sujet de non communication
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sujet de non communication
Bonjour pourriez vous m'aidez à terminer mon sujet de module 5 aide soignante.
voici ce quej'ai fait. Pouvez me dire ce que vous en pensez et qu'est que je pourrai rajouter notament en conclusion sachant que ce qui m'a pose pb c'est pas la contention mais que la personne ne se situer pas dans le tem et voulait partir manger àlors qu'elle venait de manger.
voici ce que j'ai fait /
INTRODUCTION
La situation de communication dont je vais vous parler s'est déroulée lors de mon troisième stage à l’hôpital de Mortain service de médecine. C’est un établissement public de santé qui accueille essentiellement des personnes qui habitent les environs.
Le service de médecine comporte 20 lits dont 3 de soins palliatifs et 5 de SSR.
Présentation des personnages (le nom de ces personnages sont fictifs).
La situation que j’ai choisie de développer concerne Madame Rose âgée de 65 ans. Elle est de forte corpulence. Elle a été hospitalisée pour réguler son diabète et altération de l’état général. Madame Rose souffre de psychose bipolaire. Habituellement elle vit chez elle avec son mari et ce couple refuse tout type d’aide. Par contre ? Madame Rose est suivie pour sa psychose par l’équipe mobile psychatrique de la personne agée.
Je serai accompagné de 2 aides soignante.
Exposé des faits
C’est le premier jour de mon stage. Il est 15h
Les 2 aides soignantes m’appellent pour leur aider à relever Madame Rose qui vient de faire une chute. Mme rose est tombée dans sa chambre.
L’aide soignante 1 va voir l’ide
Pendant ce temps, as 2 est avec moi. Je demande à Mme Rose si elle a mal quelque part.
Elle me répond qu’elle a mal au talon. Mme rose a des escarres au niveau de ses talons.
L’AS 1 revient et lui demande si elle a mal quelque part. Mme ROSE répond :
« à mes lunettes »
Je lui dis alors qu’elle venait de me dire à ses talons.
Les aides soignantes décident de l’asseoir dans un fauteuil roulant. Je suggère de l’asseoir d’abord puis on la glisse jusqu’au fauteuil.
L’équipe décide de lui mettre une ceinture de contention.
Le temps que l’aide soignante sarte chercher la contention, j’essaie de savoir où elle a voulu aller. En même temps, ça me permet de garder un œil au cas ou elle déciderait de se relever et de tomber à nouveau.
Mme rose me dit :
Il faut que j’y aille, on m’attend pour le dîner.
- Qui vous attend ?
- -Des amis et mon mari
- Mais il n’est pas l’heure, vous avez mangé ce midi.
- Mon mari va s’inquiéter et se demander s’il ne m’est rien arrivé. Il travaille, il ne faut pas le retarder.
Bien que je lui désigne sa montre, elle persiste.
_ « Comment s’appelle votre mari ?
-Lucien
J’essaie de lui détourner son attention. Rien n’y fait.
-Alors vous m’emmenez au dîner, je ne peux pas rester là toute seule. Allez les chercher.
Vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Allez chercher de l’aide pour m’emmener au dîner Je me suis accroupie près d’elle en la regardant dans les yeux et en lui tenant la main.
Je ne peux pas vous laisser ainsi. Vous avez mal quelque part
- Au talon. Allez on y va.
- Où ?
- Manger le dîner
- Non vous venez de manger, il n’y a pas longtemps.
Je vais appeler monsieur Nicolas Sarkozy.
- Et qu’est ce qu’il va faire ?
-ça va l’occuper ?
-C’est certain
Je décide de la quitter car je ne peux pas rester tout l’après midi et que je veux voir un maximum de choses. Je ne peux pas la convaincre quoi que je dise ou que je fasse.
Elle me supplie de rester.
- Je ne peux pas rester toute seule. Qu’on ne peut pas me laisser dans cet état !
- Je lui dis qu’il est 15h30 et que je vais revenir pour lui donner le goûter dans environ 20 mn. Je lui lâche la main et je lui désigne ma montre.
- Non ne me laissez pas toute seule, appelez quelqu’un d’autre pour qu’il vienne si vous n’êtes pas capable.
Je la laissa avec la sonnette.
Quelques minutes après, elle appela de nouveau pour le même prétexte. Ce fut mes collègues qui lui répondit.
A 2 reprises, elle appela.
Une de mes collègues lui retira la sonnette ? Je le vit lors de la distribution du goûter.
Ensuite, je l’entendis appeler Lucien…
Ressenti
Je me sens triste car Mme Rose souffre de ses talons et je ne peux la soulager. De plus, je n’arrive pas à lui expliquer qu’elle vient de manger. Ce qui m’exaspère.
Je me sens impuissante face à cette situation .
Quant elle fait allusion au président de la république, elle m’étonne car je pensais qu’elle n’était plus dans la réalité du jour. J’essaie de ne pas lui montrer mon étonnement mais j’essaie de la questionner à nouveau en lui demandant ce que lui ferait.
Pour elle, c’est une façon de se défendre. Mr Sarkozy est une force qui peut rétablir l’ordre.
Elle sent malheureuse , douloureuse.
Sa maladie l’angoisse beaucoup. Elle est dans un environnement qu’elle n’a pas choisi.
Par contre, ma présence la rassure. Elle veut que je reste auprès d’elle même si je peux rien pour elle.
Chartres de communication referentiel as = ecoute à la hauteur et le toucher regard
Selon l’arrêté du 25 janvier 2005 modifié relatif aux modalités d’organisation de la validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du diplôme professionnel d’aide-soignant. Annexe V référentiel de compétence. Unité 5 établir une communication adaptée à la personne et à son entourage
« Ecouter la personne et son entourage et prendre en compte les signes verbaux de communication sans porter de jugement »
Dans cette situation j’ai bien écouté Mme Rose en me mettant à la hauteur de son regard. Je me suis accroupie en face d’elle. Je lui ai tenu la main pour la rassurer, pour lui montrer qu’elle n’était pas seule.
Point fort
J’ai su reformuler sa douleur pour lui faire voir que j’avais compris qu’elle avait mal au talon.
Je lui ai demandé qui l’attend ?
J’ai essayé de détourner son attention en lui demandant le prénom de son mari. Je lui montre aussi ma montre pour la ramener à l ‘heure réelle. Je maintiens le lien en lui expliquant que je reviens dans vingt minute. Je lui ment pas car je reviens la voir ce qui favorise une confiance.
Point faible
Je n’ai pas réussir à la comprendre. Je l’ai laissée seule. Ceci est une faute car je n’ai pu calmer son angoisse. J’aurai dû demander à quelqu’un de prendre le relais en lui expliquant que j’avais autre chose à faire.
Comprendre analyse
J’ai su Maintenir le lien en essayant de contourner sa pensée.
Cette personne est psychotique. Elle est dans son monde. Elle est très angoissée. Elle se ent persécuter. Elle a été hospitalisée contre son gré pour réguler son diabète . Personne ne la comprend donc elle se sent mélancolique et cherche un coupable. Pour la sauver, elle veut faire appel aux force de l’ordre. Elle cite le président car c’est une personne avec du pouvoir.Son angoisse est trop importante. J’ esssaie de la temporiser en lui disant que je reviens . Je lui mens pas ce qui favorise une confiance
Resolution
J’’aurai pu l’emmener dans une pièce collective afin qu’elle puisse voir du monde ; ce qui aurait pu calmer ses angoisses. Mais peut-être serait t’elle étonné e de ne pas voir ses amis, ce qui aurait pu augmenter ses angoisses. Elle aurait pu penser que ses amis aurait eû un accident grave.
J’aurai pu passer plus de temps en essayant de parler d’autre chose comme goûter avec elle.
Conclusion
Cette situation m’a destabilisé car je n’ai pu la resituer dans le temps
J’aurai aime soulage sa tristesse et sa solitude
pour les fautes d'orthographe je les corrigerai après merci de votre aide
voici ce quej'ai fait. Pouvez me dire ce que vous en pensez et qu'est que je pourrai rajouter notament en conclusion sachant que ce qui m'a pose pb c'est pas la contention mais que la personne ne se situer pas dans le tem et voulait partir manger àlors qu'elle venait de manger.
voici ce que j'ai fait /
INTRODUCTION
La situation de communication dont je vais vous parler s'est déroulée lors de mon troisième stage à l’hôpital de Mortain service de médecine. C’est un établissement public de santé qui accueille essentiellement des personnes qui habitent les environs.
Le service de médecine comporte 20 lits dont 3 de soins palliatifs et 5 de SSR.
Présentation des personnages (le nom de ces personnages sont fictifs).
La situation que j’ai choisie de développer concerne Madame Rose âgée de 65 ans. Elle est de forte corpulence. Elle a été hospitalisée pour réguler son diabète et altération de l’état général. Madame Rose souffre de psychose bipolaire. Habituellement elle vit chez elle avec son mari et ce couple refuse tout type d’aide. Par contre ? Madame Rose est suivie pour sa psychose par l’équipe mobile psychatrique de la personne agée.
Je serai accompagné de 2 aides soignante.
Exposé des faits
C’est le premier jour de mon stage. Il est 15h
Les 2 aides soignantes m’appellent pour leur aider à relever Madame Rose qui vient de faire une chute. Mme rose est tombée dans sa chambre.
L’aide soignante 1 va voir l’ide
Pendant ce temps, as 2 est avec moi. Je demande à Mme Rose si elle a mal quelque part.
Elle me répond qu’elle a mal au talon. Mme rose a des escarres au niveau de ses talons.
L’AS 1 revient et lui demande si elle a mal quelque part. Mme ROSE répond :
« à mes lunettes »
Je lui dis alors qu’elle venait de me dire à ses talons.
Les aides soignantes décident de l’asseoir dans un fauteuil roulant. Je suggère de l’asseoir d’abord puis on la glisse jusqu’au fauteuil.
L’équipe décide de lui mettre une ceinture de contention.
Le temps que l’aide soignante sarte chercher la contention, j’essaie de savoir où elle a voulu aller. En même temps, ça me permet de garder un œil au cas ou elle déciderait de se relever et de tomber à nouveau.
Mme rose me dit :
Il faut que j’y aille, on m’attend pour le dîner.
- Qui vous attend ?
- -Des amis et mon mari
- Mais il n’est pas l’heure, vous avez mangé ce midi.
- Mon mari va s’inquiéter et se demander s’il ne m’est rien arrivé. Il travaille, il ne faut pas le retarder.
Bien que je lui désigne sa montre, elle persiste.
_ « Comment s’appelle votre mari ?
-Lucien
J’essaie de lui détourner son attention. Rien n’y fait.
-Alors vous m’emmenez au dîner, je ne peux pas rester là toute seule. Allez les chercher.
Vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Allez chercher de l’aide pour m’emmener au dîner Je me suis accroupie près d’elle en la regardant dans les yeux et en lui tenant la main.
Je ne peux pas vous laisser ainsi. Vous avez mal quelque part
- Au talon. Allez on y va.
- Où ?
- Manger le dîner
- Non vous venez de manger, il n’y a pas longtemps.
Je vais appeler monsieur Nicolas Sarkozy.
- Et qu’est ce qu’il va faire ?
-ça va l’occuper ?
-C’est certain
Je décide de la quitter car je ne peux pas rester tout l’après midi et que je veux voir un maximum de choses. Je ne peux pas la convaincre quoi que je dise ou que je fasse.
Elle me supplie de rester.
- Je ne peux pas rester toute seule. Qu’on ne peut pas me laisser dans cet état !
- Je lui dis qu’il est 15h30 et que je vais revenir pour lui donner le goûter dans environ 20 mn. Je lui lâche la main et je lui désigne ma montre.
- Non ne me laissez pas toute seule, appelez quelqu’un d’autre pour qu’il vienne si vous n’êtes pas capable.
Je la laissa avec la sonnette.
Quelques minutes après, elle appela de nouveau pour le même prétexte. Ce fut mes collègues qui lui répondit.
A 2 reprises, elle appela.
Une de mes collègues lui retira la sonnette ? Je le vit lors de la distribution du goûter.
Ensuite, je l’entendis appeler Lucien…
Ressenti
Je me sens triste car Mme Rose souffre de ses talons et je ne peux la soulager. De plus, je n’arrive pas à lui expliquer qu’elle vient de manger. Ce qui m’exaspère.
Je me sens impuissante face à cette situation .
Quant elle fait allusion au président de la république, elle m’étonne car je pensais qu’elle n’était plus dans la réalité du jour. J’essaie de ne pas lui montrer mon étonnement mais j’essaie de la questionner à nouveau en lui demandant ce que lui ferait.
Pour elle, c’est une façon de se défendre. Mr Sarkozy est une force qui peut rétablir l’ordre.
Elle sent malheureuse , douloureuse.
Sa maladie l’angoisse beaucoup. Elle est dans un environnement qu’elle n’a pas choisi.
Par contre, ma présence la rassure. Elle veut que je reste auprès d’elle même si je peux rien pour elle.
Chartres de communication referentiel as = ecoute à la hauteur et le toucher regard
Selon l’arrêté du 25 janvier 2005 modifié relatif aux modalités d’organisation de la validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du diplôme professionnel d’aide-soignant. Annexe V référentiel de compétence. Unité 5 établir une communication adaptée à la personne et à son entourage
« Ecouter la personne et son entourage et prendre en compte les signes verbaux de communication sans porter de jugement »
Dans cette situation j’ai bien écouté Mme Rose en me mettant à la hauteur de son regard. Je me suis accroupie en face d’elle. Je lui ai tenu la main pour la rassurer, pour lui montrer qu’elle n’était pas seule.
Point fort
J’ai su reformuler sa douleur pour lui faire voir que j’avais compris qu’elle avait mal au talon.
Je lui ai demandé qui l’attend ?
J’ai essayé de détourner son attention en lui demandant le prénom de son mari. Je lui montre aussi ma montre pour la ramener à l ‘heure réelle. Je maintiens le lien en lui expliquant que je reviens dans vingt minute. Je lui ment pas car je reviens la voir ce qui favorise une confiance.
Point faible
Je n’ai pas réussir à la comprendre. Je l’ai laissée seule. Ceci est une faute car je n’ai pu calmer son angoisse. J’aurai dû demander à quelqu’un de prendre le relais en lui expliquant que j’avais autre chose à faire.
Comprendre analyse
J’ai su Maintenir le lien en essayant de contourner sa pensée.
Cette personne est psychotique. Elle est dans son monde. Elle est très angoissée. Elle se ent persécuter. Elle a été hospitalisée contre son gré pour réguler son diabète . Personne ne la comprend donc elle se sent mélancolique et cherche un coupable. Pour la sauver, elle veut faire appel aux force de l’ordre. Elle cite le président car c’est une personne avec du pouvoir.Son angoisse est trop importante. J’ esssaie de la temporiser en lui disant que je reviens . Je lui mens pas ce qui favorise une confiance
Resolution
J’’aurai pu l’emmener dans une pièce collective afin qu’elle puisse voir du monde ; ce qui aurait pu calmer ses angoisses. Mais peut-être serait t’elle étonné e de ne pas voir ses amis, ce qui aurait pu augmenter ses angoisses. Elle aurait pu penser que ses amis aurait eû un accident grave.
J’aurai pu passer plus de temps en essayant de parler d’autre chose comme goûter avec elle.
Conclusion
Cette situation m’a destabilisé car je n’ai pu la resituer dans le temps
J’aurai aime soulage sa tristesse et sa solitude
pour les fautes d'orthographe je les corrigerai après merci de votre aide
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Re: sujet de non communication
sujet
INTRODUCTION
La situation de communication dont je vais vous parler s'est déroulée lors de mon troisième stage à l’hôpital de Mortain service de médecine. C’est un établissement public de santé qui accueille essentiellement des personnes qui habitent les environs.
Le service de médecine comporte 20 lits dont 3 de soins palliatifs et 5 de SSR.
Présentation des personnages (le nom de ces personnages sont fictifs).
La situation que j’ai choisie de développer concerne Madame Rose âgée de 65 ans. Elle est de forte corpulence. Elle a été hospitalisée pour réguler son diabète et altération de l’état général. Madame Rose souffre de psychose bipolaire. Habituellement elle vit chez elle avec son mari et ce couple refuse tout type d’aide. Par contre ? Madame Rose est suivie pour sa psychose par l’équipe mobile psychatrique de la personne agée.
Je serai accompagné de 2 aides soignante.
Exposé des faits
C’est le premier jour de mon stage. Il est 15h
Les 2 aides soignantes m’appellent pour leur aider à relever Madame Rose qui vient de faire une chute. Mme rose est tombée dans sa chambre.
L’aide soignante 1 va voir l’ide
Pendant ce temps, as 2 est avec moi. Je demande à Mme Rose si elle a mal quelque part.
Elle me répond qu’elle a mal au talon. Mme rose a des escarres au niveau de ses talons.
L’AS 1 revient et lui demande si elle a mal quelque part. Mme ROSE répond :
« à mes lunettes »
Je lui dis alors qu’elle venait de me dire à ses talons.
Les aides soignantes décident de l’asseoir dans un fauteuil roulant. Je suggère de l’asseoir d’abord puis on la glisse jusqu’au fauteuil.
L’équipe décide de lui mettre une ceinture de contention.
Le temps que l’aide soignante sarte chercher la contention, j’essaie de savoir où elle a voulu aller. En même temps, ça me permet de garder un œil au cas ou elle déciderait de se relever et de tomber à nouveau.
Mme rose me dit :
Il faut que j’y aille, on m’attend pour le dîner.
- Qui vous attend ?
- -Des amis et mon mari
- Mais il n’est pas l’heure, vous avez mangé ce midi.
- Mon mari va s’inquiéter et se demander s’il ne m’est rien arrivé. Il travaille, il ne faut pas le retarder.
Bien que je lui désigne sa montre, elle persiste.
_ « Comment s’appelle votre mari ?
-Lucien
J’essaie de lui détourner son attention. Rien n’y fait.
-Alors vous m’emmenez au dîner, je ne peux pas rester là toute seule. Allez les chercher.
Vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Allez chercher de l’aide pour m’emmener au dîner Je me suis accroupie près d’elle en la regardant dans les yeux et en lui tenant la main.
Je ne peux pas vous laisser ainsi. Vous avez mal quelque part
- Au talon. Allez on y va.
- Où ?
- Manger le dîner
- Non vous venez de manger, il n’y a pas longtemps.
Je vais appeler monsieur Nicolas Sarkozy.
- Et qu’est ce qu’il va faire ?
-ça va l’occuper ?
-C’est certain
Je décide de la quitter car je ne peux pas rester tout l’après midi et que je veux voir un maximum de choses. Je ne peux pas la convaincre quoi que je dise ou que je fasse.
Elle me supplie de rester.
- Je ne peux pas rester toute seule. Qu’on ne peut pas me laisser dans cet état !
- Je lui dis qu’il est 15h30 et que je vais revenir pour lui donner le goûter dans environ 20 mn. Je lui lâche la main et je lui désigne ma montre.
- Non ne me laissez pas toute seule, appelez quelqu’un d’autre pour qu’il vienne si vous n’êtes pas capable.
Je la laissa avec la sonnette.
Quelques minutes après, elle appela de nouveau pour le même prétexte. Ce fut mes collègues qui lui répondit.
A 2 reprises, elle appela.
Une de mes collègues lui retira la sonnette ? Je le vit lors de la distribution du goûter.
Ensuite, je l’entendis appeler Lucien…
Ressenti
Je me sens triste car Mme Rose souffre de ses talons et je ne peux la soulager. De plus, je n’arrive pas à lui expliquer qu’elle vient de manger. Ce qui m’exaspère.
Je me sens impuissante face à cette situation .
Quant elle fait allusion au président de la république, elle m’étonne car je pensais qu’elle n’était plus dans la réalité du jour. J’essaie de ne pas lui montrer mon étonnement mais j’essaie de la questionner à nouveau en lui demandant ce que lui ferait.
Pour elle, c’est une façon de se défendre. Mr Sarkozy est une force qui peut rétablir l’ordre.
Elle sent malheureuse , douloureuse.
Sa maladie l’angoisse beaucoup. Elle est dans un environnement qu’elle n’a pas choisi.
Par contre, ma présence la rassure. Elle veut que je reste auprès d’elle même si je peux rien pour elle.
Chartres de communication referentiel as = ecoute à la hauteur et le toucher regard
Selon l’arrêté du 25 janvier 2005 modifié relatif aux modalités d’organisation de la validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du diplôme professionnel d’aide-soignant. Annexe V référentiel de compétence. Unité 5 établir une communication adaptée à la personne et à son entourage
« Ecouter la personne et son entourage et prendre en compte les signes verbaux de communication sans porter de jugement »
Dans cette situation j’ai bien écouté Mme Rose en me mettant à la hauteur de son regard. Je me suis accroupie en face d’elle. Je lui ai tenu la main pour la rassurer, pour lui montrer qu’elle n’était pas seule.
Point fort
J’ai su reformuler sa douleur pour lui faire voir que j’avais compris qu’elle avait mal au talon.
Je lui ai demandé qui l’attend ?
J’ai essayé de détourner son attention en lui demandant le prénom de son mari. Je lui montre aussi ma montre pour la ramener à l ‘heure réelle. Je maintiens le lien en lui expliquant que je reviens dans vingt minute. Je lui ment pas car je reviens la voir ce qui favorise une confiance.
Point faible
Je n’ai pas réussir à la comprendre. Je l’ai laissée seule. Ceci est une faute car je n’ai pu calmer son angoisse. J’aurai dû demander à quelqu’un de prendre le relais en lui expliquant que j’avais autre chose à faire.
Comprendre analyse
J’ai su Maintenir le lien en essayant de contourner sa pensée.
Cette personne est psychotique. Elle est dans son monde. Elle est très angoissée. Elle se ent persécuter. Elle a été hospitalisée contre son gré pour réguler son diabète . Personne ne la comprend donc elle se sent mélancolique et cherche un coupable. Pour la sauver, elle veut faire appel aux force de l’ordre. Elle cite le président car c’est une personne avec du pouvoir.Son angoisse est trop importante. J’ esssaie de la temporiser en lui disant que je reviens . Je lui mens pas ce qui favorise une confiance
Resolution
J’’aurai pu l’emmener dans une pièce collective afin qu’elle puisse voir du monde ; ce qui aurait pu calmer ses angoisses. Mais peut-être serait t’elle étonné e de ne pas voir ses amis, ce qui aurait pu augmenter ses angoisses. Elle aurait pu penser que ses amis aurait eû un accident grave.
J’aurai pu passer plus de temps en essayant de parler d’autre chose comme goûter avec elle.
Conclusion
Cette situation m’a destabilisé car je n’ai pu la resituer dans le temps
J’aurai aime soulage sa tristesse et sa solitude
INTRODUCTION
La situation de communication dont je vais vous parler s'est déroulée lors de mon troisième stage à l’hôpital de Mortain service de médecine. C’est un établissement public de santé qui accueille essentiellement des personnes qui habitent les environs.
Le service de médecine comporte 20 lits dont 3 de soins palliatifs et 5 de SSR.
Présentation des personnages (le nom de ces personnages sont fictifs).
La situation que j’ai choisie de développer concerne Madame Rose âgée de 65 ans. Elle est de forte corpulence. Elle a été hospitalisée pour réguler son diabète et altération de l’état général. Madame Rose souffre de psychose bipolaire. Habituellement elle vit chez elle avec son mari et ce couple refuse tout type d’aide. Par contre ? Madame Rose est suivie pour sa psychose par l’équipe mobile psychatrique de la personne agée.
Je serai accompagné de 2 aides soignante.
Exposé des faits
C’est le premier jour de mon stage. Il est 15h
Les 2 aides soignantes m’appellent pour leur aider à relever Madame Rose qui vient de faire une chute. Mme rose est tombée dans sa chambre.
L’aide soignante 1 va voir l’ide
Pendant ce temps, as 2 est avec moi. Je demande à Mme Rose si elle a mal quelque part.
Elle me répond qu’elle a mal au talon. Mme rose a des escarres au niveau de ses talons.
L’AS 1 revient et lui demande si elle a mal quelque part. Mme ROSE répond :
« à mes lunettes »
Je lui dis alors qu’elle venait de me dire à ses talons.
Les aides soignantes décident de l’asseoir dans un fauteuil roulant. Je suggère de l’asseoir d’abord puis on la glisse jusqu’au fauteuil.
L’équipe décide de lui mettre une ceinture de contention.
Le temps que l’aide soignante sarte chercher la contention, j’essaie de savoir où elle a voulu aller. En même temps, ça me permet de garder un œil au cas ou elle déciderait de se relever et de tomber à nouveau.
Mme rose me dit :
Il faut que j’y aille, on m’attend pour le dîner.
- Qui vous attend ?
- -Des amis et mon mari
- Mais il n’est pas l’heure, vous avez mangé ce midi.
- Mon mari va s’inquiéter et se demander s’il ne m’est rien arrivé. Il travaille, il ne faut pas le retarder.
Bien que je lui désigne sa montre, elle persiste.
_ « Comment s’appelle votre mari ?
-Lucien
J’essaie de lui détourner son attention. Rien n’y fait.
-Alors vous m’emmenez au dîner, je ne peux pas rester là toute seule. Allez les chercher.
Vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Allez chercher de l’aide pour m’emmener au dîner Je me suis accroupie près d’elle en la regardant dans les yeux et en lui tenant la main.
Je ne peux pas vous laisser ainsi. Vous avez mal quelque part
- Au talon. Allez on y va.
- Où ?
- Manger le dîner
- Non vous venez de manger, il n’y a pas longtemps.
Je vais appeler monsieur Nicolas Sarkozy.
- Et qu’est ce qu’il va faire ?
-ça va l’occuper ?
-C’est certain
Je décide de la quitter car je ne peux pas rester tout l’après midi et que je veux voir un maximum de choses. Je ne peux pas la convaincre quoi que je dise ou que je fasse.
Elle me supplie de rester.
- Je ne peux pas rester toute seule. Qu’on ne peut pas me laisser dans cet état !
- Je lui dis qu’il est 15h30 et que je vais revenir pour lui donner le goûter dans environ 20 mn. Je lui lâche la main et je lui désigne ma montre.
- Non ne me laissez pas toute seule, appelez quelqu’un d’autre pour qu’il vienne si vous n’êtes pas capable.
Je la laissa avec la sonnette.
Quelques minutes après, elle appela de nouveau pour le même prétexte. Ce fut mes collègues qui lui répondit.
A 2 reprises, elle appela.
Une de mes collègues lui retira la sonnette ? Je le vit lors de la distribution du goûter.
Ensuite, je l’entendis appeler Lucien…
Ressenti
Je me sens triste car Mme Rose souffre de ses talons et je ne peux la soulager. De plus, je n’arrive pas à lui expliquer qu’elle vient de manger. Ce qui m’exaspère.
Je me sens impuissante face à cette situation .
Quant elle fait allusion au président de la république, elle m’étonne car je pensais qu’elle n’était plus dans la réalité du jour. J’essaie de ne pas lui montrer mon étonnement mais j’essaie de la questionner à nouveau en lui demandant ce que lui ferait.
Pour elle, c’est une façon de se défendre. Mr Sarkozy est une force qui peut rétablir l’ordre.
Elle sent malheureuse , douloureuse.
Sa maladie l’angoisse beaucoup. Elle est dans un environnement qu’elle n’a pas choisi.
Par contre, ma présence la rassure. Elle veut que je reste auprès d’elle même si je peux rien pour elle.
Chartres de communication referentiel as = ecoute à la hauteur et le toucher regard
Selon l’arrêté du 25 janvier 2005 modifié relatif aux modalités d’organisation de la validation des acquis de l’expérience pour l’obtention du diplôme professionnel d’aide-soignant. Annexe V référentiel de compétence. Unité 5 établir une communication adaptée à la personne et à son entourage
« Ecouter la personne et son entourage et prendre en compte les signes verbaux de communication sans porter de jugement »
Dans cette situation j’ai bien écouté Mme Rose en me mettant à la hauteur de son regard. Je me suis accroupie en face d’elle. Je lui ai tenu la main pour la rassurer, pour lui montrer qu’elle n’était pas seule.
Point fort
J’ai su reformuler sa douleur pour lui faire voir que j’avais compris qu’elle avait mal au talon.
Je lui ai demandé qui l’attend ?
J’ai essayé de détourner son attention en lui demandant le prénom de son mari. Je lui montre aussi ma montre pour la ramener à l ‘heure réelle. Je maintiens le lien en lui expliquant que je reviens dans vingt minute. Je lui ment pas car je reviens la voir ce qui favorise une confiance.
Point faible
Je n’ai pas réussir à la comprendre. Je l’ai laissée seule. Ceci est une faute car je n’ai pu calmer son angoisse. J’aurai dû demander à quelqu’un de prendre le relais en lui expliquant que j’avais autre chose à faire.
Comprendre analyse
J’ai su Maintenir le lien en essayant de contourner sa pensée.
Cette personne est psychotique. Elle est dans son monde. Elle est très angoissée. Elle se ent persécuter. Elle a été hospitalisée contre son gré pour réguler son diabète . Personne ne la comprend donc elle se sent mélancolique et cherche un coupable. Pour la sauver, elle veut faire appel aux force de l’ordre. Elle cite le président car c’est une personne avec du pouvoir.Son angoisse est trop importante. J’ esssaie de la temporiser en lui disant que je reviens . Je lui mens pas ce qui favorise une confiance
Resolution
J’’aurai pu l’emmener dans une pièce collective afin qu’elle puisse voir du monde ; ce qui aurait pu calmer ses angoisses. Mais peut-être serait t’elle étonné e de ne pas voir ses amis, ce qui aurait pu augmenter ses angoisses. Elle aurait pu penser que ses amis aurait eû un accident grave.
J’aurai pu passer plus de temps en essayant de parler d’autre chose comme goûter avec elle.
Conclusion
Cette situation m’a destabilisé car je n’ai pu la resituer dans le temps
J’aurai aime soulage sa tristesse et sa solitude
Re: sujet de non communication
bonjour, en lisant je n'ai pas vu ce que l'infirmière vous a donné comme consigne : vous n'êtes pas toute "seule" c'est un travail en équipe....
la contention c'est une prescription médicale....
savez vous ce qu'est une psychose bipolaire exactement, attention à ce que vous écrivez, il faut savoir expliquer : dans ce contexte il y a surement une attitude à tenir.
solution : peut être , je dis peut être, car elle est diabètique : vous auriez du demander à l'IDE si vous pouviez lui donner quelque chose à manger???? voir si elle n'était pas en hypo avec l'IDE. l'emmener effectivement hors de sa chambre, pour "couper un peu le contexte de la chute", je ne sais c'est une proposition. tout ça à évaluer avec l'IDE.
vous êtes élève AS (si j'ai bien compris) mais vous avez le droit de prendre des initiatives.
j'espère que vous ne prendrez pas ce message mal mais je suis AS et je pense qu'il faut s'entraider entre collègue : il ne faut pas que vous partiez d'un soin ( car la communication en fait partie)sur une situation d'échec, il y a toujours une solution mais quelque fois, elle n'est pas facile à trouver (documenter vous sur cette pathologie, relisez son dossier médical, et surtout communiquer avec toute l'équipe, vous n'êtes pas seule...
merci pour avoir lu ce message et bon courage.
la contention c'est une prescription médicale....
savez vous ce qu'est une psychose bipolaire exactement, attention à ce que vous écrivez, il faut savoir expliquer : dans ce contexte il y a surement une attitude à tenir.
solution : peut être , je dis peut être, car elle est diabètique : vous auriez du demander à l'IDE si vous pouviez lui donner quelque chose à manger???? voir si elle n'était pas en hypo avec l'IDE. l'emmener effectivement hors de sa chambre, pour "couper un peu le contexte de la chute", je ne sais c'est une proposition. tout ça à évaluer avec l'IDE.
vous êtes élève AS (si j'ai bien compris) mais vous avez le droit de prendre des initiatives.
j'espère que vous ne prendrez pas ce message mal mais je suis AS et je pense qu'il faut s'entraider entre collègue : il ne faut pas que vous partiez d'un soin ( car la communication en fait partie)sur une situation d'échec, il y a toujours une solution mais quelque fois, elle n'est pas facile à trouver (documenter vous sur cette pathologie, relisez son dossier médical, et surtout communiquer avec toute l'équipe, vous n'êtes pas seule...
merci pour avoir lu ce message et bon courage.

ESI - IFSI Cahors
3 eme année
3 eme année