Concours printemps 2012

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Charlotte 974
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par Charlotte 974 »

Moi non plus je n'ai toujours aucune nouvelle! Je désespère, l'attente est vraiment longue, je ne sais plus quoi faire. Je me suis inscrite sur le site de L'Ars à 10h pile!
Bref si je n'ai aucune nouvelle j'irai en Médecine et je repasserai le concours l'an prochain! Et si je suis sur liste complémentaire encore une fois sur mon île je pense que j'irai en Belgique. C'est vraiment pénible mais bon la meilleure force c'est d'y croire :(
La meilleure force c'est d'y croire (Y)
koutoubou
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par koutoubou »

Nous les domiens on est oublié, j'ai appeler tout à l'heure à l'APHP ils ont dit qu'ils prendront d'abord les gens d'ile de France et que nous les gens des DOM-TOM on a très peu de chance d’être appeler...
Moi j'irais à l'ifcass cette année je suis pris sur liste principale,et espère que je serai enfin sur liste principale en Métropole.
Mais bon comme tu l'a dit "la meilleure force c'est d'y croire"
Infirmier diplômé d'État aux Urgences/SMUR et SSPI
keddya14
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par keddya14 »

c'est triste tout ça, nous les domiens on a très peu de chance d'obtenir une place de quoi anéantir les espoirs de mal d'entre nous courage
INFIRMIÈRE
RyssOu
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par RyssOu »

bonsoir,
je vois que tout le monde perds espoir , surtout les domiens! C'est nul qu'ils passent après tout le monde alors que peut être ils ont des meilleurs notes que certains! Et pour le site ARS , premier appelé premier servi je n'y crois pas du tout !
Moi perso , je me suis inscrite dans la soirée du 16 ! Et j'ai eu aucune réponse grace a eux , j'ai envoyer des mails par moi même , j'ai tenter ma chance et j'ai reussi a avoir une place dans l'ifsi de sarcelle! Donc merci , Moi . ARS :fleche: bye bye! Petit conseil , tenter votre chance vous même , on est jamais mieux servi que par sois même ! :)
Courage a tous !
Cette année est pour nous!
Futur étudiante à l'IFSI de Sarcelle , Fondation Léonie Chaptal
tiro973
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par tiro973 »

RyssOu a écrit :bonsoir,
je vois que tout le monde perds espoir , surtout les domiens! C'est nul qu'ils passent après tout le monde alors que peut être ils ont des meilleurs notes que certains! Et pour le site ARS , premier appelé premier servi je n'y crois pas du tout !
Moi perso , je me suis inscrite dans la soirée du 16 ! Et j'ai eu aucune réponse grace a eux , j'ai envoyer des mails par moi même , j'ai tenter ma chance et j'ai reussi a avoir une place dans l'ifsi de sarcelle! Donc merci , Moi . ARS :fleche: bye bye! Petit conseil , tenter votre chance vous même , on est jamais mieux servi que par sois même ! :)
Courage a tous !
Cette année est pour nous!
Je me suis également inscrite sur le site de l'Ars depuis le 16... envoyé des mails et des fax ...j me suis même levé à 3h du mat pour appeler des ifsi...entre les "nous sommes complets" les "nous avons atteint notre quota" les "courriers reçus avis défavorables" j'en ai ras le bol...c de la discrimination pure moi j dis..c le parcours du combattant...j suis de la Guyane et j l'impression que je vais repasser le concours l'an prochain à cette allure la...besoin à tout prix d'une école...sniff
minijim
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actualité 2012-2013

Message par minijim »

Salut a toutes et a tous
il y avait un sujet intitulé "actualité 2012" qui avait pour vocation de diffuser
tous les articles de journaux ou autres du jour dont le sujet se rapporte aux connaissances de notre concours pour nous tenir au courant en un clin d'oeil.
Si cela en dit a certain de continuer cette idée qui permet de toujours etre sur le front de l'actualité ben c'est ici .
Vous trouvez un article interessant hop un copier coller ici c'est pas plus compliquer et ca aide grandement.....
minijim
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

alors je commence
L'interdiction des snacks à l'école réduit l'obésité

Par Romy Raffin - le 13/08/2012



Une étude américaine de grande ampleur a comparé les états où la vente de sucreries dans les établissments scolaires était interdite avec ceux où aucune règle n'est imposée.



Bientôt la fin des sodas trop sucrés et des barres chocolatées pleines de graisses saturées pour les jeunes Américains? Près de la moitié des cinquante états outre-Atlantique limitent déjà les produits de grignotage accessibles aux élèves (jus 100% pur fruits ou snacks à teneur réduite en gras par exemple) mais l'efficacité de telles mesures dans la lutte contre l'obésité reste débattue. Pour la première fois, une étude réalisée à l'échelon national parue lundi dans la revue Pediatrics montre que diminuer la consommation de «junk-food» à l'école pourrait effectivement contribuer à limiter l'embonpoint des élèves. Des résultats qui confortent la décision de la France d'interdire dès 2005 les distributeurs automatiques de boissons et de snacks dans les écoles.

De 2004 à 2007, le Dr Daniel Taber et son équipe de l'université de l'Illinois à Chicago ont suivi le poids de 6300 élèves de 11 à 14 ans dans 40 états américains. Les chercheurs ont analysé ces données en fonction des lois encadrant la nourriture et les boissons vendues dans les distributeurs automatiques au sein des écoles. Certaines réglementations sont plus sévères que d'autres, allant de l'obligation de respecter des normes précises (comme en Californie qui limite les quantités de sucre, de gras et de calories à ne pas dépasser à de simples conseils généraux de nutrition.

De nombreux facteurs en jeu

Bilan: dans les états aux lois les plus strictes, les scientifiques ont observé une diminution de 5% des enfants en surpoids et de 8% de ceux obèses, avec une réduction de l'IMC (indice de masse corporelle) de 0,44 points en moyenne. Pour les chercheurs, les politiques scolaires sont donc un moyen d'améliorer la santé des enfants … à condition que les restrictions soient suffisamment claires et précises, prévient toutefois le Dr Taber. De plus, les interdictions ne doivent pas concerner un seul type de produits sous peine d'être inefficace, comme dans le cas des boissons sucrées, souligne le chercheur dans une autre étude.

Le fait de restreindre les snacks et sodas à l'école ne peut à lui seul compenser les habitudes alimentaires familiales qui modèlent les comportements des bambins. C'est l'une des raisons qui expliquerait les résultats relativement modestes de l'encadrement du snacking scolaire observé dans cette étude et dans des recherches antérieures, le manque d'activité physique étant un autre facteur à considérer. De façon plus secondaire, la naissance de «trafics» de chips et de sucreries en cas d'interdiction pourrait également limiter la portée de telles mesures.

Toujours bon à prendre

Quoi qu'il en soit, même si la modération du grignotage à l'école n'a qu'un impact minime sur le poids des enfants, ce résultat est toujours bon à prendre: «Ça ne peut pas être pire que ça ne l'est déjà», estime le Dr David Ludwig, spécialiste de l'obésité infantile à la Harvard Medical School de Boston, en référence au triplement du taux d'obésité des enfants américains en l'espace d'une génération. Un bambin sur six est aujourd'hui obèse aux États-Unis, même si les courbes tendant à se stabiliser.

La France n'est pas épargnée, avec 20% des enfants français de 3 à 17 ans touchés par le surpoids ou l'obésité. Outre l'interdiction des distributeurs automatiques, d'autres mesures sont ont été mises en place par le ministère de l'Education Nationale, comme celle d'encadrer la collation du matinale ou le goûter, qui ne doivent pas être systématiques, et doivent promouvoir une alimentation saine (eau, jus de fruits sans sucres ajoutés, produits laitiers demi-écrémés et céréales peu sucrées).
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Les effets d'une mauvaise ou courte nuit apparaissent après 20 minutes de conduite.



Que se passe-t-il si l'on conduit après une mauvaise nuit? Selon une étude présentée en juin dernier lors du congrès annuel de la Société européenne d'anesthésiologie, les performances diminuent dès 20 minutes de conduite. C'est en soumettant à des tests une trentaine d'internes le lendemain d'une nuit de garde que le Dr Ségolène Arzalier-Daret et ses collègues du CHU de Caen se sont aperçus de ces résultats inquiétants. Les conducteurs devaient réaliser, à 8 heures du matin, une épreuve sur simulateur correspondant à 15 minutes de conduite en ville, suivie de 60 minutes de conduite monotone sur autoroute. Certains venaient de faire une nuit de garde à l'hôpital avec un temps de sommeil inférieur à 3 heures en moyenne, alors que d'autres avaient passé une nuit normale.

Pour la conduite en ville, les conducteurs qui manquaient de sommeil ont roulé un tout petit peu moins vite - 2 km/h de moins - que les autres. «Peut-être avaient-ils conscience que leurs capacités de conduite étaient diminuées», avance le Dr Arzalier-Daret. Mais le résultat le plus étonnant concerne la déviation latérale, autrement dit le fait de ne plus conduire bien droit dans sa file. Les déviations se produisent dès la 20e mn de conduite pour ces conducteurs en manque de sommeil. Les difficultés à moduler sa vitesse en fonction de la circulation apparaissent, elles, après 30 minutes de conduite. Preuve supplémentaire des dangers de la conduite en manque de sommeil: 9 internes sur 30 avaient déjà eu un accident après une nuit de garde.

Un accident mortel sur trois est dû à l'endormissement

Les erreurs de conduites liées à la fatigue doivent évidemment être prises au sérieux par les conducteurs avant qu'il ne soit trop tard. Ainsi, se rendre compte que l'on arrive plus vite qu'on ne le croyait sur une voiture qui précède n'est pas anodin. Même chose si l'on mord involontairement sur la voie voisine. L'envie de fermer les yeux «juste deux ou trois secondes» peut aussi être fatale. Sur autoroute, la sécurité routière estime qu'un accident mortel sur trois est dû à l'endormissement au volant. Sur les routes départementales, c'est plus souvent l'excès d'alcool qui est en cause dans les accidents mortels. Réflexes intacts ou émoussés, la vitesse excessive reste impliquée dans un accident mortel sur cinq. Un nouveau phénomène inquiète aussi les experts de la prévention routière: la consommation d'alcool couplée aux boissons énergisantes qui fait sous-estimer la quantité d'alcool que l'on a bu. Une étude menée en Floride il y a deux ans montrait que ceux qui mixaient les deux avaient quatre fois plus tendance à prendre le volant, en dépit d'un taux d'alcool élevé, que ceux qui n'avaient bu que de l'alcool.

Autre danger souvent sous-estimé: téléphoner ou envoyer et lire des textos en conduisant, ce qui est interdit mais pourtant le fait d'un conducteur sur deux. Une étude australienne avait retrouvé un risque d'accident quadruplé, y compris avec les dispositifs mains-libres. Alcool, vitesse, téléphone, fatigue… les principaux ennemis du conducteur sont désormais bien identifiés.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

PASIEKA/SPL/PHANIE/phanie

De façon étonnante, les individus disposant d'une mémoire autobiographique ne brillent pas particulièrement lors de tests de mémorisation générale.





Ils n'oublient rien: le don de la mémoire autobiographique

Par Marie-Noëlle Delaby - le 10/08/2012



Les neurologues s'intéressent de près aux individus qui gardent un souvenir très précis de tout ce qui leur est arrivé dans leur vie depuis l'âge de 10 ans.



«Où étiez-vous dans la nuit du 10 au 11 août 2001?» À moins d'un événement mémorable ce jour-là, peu d'entre nous sont capables de répondre sans prendre le temps de la réflexion, et souvent même de quelques recherches, à ce type de question. Ceux qui le peuvent sans hésiter, et cela pour n'importe quelle date depuis leur enfance, sont sans doute dotés de ce surprenant don nommé «mémoire autobiographique», qui intéresse de plus en plus les neurologues.

Des chercheurs de l'université californienne d'Irvine ont en effet découvert des différences notables dans la structure du cerveau des personnes ayant la capacité de se remémorer sans effort et instantanément n'importe quel moment de leur passé depuis l'âge de 10 ans et demi, «comme si leurs souvenirs ne vieillissaient pas», précise Aurora LePort, auteur principal de l'étude publiée fin juillet dans la revue scientifique Neurobiology of Learning & Memory's.

Ce phénomène dit de mémoire autobiographique a été étudié pour la première fois par l'équipe du neurobiologiste James McGaugh en 2006 sur une seule femme. Ils ont cette fois élargi le champ des investigations en s'intéressant à une douzaine de sujets choisis parmi 500 candidats potentiels.

Une mémoire très sélective

Comparés à des personnes aux capacités cognitives classiques, les onze individus présentaient des variations structurelles dans neuf parties distinctes du cerveau, connues pour la plupart pour être en lien avec la mémoire autobiographique. L'équipe des neurobiologistes a notamment observé chez eux une plus grande robustesse de la matière blanche reliant les parties médianes et arrière du cerveau.

De manière surprenante, les candidats retenus par l'étude n'ont pas montré d'aptitudes particulières à retenir par cœur des informations lors de tests en laboratoire. «Ces personnes sont radicalement différentes des champions de la mémoire qui peuvent retenir des décimales du chiffre pi à l'infini, analyse Aurora LePort. Nous sommes en présence d'une forme très spécifique de mémoire.»

Par ailleurs, ces personnes présentent un taux supérieur à la moyenne de troubles obsessionnels et compulsifs, sans que la relation entre cette pathologie et la qualité des souvenirs ne soit expliquée pour l'heure. La plupart des patients étaient notamment des collectionneurs acharnés d'objets en tout genre.

Les chercheurs californiens, qui devraient mener prochainement de nouvelles recherches sur une trentaine d'autres volontaires, souhaitent désormais élucider les mécanismes qui se cachent derrière ce drôle de don, et dont on ignore pour l'heure s'ils sont de nature génétique, moléculaire ou plus simplement liés à des particularités structurelles et anatomiques du cerveau.
minijim
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Il est désormais connu que la schizophrénie, qui touche environ 1 % de la population française, est une maladie complexe impliquant de nombreux facteurs génétiques et environnementaux (stress intense, prise de cannabis...). Et donc qu'il ne faut pas faire porter la responsabilité de cette affection sur le comportement des parents. Mais, dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres en psychiatrie, rien ne vaut la preuve par l'image. D'où l'intérêt des travaux qu'Arnaud Cachia, de l'équipe de Marie-Odile Krebs et Thérèse Jay (Inserm U894 / Université Paris Descartes "Centre de psychiatrie et neurosciences" à l'hôpital Sainte-Anne), vient de publier dans Schizophrenia Bulletin.

La schizophrénie est une affection cérébrale sévère et invalidante, qui débute en général à l'adolescence ou chez le jeune adulte. Son diagnostic est difficile, en raison de l'hétérogénéité des manifestations : délires, hallucinations, repli sur soi, ou encore symptômes autistiques, menant à la modification de la personnalité et à la perte du contact avec la réalité. De plus, la maladie peut se déclarer de différentes manières, soit brutalement lors d'une crise d'hallucinations ou de délire, soit de façon plus insidieuse, avec un repli progressif sur plusieurs années.

"Perturbations dans le développement du cerveau"


Grâce à une nouvelle technologie d'analyse des données d'IRM (imagerie par résonance magnétique), les chercheurs français ont pu détecter des variations des formes 3D des cerveaux de certains patients souffrant de schizophrénie. L'étude menée par Arnaud Cachia a porté sur 44 personnes qui ont été prises en charge à l'hôpital Sainte-Anne de Paris. Leurs cerveaux ont été scannés au moment de leur premier épisode psychotique. Ces patients n'ont donc quasiment jamais suivi de traitement. Deux sous-groupes ont alors été comparés : les schizophrènes avec et ceux sans signes neurologiques mineurs.

Les patients avec des signes neurologiques mineurs rencontrent de légères difficultés motrices ou sensorielles, qui peuvent être mesurées selon une échelle établie par les chercheurs. La coordination de leurs gestes et la perception de leur corps ont été évaluées à travers des tests, comme celui de marcher sur une ligne droite ou reconnaître une lettre de l'alphabet tracée par pression du doigt sur la paume de la main du patient. Les chercheurs ont vérifié s'il existait des similarités anatomiques du cerveau au sein de chaque sous-groupe. Grâce à l'IRM anatomique et un logiciel développé par des chercheurs du CEA (Neurospin), ils ont analysé la morphologie 3D des plissements du cortex. Résultat : les patients ayant des signes neurologiques mineurs ont en moyenne des plis (sillons et gyrus) légèrement moins marqués que les personnes sans ces signes.

"On en déduit qu'il y aurait eu des perturbations lors des étapes clés du développement du cerveau, entraînant des trajectoires de développement cognitif et moteur différentes", explique Arnaud Cachia. La découverte de ces sous-groupes devrait permettre, à terme, de mieux adapter les stratégies thérapeutiques en prenant en compte les particularités individuelles des patients et également d'intervenir le plus tôt possible. "Une des prochaines étapes sera l'identification des gènes du développement neurologique qui sont impliqués", concluent les chercheurs
mary01
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par mary01 »

Charlotte 974 a écrit :Moi non plus je n'ai toujours aucune nouvelle! Je désespère, l'attente est vraiment longue, je ne sais plus quoi faire. Je me suis inscrite sur le site de L'Ars à 10h pile!
Bref si je n'ai aucune nouvelle j'irai en Médecine et je repasserai le concours l'an prochain! Et si je suis sur liste complémentaire encore une fois sur mon île je pense que j'irai en Belgique. C'est vraiment pénible mais bon la meilleure force c'est d'y croire :(
Moi aussi je pensait a la belgique lol, je commence vraiment a me dire qu'il ne veule pas de moi. meme quand on apprend qu'une place c'est libérer quand on appel il prétexte qu'il n'ya pas de désistement et l'ARS ne sert pratiquement a rien a part pour quelque chanceux! par contre je n'ai pas compris le systeme de l'APHP il prene d'abord ile de france apres dom tom et nous les marseillais ?? on est tous en dernier?
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mcmer
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Re: Ifsi deficitaires 2012

Message par mcmer »

Bonsoir à tous,

Il y a pas tant de temps que ça j'etais dans la mm situation: pas d'école pour la rentrée...j'avais envoyé des courriers tt debut juillet un peu partout dans la france sans retour positif. J'ai patienté pres d'un mois pr rien et ap j'ai décidé d'appeler tt les ifsi du nord qui m'ont dit qu'il fallait que j'attende, que j'etais pas prioritaire...
Finalement ça sait plutot bien terminé pr moi sachant que j'ai été contacté par l' ifsi de ma ville vue que j'etais pas trop loin en liste complémentaire enfin bref, tt ça pr dire que dans tt mes appels, l'ifsi de mantes la jolie m'a rappeler l'apres midi mm alors que j'avais pris contact avc eux le matin c t debut aout je me suis desisté par courrier ce samedi donc jpense que ce serait pas mal de les rappeler. Les appels sont vraiment important et peuvent faire la différence.

BON COURAGE a tout ceux qui recherchent encore !!!
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minijim
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Décidément, le surpoids est bien néfaste pour la santé. Non seulement il augmente le risque de développer différents cancers primaires, dont celui du sein après la ménopause, mais en plus il favoriserait l'apparition d'un second cancer, localisé dans l'autre sein ou à nouveau dans le même, dans l'endomètre ou le côlon-rectum. Ces résultats émanent de chercheurs (Inra, Inserm, Cnam, Université Paris-XIII) faisant partie du réseau national Alimentation Cancer Recherche. Ils ont réalisé pour la première fois, en collaboration avec une équipe de l'Imperial College à Londres, une revue systématique et une analyse des résultats des études sur les relations entre surcharge pondérale et risque de second cancer après un cancer du sein.

En France, environ 2 millions de personnes ont des antécédents personnels de cancer. Cette population est en augmentation, du fait de la hausse de l'incidence des cancers et de l'amélioration de la survie après cancer. Les patientes ayant eu un cancer du sein (c'est le plus fréquent chez la femme, avec 53 000 nouveaux cas estimés en 2011) ont un risque de développer un second cancer majoré de 15 à 25 %. Les facteurs de risque identifiés sont le jeune âge lors du diagnostic, les prédispositions génétiques et la radiothérapie. À cette liste, il faut désormais ajouter la surcharge pondérale.

Intensifier la prévention


Pour aboutir à cette conclusion, les chercheurs ont identifié et examiné les résumés de plus de 3 300 publications. Ils ont intégralement analysé 441 articles et ils ont finalement inclus 13 études prospectives pertinentes dans leur méta-analyse. Les analyses par catégories d'indice de masse corporelle (IMC = poids/taille au carré) montrent que l'obésité au moment du diagnostic d'un cancer du sein est bien associée à une augmentation significative du risque de second cancer. Elle est de 37 à 40 % pour un autre cancer du sein (du même côté ou de l'autre), de 96 % pour un cancer de l'endomètre et de 89 % pour un cancer colorectal. Une analyse plus fine montre que pour une augmentation de l'IMC de 5 unités, correspondant au passage du poids normal au surpoids, ou du surpoids à l'obésité, le risque de second cancer du sein controlatéral s'élève de 12 %. Pour la même augmentation de l'IMC, le risque de second cancer de l'endomètre croît de 46 %.

Ces résultats montrent clairement l'impact négatif de la surcharge pondérale, un facteur de risque sur lequel il est pourtant possible d'agir, même si ce n'est pas toujours facile. Les auteurs précisent que, actuellement en France, 27 à 32 % des adultes sont en situation de surpoids et 9 à 17 % sont atteints d'obésité. Ils soulignent la nécessité de développer et d'intensifier les politiques de prévention visant à réduire la prévalence du surpoids et de l'obésité. C'est d'autant plus important que le surpoids augmente également le risque de cancer dans différents sites (oesophage, endomètre, rein, côlon-rectum, pancréas, sein après la ménopause), ainsi que celui de diabète, de maladies cardiovasculaires et de troubles respiratoires.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

La maladie de Parkinson est dégénérative et ravageuse. Les traitements s'attaquent aux symptômes, retardent l'échéance inéluctable pour ses 6,3 millions de victimes dans le monde. L'augmentation de l'espérance de vie laisse présager une flambée de cette pathologie. Médecins et laboratoires tâtonnent. Les patients sombrent. Aucun traitement n'a raison du mal. Pour mieux comprendre la maladie, il faudrait pouvoir tester les soins de façon plus rapide, et pour cela bénéficier de larges échantillons de malades. Un rêve dans cette période de crise pour les Etats et les groupes pharmaceutiques.

Un projet en bonne et due forme pour Max Little, chercheur au MIT (Institut de technologie du Massachusetts) en mathématiques appliquées. "Aujourd'hui, on ne sait pas comment aider les malades de Parkinson, notamment parce que l'on ne sait pas lire l'évolution des symptômes. Nous n'avons pas les moyens accessibles et faciles pour suivre cela de façon objective."

Max Little a inauguré la conférence avec une promesse comme on n'en entend qu'à TED : bientôt diagnostiquer la maladie de Parkinson et suivre son évolution sera, littéralement, simple comme un coup de fil. Et quasiment gratuit. Il fait partie des "TED Fellows", ces hauts potentiels aux idées plus grandes qu'un océan, repérés et invités par l'organisation. La petite quarantaine, Max Little pense comme un énorme processeur. Il raconte ses travaux, l'application des mathématiques aux troubles de la parole, avec une patience rare. Pédagogique, jovial, il n'a rien d'un théoricien réfugié dans sa tour d'équations. Son humilité et son pragmatisme épatent.

"CHEZ UN MALADE DE PARKINSON, LA VOIX A DES RIGIDITÉS"

Ses recherches démarrent en 2003 lors de son PhD (doctorat de recherche) à Oxford. Il pense que les mathématiques peuvent aider à mieux comprendre la voix. "Je cherchais un terrain d'application. Je me suis intéressé aux dysfonctionnements. Par exemple, comment un chirurgien qui intervient sur des cordes vocales - après un cancer notamment - peut-il savoir, objectivement, qu'il a réussi ?" Max Little se lance dans l'analyse clinique, travaille avec des médecins, publie, crée des modèles algorithmiques.

En 2006 à Toulouse, lors de la conférence International Conference on Acoustics, Speech and Signal Processing (Icassp) sur l'électronique, l'acoustique, la parole, il est abordé dans les couloirs par un chercheur d'Intel. La firme travaille sur des outils pour suivre l'évolution de la maladie de Parkinson. L'un de ses fondateurs investit une bonne partie de sa fortune depuis qu'il se sait atteint. Précisément, les chercheurs d'Intel ont enregistré la voix de cinquante patients, une fois par semaine, pendant six mois. Mais ils ne savent pas quoi faire des données. Du pain bénit pour Max. Intel le met au défi, organise un test à l'aveugle. Avec l'aide de son système, il doit identifier les malades. Il répond avec 86 % de fiabilité.

"La voix est le résultat d'une coordination du larynx, du diaphragme, des cordes vocales, de la langue et des lèvres. Chez un malade de Parkinson, cette coordination est altérée. La voix a des rigidités, des faiblesses et des tremblements. Elle est un bon marqueur de la maladie. Il est possible qu'elle soit même l'une des premières fonctionnalités affectées. Je n'en suis pas encore sûr, mais, en tous cas, Parkinson se détecte par la voix, même à un stade très précoce."

Max Little travaille à partir d'enregistrements. Il y applique une batterie d'algorithmes (300 !) pour transformer un signal sonore en nombre. "On cherche une dizaine de données qui caractérisent votre voix, comme la régularité de la vibration de vos cordes vocales, l'amplitude de mouvement de vos lèvres. Et ensuite on utilise le "machine learning" (l'apprentissage autonome des machines) pour mettre en lien ces données avec des informations concrètes, comme la présence ou non de la maladie, sa sévérité."

Le champ des questions s'ouvre : quelles sont les causes de cette pathologie ? Les populations à risque ? Comment optimiser les traitements ? Pour y répondre, la recherche a besoin d'un échantillon conséquent : "Les méthodes utilisées pour diagnostiquer et suivre les maladies sont bien trop onéreuses. Pour Parkinson, il faut aller voir un neurologue. Le test dure vingt minutes, mais il coûte 300 dollars [aux Etats-Unis]. Pour confirmer la maladie, il faut que le médecin essaie un traitement. A peu de chose près, un mois après, si les symptômes empirent, il dira que vous avez Parkinson. C'est long et compliqué à diagnostiquer, quant à savoir à quel stade de la maladie vous êtes, oubliez ! On a besoin d'un outil simple, à bas coûts, à diffuser de façon la plus large possible pour une réponse objective et rapide."

"L'IDÉE EST DE RENDRE CETTE TECHNOLOGIE ACCESSIBLE À TOUS"

Et, selon Max Little, cet outil est le téléphone, utilisé par cinq milliards d'individus. A terme, il veut créer une application qui permettra à quiconque de réaliser de chez lui un test de diagnostic ou de suivre l'évolution des symptômes. Il a lancé à TED un appel à dons particulier : "On a besoin de récupérer 10 000 voix pour construire notre échantillon. L'idée, c'est de recenser les problèmes qui pourraient conduire à une mauvaise interprétation (interférence sur la ligne de téléphone) et définir le test optimal (durée, fréquence). Et puis on veut être sûr de regarder les bons critères." La Parkinson's Voice Initiative a déjà récupéré 6 200 contributeurs en un mois. "Mais j'ai vraiment besoin que vos lecteurs nous téléphonent", conclut-il dans un sourire. Pour pouvoir participer, il suffit d'appeler le 02-49-88-05-76, que vous ayez la maladie ou pas, et de répondre aux questions. Le test est anonyme et gratuit.

Pour Max Little, la fortune serait-elle à portée de main ? Ce n'est pas l'objectif. "L'idée est de rendre cette technologie accessible à tous, individus comme laboratoires. On réfléchit à la meilleure façon de le faire : faut-il ou non nous associer avec le mouvement des logiciels libres pour établir une application gratuite sur iPhone ? Se rapprocher des compagnies pharmaceutiques pour qu'elles l'utilisent et baissent leurs coûts de recherche ? Notre but, c'est d'accélérer la découverte d'un traitement. Aujourd'hui, ce n'est plus seulement un problème d'argent, mais d'accès aux données."

Ce mathématicien veut révolutionner le diagnostic et accélérer le traitement des maladies neuronales. Des sommes astronomiques sont en jeu. Il travaille sur la voix. La sienne est claire, son raisonnement limpide. Il est sûr de réussir. On a envie de le croire. Sur parole.
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Re: actualité 2012-2013

Message par minijim »

Cet appareil est utilisé depuis peu dans une clinique suisse pour soigner les patients atteints de maladies psychosomatiques.



À la Clinique bernoise de Crans-Montana, en Suisse, Christophe Rieder, psychologue en chef, propose depuis peu des séances de «rétrocontrôle biologique», ou biofeedback, à ses patients. Cette méthode, déjà utilisée en Allemagne et dans les pays anglo-saxons, consiste à mesurer certains paramètres vitaux comme la température, la pression sanguine, les pulsations cardiaques ou la tension musculaire à l'aide d'une machine comparable à un détecteur de mensonge. Le patient peut ainsi suivre en direct sur un écran l'évolution de ces paramètres qui changent en fonction des émotions ressenties.

Ces séances de rétrocontrôle biologique sont proposées aux patients atteints de maladies psychosomatiques tels que les états anxieux, phobies, attaques de panique, douleurs chroniques, migraines, hypertension, hyperactivité… Elles leur permettent de percevoir qu'ils ont le choix et les capacités d'agir sur leur corps. Pendant les séances, le patient doit prendre conscience de la manière dont ses paramètres physiologiques varient en fonction de son quotidien, puis apprendre à les contrôler. Il devra ensuite appliquer ces méthodes dans le quotidien pour gérer le stress de la vie courante.

Pas de guérison mais une meilleure qualité de vie

Les patients restent entre trois et quatre semaines dans la clinique. Un traitement spécifique est développé pour chacun d'entre eux en fonction de leur pathologie. Le but n'est pas de culpabiliser le patient, mais de le responsabiliser. «Les personnes souffrant de maladies somatiques sont souvent réfractaires à tout ce qui relève du domaine psy. Avec le rétrocontrôle biologique, on leur prouve de manière scientifique que leur corps réagit au stress, à l'émotion et aux instants critiques. Le voir inscrit sur un écran d'ordinateur leur fait prendre conscience qu'ils peuvent avoir une influence directe sur cet état de stress», explique Christophe Rieder sur le site Arcinfo.

Cette nouvelle thérapie ne guérit pas mais permet d'améliorer la qualité de vie des patients en les aidant à gérer leur maladie. Plus le patient est conscient de sa situation de vie et de ses capacités, mieux il saura gérer son quotidien et positiver ses émotions, ce qui aura un effet bénéfique sur son état de santé.
Verrouillé