Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
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Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
Comme l'a dit DLB syndicat /= ordre.Desourcesure a écrit :Une solution pourrait être utile, si on en voit ce qui se passe dans les pays du nord.
Ils cotisent tous à un syndicat et c'est obligatoire et ils ont une puissance de frappe énorme de fait.
Les infirmiers avaient donc lancer un mouvement de grève général via leur syndicat et ils ont eu gain de cause pour leur revalorisation salariale.
Qu'en pensez-vous ?
Quel est le sens de votre question ?
"On est tous pareil alors acceptons nos différences!" [Bruno Salomone]
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Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
le sens de ma question est : si l'ordre n'existe plus, ne faut-il pas envisager autre chose de fédérateur ? Et comme c'est le nombre qui fait la puissance, pourquoi pas ce modèle des pays du nord ?
En fait, l'important, l'essentiel, c'est d'être réuni.
Alors, regardons ailleurs ce qui marche et tentons de le mettre en place.
Il y a peut-être d'autres modèles ailleurs...
En fait, l'important, l'essentiel, c'est d'être réuni.
Alors, regardons ailleurs ce qui marche et tentons de le mettre en place.
Il y a peut-être d'autres modèles ailleurs...
Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
Ce n'est pas le nombre qui fait la puissance. C'est un raisonnement politique de CM2.
Ou alors il faut arrêter de preter votre echec à résilience et aux autres syndicats.
C'est la capacité de nuisance et de mobilisation qui fait la puissance, ou à défaut les réseaux d'influence.La puissance de 500 000 infirmiers qui ne se bougent pas est nulle. Par contre un petit groupe motivé se battant sur des actions ciblées est capable de foutre un gros bordel. C'est par exemple le cas du snch ultra minoritaire et de triste réputation.
Ou alors il faut arrêter de preter votre echec à résilience et aux autres syndicats.
C'est la capacité de nuisance et de mobilisation qui fait la puissance, ou à défaut les réseaux d'influence.La puissance de 500 000 infirmiers qui ne se bougent pas est nulle. Par contre un petit groupe motivé se battant sur des actions ciblées est capable de foutre un gros bordel. C'est par exemple le cas du snch ultra minoritaire et de triste réputation.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
Moi, j'attends ta retraiteLeopold Anasthase a écrit : Mais ça ne répond pas à la question de départ : que faire d'autre ? Moi j'ai répondu, j'attends la retraite. Mais peut-être d'autres ont d'autres idées ?



Question inutile. Cela n'est pas applicable en France.Desourcesure a écrit :Une solution pourrait être utile, si on en voit ce qui se passe dans les pays du nord.
Ils cotisent tous à un syndicat et c'est obligatoire...
Qu'en pensez-vous ?
Et avec qui à la tête ?Desourcesure a écrit :
Alors, regardons ailleurs ce qui marche et tentons de le mettre en place.
Vous avez fait tout à l'envers... Il est/était possible d'envisager un ordre infirmier facultatif - beaucoup de conseillers clamant qu'ils sont bénévoles donc cela ne devrait pas poser de problème - et les IDE jugeront sur les actes.Desourcesure a écrit :ne faut-il pas envisager autre chose de fédérateur ?
Si les résultats en rapport avec le travail fourni sont à la hauteur des espérances, ce sera fédérateur.
Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
Pour revenir sur la création des nouvelles professions medicales et ou paramedicales pour visiblement "soulager" les medecins, le fond du problème c'est la pénurie de medecins, la pénurie de moyens financiers, et c'est surtout ce dernier point qui nuit à notre profession, mais surtout, tout le système de santé dans son ensemble, l'Oni n'y pouvait rien. Nos problèmes font partis intégrantes du démantelement de la Santé, et c'est au politique d'y remedier. ( J'y crois pas non plus, soyons réaliste ! ).
Re: Les raisons de l'échec de l'ordre (vers autre chose...)
Mais pourquoi aurait il tenté de changer quelque chose ? Il a toujours soutenu la politique de santé actuelle.Mikefou a écrit :l'Oni n'y pouvait rien.
En aurait il été différemment avec un autre gouvernement ?
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.