nouveau bac pro assp
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Re: nouveau bac pro assp
moutarde a écrit :Toujours pas de réponses sur le financement des futur(e)s diplômé(e)s et de l'éventuelle reconnaissance dont salariale d'une formation supposée adaptée par rapport à celles qui ne le seraient pas/plus.Creol a écrit :Franchement il était temps de passer cette formation niveau bac, quasiment tous les candidats ont au minumum ce niveau, sans compter ceux qui ont une licence et qui eux aussi sont de plus en plus nombreux.
Après un Bac voire un Bac + 3 pour certaines (nombreuses) tâches de base, c'est en effet... dans l'air du temps.
Je suis tout à fait d'accord avec moutarde...
Il est exact que de plus en plus d'élèves AS possèdent un bac mais je ne pense pas que ce soit encore une majorité des élèves.Creol a écrit :quasiment tous les candidats ont au minumum ce niveau, sans compter ceux qui ont une licence et qui eux aussi sont de plus en plus nombreux.
Vous oubliez de parler de ceux qui accèdent à la profession AS par le biais de la VAE ou de la formation professionnelle. Ce sont le plus souvent des personnes trés peu diplomées
Quand à une valorisation de la profession AS par une reconnaissance du diplome au niveau IV, cela me semble une véritable ineptie.
Comme je l'ai déja dit, vous allez mettre au meme niveau des personnes qui ont un BEPC + 10 mois de formation (DEAS par exemple) et des personnes qui auront un niveau BEPC + 3 ans (Bac pro)
Quant à la revalorisation salariale qui découlerait inéluctablement d'une telle reconnaissance, je ne vois pas comment elle pourrait être financée.
De plus, une telle revalorisation s'appliquerait également aux AVS, ces dernières étant le plus souvent rémunérées au niveau du SMIC. On peut se demander comment des particuliers qui emploient actuellement des AVS par le biais d'associations mandataires ou directement via les CESU par exemple pourraient supporter une hausse massive des salaires versés aux AVS.
Re: nouveau bac pro assp
je ne vois pas du tout les bac pro comme ayant la même formation que les aides soignants qui sont capables de par leur formation comme pour les infirmières de travailler aussi bien en réa qu'aux urgences,qu'en oncologie!Non,le secteur vieux ou handicapé ou bébé de crêche est déconsidéré dans sa complexité,on nie les pathologies multiples,leur connaissance et donc les facultés à alerter.Pour ma part il me semble que les soins des patients en cure médicale dans les établissements ne devraient être faits que par les as et infirmières.Donc,pourquoi apprendre une toilette au lit à des non soignants par exemple.Les aides soignantes qui seront interressées à encadrer les bac pro dans ces établissements grillent leur métier.
Re: nouveau bac pro assp
Excuse moi Execho mais si tu regardes bien le programme de ce bac pro il ressemble étrangement au programme de formation As. 

"Oui" et "Non" sont les mots les plus courts et les plus faciles à prononcer et ceux qui demandent le plus d'examen.Talleyrand
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Re: nouveau bac pro assp
Lors de séances d'éducation thérapeutique, on apprend au patient a être autonome, dans son hygiène de vie et son traitement. La patient, n'est plus assujeti à l'hôpital pour vivre, il apprend à vivre et gérer sa maladie.
N'importe qui peut acheter un appreil et prendre sa tension, et justement si le patient est éduquée, il sait prendre sa tension correctement, et pourtant il est non soignant. Donc je le répète, un NON soignant peut prendre une tension. Ce qu'il y a derrière regarde le soignant, mais dans l'aide et l'accompagnement à la personne, c'est largement suffisant. CAR le fils, la fille, l'aidant naturel d'un patient le fait déjà.
Je vous donne la réponse : NON
le vrai, le concret ... Il est temps (pour nous tous) de sortir de l'hopital et de se rappeler comment on fait dehors.
Je le répète, je n'ai pas une vision aigue de la pathologie. Un patient vit en dehors de l'hôpital, qu'est-ce qu'on met en place pour lui ? Vu qu'il n'est pas possible pour une AS d'exercer en libéral, ce Bac semble être une bonne réponse.
N'importe qui peut acheter un appreil et prendre sa tension, et justement si le patient est éduquée, il sait prendre sa tension correctement, et pourtant il est non soignant. Donc je le répète, un NON soignant peut prendre une tension. Ce qu'il y a derrière regarde le soignant, mais dans l'aide et l'accompagnement à la personne, c'est largement suffisant. CAR le fils, la fille, l'aidant naturel d'un patient le fait déjà.
Le patient quand il est chez lui fait il une toilette en technique ?cathy746 a écrit :comment peux tu dire que les ifas sont hors realite!! meme si effectivement il y a parfois decalage entre realite et theorie les BONNES BASES sont là et enseigne par le corps infirmiers!.
Je vous donne la réponse : NON
le vrai, le concret ... Il est temps (pour nous tous) de sortir de l'hopital et de se rappeler comment on fait dehors.
Je le répète, je n'ai pas une vision aigue de la pathologie. Un patient vit en dehors de l'hôpital, qu'est-ce qu'on met en place pour lui ? Vu qu'il n'est pas possible pour une AS d'exercer en libéral, ce Bac semble être une bonne réponse.
infirmier dans une vie antérieure.
Re: nouveau bac pro assp
Je me pose aussi la question du financement.
Vous croyez que les employeurs vont embaucher ces BAC Pro, (qui seront normalement plus payés que les AS, puisque niveau plus haut...), alors que dans beaucoup d'établissements et à domicile aussi, on embauche des AVS, voire des BEP Sanitaire à la place des AS, ....pour les payer moins cher..
Et, ce BAC en 3 ans, ressemble étrangement au BEP sanitaire et social + la mention complémentaire, que beaucoup ont fait..
Et c'est vrai qu'on entendait parler d'un groupement AS/AVS/AMP. Le voila t-il ???

Vous croyez que les employeurs vont embaucher ces BAC Pro, (qui seront normalement plus payés que les AS, puisque niveau plus haut...), alors que dans beaucoup d'établissements et à domicile aussi, on embauche des AVS, voire des BEP Sanitaire à la place des AS, ....pour les payer moins cher..
Et, ce BAC en 3 ans, ressemble étrangement au BEP sanitaire et social + la mention complémentaire, que beaucoup ont fait..
Et c'est vrai qu'on entendait parler d'un groupement AS/AVS/AMP. Le voila t-il ???

Re: nouveau bac pro assp
Ce qui m'interpelle moi, c'est le volet éducation thérapeutique sur des personnes malades et dépendantes.Creol a écrit :Lors de séances d'éducation thérapeutique, on apprend au patient a être autonome, dans son hygiène de vie et son traitement.
Au jour d'aujourd'hui qui bénéficie d'1 ETP, par qui, où, comment et combien de temps ?
Est ce que les pré-requis sont évalués ? Est ce que l'on s'assure pour la sortie et une fois sorti de l'hôpital que l'information a été comprise ? Est ce que la gestion du ttt est réalisable ne serait ce que physiquement ?
Demain, le/la titulaire du Bac Pro ASSP, en structure comme à domicile, selon la compétence [ Aide à la prise de médicament,
Vérification de la prise de médicament, dans le respect de la législation en vigueur,
Vérification de la prise de médicament conformément à la prescription médicale ]
en a légalement la responsabilité si la PEC de la personne dépendante n'est pas effectuée par 1 SSIAD ou 1 IDEL.
Est ce que vérifier que ce qu'il y a dans le pilulier est conforme à la prescription médicale suffit (à condition de ne pas être perdu dans les génériques) ? Ne faut il pas comprendre la prescription médicale, avoir été formé à la pharmacologie pour éventuellement adapter le ttt selon la clinique ou la biologie (selon 1 nouvelle prescription bien sûr) ?
Donc quel niveau de formation sur cette ETP et dispensé par qui ?
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Re: nouveau bac pro assp
si ce n'est pas le patient, c'est sa famille. Dans ma région il y a un fort taux de patients diabétique. Cette pathologie peut se déclarer très tôt (en primaire) ou assez tard (plus de 70 ans). Une personne ressource est donc nécessaire. Pour les ssiad ou HAD, l'éducation informelle se fait auprès de l'aidant naturel. C'est parfois la "dame" qui fait le repas le matin qui fait le dextro avant.moutarde a écrit :Ce qui m'interpelle moi, c'est le volet éducation thérapeutique sur des personnes malades et dépendantes.Au jour d'aujourd'hui qui bénéficie d'1 ETP, par qui, où, comment et combien de temps ?
Ma réponse sera également locale.moutarde a écrit :Est ce que les pré-requis sont évalués ? Est ce que l'on s'assure pour la sortie et une fois sorti de l'hôpital que l'information a été comprise ? Est ce que la gestion du ttt est réalisable ne serait ce que physiquement ?
Il existe des structures extra hospitalière pour continuer le travail educatif effectué en service. D'une manière générale, une fois sorti de l'hoptial, le patient diabète de novo, hypertendu de novo ou ayant eu un infarctus du myocarde sortira autonome au niveau de son hygiène de vie et de son traitement. S'il ne le peut pas, c'est la/les personne(s) ressource(s) qui le seront.
N'étant pas spéciliste du sujet, je suis dans l'incapacité d'emmetre un avis.cosmos a écrit :Je me pose aussi la question du financement.
Il est évident que de donner un sens dans chacun des gestes est important. Mais le patient est à son domicile, il prend un traitement de manière discipliné comme n'importe quel malade qui suit la prescription du médecin. A ce stade, non il n'y a pas besoin d'un professionnel aguéri. Je ne dis pas que ce n'est pas nécessaire. Mais quand un individu prépare et donne les médicaments à un de ses proches, est il formé pour celà ?Ne faut il pas comprendre la prescription médicale, avoir été formé à la pharmacologie pour éventuellement adapter le ttt selon la clinique ou la biologie
infirmier dans une vie antérieure.
Re: nouveau bac pro assp
Tout à fait d'accord et c'est un phénomène qui prend de l'ampleur. Les patients et les aidants sont formés par des entreprises spécialisées (VITALAIR par exemple).Creol a écrit :Une personne ressource est donc nécessaire. Pour les ssiad ou HAD, l'éducation informelle se fait auprès de l'aidant naturel. C'est parfois la "dame" qui fait le repas le matin qui fait le dextro avant.
+ 1Creol a écrit : Il existe des structures extra hospitalière pour continuer le travail educatif effectué en service.
Il est exact qu'à domicile c'est de plus en plus souvent l'aide ménagère ou l'AVS qui est l'interlocuteur privilégié du médecin. De plus, il ne faut pas oublier qu'une ordonnance comportant la mention AVC (Acte de la Vie Courante) permet à n'importe quel aidant de préparer le traitement médicamenteux d'un patient.Creol a écrit :Mais le patient est à son domicile, il prend un traitement de manière discipliné comme n'importe quel malade qui suit la prescription du médecin. A ce stade, non il n'y a pas besoin d'un professionnel aguéri.
Re: nouveau bac pro assp
Iatrogénie médicamenteuse chez la personne âgée
10 à 20 % des hospitalisations...
soit 144 000 hospitalisations/an ; mais quelquefois, le lien entre l'hospitalisation et la iatrogénie ne sera pas fait). Donc > 20 % pour certaines études.
4 ème cause de mortalité chez la PA (106 000 décès/an en 2008).
Ces hospitalisations représentent 1 480 885 journées d’hôpital. Un coût très élevé.
Des souffrances pour certaines évitables.
Dans les circonstances favorisantes, on note la polymédication, l'automédication et l'inobservance thérapeutique.
10 à 20 % des hospitalisations...
soit 144 000 hospitalisations/an ; mais quelquefois, le lien entre l'hospitalisation et la iatrogénie ne sera pas fait). Donc > 20 % pour certaines études.
4 ème cause de mortalité chez la PA (106 000 décès/an en 2008).
Ces hospitalisations représentent 1 480 885 journées d’hôpital. Un coût très élevé.
Des souffrances pour certaines évitables.
Dans les circonstances favorisantes, on note la polymédication, l'automédication et l'inobservance thérapeutique.
Re: nouveau bac pro assp
cathi,tu rigoles,le programme total du bac pro c'est tellement énorme lu en entier et dans le détail,que l'on peut légitimement se demander s'il ne s'agit pas de conférences sans contrôle des connaissances.Que fais tu des stages des aides soignantes auprès de toutes les sortes de malades.Verras tu des élèves de 16 ans en neurologie faire des "toilettes "à l'hôpital?non,enfin,j'espère.
Re: nouveau bac pro assp
execho a écrit :Que fais tu des stages des aides soignantes auprès de toutes les sortes de malades.Verras tu des élèves de 16 ans en neurologie faire des "toilettes "à l'hôpital?non,enfin,j'espère.
Jusqu'à présent le BEP Sanitaire et Social comportait 8 semaines de stages.
Le nouveau bac pro ASSP comporte 22 semaines de stages
La formation AS en IFAS comporte 24 semaines de stages.
C'est trés proche, non ?
Re: nouveau bac pro assp
qui encadre les stages,c'est à quel endroit,pour les bac pro?Je ne sais pas mais il faudra revoir la nomenclature des actes infirmiers et le rôle propre et les textes sur l'exercice des professions ide et as?
Re: nouveau bac pro assp
Moutarde a dit :
[quoteDemain, le/la titulaire du Bac Pro ASSP, en structure comme à domicile, selon la compétence [ Aide à la prise de médicament,
Vérification de la prise de médicament, dans le respect de la législation en vigueur,
Vérification de la prise de médicament conformément à la prescription médicale ]
en a légalement la responsabilité si la PEC de la personne dépendante n'est pas effectuée par 1 SSIAD ou 1 IDEL.
][/quote]
Oui, comme les AVS.
[quoteDemain, le/la titulaire du Bac Pro ASSP, en structure comme à domicile, selon la compétence [ Aide à la prise de médicament,
Vérification de la prise de médicament, dans le respect de la législation en vigueur,
Vérification de la prise de médicament conformément à la prescription médicale ]
en a légalement la responsabilité si la PEC de la personne dépendante n'est pas effectuée par 1 SSIAD ou 1 IDEL.
][/quote]
Oui, comme les AVS.
Re: nouveau bac pro assp
Comme les AVS, la femme de ménage, le tonton, la cousine, la voisine...
La question que je (me) pose c'est puisque c'est une compétence du référentiel Bac pro ASSP, c'est sur quelle formation (contenu) et quels formateurs. Surtout si on regarde les chiffres de la iatrogénie médicamenteuse des PA. Bon, en même temps, cela fait moins de retraites à financer...
Donc, est-ce une évolution étant entendu que l'ETP se veut logiquement de ne pas se limiter à la distribution des cachetons ?
La question que je (me) pose c'est puisque c'est une compétence du référentiel Bac pro ASSP, c'est sur quelle formation (contenu) et quels formateurs. Surtout si on regarde les chiffres de la iatrogénie médicamenteuse des PA. Bon, en même temps, cela fait moins de retraites à financer...
Donc, est-ce une évolution étant entendu que l'ETP se veut logiquement de ne pas se limiter à la distribution des cachetons ?
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Re: nouveau bac pro assp
Tiens j'ai oublié de revenir sur ce sujet.
Maintenant je souhaiterai recentrer mon intervention sur le "qui forme qui".
Le problème concernant ce bac est qu'il va donner le qualifictif de "soignant" à une personne formée par des non soignant (ou supposé comme tel). Deuxièmement, il sera délivrer par l'éducation nationale et non par la DSDS, ce qui change tout en terme de reconnaissance.
Pour la première remarque, je reste persuadé qu'il n'y ait pas nécessaire que des soignants soient les enseignants de ce bac. Tout d'abord parcqu'il est effectué au sein d'un lycée professionnel, et parcqu'il est temps que les soignants aient des enseignants formés à la pédégogie et non des soignants/formateurs.
Des professionnels devront intervenir, certes, mais ne devront pas avoir la main mise sur ce diplôme. Il est plus que nécessaire que les soignants redescendent un peu sur terre et adopte un peu plus de pragmatisme et de réalisme dans leur apprentissage.
Pour la deuxième remarque, il est évident que ce diplome sera un diplome nationale, reconnu au niveau européen (voir plus) et (c'est ce qui le rend interressant) revetant une valeur diplomante fixe comme une valeur professionnelle.
Ainsi on ne parle pas de niveau, mais bien de bac. Il était évident qu'avec une formation infirmière niveau licence et une formation d'aide soignant/puer /AVS stagnant définivement au niveau brevet des collège, il aurait fallu un intermédiaire.
Avec le recul je me dis qu'il faudra peut être aux AS (avec ou sans bac) passer par ce diplome (par VAE ou autre procédé) pour tenter le concours d'entrée à l'ifsi sur liste réservé.
Je me dis également qu'au vu de la quasi disparition des formations post collège (niveau V) à l'exception des métiers de l'artisanat, il est fort probable que ce bac soit la simple expression de l'évolution du métier d'AS.
Et je persiste à dire que c'est uen bonne nouvelle pour mes collègues.
Il est donc urgent de former des personnes ressources à ce sujet. L'AVS, par exemple, est pour moi une personne ressource. A l'infirmier lors de ses tournées de surveiller la rigueur de la prise médicamenteuse et l'efficacité du traitement.
Maintenant je souhaiterai recentrer mon intervention sur le "qui forme qui".
Le problème concernant ce bac est qu'il va donner le qualifictif de "soignant" à une personne formée par des non soignant (ou supposé comme tel). Deuxièmement, il sera délivrer par l'éducation nationale et non par la DSDS, ce qui change tout en terme de reconnaissance.
Pour la première remarque, je reste persuadé qu'il n'y ait pas nécessaire que des soignants soient les enseignants de ce bac. Tout d'abord parcqu'il est effectué au sein d'un lycée professionnel, et parcqu'il est temps que les soignants aient des enseignants formés à la pédégogie et non des soignants/formateurs.
Des professionnels devront intervenir, certes, mais ne devront pas avoir la main mise sur ce diplôme. Il est plus que nécessaire que les soignants redescendent un peu sur terre et adopte un peu plus de pragmatisme et de réalisme dans leur apprentissage.
Pour la deuxième remarque, il est évident que ce diplome sera un diplome nationale, reconnu au niveau européen (voir plus) et (c'est ce qui le rend interressant) revetant une valeur diplomante fixe comme une valeur professionnelle.
Ainsi on ne parle pas de niveau, mais bien de bac. Il était évident qu'avec une formation infirmière niveau licence et une formation d'aide soignant/puer /AVS stagnant définivement au niveau brevet des collège, il aurait fallu un intermédiaire.
Avec le recul je me dis qu'il faudra peut être aux AS (avec ou sans bac) passer par ce diplome (par VAE ou autre procédé) pour tenter le concours d'entrée à l'ifsi sur liste réservé.
Je me dis également qu'au vu de la quasi disparition des formations post collège (niveau V) à l'exception des métiers de l'artisanat, il est fort probable que ce bac soit la simple expression de l'évolution du métier d'AS.
Et je persiste à dire que c'est uen bonne nouvelle pour mes collègues.
infirmier dans une vie antérieure.