TFE : sexualité chez les handicapés moteurs
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Re: Mémoire: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
Exactement.
Quid des patients atteints d'autres pathologies?
Et puis que veut dire "satisfaire le besoin sexuel"? ça veut dire faire jouir?, ça veut dire mettre des bougies, de la musique douce et regarder l'autre avec des yeux de merlans frits?
Le sexe est-il uniquement un moyen de "se soulager"? (ça veut dire quoi d'ailleurs "soulager"?...soulager qui?).
Et puis vous voulez apporter du sexe alors que si ça s'trouve le frigo du mec est vide, les ampoules pas changées, les toilettes bouchés...
Quid des patients atteints d'autres pathologies?
Et puis que veut dire "satisfaire le besoin sexuel"? ça veut dire faire jouir?, ça veut dire mettre des bougies, de la musique douce et regarder l'autre avec des yeux de merlans frits?
Le sexe est-il uniquement un moyen de "se soulager"? (ça veut dire quoi d'ailleurs "soulager"?...soulager qui?).
Et puis vous voulez apporter du sexe alors que si ça s'trouve le frigo du mec est vide, les ampoules pas changées, les toilettes bouchés...
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: Mémoire: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
J'ai eu peur (j'ai imaginé des trucs ...)augusta a écrit :ça veut dire mettre des bougies.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Mémoire: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
j'ai beau faire un effort j'ai du mal a comprendre le sens de cette réponse ...augusta a écrit :Exactement.
Quid des patients atteints d'autres pathologies?
Et puis que veut dire "satisfaire le besoin sexuel"? ça veut dire faire jouir?, ça veut dire mettre des bougies, de la musique douce et regarder l'autre avec des yeux de merlans frits?
Le sexe est-il uniquement un moyen de "se soulager"? (ça veut dire quoi d'ailleurs "soulager"?...soulager qui?).
Et puis vous voulez apporter du sexe alors que si ça s'trouve le frigo du mec est vide, les ampoules pas changées, les toilettes bouchés...
tout comme j'ai du mal à comprendre l'aggressivité qui se degage de vos propos ainsi quand dans ceux de loulic ...
je constate en tout cas que vous semblez prendre la citation du maréchal Ney à la lettre "l'abondance de mitraille compense l'imprécision du tir", quelle abondance dans la mitraille ! c'est même un feu de barrage !
je pensais juste trouver des gens aptes à une discution sans que celle ci ne passe par de tels exces. mais j'aurais appris en revanche qu'en effet ce sujet plus que polémique même chez les soignants n'est pas dénué de passion et j'aurais compris l'importance des barrages qui existent avant de pouvoir faire avancer le débat.
en ceci je vous remercie.
ESI 2010/2013
Bourg Fleyriat
Bourg Fleyriat
Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
.
Dernière modification par loulic le 03 janv. 2014 23:22, modifié 1 fois.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
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Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
Vous êtes convaincu d'une chose, tolérez que nous soyons convaincus d'une autre.
Le sexe n'est pas une "prestation".
Etre empathique, tenir la main, écouter, partiquer le toucher massage oui, tant que vous voulez, une turlute pour "soulager" un patient non.
Et une turlute n'a rien à voir avec le fait de "rapprocher des lits".
Le sexe n'est pas une "prestation".
Etre empathique, tenir la main, écouter, partiquer le toucher massage oui, tant que vous voulez, une turlute pour "soulager" un patient non.
Et une turlute n'a rien à voir avec le fait de "rapprocher des lits".
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
je n'ai pas donné de réponse, je m'interroge ...
et je suis complétement d'accord avec vous sur le fait que ce problème est complexe et qu'analyser les différentes situations est primordial.
je ne suis pas convaincu de la necessité des assistants sexuels mais convaincu de la necessité de s'interroger sur le sujet et de ne pas le balayer d'un revers de main en assimilant ca a de la prostitution je vous conseille l'éloquent reportage suivant : http://www.dailymotion.com/video/xh8g53 ... ie1_webcam
( je signale qu'il nous a été projeté en cours dans le cadre d'un travail sur la relation d'aide, s'en est suivi un débat ou chacun a pu s'exprimer librement )
encore une fois je ne suis convaincu que de l'importance du débat
je ne releve pas la reflexion mettant en doute ma culture sur la citation du marchal 
et je suis complétement d'accord avec vous sur le fait que ce problème est complexe et qu'analyser les différentes situations est primordial.
je ne suis pas convaincu de la necessité des assistants sexuels mais convaincu de la necessité de s'interroger sur le sujet et de ne pas le balayer d'un revers de main en assimilant ca a de la prostitution je vous conseille l'éloquent reportage suivant : http://www.dailymotion.com/video/xh8g53 ... ie1_webcam
( je signale qu'il nous a été projeté en cours dans le cadre d'un travail sur la relation d'aide, s'en est suivi un débat ou chacun a pu s'exprimer librement )
bien sur ! je ne peut que vous rejoindre sur ce point ! mais le travail des assistants passe aussi par le fait de faciliter la relation au sein du couple et vous admettrez que je n'ai jamais défendu le fait de faire une turlutte a un patient.augusta a écrit :Et une turlute n'a rien à voir avec le fait de "rapprocher des lits".
encore une fois je ne suis convaincu que de l'importance du débat



ESI 2010/2013
Bourg Fleyriat
Bourg Fleyriat
Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
C'est bien. Parce que ce n'était pas le sens de tes messages jusqu'à présent.cryo71 a écrit :je n'ai pas donné de réponse, je m'interroge ...
Reste que assistant sexuel, illégal pour l'heure, est une activité qui a pour but de donner des prestations d'ordre sexuel contre de l'argent ce qui répond bien au terme de prostitution.
Après, si on n'est pas opposé à la prostitution (cadrée),il n'y a pas lieu de créer une "spécialisation" de cette branche et si on est opposé à la prostitution, on ne peut être qu'opposé à l'assistanat sexuel.
Par ailleurs, qu'est ce qu'un handicapé moteur ou physique ? Donc, un éventuel assistant sexuel pour qui ? Quels critères de sélection et égalité d'accès à la prestation ? Pour quel tarif et financé par qui ? Quelle formation et dispensée par qui ?
Enfin, j'aimerais bien que :
Tu nous exposes ta définition du soin
Tu nous expliques ce qu'est un (simple) rapport sexuelcryo71 a écrit : celà fait il partie du role propre ? est-ce un soin de confort et de bien etre ?
Et si possible sans revenir sur la notion par forcément partagée d'empathie et/ou de toucher empathique.cryo71 a écrit :c'est une activité tarifiée certe mais elle va bien au delà du simple rapport sexuel.
Que tu nous fasses part des conclusions des formateurs IFSI ou de ce qui est ressorti de cette relation d'aide (et par quels acteurs) qui pourrait se dégager des situations évoquées lors de la projection du documentaire.
Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
on se tutoie maintenant ? ^^
la seule réponse que j'ai donnée c'est n'écartons aucune piste
je cite : " Comment se peut-il que l'assistance sexuelle aux personnes handicapées soit aussi facilement assimilée à la prostitution ? Les deux arguments fondamentaux, argent et contrainte, en sont totalement absents. Dans l'assistance sexuelle, il n'existe pas de transactions marchandes. Seuls les frais sont pris en charge et la prestation sensuelle est seulement basée sur le volontariat, pas sur la contrainte, même économique.
Les volontaires disposent d'une formation adaptée aux réalités du handicap. Chacune des deux parties peut à tout moment refuser la proposition de l'autre et souvent la prestation reste plus sensuelle que sexuelle. Alors, pourquoi cette assimilation avilissante à la traite d'êtres humains et ce refus d'officialisation sinon par affirmation idéologique de la toute puissance d'un ordre puritain ? "
Thierry Lodé
Paraplégique et professeur d'écologie évolutive < ( oui je sais ça sonne pas très sérieux
)
il n'y a donc pas de compensation financière juste un remboursement des frais
après la ou je vous rejoins c'est quelle formation et dispensée par qui là OUI au secours ! on est sur un terrain dangereux ! ça peut rapidement dériver sur le grand n'importe quoi d'où d'après moi l'importance de légiférer si cette solution devait être envisagée ( j'ai pas dit que c'etait facile ni que j'avais la solution ).
pour ma définition du soin et du rôle propre, je suis enfant de mes lectures et pour l'instant ma définition est celle que l'on m'apprend ( je n'ai pas les moyens encore de créer la mienne ) :
Article R. 4311-3 : « Relèvent du rôle propre de l'infirmier ou de l'infirmière les soins liés aux fonctions d'entretien et de continuité de la vie et visant à compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d'autonomie d'une personne ou d'un groupe de personnes.
sur cet exemple je citais l'IDE qui prenait sur lui de rapprocher le couple en déplacant le lit et en rapprochant les résidents dans le lit car compte tenu de leur handicap celà leur était impossible. le sens de ma question était : " est-ce son rôle ? est-ce légal ? dans la mesure ou il palie un manque d'autonomie de la personne textuellement celà justifie qu'on se pose la question ( je n'ai pas dit que ma réponse était positive je m'interroge )
un simple rapport sexuel : je parlais de ça puisque je défendais l'idée que de ce que j'en savais les assistants sexuels aide aussi les couples à se retrouver en leur facilitant le rapprochement physique ( d'ailleurs certains ne font que ça ) et que je souhaitait que leur travail ne soit pas réduit justement a un acte de prostitution. en ce qui concerne la definition de rapport sexuelle elle appartient à chacun et toutes sont respectable ( dans le cadre de la légalité bien sûr )
en ce qui concerne la projection du film je doit avouer que la plupart des étudiants avaient un sentiment assez positif sur cette activité car on voit bien dans le documentaire que les gens qui la pratique ne sont ni déviants si prostitués. Attention, certaines choses sont contestables et ce n'est pas la panacée !
pour ce qui est de la conclusion des formateurs : c'est que la sexualité fait partie de la vie et que la pertubation de cette fonction peut engendrer une souffrance et qu'elle méritait d'etre entendue. pour l'instant compenser ce manque d'autonomie n'est le role de personne et que cette solution pour être viable devait être cadrée mais qu'elle n'etait pas dénuée d'interet. les formateurs nous ont donnés leurs avis personnels argumentés et nous ont laissés nous faire le notre. de longues discutions se sont prolongées parmis les étudiants après les cours et les échanges furent assez riches mais globalement personne n'a assimilé ça à de la prostitution.
voilà j'espere avoir répondu à vos questions et je vous remercie de les avoir posées j'ai ainsi l'impression de ne pas être détruit à chaque post mais d'être écouté.
la seule réponse que j'ai donnée c'est n'écartons aucune piste

je cite : " Comment se peut-il que l'assistance sexuelle aux personnes handicapées soit aussi facilement assimilée à la prostitution ? Les deux arguments fondamentaux, argent et contrainte, en sont totalement absents. Dans l'assistance sexuelle, il n'existe pas de transactions marchandes. Seuls les frais sont pris en charge et la prestation sensuelle est seulement basée sur le volontariat, pas sur la contrainte, même économique.
Les volontaires disposent d'une formation adaptée aux réalités du handicap. Chacune des deux parties peut à tout moment refuser la proposition de l'autre et souvent la prestation reste plus sensuelle que sexuelle. Alors, pourquoi cette assimilation avilissante à la traite d'êtres humains et ce refus d'officialisation sinon par affirmation idéologique de la toute puissance d'un ordre puritain ? "
Thierry Lodé
Paraplégique et professeur d'écologie évolutive < ( oui je sais ça sonne pas très sérieux

il n'y a donc pas de compensation financière juste un remboursement des frais
après la ou je vous rejoins c'est quelle formation et dispensée par qui là OUI au secours ! on est sur un terrain dangereux ! ça peut rapidement dériver sur le grand n'importe quoi d'où d'après moi l'importance de légiférer si cette solution devait être envisagée ( j'ai pas dit que c'etait facile ni que j'avais la solution ).
pour ma définition du soin et du rôle propre, je suis enfant de mes lectures et pour l'instant ma définition est celle que l'on m'apprend ( je n'ai pas les moyens encore de créer la mienne ) :
Article R. 4311-3 : « Relèvent du rôle propre de l'infirmier ou de l'infirmière les soins liés aux fonctions d'entretien et de continuité de la vie et visant à compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d'autonomie d'une personne ou d'un groupe de personnes.
sur cet exemple je citais l'IDE qui prenait sur lui de rapprocher le couple en déplacant le lit et en rapprochant les résidents dans le lit car compte tenu de leur handicap celà leur était impossible. le sens de ma question était : " est-ce son rôle ? est-ce légal ? dans la mesure ou il palie un manque d'autonomie de la personne textuellement celà justifie qu'on se pose la question ( je n'ai pas dit que ma réponse était positive je m'interroge )
un simple rapport sexuel : je parlais de ça puisque je défendais l'idée que de ce que j'en savais les assistants sexuels aide aussi les couples à se retrouver en leur facilitant le rapprochement physique ( d'ailleurs certains ne font que ça ) et que je souhaitait que leur travail ne soit pas réduit justement a un acte de prostitution. en ce qui concerne la definition de rapport sexuelle elle appartient à chacun et toutes sont respectable ( dans le cadre de la légalité bien sûr )
en ce qui concerne la projection du film je doit avouer que la plupart des étudiants avaient un sentiment assez positif sur cette activité car on voit bien dans le documentaire que les gens qui la pratique ne sont ni déviants si prostitués. Attention, certaines choses sont contestables et ce n'est pas la panacée !
pour ce qui est de la conclusion des formateurs : c'est que la sexualité fait partie de la vie et que la pertubation de cette fonction peut engendrer une souffrance et qu'elle méritait d'etre entendue. pour l'instant compenser ce manque d'autonomie n'est le role de personne et que cette solution pour être viable devait être cadrée mais qu'elle n'etait pas dénuée d'interet. les formateurs nous ont donnés leurs avis personnels argumentés et nous ont laissés nous faire le notre. de longues discutions se sont prolongées parmis les étudiants après les cours et les échanges furent assez riches mais globalement personne n'a assimilé ça à de la prostitution.
voilà j'espere avoir répondu à vos questions et je vous remercie de les avoir posées j'ai ainsi l'impression de ne pas être détruit à chaque post mais d'être écouté.
ESI 2010/2013
Bourg Fleyriat
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Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
je rajoute que je suis peut être touché par le sujet pour avoir travaillé longuement avec la population handicapée en tant qu' encadrant éducateur avant de commencer mes études en IFSI ( mentaux et moteur dans 2 établissements différents ) et que j'avoue avoir été choqué par le fait de donner des dérivés morphiniques à un résidents souffrant de coliques spermatiques causées par une trop grande exitation et l'impossiblité physique de se soulager. celà m'a amené à me questionner sur le bienfondé de l'activité dont nous débatons.
désolé d'avoir été aussi long
désolé d'avoir été aussi long

ESI 2010/2013
Bourg Fleyriat
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Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
Je ne vois aucun irrespect dans l'emploi du tutoiement dans nos professions et sur le net. Bien au contraire, c'est à mon sens mettre sur un pied d'égalité tous les intervenants : ESI, IDE SG ou spécialisés. Cela dit, je respecte et je m'excuse si vous les acceptez.cryo71 a écrit :on se tutoie maintenant ? ^^
cryo71 a écrit :Les deux arguments fondamentaux, argent et contrainte, en sont totalement absents. Dans l'assistance sexuelle, il n'existe pas de transactions marchandes.
C'est faux. D'une part, le travail gratuit est illicite en France et d'autre part, la prestation d'assistanat sexuel en Suisse par exemple se situe entre 100 et 150 FRS /heure (voire en euros...)cryo71 a écrit : il n'y a donc pas de compensation financière
cqfd quant à l prostitution et aux questions posées plus haut.
Autrement dit, selon vous, c'est du rôle propre de l'IDE de pratiquer l'assistanat sexuel des handicapés moteurs/physiques ?cryo71 a écrit :Article R. 4311-3 : « Relèvent du rôle propre de l'infirmier ou de l'infirmière les soins liés aux fonctions d'entretien et de continuité de la vie et visant à compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d'autonomie d'une personne ou d'un groupe de personnes.
En effet, il s'agit d'une liberté individuelle - et toujours pas de définition normalisée - sur laquelle il n'y a pas lieu de légiférer ni de jugement à formuler.cryo71 a écrit : en ce qui concerne la definition de rapport sexuelle elle appartient à chacun
Cela dit, cela ne répond pas à certaines questions que je vous ai posées
moutarde a écrit : Par ailleurs, qu'est ce qu'un handicapé moteur ou physique ? Donc, un éventuel assistant sexuel pour qui ? Quels critères de sélection et égalité d'accès à la prestation ? Pour quel tarif et financé par qui ? Quelle formation et dispensée par qui ?
Je pense aussi à une question formulée par Augusta sur certaines priorités vitales et/ou fondamentales qui ne sont pas honorées sur cette catégorie de population.moutarde a écrit :Que vous nous fassiez part des conclusions des formateurs IFSI ou de ce qui est ressorti de cette relation d'aide (et par quels acteurs) qui pourrait se dégager des situations évoquées lors de la projection du documentaire.
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Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
A mon avis il y a une notion qu'on doit garder à l'esprit: la limite du soin.
Un soignant ne peut pas résoudre tous les problèmes du patient qu'il prend en charge: qu'ils soient sexuels (désir non assouvi, besoin d'éjaculer, sexualité réduite, abstinence...), existentiels (désir de mourir, je pense à l'euthanasie)...
On peut écouter beaucoup, résoudre tout....c'est impossible.
Un soignant ne peut pas résoudre tous les problèmes du patient qu'il prend en charge: qu'ils soient sexuels (désir non assouvi, besoin d'éjaculer, sexualité réduite, abstinence...), existentiels (désir de mourir, je pense à l'euthanasie)...
On peut écouter beaucoup, résoudre tout....c'est impossible.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: TFE: La sexulaité chez les handicapés moteurs.
J'ai choisi à l'IFSI de faire le module optionnel "Sexualité, sexualités". Et j'ai donc eu l'intervention d'une personne handicapée moteur qui a répondu aux questions que tu te poses. Il s'agit de Marcel Nuss.
Je pense que via ses livres tu trouveras ton bonheur.
Bon courage
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