Et d'où vient le logo de l'ordre???

[Contre-Ordre-Infirmier]

"Déontologie" "Moralité" "Probité", les devises de l'ordre?

Celles du CODI sont "Démission", "abrogation"

TOUS les responsables du CNO sont responsables et DOIVENT démissionner.
Par déontologie, moralité et probité.

[migraine]

http://www.espaceinfirmier.com/actualit ... arler.html

Ordre infirmier : un logo qui fait parler


Le logo de l'ONI.

Deux ans après l’attribution du marché, on apprend que le dirigeant de l’entreprise qui a créé l’identité graphique de l’Oni et la présidente de celui-ci sont… frère et sœur.

Déjà taxée d’autoritarisme par ceux qui contestent sa gouvernance, la présidente de l’Ordre national des infirmiers (Oni), Dominique Le Bœuf, va-t-elle maintenant être accusée de népotisme ? Elle devra en tout cas s’expliquer sur un fait douteux, établi par nos confrères de Rue89 et que nous a confirmé la direction de la communication de l’Oni : la création du logo et de l’identité graphique de l’Ordre a été confiée début 2009 à une société dirigée par Laurent Ameslant, qui n’est autre que le frère de Mme Le Bœuf, comme son nom ne l’indique pas. Et c’est là que le bât blesse. Car si l’on peut envisager que le choix du prestataire se soit porté, en toute transparence et après appel d’offres concurrentiel, sur l’agence Openminded, devenue entre-temps Evermore, ce lien de parenté entre le directeur associé de l’entreprise et la présidente de l’instance cliente ne pouvait en aucun cas être dissimulé.

Ce lien n’était pas caché, se défend d’ailleurs Mme Le Bœuf selon Rue89, mais était-il pour autant clairement identifié et porté à la connaissance des élus nationaux qui ont eu à voter en séance plénière du 3 avril 2009 pour départager quatre prestataires ? Il semble bien que non puisque plusieurs d’entre eux affirment découvrir aujourd’hui cet état de fait.

Qualité de service
A l’Oni, on minimise la portée de ces révélations qui interviennent quelques jours après après l'annonce d’un déficit cumulé de plus de 10 millions d’euros menaçant à court terme la survie même de l’instance (lire notre actualité ici). Les conseillers ont choisi à l’époque « le mieux disant et en termes financiers et en qualité de service », assure la directrice de la communication Virginie Lanlo. Et peu importe que l’un des concurrents aient présenté un projet chiffré à 5.000 euros contre « 17.000 euros » pour Openminded : « Le logo de Pôle Emploi a coûté 2,4 millions d’euros, celui de la HAS où je travaillais avant 600.000 euros ; un logo à 5.000 euros, je ne sais pas ce que c’est », ironise Mme Lanlo qui fait valoir qu’Openminded n’a pas seulement créé le logo de l’Oni, mais également "sa charte graphique déclinée sur les papiers à en-têtes, les cartes de visite, les enveloppes, le matériel départemental et régional, etc. »

Mme Le Bœuf n’était dans l’immédiat pas disponible pour répondre à nos questions. Mais déjà contestée par nombre de ses collègues élus ordinaux, la présidente ne peut qu’être encore affaiblie par cette « affaire » révélée à une semaine à peine d’une séance plénière du Conseil national de l’Ordre qui s’annonce décisive puisque les conseillers s’y prononceront par un vote sur le montant de la cotisation ordinale pour l’exercice budgétaire 2011-2012. Le 29 mars, ils auront en effet à choisir entre cinq modélisations présentées à l’Assemblée nationale le 15 mars. Deux d’entre elles aboutissent à un budget à l’équilibre, deux autres à un déficit réduit par rapport au trou actuel et un dernier à un budget en excédent, mais ce dernier conserve le montant de cotisation en vigueur actuellement.

"Vote de confiance"
Problème : ces cinq hypothèses partent du postulat de 400.000 infirmières cotisantes d’ici à avril 2012. Interrogée sur le caractère très optimiste de ce modèle, quand on sait que l’Ordre ne comptait au 3 mars 2011 que 85.261 inscrits, Virginie Lanlo observe : « Oui, mais si le gouvernement dit enfin aux infirmières que la cotisation est obligatoire aux termes de la loi, ça changera la donne. » Et d’estimer que « beaucoup d’infirmière attentistes » ont très bien intégré le message –faux-, selon lequel la cotisation ne serait obligatoire que pour les libérales. « Il suffit que l’information inverse passe », espère Mme Lanlo.

En attendant, aux élus nationaux d’arbitrer entre les modèles budgétaires prévoyant des cotisations de 30, 50 ou 75 euros pour les salariées et 75, 103 ou 170 euros pour les libérales. Le vote du 29 mars se profile déjà comme « un vote de confiance » envers Dominique Le Bœuf, note la directrice de communication de l’Ordre… à moins que cela ne tourne au vote de défiance, la présidente s’étant toujours arc-boutée sur la nécessité d’une cotisation de 75 euros minimum pour donner à l’Oni les moyens d’accomplir ses multiples missions.

Elections repoussées
Rappelons que Mme Le Bœuf fait partie de la moitié des conseillers ordinaux qu’un tirage au sort a désignés comme devant remettre leur mandat en jeu cette année. Toutefois, les élections qui devaient avoir lieu fin mars pour les départements, fin juillet pour les régions et à l’automne pour l’échelon national, devraient « être repoussées à la fin de l’année », selon Virginie Lanlo.
Cécile Almendros

[migraine]

il est plus facile de taper sur une même personne...

[migraine]

http://www.soignants.com/sn/news/articl ... rmier.html

Attribution de marchés en famille au sein de l'Ordre Infirmier
le 22-03-11
Une curieuse découverte
Actualités

Alors que se poursuit le tumultueux feuilleton ordinal que les 500 000 infirmiers suivent avec perplexité, c'est une affaire d'attribution de marché public entre membres d'une même famille qui entre dans l'arène aujourd'hui.

Attribuer un marché quand on est une Institution Privée avec des missions de service public n'oblige pas à respecter le code des marchés publics.

Néanmoins dans une institution pronant la déontologie, l'attribution de marché à des connaissances "proches" est plutôt un sujet sensible.

Alors quand les 2 principaux acteurs sont frères et soeurs, le gérant de la Société et la Présidente de l'institution elle-même, il y a forcément certaines questions qui ressurgissent.

Selon Actusoins.com la Présidence aurait attribué le marché de la création d'une identité visuelle (logo donc) à la société Evermore Agency, ou Open Minded à l'époque. Le petit frère co-associé de la société Laurent Ameslant s'en défend et rétorque que "j'ai été amené à parler devant plusieurs centaines de personnes, tout l'Ordre était au courant".

Réponse d'un élu au Conseil National présent ce jour-là, Grégory Vignier: "Si cela est exact, c'est un véritable scandale. Personne au Conseil National n'a jamais été mis au courant de ce lien. Si nous l'avions su, nous n'aurions jamais choisi cette société".

Toujours est-il que d'autres détails troublant viennent semer le doute: la date de création de la dite société est ultérieure à la date d'attribution du marché.

Et le site internet de la société Open Minded, ou Evermore Agency, indique en plus la création d'un site internet ainsi qu'un stand pour le salon infirmier.

Le montant du 1er marché étant de 20 000 euros, somme non négligeable, on est en droit de se demander combien l'Ordre a payé le petit frère pour le "site internet" et le "stand du salon infirmiers" mentionnés sur le site d'Open Minded...

Nul doute que ces questions pour l'instant sans réponses intéresseront les élus nationaux et départementaux la semaine prochaine lors du vote de la cotisation... auquel pourrait s'ajouter une nouvelle résolution.

Rédaction soignants.com

[Fox]

Qualité de service
A l’Oni, on minimise la portée de ces révélations qui interviennent quelques jours après après l'annonce d’un déficit cumulé de plus de 10 millions d’euros menaçant à court terme la survie même de l’instance (lire notre actualité ici). Les conseillers ont choisi à l’époque « le mieux disant et en termes financiers et en qualité de service », assure la directrice de la communication Virginie Lanlo. Et peu importe que l’un des concurrents aient présenté un projet chiffré à 5.000 euros contre « 17.000 euros » pour Openminded : « Le logo de Pôle Emploi a coûté 2,4 millions d’euros, celui de la HAS où je travaillais avant 600.000 euros ; un logo à 5.000 euros, je ne sais pas ce que c’est », ironise Mme Lanlo qui fait valoir qu’Openminded n’a pas seulement créé le logo de l’Oni, mais également "sa charte graphique déclinée sur les papiers à en-têtes, les cartes de visite, les enveloppes, le matériel départemental et régional, etc. »

Ils confondent ANPE et Pole-Emploi...
http://www.legraphismeselonkeating.com/ ... l-logo.jpg

Vu leur budget, ils auraient mieux fait de copier sur Nike

[migraine]

Ils confondent ANPE et Pole-Emploi...

encore une preuve de l'efficacité de leur com'...si besoin était...

Vu leur budget, ils auraient mieux fait de copier sur Nike

[erick]

Pédagogie pronée dés le départ, et on sait trés bien ce que cette équipe en à fait.

Allez le requin, t'es signataire....reviens forumer ici, refais nous le coup du "on vous aura à l'usure"...à moins que c'est toi qui est usé

[eusèbe]

Pour l'instant le beurk ressemble au bounty avec mutinerie en préparation : bientôt ce sera le vaisseau fantôme...

[migraine]

http://www.jim.fr/en_direct/pro_societe ... _pro.phtml

Question à 17 000 euros : quel est le nom de jeune fille de la présidente de l’Ordre infirmier ?
Publié le 23/03/2011


Paris, le mercredi 23 mars 2011 –
L’Ordre infirmier nous avait habitué à plus d’immédiateté dans ses réactions. On se souvient ainsi comment il y a quelques semaines, tandis que le secrétaire d’Etat, Nora Berra, déclarait publiquement son soutien aux infirmières non encore cotisantes, la présidence de l’Ordre, sans consulter son bureau, s’était moins de vingt quatre heures plus tard fendue d’un communiqué vengeur accusant le gouvernement de faire le jeu des détracteurs de l’institution. Pourtant, ce matin, l’Ordre se montre étrangement silencieux : son dernier communiqué date d’hier mais porte sur un sujet très consensuel, le rôle des infirmiers dans la prise en charge des personnes âgées. A cette tranquillité ordinale s’oppose la fébrilité avec laquelle les portails dédiés aux infirmières ont accueilli l’information révélée hier à la mi journée par le site Rue 89 concernant l’attribution d’un marché par l’Ordre il y a deux ans. Un marché qui a été accordé à une société dirigée par le frère de Dominique Le Bœuf, Laurent Amesland.
Une Ferrari contre trois deux chevaux

Le marché en question concernait « l’identité graphique » de la toute nouvelle instance. La société Openminded, devenue depuis Evermore, représentée dans les documents officiels remis aux conseillers ordinaux à l’époque par Lydia d’Avanzo « directrice associée en charge de la Création » avait été à l’époque choisie par l’Ordre. Dominique Le Bœuf avait mené l’opération d’une main de maître et avec, comme souvent, une certaine précipitation. Elle s’était ainsi chargée de l’établissement du cahier des charges et du choix des agences candidates à l’appel d’offres. Le 23 mars à 2 h 20 du matin selon le site Rue 89, elle adresse ainsi aux membres de son bureau un mail mettant en lice quatre agences. « Je ne pense pas qu’il faille nous en rajouter maintenant, si on veut avoir une identité graphique dans les plus brefs délais », écrit-elle dans la nuit. Le 3 avril 2009, les quatre concurrents défilent devant les conseillers nationaux réunis en séance plénière. Les propositions de la société Openminded sont présentées par Laurent Amesland. « J’ai été amené à parler devant plusieurs centaines de personnes, tout l’Ordre était au courant » se souvient ce dernier cité par Actu Soins. Selon, un membre du bureau qui préfère garder l’anonymat, la préférence de la présidente de l’Ordre pour le projet défendu par Laurent Amesland est affichée. « La présidente nous a indiqué qu’elle avait étudié les propositions en détail et que celle d’Openminded était la meilleure ». Ces déclarations n’auraient cependant pas été nécessaires face aux qualités du projet : « La société Openminded, que nous avions rencontrée avant l’appel d’offres, a été retenue, car elle sortait du lot. Certains prestataires n’avaient fourni qu’une ébauche de projet : on avait l’impression d’être face à une Ferrari et trois deux chevaux. Le choix paraissait forcément évident » indique Grégory Vignier, conseiller national.
Un logo moins cher que celui de Pôle Emploi

Tout semble donc pour le mieux dans le meilleur des mondes si ce n’est que les liens fraternels entre Laurent Amesland et Dominique Le Bœuf ne sont révélés qu’aujourd’hui, à la stupéfaction d’un grand nombre de conseillers. Ainsi, bien qu’élogieux à l’égard du travail de la société Openminded, Grégory Vignier s’emporte : « Si cela est exact, c’est un véritable scandale. Personne au Conseil national n’a jamais été mis au courant de ce lien. Si nous l’avions su, nous n’aurions jamais choisi cette société », tonne ainsi Grégory Vignier. Aussi étonnant puissent-ils paraître, ces faits semblent cependant avérés. Laurent Ameslant assure ainsi : « Je n’ai rien à cacher. Dominique le Bœuf est bien ma sœur. Mais cette polémique est ridicule » lâche-t-il interrogé par Actu Soins. Cependant, à la lueur de cette découverte tardive, certains éléments ne peuvent manquer de se révéler troublants : comme le fait que le nom de Laurent Ameslant n’était pas mentionné dans les documents remis aux conseillers ou encore le fait que la société Openminded ait été en cours d’immatriculation au moment de l’appel d’offres. Certains soulignent en outre que l’agence ne présentait pas le dossier le plus avantageux économiquement, avec un devis s’élevant à 17 000 euros, quand un concurrent proposait de travailler pour 5 000 euros. Cette comparaison laisse perplexe la directrice de la communication de l’instance, Virginie Lanlo qui ironise : « Le logo de Pôle Emploi a coûté 2,4 millions d’euros, celui de la HAS où je travaillais avant 600 000 euros ; un logo à 5 000 euros, je ne sais pas ce que c’est », remarque-t-elle citée par Rue 89, précisant par ailleurs que l’agence a eu en charge l’élaboration intégrale de la charte graphique de l’Ordre. Elle n’a cependant pas été amenée à réaliser le site internet de l’institution, son projet n’ayant pas été retenu lors d’un second appel d’offre, ce qui selon Laurent Ameslant devrait finir d’écarter toute accusation de népotisme. La présidente de l’Ordre pour sa part n’a répondu à aucun des médias l’ayant sollicité ces dernières vingt quatre heures. Il n’empêche que ces révélations devraient empoisonner un peu plus la séance du 29 mars qui doit fixer la nouvelle cotisation de l’Ordre et qui pourrait prendre une allure de vote de défiance à l’égard d’une présidente de plus en plus isolée.


Aurélie Haroche

[loulic]

.

[zeb24]

Il faut qu'elle paie !! Qui porte plainte ?

[JiPé]

déontologie qu'y disaient!!!!!!
.... des hontes au logis, oui, plutôt!

[mimicra]

Aucun élu ne portera plainte, vu qu'elle n'est pas seule responsable. Il y a une commission qui a validé ce truc, et elle contient ceux qui s'offusquent aujourd'hui, en pleine révolution de palais...

ouais enfin la DLB (et ses cons sorts) l'ont quand même eu mauvaise !!!!

http://www.actusoins.com/7879/droit-de- ... ement.html


Et dire qu'elle nous la joue intimidation avec avocats et tout le toutim.....

[Houblon]

Elle doute de rien.

[Pikouzette]

Un syndicat envisage-t-il de se lancer dans l'aventure d'une poursuite en justice pour ces faits énormes ? Parce que quitte à me faire délester de mon pognon, autant qu'il aille à quelque chose de vraiment utile !