il s'agit en général de patients qui entreprennent des opérations à répétition soit parce qu'ils courent après un idéal inatteignable, soit parce qu'ils viennent réparer une chirurgie ratée et qu'ils se sentent dénaturés. Dans ces cas-là, on peut parler de véritable addiction. Mais cela demeure encore rare», tempère le docteur Guichard.
D'après la psychiatre et psychothérapeute Françoise Millet-Bartoli, auteur notamment de La Beauté sur mesure, psychologie et chirurgie esthétique (Odile Jacob) , les femmes seraient plus touchées que les hommes. Surtout la tranche des 40-60 ans, d'une grande fragilité narcissique. «C'est un moment de transition très déstabilisant, une période où l'on perd beaucoup de choses. Les enfants s'en vont, la jeunesse s'efface, les signes de l'âge s'installent, les divorces sont fréquents et le chômage pas rare.» De quoi faire sérieusement vaciller toutes les certitudes que l'on avait acquises jusqu'ici et douter de son identité.
Les personnes atteintes de disgrâces imaginaires cèdent aussi plus facilement à la frénésie opératoire. «Ceux qui souffrent de dysmorphophobie se focalisent sur des défauts physiques qui n'existent pas ou sont minimes, et n'ont de cesse de les corriger, explique Françoise Millet-Bartoli. Ils sont obnubilés par la moindre ridule, au point, pour certains, de ne plus se montrer. En réalité, leurs défauts supposés masquent une insatisfaction plus profonde. À travers une intervention, ces personnes recherchent en quelque sorte une chirurgie de la personnalité “par physique interposé”».
«Tout ira mieux dans ma vie»
Charge alors au chirurgien ou au médecin de les rediriger vers un psy. Car ce n'est pas forcément en modifiant une partie de son corps que l'on améliorera une estime de soi défaillante. D'après la psychiatre, les interventions à répétition révèlent d'ailleurs bien souvent un état dépressif sous-jacent, que les patients ne veulent - ou ne peuvent - pas reconnaître. Reste que la chirurgie et la médecine esthétique peuvent aussi améliorer considérablement la vie relationnelle et aider à prendre confiance en soi.
Comment, alors, repérer les demandes pathologiques ? Maryse Slous estime que l'on devient addict dès lors que l'on réclame des injections tous les deux à trois mois. «Dans ces cas-là, j'oriente vers des soins moins agressifs d'électrostimulation ou de la lumière pulsée.» «Le critère, c'est d'avoir une requête construite, insiste pour sa part le docteur Guichard. Et avant tout, une personne se fait opérer pour elle, pas pour sauver un mariage, plaire à ses enfants ou pour copier les amies.»
Pour Françoise Millet-Bartoli, les patients doivent se poser la question : qu'est-ce que j'en attends ? L'intervention sera bénéfique si on recherche un effet bonne mine, défatiguant, pour booster son moral et sa confiance en soi. Si la demande est trop vague, «tout ira mieux dans ma vie», ou au contraire trop précise, «je veux le même nez que Claudia Schiffer», alors on risque l'insatisfaction et l'engrenage de la multirécidive.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
Re: Actualités pour le concours 2011
Les agressions de médecins en augmentation
Deux praticiens ont été attaqués à l'arme blanche en moins d'une semaine.
Comment soigner sereinement dans un climat d'insécurité croissante ? Telle est l'interrogation de nombreux praticiens suite aux agressions à l'arme blanche d'une gynécologue-obstétricienne à la clinique de Soyaux (Charente), jeudi dernier, et d'un médecin gastro-entérologue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Ce dernier a été poignardé mardi par une femme déguisée en infirmière. Dans ces deux établissements, la tension et l'émoi sont palpables. Cette question de l'insécurité du personnel soignant s'était déjà posée après le meurtre de deux infirmières paloises par un ancien patient schizophrène, en décembre 2004.
Violence des patients
Deux organismes sont aujourd'hui chargés d'analyser les faits de violences subis par les médecins. Or l'Observatoire de la sécurité des médecins, créé en 2004 par le Conseil national de l'Ordre, notait, principalement chez les généralistes libéraux, une nette aggravation des violences en 2009. Celles-ci, verbales ou physiques, émanent le plus souvent du patient lui-même. Les départements de Seine-Saint-Denis, du Val-d'Oise, de l'Isère, de Seine-Maritime, du Nord ou du Val-de-Marne sont les plus touchés. Le Dr Bernard Le Douarin, en charge de l'Observatoire, indique que ces tendances devraient être confirmées dans les chiffres 2010 en cours d'analyse. Il se montre «très préoccupé» et indique que l'Observatoire travaille à l'élaboration d'outils pour lutter contre ce phénomène, en collaboration avec les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur. Un «socle» de travail commun est donc attendu par les médecins sur le terrain. Encore faut-il résoudre pour cela le problème du non signalement, fréquent, de ces agressions par leurs victimes.
Selon l 'Observatoire national des violences hospitalières, créé en 2005 sous l'égide du ministère de la Santé, les actes volontaires de violences physiques représentaient 59 % des atteintes subies en 2008, principalement dans les services de psychiatrie et d'urgence. «Des claques, des coups, des insultes, ça arrive de plus en plus souvent mais une agression aussi grave, on n'a jamais vu ça ici», confie Jean-Marc Devauchelle, délégué SUD à Henri-Mondor. Même inquiétude de la part de Philippe Choupin, directeur de la clinique de Soyaux : «on vit quotidiennement une agressivité qui n'existait pas il y a dix ans », reconnaît-il .
Le sentiment d'insécurité n'est pas sans incidences sur la démographie médicale déjà en souffrance dans certaines zones. Il motive le départ des médecins puis de l'ensemble de la chaîne de santé, infirmières, pharmacies… Pour le Dr Le Douarin, par ailleurs président du conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, le service de permanence des soins (soirs et week-end) n'a pu être pleinement assuré que par l'emploi de vigiles, conditionnant la participation de femmes à ce service. Il s'agit de «donner la possibilité aux médecins d'exercer leur mission dans un cadre assurant leur sécurité», bien qu'il soit «difficile de mettre un officier de police derrière chacun d'eux». À l'hôpital Henri-Mondor, la vigilance s'impose. Doté d'agents antimalveillance, l'établissement pourrait renforcer son dispositif de sécurité en augmentant les rondes.
Deux praticiens ont été attaqués à l'arme blanche en moins d'une semaine.
Comment soigner sereinement dans un climat d'insécurité croissante ? Telle est l'interrogation de nombreux praticiens suite aux agressions à l'arme blanche d'une gynécologue-obstétricienne à la clinique de Soyaux (Charente), jeudi dernier, et d'un médecin gastro-entérologue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Ce dernier a été poignardé mardi par une femme déguisée en infirmière. Dans ces deux établissements, la tension et l'émoi sont palpables. Cette question de l'insécurité du personnel soignant s'était déjà posée après le meurtre de deux infirmières paloises par un ancien patient schizophrène, en décembre 2004.
Violence des patients
Deux organismes sont aujourd'hui chargés d'analyser les faits de violences subis par les médecins. Or l'Observatoire de la sécurité des médecins, créé en 2004 par le Conseil national de l'Ordre, notait, principalement chez les généralistes libéraux, une nette aggravation des violences en 2009. Celles-ci, verbales ou physiques, émanent le plus souvent du patient lui-même. Les départements de Seine-Saint-Denis, du Val-d'Oise, de l'Isère, de Seine-Maritime, du Nord ou du Val-de-Marne sont les plus touchés. Le Dr Bernard Le Douarin, en charge de l'Observatoire, indique que ces tendances devraient être confirmées dans les chiffres 2010 en cours d'analyse. Il se montre «très préoccupé» et indique que l'Observatoire travaille à l'élaboration d'outils pour lutter contre ce phénomène, en collaboration avec les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur. Un «socle» de travail commun est donc attendu par les médecins sur le terrain. Encore faut-il résoudre pour cela le problème du non signalement, fréquent, de ces agressions par leurs victimes.
Selon l 'Observatoire national des violences hospitalières, créé en 2005 sous l'égide du ministère de la Santé, les actes volontaires de violences physiques représentaient 59 % des atteintes subies en 2008, principalement dans les services de psychiatrie et d'urgence. «Des claques, des coups, des insultes, ça arrive de plus en plus souvent mais une agression aussi grave, on n'a jamais vu ça ici», confie Jean-Marc Devauchelle, délégué SUD à Henri-Mondor. Même inquiétude de la part de Philippe Choupin, directeur de la clinique de Soyaux : «on vit quotidiennement une agressivité qui n'existait pas il y a dix ans », reconnaît-il .
Le sentiment d'insécurité n'est pas sans incidences sur la démographie médicale déjà en souffrance dans certaines zones. Il motive le départ des médecins puis de l'ensemble de la chaîne de santé, infirmières, pharmacies… Pour le Dr Le Douarin, par ailleurs président du conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, le service de permanence des soins (soirs et week-end) n'a pu être pleinement assuré que par l'emploi de vigiles, conditionnant la participation de femmes à ce service. Il s'agit de «donner la possibilité aux médecins d'exercer leur mission dans un cadre assurant leur sécurité», bien qu'il soit «difficile de mettre un officier de police derrière chacun d'eux». À l'hôpital Henri-Mondor, la vigilance s'impose. Doté d'agents antimalveillance, l'établissement pourrait renforcer son dispositif de sécurité en augmentant les rondes.
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Re: Actualités pour le concours 2011
Pourquoi l'adoption est si difficile
Un rapport de l'Académie de Médecine pointe toutes les difficultés que rencontrent les futurs parents pour adopter un enfant.
Plus de 20 000 familles en attente d'un enfant, souvent depuis plusieurs années, d'un côté, seulement 726 enfants adoptés en 2008 de l'autre. Le rapport de l'Académie de médecine rendu public ce mardi part d'un constat impressionnant: entre 1985 et 2008, le nombre d'adoptions nationales a chuté de 1749 à 726, tandis que, dans le même temps, l'adoption internationale passait de 960 à 3160, avec un pic de 4136 en 2005.
Pourquoi?
Une procédure trop complexe
Pas moins de 5 lois ont été votées autour de cette question ces dernières années: 1996, 1998, 2002, 2005 et 2007. Au total, quatre ministères sont impliqués (Famille, Relations sociales, Justice, Finances) et la procédure qui concerne les enfants dits "en danger" (132 adoptés sur 726, les autres étant orphelins, abandonnés ou nés "sous X") est extrêmement lourde. Schématiquement, un signalement est effectué auprès du Service d'aide sociale à l'enfance (ASE) qui aboutit, selon les cas, à un classement sans suite, au placement de l'enfant ou à son maintien dans sa famille avec Aide éducative en milieu ouvert (AEMO).
Dans les cas les plus graves, le Procureur de la république est alerté et, au besoin, le Président du Conseil Général peut demander la mise de l'enfant sous tutelle de l'Etat, voire une déclaration judiciaire d'abandon des parents. Mais, entre la multiplicité des acteurs judiciaires (juge des Enfants, des tutelles, des affaires familiales, du tribunal de grand instance...), le cloisonnement des services et l'hétérogénéité des systèmes selon les régions, la procédure prend, en moyenne, 5 ou 6 ans.
Des enfants peu et mal signalés
Officiellement, près de 20 000 enfants sont signalés en moyenne chaque année pour des cas de maltraitance présumés (physique, psychologique, sexuelle...). Dans la réalité, ils sont sans doute beaucoup plus mais les médecins, pourtant en première ligne, hésitent à faire de tels signalements: 3% seulement d'entre eux émanent effectivement du corps médical. L'Académie de médecine regrette, à ce propos, qu'un tel signalement ne soit toujours pas rendu obligatoire et que les praticiens s'abritent derrière le code de déontologie qui stipule que "le secret concerne tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l'exercice de ses fonctions, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais ce qu'il a vu, entendu et compris". Rappelons pourtant que le Code pénal considère qu'il n'y a pas violation du secret professionel lorsqu'il s'agit de sévices commis sur un mineur.
Des considérations trop idéologiques
"L'intérêt supérieur de l'enfant", prôné par la Convention internationale des Droits de l'enfant et par la Convention européeenne des Droits de l'Homme est systématiquement invoqué en cas de décision de justice. Mais, en pratique, la plupart des juges l'interprètent de façon univoque, c'est-à-dire en s'appuyant sur ce que l'Académie de médecine appelle "le sacro-saint lien biologique". Dans une directive du Code civil en effet est mentionné que "chaque fois qu'il est possible, le mineur doit être maintenu dans son milieu actuel". Pour l'Académie, on pourrait tout aussi bien considérer que cet "intérêt supérieur" serait de remplacer au plus vite une famille insuffisante, voire pathologique pour cet enfant, par une famille accueillante, responsable et généreuse. Quant aux enfants dont "les parents se sont manifestement désintéressés pendant l'année" (article 325 du Code Civil), et qui ont donc vocation à devenir Pupilles de l'Etat et, par là-même, adoptables, leur nombre a chuté de 70% entre 1989 et 2008. Là encore, la plupart des décisions qui sont prises valorisent le maintien de l'enfant dans sa famille. L'Académie se prononce donc en faveur de la création d'une filière de familles d'accueil bénévoles (et non rémunérées), ce qui permettrait aux candidats de "monter la priorité qu'ils accordent au bonheur de l'enfant et donnerait à l'adoption son véritable sens: une famille à l'enfant, et non l'inverse".
Un rapport de l'Académie de Médecine pointe toutes les difficultés que rencontrent les futurs parents pour adopter un enfant.
Plus de 20 000 familles en attente d'un enfant, souvent depuis plusieurs années, d'un côté, seulement 726 enfants adoptés en 2008 de l'autre. Le rapport de l'Académie de médecine rendu public ce mardi part d'un constat impressionnant: entre 1985 et 2008, le nombre d'adoptions nationales a chuté de 1749 à 726, tandis que, dans le même temps, l'adoption internationale passait de 960 à 3160, avec un pic de 4136 en 2005.
Pourquoi?
Une procédure trop complexe
Pas moins de 5 lois ont été votées autour de cette question ces dernières années: 1996, 1998, 2002, 2005 et 2007. Au total, quatre ministères sont impliqués (Famille, Relations sociales, Justice, Finances) et la procédure qui concerne les enfants dits "en danger" (132 adoptés sur 726, les autres étant orphelins, abandonnés ou nés "sous X") est extrêmement lourde. Schématiquement, un signalement est effectué auprès du Service d'aide sociale à l'enfance (ASE) qui aboutit, selon les cas, à un classement sans suite, au placement de l'enfant ou à son maintien dans sa famille avec Aide éducative en milieu ouvert (AEMO).
Dans les cas les plus graves, le Procureur de la république est alerté et, au besoin, le Président du Conseil Général peut demander la mise de l'enfant sous tutelle de l'Etat, voire une déclaration judiciaire d'abandon des parents. Mais, entre la multiplicité des acteurs judiciaires (juge des Enfants, des tutelles, des affaires familiales, du tribunal de grand instance...), le cloisonnement des services et l'hétérogénéité des systèmes selon les régions, la procédure prend, en moyenne, 5 ou 6 ans.
Des enfants peu et mal signalés
Officiellement, près de 20 000 enfants sont signalés en moyenne chaque année pour des cas de maltraitance présumés (physique, psychologique, sexuelle...). Dans la réalité, ils sont sans doute beaucoup plus mais les médecins, pourtant en première ligne, hésitent à faire de tels signalements: 3% seulement d'entre eux émanent effectivement du corps médical. L'Académie de médecine regrette, à ce propos, qu'un tel signalement ne soit toujours pas rendu obligatoire et que les praticiens s'abritent derrière le code de déontologie qui stipule que "le secret concerne tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l'exercice de ses fonctions, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais ce qu'il a vu, entendu et compris". Rappelons pourtant que le Code pénal considère qu'il n'y a pas violation du secret professionel lorsqu'il s'agit de sévices commis sur un mineur.
Des considérations trop idéologiques
"L'intérêt supérieur de l'enfant", prôné par la Convention internationale des Droits de l'enfant et par la Convention européeenne des Droits de l'Homme est systématiquement invoqué en cas de décision de justice. Mais, en pratique, la plupart des juges l'interprètent de façon univoque, c'est-à-dire en s'appuyant sur ce que l'Académie de médecine appelle "le sacro-saint lien biologique". Dans une directive du Code civil en effet est mentionné que "chaque fois qu'il est possible, le mineur doit être maintenu dans son milieu actuel". Pour l'Académie, on pourrait tout aussi bien considérer que cet "intérêt supérieur" serait de remplacer au plus vite une famille insuffisante, voire pathologique pour cet enfant, par une famille accueillante, responsable et généreuse. Quant aux enfants dont "les parents se sont manifestement désintéressés pendant l'année" (article 325 du Code Civil), et qui ont donc vocation à devenir Pupilles de l'Etat et, par là-même, adoptables, leur nombre a chuté de 70% entre 1989 et 2008. Là encore, la plupart des décisions qui sont prises valorisent le maintien de l'enfant dans sa famille. L'Académie se prononce donc en faveur de la création d'une filière de familles d'accueil bénévoles (et non rémunérées), ce qui permettrait aux candidats de "monter la priorité qu'ils accordent au bonheur de l'enfant et donnerait à l'adoption son véritable sens: une famille à l'enfant, et non l'inverse".
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
"Un profil Facebook à 70 ans, bonjour la futilité ? Eh bien non"
Ils étaient 6,5 % parmi les plus de 65 ans en France (soit 700 000 personnes) à détenir un compte sur Facebook en décembre 2010, selon l'Observatoire des usages Internet de Médiamétrie – une proportion qui a doublé en un an. Que ce soit pour maintenir des liens avec leurs petits-enfants, retrouver de vieux amis, d'anciennes amours ou rester en phase avec les innovations technologiques, de plus en plus de personnes âgées plébiscitent le réseau social. D'autres y ont goûté... et ont détesté.
Ne pas vouloir adhérer à Facebook entraîne une rupture avec la nouvelle génération. C'est à nous de nous adapter aux nouvelles formes de communication.
C'est là que j'ai retrouvé d'anciens étudiants devenus partenaires, amis et parfois maîtres à penser. C'est un espace intergénérationnel où l'on peut partager enthousiasmes, indignations, invitations à des activités, pétitions pour de grandes et petites causes...
"Bien pratique pour faire circuler les nouvelles au sein de la famille",
Je suis cependant bien consciente des dérives possibles. On peut y perdre beaucoup de temps, et il m'est arrivé d'inciter mes petits-enfants à plus de discrétion sur leur vie privée.
Ils étaient 6,5 % parmi les plus de 65 ans en France (soit 700 000 personnes) à détenir un compte sur Facebook en décembre 2010, selon l'Observatoire des usages Internet de Médiamétrie – une proportion qui a doublé en un an. Que ce soit pour maintenir des liens avec leurs petits-enfants, retrouver de vieux amis, d'anciennes amours ou rester en phase avec les innovations technologiques, de plus en plus de personnes âgées plébiscitent le réseau social. D'autres y ont goûté... et ont détesté.
Ne pas vouloir adhérer à Facebook entraîne une rupture avec la nouvelle génération. C'est à nous de nous adapter aux nouvelles formes de communication.
C'est là que j'ai retrouvé d'anciens étudiants devenus partenaires, amis et parfois maîtres à penser. C'est un espace intergénérationnel où l'on peut partager enthousiasmes, indignations, invitations à des activités, pétitions pour de grandes et petites causes...
"Bien pratique pour faire circuler les nouvelles au sein de la famille",
Je suis cependant bien consciente des dérives possibles. On peut y perdre beaucoup de temps, et il m'est arrivé d'inciter mes petits-enfants à plus de discrétion sur leur vie privée.
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Re: Actualités pour le concours 2011
Les accidents domestiques responsables de 18 500 morts par an
Selon les derniers chiffres de l'Institut de veille sanitaire (INVS), les accidents de la vie courante représentent chaque année en France environ 18 500 morts : entre 11 500 accidents domestiques mortels (chutes, incendies, bricolage, ingestion de produits) et 7 000 morts lors d'accidents scolaires, de sports ou de loisirs.
Ces accidents représentent la troisième cause de mortalité en France derrière les cancers et les maladies cardiovasculaires. Ils font aussi 4,5 millions de blessés, dont 2,7 millions pour les seuls accidents domestiques. La dernière étude détaillée, portant sur l'année 2006, révèle qu'ils ont représenté 3,6 % de la mortalité totale de l'année. Les chutes représentaient à elles seules la moitié des tués, devant les suffocations (15 %). Les noyades et les intoxications ont chacune représenté un millier de morts, tandis qu'on recensait 496 victimes du feu.
LES CHUTES, FRÉQUENTES CHEZ LES SÉNIORS
Les deux tiers des morts avaient plus de 75 ans. 60 % de ces personnes âgées mortes accidentellement sont décédées d'une chute. Leur deuxième cause de mortalité accidentelle était la suffocation (16 % des cas). On ne comptait que 266 morts de moins de 15 ans (1,5 % du total), mais les AcVC constituent tout de même la première cause de mortalité pour ces enfants, surtout par noyade (80 cas) et suffocation (49).
Les chiffres de l'INVS montrent toutefois une baisse de 11 % de l'ensemble de ces accidents pour la période 2004-2006 par rapport à la période 2000-2002, notamment pour les moins de 15 ans, et probablement "grâce aux campagnes de prévention et à la réglementation des produits pour enfants", indique l'INVS.
Selon les derniers chiffres de l'Institut de veille sanitaire (INVS), les accidents de la vie courante représentent chaque année en France environ 18 500 morts : entre 11 500 accidents domestiques mortels (chutes, incendies, bricolage, ingestion de produits) et 7 000 morts lors d'accidents scolaires, de sports ou de loisirs.
Ces accidents représentent la troisième cause de mortalité en France derrière les cancers et les maladies cardiovasculaires. Ils font aussi 4,5 millions de blessés, dont 2,7 millions pour les seuls accidents domestiques. La dernière étude détaillée, portant sur l'année 2006, révèle qu'ils ont représenté 3,6 % de la mortalité totale de l'année. Les chutes représentaient à elles seules la moitié des tués, devant les suffocations (15 %). Les noyades et les intoxications ont chacune représenté un millier de morts, tandis qu'on recensait 496 victimes du feu.
LES CHUTES, FRÉQUENTES CHEZ LES SÉNIORS
Les deux tiers des morts avaient plus de 75 ans. 60 % de ces personnes âgées mortes accidentellement sont décédées d'une chute. Leur deuxième cause de mortalité accidentelle était la suffocation (16 % des cas). On ne comptait que 266 morts de moins de 15 ans (1,5 % du total), mais les AcVC constituent tout de même la première cause de mortalité pour ces enfants, surtout par noyade (80 cas) et suffocation (49).
Les chiffres de l'INVS montrent toutefois une baisse de 11 % de l'ensemble de ces accidents pour la période 2004-2006 par rapport à la période 2000-2002, notamment pour les moins de 15 ans, et probablement "grâce aux campagnes de prévention et à la réglementation des produits pour enfants", indique l'INVS.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
Re: Actualités pour le concours 2011
Bonjour à tous! Enfait je viens écrire un petit message pour avoir un petit renseignement sur les concours qui se déroulent au mois d'octobre novembre et dont la rentrée se fait en février! J'aimerai savoir comment ca se passe si on est en retard par rapport au autres, si ducoup on travaille pendant les mois d'été?
Voila j'attend vos réponses, merci d'avance =)
Voila j'attend vos réponses, merci d'avance =)
Re: Actualités pour le concours 2011
Un grand merci pour toi chocobon, de nous faire partager les bonnes actualités que tu déniches sur le web. 

ESI 2012-2015 CRF Toulouse
dernière ligne droite
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Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
IFSI Lyon Esquirol avec éventuellement le financement des hospices
so it goes...
Re: Dans quels IFSI passez-vous vos concours ?
zayneb a écrit :Salut!! je pense passé le concours moi aussi à st joseph mais je ne connais rien sur cette ecole et où elle se situe .Pourrais tu m'en dire un petit peu plus ?Lillypuce a écrit :Dans quels IFSI passez vous vos concours cette année 2009 ?
Pour ma part j'en passe 5 !
-Lyon St Joseph St Luc
-Ch de St Étienne
-Ch de Mâcon
-Ch de Chambéry
-Ch de Aix en Provence
Merci
st jo st luc est situé dans le quartier de Jean Macé à Lyon, environ 360 candidats qui passent le concours pour 60 admis, c'est une petite école. Sinon niveau réputation, c'est moyen, rien d'extra, des gens en sont content, d'autres moins...après les glandus sont jamais content non plus alors à savoir le vrai du faux ... haha, bon courage en tout cas et te fies pas trop aux avis x & y .
so it goes...