Entraînement aux cas concrets (concours pour AS)

[titelilou]

Encore un sujet de réfexion

Vous êtes AS en médecine interne qui accueille 22 patients avec des pathologies différentes dont Monsieur V, 49 ans, hospitalisé dans le service pour hyperthermie sur syndrôme grippal.
Suite aux examens médicaux, il est découvert une défense immunitaire au plus bas avec un diagnostic de VIH. Lors de la visite du médecin, le diagnostic est présenté a Mr V. Aprés réflexion, Mr V ne souhaite pas divulguer le diagnostic de sa maladie pour protéger ses proches. Il est convenu avec l'équipe médicale de ne pas donner le diagnostic à la famille.
Mr V est célibataire, sans enfant et vit avec sa maman âgée de 80 ans. Il a 1 frère et 1 soeur. Mr V travaille dans les travaux publics. Il ne pleure pas, il ne présente aucune réaction émotive lors de l'annonce de sa maladie.

QUESTION :
Au regard de la situation et en vous appuyant sur vos connaissances sur les droits du patient, justifiez la relation que vous instaurez auprès de Mr V.

La correction viendra plus tard Bon courage les fillesLadylilas

Mr V est hospitalisé pour syndrôme grippal avec hyperthermie. Cet homme de 49 ans est célibataire, sans enfant, il a un frére et une soeur et vit avec sa mére de 80 ans.Suite aux examens effectués, le médecin lui apprend qu'il est atteint du virus VIH.
Mr V n'a pas manifesté d'émotion depuis l'annonce de la maladie, mais souhaite que sa famille ne soit pas mise au courant.
L'équipe médicale décide de respecter son choix et de ne rien divulguer.
Le VIH est une maladie à déclaration obligatoire, c'est à dire qu'elle doit être déclarée aux autorités sanitaires par le médecin.
Cependant, en ce qui concerne les proches, il n'y a aucune obligation de leur annoncer, c'est au patient de décider.
Mr V est sous le choc de la nouvelle, beaucoup d'idées et des questions doivent se bousculer dans sa tête, mais il ne les exprime pas pour le moment.
Il a besoin de temps, mais je lui ferai savoir que lorsqu'il sera prêt, je me rendrai disponible pour l'écouter et répondre, dans la mesure de mes compétences, à ses questions.
Je respecterai son choix sans porter de jugement.Il appartiendra à Mr V, lorsqu'il aura avancé dans sa démarche sur la maladie, de changer d'avis ou non quant l'annonce de sa maladie à ses proches.
Néanmoins, il devra être informé avant sa sortie, sur les risques de transmissions du virus, c'est un homme jeune qui, même s'il n'est pas marié, peut avoir des partenaires sexuelles ou des conduites à risques et devra donc se responsabiliser.
Nous devrons lui expliquer les moyens de protection et leur importance et s'assurer qu'il ait compris.

[steph05]

Encore un sujet de réfexion

Vous êtes AS en médecine interne qui accueille 22 patients avec des pathologies différentes dont Monsieur V, 49 ans, hospitalisé dans le service pour hyperthermie sur syndrôme grippal.
Suite aux examens médicaux, il est découvert une défense immunitaire au plus bas avec un diagnostic de VIH. Lors de la visite du médecin, le diagnostic est présenté a Mr V. Aprés réflexion, Mr V ne souhaite pas divulguer le diagnostic de sa maladie pour protéger ses proches. Il est convenu avec l'équipe médicale de ne pas donner le diagnostic à la famille.
Mr V est célibataire, sans enfant et vit avec sa maman âgée de 80 ans. Il a 1 frère et 1 soeur. Mr V travaille dans les travaux publics. Il ne pleure pas, il ne présente aucune réaction émotive lors de l'annonce de sa maladie.

QUESTION :
Au regard de la situation et en vous appuyant sur vos connaissances sur les droits du patient, justifiez la relation que vous instaurez auprès de Mr V.

La correction viendra plus tard Bon courage les fillesLadylilas

Mr V est hospitalisé pour syndrôme grippal avec hyperthermie. Cet homme de 49 ans est célibataire, sans enfant, il a un frére et une soeur et vit avec sa mére de 80 ans.Suite aux examens effectués, le médecin lui apprend qu'il est atteint du virus VIH.
Mr V n'a pas manifesté d'émotion depuis l'annonce de la maladie, mais souhaite que sa famille ne soit pas mise au courant.
L'équipe médicale décide de respecter son choix et de ne rien divulguer.
Le VIH est une maladie à déclaration obligatoire, c'est à dire qu'elle doit être déclarée aux autorités sanitaires par le médecin.
Cependant, en ce qui concerne les proches, il n'y a aucune obligation de leur annoncer, c'est au patient de décider.
Mr V est sous le choc de la nouvelle, beaucoup d'idées et des questions doivent se bousculer dans sa tête, mais il ne les exprime pas pour le moment.
Il a besoin de temps, mais je lui ferai savoir que lorsqu'il sera prêt, je me rendrai disponible pour l'écouter et répondre, dans la mesure de mes compétences, à ses questions.
Je respecterai son choix sans porter de jugement.Il appartiendra à Mr V, lorsqu'il aura avancé dans sa démarche sur la maladie, de changer d'avis ou non quant l'annonce de sa maladie à ses proches.
Néanmoins, il devra être informé avant sa sortie, sur les risques de transmissions du virus, c'est un homme jeune qui, même s'il n'est pas marié, peut avoir des partenaires sexuelles ou des conduites à risques et devra donc se responsabiliser.
Nous devrons lui expliquer les moyens de protection et leur importance et s'assurer qu'il ait compris.

ouah...je trouve ta réponse tres precise

Voici la mienne, seulement ma 2è démarche de soins, car j'étais plutot tentée par les maths que je trouve plus facile a travailler. Bref, les forcenées peuvent elles me faire qq critques, je trouve ca tellement dur a corriger? merci d'avance

D'arès la charte des malades, les médecins sont tenus d'annoncer le diagnostic à leur patient et de leur proposer un traitement. Celui-ci peut refuser les soins s'il le désir. En outre, le patient a le droit de garder le secret concernant son VIH.
Mr.V a certainement besoin de tps pr comprendre ce qui lui arrive, et les incidences que cela entraine.
Il y a des précautions a prendre au vu de ses défenses immunitaires tres basses, il faudra respecter le lavage des mains, installer des solutions hydroalcoolisées, des blouses et des gants, ainsi que l'évacuation des linges sales, des déchets médicaux de sa chbre.
IL est hospitalisé pour hyperthermie, aussi une prise de température régulière doit être installée.
Je lui conseillerai sur sa tenue qui doit être légère, afin de faire baisser au +vite sa fièvre.
Je lui proposerai des soins d'hygiène rafraichissant : douche, mettrai une carafe avec un verre d'eau à sa disposition. Egalement un haricot ou crachoir( afin d'évacuer ses expectorations).
Des soins de confort, à savoir l'installer en position semi-assise, ou assise au fauteuil au vue du syndrome grippal, et donc de sa difficulté à bien respirer.
Pendant ces soins, j'essayerai de parler avec lui de son quotidien , comment il fait avec sa maman de 80 ans, par rapport a son travail (de sa vie avant l'annonce du diagnostic).
Je me montrerai le +disponible pr lui, qd il aura envie de communiquer.
Je transmettrai à l'IDE, mes soins, ainsi que ttes modifications, reactions du patient concernant des questions qu'il poserait.

[titelilou]

Bonjour Steph,

Je trouve ta réponse pas mal au début, quand tu parles de la chartre du malade, puis à la fin quand tu parles de disponibilité.
Mais pour le reste (même si c'est bien), je pense que tu es hors sujet, on te demande, les droits du malade que tu as traité et la relation que tu établis, mais pas les soins que tu apportes.
Relis bien la question et vois un peu plus haut, Ladylilas a mis la correction de son livre sur le sujet!!!
Essayes en d'autres

[ladylilas]

Bonjour Steph,

Je trouve ta réponse pas mal au début, quand tu parles de la chartre du malade, puis à la fin quand tu parles de disponibilité.
Mais pour le reste (même si c'est bien), je pense que tu es hors sujet, on te demande, les droits du malade que tu as traité et la relation que tu établis, mais pas les soins que tu apportes.
Relis bien la question et vois un peu plus haut, Ladylilas a mis la correction de son livre sur le sujet!!!
Essayes en d'autres

Bonjour Steph
Je suis d'accord avec titelilou , tu as développé la relation d'aide ce qui est bien pour tes révisions mais ici ce n'est pas demandé. Bon courage

[kikachi 971]

MERCI TITE LILOU PR TES CONSEILS

[val12]

madame A âgée d'une cinquantaine d'année, est hospitalisée en service de chirurgie pour de nombreux examens. Cette personne est très inquiète chaque fois que l'on vient lui faire un soin, elle dit avoir très peur.
L'aide soignante qui arrive a 13 heures remarque que le voyant de la sonnette de sa chambre est allumé. Elle entre dans la chambre ,Madame A lui dit qu'elle est terrorisée , en lui montrant le dispositif transcutané anesthésiant qui avait été posé par l'infirmière sur le site de prélèvement pressenti pour réaliser une gazométrie. Le dispositif transcutané anesthésiant était tombé dans le lit , à côté de l'avant bras.
Madame A, exprime sa panique car le dispositif n'est plus a sa place, il s'est décollé et déplacé. L'aide soignante explique alors a Mme A qu'elle va trouver une solution et revenir auprès d'elle rapidement. Dans les minutes qui suivent elle revient avec l'infirmière qui fixe le dispositif et lui explique qu'il est utilisé pour diminuer la douleur.
Trois quart d'heure plus tard, l'IDE revient dans la chambre pour réaliser la gazométrie, accompagnée de l'aide soignante. Le visage de mme A exprime sa peur et dit avoir honte de montrer cette peur qui l’envahit.
Pendant que l’infirmière prépare le soin, l’aide soignante lui prend la main, rassure la personne avec des paroles apaisantes, lui dit qu’elle va rester auprès d’elle, puis commence à parler avec Mme A de ses petites filles, a cause de la photo posée à ses cotés. Tout le temps du soin, l’échange entre l’aide soignante et la personne soignée est vécu comme très fort. Le prélèvement pour la gazométrie est terminé .mme A ne s’est pas aperçu que la gazométrie était terminée , elle ,e s’est rendu compte de rien, elle a remercié les soignantes puis elle a dit « je n’ai rien senti »
En sortant de la chambre, l’aide soignante dit à l’ide « je suis très étonnée par ce qui vient de ce passer, mme A a réussi a faire abstraction du soin et même du lieu ou elle se trouvait , comme si cette relation lui avait permis d’oublier ce pourquoi elle était la, son anxiété a disparu et semblai sereine »
L’ide a expliqué a l’as que mme A attendait les résultats des examens qu’on lui avait faits et qu’il y avait suspicion de cancer.


Question : Analysez le vécu de mme A et l’accompagnement des soignants

Nous sommes en présence de Mme a âgée d’une cinquantaine d ‘année hospitalisé pour de nombreux examens
Au regard de sa situation nous allons analysée sont vécu

Dans un premier temps Mme A est très inquiète elle dit avoir très peur. Elle décide de sonnet et une aide soignante vient la voir elle trouve Mme A en panique elle est terrorisée son dispositif transcutané anesthésiant pour la réalisation d’une gazométrie n’est plus à sa place il s’est décollé et déplacé il est tombé dans le lit.
Dans un deuxième temps l’aide soignante la rassure et lui dit qu’elle va trouver une solution et revenir.
Dans un quatrième temps l’ide et l’as revienne l’ide explique à quoi sert le dispositif qui lui était installé sur le bras, lui réinstalle et lui dit qu’elle reviendra pour lui faire la gazométrie
Dans un cinquième temps la patiente exprime toujours sa peur et dit avoir honte de cette peur qui l’envahit.
Dans un sixième temps l’aide soignante essai de détendre la patiente pas des gestes des paroles et pas des petites attentions comme celle de parler de ces petites filles, la patiente est détendu l’ide peu réaliser la gazométrie sans problème, la patiente n’a rien sentie, son anxiété a disparu elle semble sereine
L’ide explique que Mme A est en attente des résultats car il y avait suspicion de cancer.


Nous pourrons réagir que Mme A est hospitalisé, elle est dans un lieu inconnu ou elle ne connaît rien. Elle n’a pas eu d’explication tant sur le dispositif qui lui avait été installé, quel est son utilisation ?, durée d’utilisation ?, et maintenant il n’est plus en place elle à peur ! !. Elle doit subir une gazométrie là aussi il y à manquement au droit du patient loi du 4 mars 2002 qui stipule que tout patient doit être mit au courant de tous traitements de tous actes invasifs examens médicaux qui lui sont prodigués et de donné son accord et tout cela dans un langage clair et compréhensible et s’assurer de la bonne compréhension du patient.
Personne n’a expliquer à Mme A en quoi consistait une gazométrie. C’est un manque de considération et un acte qui aurai du être expliquer pour que l’examen se passe dans de très bonne condition.
Mme A est déjà inquiète du fait de son hospitalisation des résultats qu’elle attend elle à besoin d’être sécurisé des explications sur son hospitalisation le déroulement des soins auraient du être expliquer à son entrée.
L’ide et l’as décident de prendre en charge Mme A l’aide soignante la rassure afin qu’elle se sente en sécurité
La gazométrie a pu être réaliser Mme A se sent mieux.

L’ide explique que Mme A attend des résultats car il y avait suspicion de cancer, il est utile de se poser la question si les transmissions entre équipes soignantes sont bien effectuer car l’aide soignante du service n’était même pas au courant que Mme A était en attente de résultat car il y avait suspicion de cancer.

[élily]

de val12 le Jeudi 12 Jan 2012
Madame A âgée d'une cinquantaine d'année, est hospitalisée en service de chirurgie pour de nombreux examens. Cette personne est très inquiète chaque fois que l'on vient lui faire un soin, elle dit avoir très peur.....les résultats des examens qu’on lui avait faits et qu’il y avait suspicion de cancer.


Question : Analysez le vécu de mme A et l’accompagnement des soignants


Mme A est une femme d'une cinquantaine d'année, elle est mère et grand-mère.
Elle est hospitalisée pour réaliser des nombreux examens car il y a suspicion de cancer.
Elle est très angoissée, elle se dit terrorisée.
Le moindre soin est anxiogène pour elle.

Chez Mm A le besoin d'éviter les dangers est perturbés. En effet, mme A a besoin afin de favoriser son adaptation, et l'acceptation des soins, être entouré d'une ambiance calme et sécurisante. Pour cela l'équipe soignant devra informer cette patiente de la présence permanente des soignants, du jour comme de nuit. Lui expliquer aussi qu'il ne faut pas hésiter à sonner quelque soit le moment en cas de besoin.
Mme A doit savoir qu'elle n'est pas seule, et que toute une équipe est là pour prendre soin d'elle.
Mme A a besoin de communiquer. Séparée de sa famille par son hospitalisation, Mme A a besoin d'exprimer ses craintes, ses peurs par rapport au diagnostic attendu.
L'équipe devra se montrer à l'écoute, lui permettre d'exprimer ses émotions.
Mme A a apporter une photo de ses petites filles, la famille est très importante pour elle. Garder ce fil conducteur pour nouer avec elle le contact.
Il faudra repérer et transmettre les modifications d'humeur et de comportement de Mme a, et voir en équipe si un phychologue pourra être présent à l'annonce des résultats si ceux ci confirme un cancer.


bon, vous en pensez quoi??

[élily]

j'ai fait ce cas concret sans lire ta réponse pour ne pas être "influencée"...
Je trouve qu'il est vrai que l'on n'a pas dù expliquer le soin qu'il allait être réalisé...
La pose du pansement anesthésiant pour la gazométrie;
Le fait que l'As n'était pas au courant du but des examens pratiqués pour Mme A est sans conteste un manque du transmission. Cela est ( après lecture de ta copie) un point fort dans ce cas concret....
Bravo Val

[LilieMag]

Bonjour à toutes,
je suis AS depuis 2007 (3 ans et demi) et je compte tenter le concours en externe cette année.
Je me prépare donc toute seule, une collègue de boulot m'a prêté tout ce qu'elle a fait à la préparation au concours en interne.
Sur ses corrections on leur demande de répondre en citant à chaque fois quel besoin est perturbé, en tournant les phrases de façon impersonnel (ne pas dire "je", mais l'aide soignant).
Je suis un peu perdue !!
je sais aussi qu'il est probable qu'il y est des Maths et j'ai des lacunes.
Je reviens plus tard pour réviser avec vous et voir pour vous donner un exemple de cas concret de ma collègue, pour voir ce que vous en pensez.

[titelilou]

j'ai fait ce cas concret sans lire ta réponse pour ne pas être "influencée"...
Je trouve qu'il est vrai que l'on n'a pas dù expliquer le soin qu'il allait être réalisé...
La pose du pansement anesthésiant pour la gazométrie;
Le fait que l'As n'était pas au courant du but des examens pratiqués pour Mme A est sans conteste un manque du transmission. Cela est ( après lecture de ta copie) un point fort dans ce cas concret....
Bravo Val

Bonjour élily,

J'ai également trouvé que la façon dont Val a perçu le sujet était intéressante, mais en relisant encore, je ne suis pas tout à fait d'accord sur tout:
On ne sait pas si la gazométrie a été expliquée à cette patiente, ce n'est pas indiqué et tout comme dans le texte, on ne sait pas si Mme A sait qu'il y a suspicion de cancer,ça le laisse juste supposer.Pour ce qui est du patch anésthésiant l'infirmiére dit à Mme A à quoi il sert, c'est vrai qu'elle aurait dû lui dire au moment où elle l'a posé.Et effectivement les transmissions ont été omises...Ou le médecin est passé depuis les transmissions et a prescrit les gaz, on ne sait pas !
Cependant je pense que le but de la question était de faire surtout ressortir le fait qu'il y a eu une bonne prise en charge de la patiente et que malgré les peurs de Mme A, la gazométrie a pu se dérouler parfaitement.
J'ai donc traité ce sujet en pensant qu'il fallait insister sur ce point positif et non sur la problématique des transmissions.

[titelilou]

de val12 le Jeudi 12 Jan 2012
Madame A âgée d'une cinquantaine d'année, est hospitalisée en service de chirurgie pour de nombreux examens. Cette personne est très inquiète chaque fois que l'on vient lui faire un soin, elle dit avoir très peur.....les résultats des examens qu’on lui avait faits et qu’il y avait suspicion de cancer.


Question : Analysez le vécu de mme A et l’accompagnement des soignants


Mme A est une femme d'une cinquantaine d'année, elle est mère et grand-mère.
Elle est hospitalisée pour réaliser des nombreux examens car il y a suspicion de cancer.
Elle est très angoissée, elle se dit terrorisée.
Le moindre soin est anxiogène pour elle.

Chez Mm A le besoin d'éviter les dangers est perturbés. En effet, mme A a besoin afin de favoriser son adaptation, et l'acceptation des soins, être entouré d'une ambiance calme et sécurisante. Pour cela l'équipe soignant devra informer cette patiente de la présence permanente des soignants, du jour comme de nuit. Lui expliquer aussi qu'il ne faut pas hésiter à sonner quelque soit le moment en cas de besoin.
Mme A doit savoir qu'elle n'est pas seule, et que toute une équipe est là pour prendre soin d'elle.
Mme A a besoin de communiquer. Séparée de sa famille par son hospitalisation, Mme A a besoin d'exprimer ses craintes, ses peurs par rapport au diagnostic attendu.
L'équipe devra se montrer à l'écoute, lui permettre d'exprimer ses émotions.
Mme A a apporter une photo de ses petites filles, la famille est très importante pour elle. Garder ce fil conducteur pour nouer avec elle le contact.
Il faudra repérer et transmettre les modifications d'humeur et de comportement de Mme a, et voir en équipe si un phychologue pourra être présent à l'annonce des résultats si ceux ci confirme un cancer.


bon, vous en pensez quoi??

Re moi...
Je pense que tu réponds pas complétement à la question.Tu as analysé le vécu de Mme A comme demandé mais pas le comportement des soignantes.
Pour les soignantes tu n'analyses pas, tu dis comment elles devraient selon toi, prendre en charge la patiente...

[titelilou]

Je te mets ma façon de voir le sujet, je ne dis pas que c'est la bonne, loin de là, c'est pour ça qu'on échange sur ce sujet...
Nous sommes 3 à l'avoir traité et aucune de nous l'a vu de la même façon
Peut-être qu'il faut un peu des trois pour avoir une copie parfaite

madame A agée d'une cinquantaine d'année, est hospitalisée en service de chirurgie pour de nombreux examens.Cette personne est très inquiète chaque fois que l'on vient lui faire un soin, elle dit avoir très peur.
L'aide soignante qui arrive a 13 heures remarque que le voyant de la sonnette de sa chambre est allumé.Elle entre dans la chambre ,Madame A lui dit qu'elle est terrorisée , en lui montrant le dispositif transcutané anesthésiant qui avait été posé par l'infirmière sur le site de prélèvement pressenti pour réaliser une gazométrie.Le dispositif transcutané anesthésiant était tombé dans le lit , à côté de l'avant bras.
Madame A, exprime sa panique car le dispositif n'est plus a sa place, il s'est décollé et déplacé.L'aide soignante explique alors a Mme A qu'elle va trouver une solution et revenir auprès d'elle rapidement.Dans les minutes qui suivent elle revient avec l'infirmière qui fixe le dispositif et lui explique qu'il est utilisé pour diminuer la douleur.
Trois quart d'heure plus tard, l'IDE revient dans la chambre pour réaliser la gazométrie, accompagnée de l'aide soignante.Le visage de mme A exprime sa peur et dit avoir honte de montrer cette peur qui l’envahit.
Pendant que l’infirmière prépare le soin, l’aide soignante lui prend la main, rassure la personne avec des paroles apaisantes, lui dit qu’elle va rester auprès d’elle, puis commence à parler avec Mme A de ses petites filles, a cause de la photo posée à ses cotés.Tout le temps du soin,l’echange entre l’aide soignante et la personne soignée est vécu comme très fort.Le prélèvement pour la gazométrie est terminé .mme A ne s’est pas aperçu que la gazométrie était terminée , elle ,e s’est rendu compte de rien, elle a remercié les soignantes puis elle a dit « je n’ai rien senti »
En sortant de la chambre, l’aide soignante dit à l’ide « je suis très étonnée par ce qui vient de ce passer, mme A a reussi a faire abstraction du soin et même du lieu ou elle se trouvait , comme si cette relation lui avait permis d’oublier ce pourquoi elle était la, son anxiété a disparu et semblai sereine »
L’ide a expliqué a l’as que mme A attendait les resultats des examens qu’on lui avait faits et qu’il y avait suspicion de cancer.


Question : Analysez le vécu de mme A et l’accompagnement des soignants

Mme A est hospitalisée en chirurgie pour suspicion de cancer.Cette dame d'une cinquantaine d'années, doit subir de nombreux examens.
Face à son hospitalisation, ses examens et l'attente de ses résultats, il est bien légitime que Mme A soit anxieuse et paniquée.
La peur se lit sur son visage et Mme A l'exprime et dit en avoir honte.
Cette patiente est trés vulnérable et a besoin que cet aspect soit pris en compte.

Face à la situation rencontrée, l'aide-soignante a trés bien réagi.
Aprés avoir rassuré Mme A et demandé à l'infirmiére d'intervenir pour remettre le patch anesthésiant en place, elle est revenu avec l'infirmiére au moment de réaliser la gazométrie.
L'aide-soignante a su établir une relation de confiance avec Mme A en lui prenant la main.Elle a su détourner son attention du soin pratiqué par l'infirmiére, en lui parlant de ses petites filles.
Ainsi le prélévement a pu se faire dans de bonnes conditions pour la patiente et pour les soignantes.
Ceci montre l'importance de la relation établie entre soignant et soigné.Le rôle des soignants ne se limitent pas aux actes techniques, mais en une prise en charge du patient dans son intégralité.Pour soigner le corps, il faut aussi prendre en compte les détresses émotionnelles.
Le cas de Mme A fait ressortir également, l'importance du travail en équipe et du binôme: infirmiére/ aide-soignante.
Les deux soignantes sont avec Mme A dans un même but, effectuer la gazométrie dans de bonnes conditions.
Pendant que l'une s'affaire aux gestes techniques, l'autre, s'occupe du bien-être de Mme A, et ensembles, elles ont réussi à réaliser un soin de qualité autant pour elles-même que pour la patiente qui a réussi à se détendre et en a oublié les soins de l'infirmiére.

[ZABOU65]

comme vous l'avez fait, j'ai traité ce sujet avant de lire vos réponses, et c'est étonnant de voir la diversité des réponses et l'angle de celles-ci. une de mes collègues m'a dit qu'à la prépa, c'est de plus en plus des sujets de ce type et non axés sur les 14 besoins ou seulement un des 2...
apparemment je le traite plutot comme titelilou, pourtant c vrai qu'ils attendent aussi une critique des soignants... je trouve qu'il manque souvent des infos dans ces sujets, c vrai qu'on ne sait pas si Mme A est informé de la suspicion de cancer, de la présentation des soins. du coup je ne sais pas....voulait il orienter le sujet aussi sur la transmission des soignants ???
d'autres avis ?...


Mme A, une femme de 50 ans, est entrée en service de chirurgie pour effectuer de nombreux examens dont un pour suspicion d’un cancer…Elle est extrêmement anxieuse et son angoisse se transfert sur tous les soins qu’elle doit recevoir, en l’occurrence ici un gaz du sang.
Mme A a peur, on lui a apposé un patch d’anesthésie local en vue de lui faire un prélèvement douloureux et celui-ci est tombé dans le lit. Malgré l’intervention de l’AS et de l’IDE pour repositionner celui-ci et attendre de nouveau le délai d’action imparti. Mme A reste très angoissée lorsqu’elles reviennent pour réaliser la gazométrie, même si elle est consciente que sa peur est irraisonnée.
Les soignants vont alors faire ce soin en complémentarité, l’infirmière va réaliser le geste médical et l’AS va rassurer Mme A et détourner son attention. De façon consciente ou inconsciente, Mme A a peur de l’annonce d’une tumeur maligne, elle redoute tellement le résultat qu’elle n’ose y penser et seul reste ce stress immense, cette peur intrinsèque rejetée sur tout ce qui est médical, prélèvement …qu’elle associe maintenant à une peur, peur de l’avenir, de l’inconnu. Aussi l’AS va se placer à côté d’elle et utiliser le toucher (elle lui prend la main,), la parole, le regard, et l’écoute pour la rassurer Grâce au support photo qui indique l’affection et l’attention de Mme A pour ses petites filles, l’AS va l’entrainer a parler d’elles, et le cerveau de Mme A apprécie, il est en terrain connu, et c’est tout naturellement qu’en échangeant à propos de ses petits enfants, en se projetant dans ses souvenirs, ses émotions de grand-mère que Mme A va lâcher prise sur son stress, va relâcher la tension qui s’est accumulée en elle et devenir plus calme et sereine. A tel point, qu’avec le patch, elle n’a rien ressenti du soin, son attention s’est défocalisée de l’acte. Mme A est la première surprise de ce fait, pourtant c’est ainsi que l’on agit aussi avec les enfants, on détourne leur attention et leur angoisse et leurs pleurs cessent.

[VIC46]

sujet brives 2011
vs travaillez en service de néphrologie et vous vs occupez de mr.x, insuffisant renal chronique connu du service depuis 5 ans.Il est actuellement en restriction hydrique.L'infirmière vous demande plusieurs actions auprès de ce malade.

1/ Faire le bilan en litre de la qté d'urine émise sur les dernières 24h:sachant qu'il a uriné
-340ml à 9H
-0.25l à 14h
-35cl à 20h
-220ml à 1h30
-2,5dl à 6h30
Et que cette personne a des pertes urinaires estimées à 10% du volume total des urines émises sur 24h.

2/Calculer la perte de poids de Mr X depuis sa dernière pésée sachant qu'il pésait ce jour là 86KG450 qu'aujourd 'hui,il pése 86kg500.
3/Calculer son IMC ce jour selon la formule suivante:
IMC=poids/taille2 sachant que Mr x mesure 1m65
Faire apparaître vos calculs sur la feuille

[biboux69]

faut que je me remet au boulot la! ya une tartine a traiter