Concours printemps 2012
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Re: actualité 2012-2013
Antibiotiques chez bébé : des risques accrus d’obésité ?
Selon une étude américaine de l’Université de New York et publiée dans la revue International Journal of Obesity, l’utilisation d’antibiotiques par un enfant lors des cinq premiers mois aurait un impact négatif sur le poids de ce dernier dès ses 3 ans. Explications.
Est-il bon de faire ingérer des antibiotiques à son enfant dès son plus jeune âge ? Il semblerait que non. D’après une étude de l’Université de New York et publiée dans la revue International Journal of Obesity, les enfants exposés aux antibiotiques au cours des cinq premiers mois de leur vie sont plus susceptibles que les autres enfants de devenir obèses dès l’âge de 3 ans et deux mois, peut-on lire sur le site canadien Canoe.
Un impact visible à 3 ans et deux mois
Leonardo Trasande, co-auteur de cette étude et membre de la faculté de médecine de l'université de New York, indique ainsi :« Nous pensons habituellement que l'obésité est une épidémie due en grande partie à un régime alimentaire peu sain et à un manque d'exercice, mais de plus en plus d'études suggèrent que cela est plus compliqué. Les microbes présents dans nos intestins pourraient jouer un rôle important dans la manière dont nous absorbons les calories. L'exposition aux antibiotiques, surtout au plus jeune âge, pourrait tuer certaines de ces bactéries qui influent sur la façon dont nous assimilons la nourriture dans notre corps - et qui, autrement, nous permettraient de rester minces ».
Après avoir étudié l’utilisation d’antibiotiques de plus de 11 500 enfants britanniques, les chercheurs ont pu constater que la différence de poids reste faible entre 10 et 20 mois mais s’accentue dès les 3 ans et deux mois de l’enfant. Les enfants traités avec des antibiotiques au début de leur vie ont 22% plus de risque d’être en surpoids.
Des antibiotiques uniquement après 5 mois
En revanche, les bébés traités avec des antibiotiques uniquement après leur cinquième mois ne présentaient pas de différence de poids notable avec les autres. « Depuis bien longtemps déjà, les éleveurs savent que les antibiotiques sont utiles pour produire des vaches plus grosses afin de les revendre », souligne Jan Blustein, de l'université de New York. Les chercheurs insistent sur le fait que leurs résultats ne sont pas une découverte en soi mais qu'ils soulignent l’influence des antibiotiques sur les jeunes enfants.
Pour en savoir plus : Antibiotiques chez bébé : des risques accrus d’obésité ? - Magicmaman.com
Selon une étude américaine de l’Université de New York et publiée dans la revue International Journal of Obesity, l’utilisation d’antibiotiques par un enfant lors des cinq premiers mois aurait un impact négatif sur le poids de ce dernier dès ses 3 ans. Explications.
Est-il bon de faire ingérer des antibiotiques à son enfant dès son plus jeune âge ? Il semblerait que non. D’après une étude de l’Université de New York et publiée dans la revue International Journal of Obesity, les enfants exposés aux antibiotiques au cours des cinq premiers mois de leur vie sont plus susceptibles que les autres enfants de devenir obèses dès l’âge de 3 ans et deux mois, peut-on lire sur le site canadien Canoe.
Un impact visible à 3 ans et deux mois
Leonardo Trasande, co-auteur de cette étude et membre de la faculté de médecine de l'université de New York, indique ainsi :« Nous pensons habituellement que l'obésité est une épidémie due en grande partie à un régime alimentaire peu sain et à un manque d'exercice, mais de plus en plus d'études suggèrent que cela est plus compliqué. Les microbes présents dans nos intestins pourraient jouer un rôle important dans la manière dont nous absorbons les calories. L'exposition aux antibiotiques, surtout au plus jeune âge, pourrait tuer certaines de ces bactéries qui influent sur la façon dont nous assimilons la nourriture dans notre corps - et qui, autrement, nous permettraient de rester minces ».
Après avoir étudié l’utilisation d’antibiotiques de plus de 11 500 enfants britanniques, les chercheurs ont pu constater que la différence de poids reste faible entre 10 et 20 mois mais s’accentue dès les 3 ans et deux mois de l’enfant. Les enfants traités avec des antibiotiques au début de leur vie ont 22% plus de risque d’être en surpoids.
Des antibiotiques uniquement après 5 mois
En revanche, les bébés traités avec des antibiotiques uniquement après leur cinquième mois ne présentaient pas de différence de poids notable avec les autres. « Depuis bien longtemps déjà, les éleveurs savent que les antibiotiques sont utiles pour produire des vaches plus grosses afin de les revendre », souligne Jan Blustein, de l'université de New York. Les chercheurs insistent sur le fait que leurs résultats ne sont pas une découverte en soi mais qu'ils soulignent l’influence des antibiotiques sur les jeunes enfants.
Pour en savoir plus : Antibiotiques chez bébé : des risques accrus d’obésité ? - Magicmaman.com
Re: actualité 2012-2013
Le Dr Pierre Dukan réduit l'obésité à "un problème mental"
En déclarant que l'obésité est "un problème mental", le nutritionniste Pierre Dukan semble sous-estimer la réalité d'une maladie sociale, génétique, métabolique et neurologique.
Nouvelle polémique en vue ? L’obésité est un « problème mental », selon le Dr Pierre Dukan. Dans une interview accordée au journal britannique "Mail On Sunday", le concepteur du régime ultra-protéiné explique que les obèses « ne sont pas vraiment malades, pas comme s’ils avaient un cancer, mais ils se sentent exclus de la société ». Et il poursuit : « C’est un problème mental. Je n’ai jamais vu une personne obèse dire « je me sens bien dans ma tête » ».
Ces propos pourraient raviver les critiques contre le célèbre nutritionniste qui proposait déjà en janvier dernier de faire gagner des points au bac aux lycéens qui ne grossissent pas lors de la première et de la terminale. Réduire l'obésité uniquement à un facteur psychologique fait bondir les spécialistes.
Comme le montrent les chercheurs, les origines de l’obésité et du surpoids sont multiples. Nombreux sont les scientifiques comme le Pr Arnaud Basdevant, chef du service de nutrition de La Pitié Salpétrière à Paris et président du plan national de lutte contre l’obésité, à rappeler que l'obésité est une maladie du développement économique liée à une sédentarisation massive et à de fortes pressions qui poussent à la consommation alimentaire. L’excès d’apport énergétique par l’alimentation et l’insuffisance des dépenses sous forme d’activité physique jouent un rôle central. On sait que l’augmentation de la taille des portions, la plus grande densité énergétique de l’alimentation, l’évolution des prix alimentaires favorisent l’excès de consommation calorique. La sédentarité comme le temps passé devant la télévision, est associée à l’excès de poids.
Une maladie sociale
Des facteurs socio-économiques interviennent dans le développement de l’obésité. L’obésité suit la courbes des disparités économiques. En France, la prévalence de l’obésité chez les ménages ayant un revenu mensuel net inférieur à 900 euros est 1,5 fois plus élevée que dans la population générale. La première étude publiée à partir de la cohorte RECORD a révélé que la pression artérielle augmenterait à mesure que diminuent à la fois le niveau d’instruction des individus et le niveau d’instruction moyen du quartier de résidence.
Ce travail, conduit par une équipe de l’unité Inserm 707 a ainsi montré que l’indice de masse corporelle et le tour de taille apportaient la contribution la plus forte aux associations entre niveau d’instruction et pression artérielle. En d’autres termes, selon Basile Chaix, "les disparités d’obésité observées entre quartiers favorisés et défavorisés sont suffisamment fortes pour donner lieu à des différences de pression artérielle mesurables entre quartiers".
Des facteurs génétiques et biologiques
Le développement de l’obésité obéit aussi à d’autres facteurs. C'est aussi en fonction de son terrain génétique, de ses capacités biologiques et ses dispositions psychologiques que le corps d'un individu réagit au mode de vie plus sédentaire. Si les parents et les grands-parents sont obèses, le risque pour l'enfant de le devenir varie de 40% à 65%.
Plusieurs équipes françaises de l’Inserm et du CNRS ont identifié des gènes impliqués dans la prise de poids, l’obésité sévère et les complications de l’obésité aussi bien dans des populations d’enfants que chez l’adulte. Les chercheurs ont mis en évidence plus de 400 gènes, marqueurs ou régions chromosomiques associés. D’autres facteurs biologiques, comme des anomalies du tissu adipeux ou des centres de contrôle de la prise alimentaire, peuvent rendre compte de ces différences de susceptibilité individuelle à l’obésité.
Plus récemment l’intérêt des chercheurs s’est porté sur les anomalies des cellules graisseuses, leur différenciation, leur multiplication, leur développement pathologique. L’obésité est en effet une pathologie du tissu adipeux, ce tissu formé d’adipocytes (cellules chargées de stocker l’énergie dans les territoires sous-cutanés et la région intra-abdominale) et d’une multitude d’autres cellules. Les chercheurs s’intéressent actuellement aux facteurs biologiques qui conduisent à l’inflation de ce tissu graisseux, aux modifications des cellules et de leur environnement. Il s’est avéré que ce tissu avait une étonnante capacité à sécréter des substances expliquant la résistance à la perte de poids et l’apparition de certaines complications telles que les anomalies hépatiques, cardiaques, respiratoires, articulaires.
Un autre champ considérable de la recherche sur l’obésité vise à identifier les mécanismes qui conduisent le système nerveux central, en particulier l’hypothalamus, à ne plus être en mesure de freiner la prise alimentaire et d’augmenter la dépense énergétique face à cet excès de masse grasse chez certaines personnes. Les neurosciences sont ici en première ligne. Par ailleurs, plusieurs équipes de recherche s’intéressent au rôle de l’intestin, en particulier des hormones sécrétées par le tube digestif, et à la flore intestinale qui pourraient avoir un rôle facilitateur dans la prise de poids.
Une maladie discriminante
Conclusion, l’obésité est une pathologie bien loin plus complexe qu'un simple problèmed mental. Ce qui explique la difficulté de trouver les bons traitements. Rappelons que cette maladie entraîne des troubles de la santé dont les principaux sont le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, l’excès de lipides dans le sang, les atteintes cardiovasculaires, le syndrome d’apnée du sommeil, l’arthrose et un risque accru de certains cancers.
Il faut également souligner le retentissement psychologique et social de la maladie. « L'obésité est une maladie qui se voit. Elle entraîne des jugements moraux et primaires sur la corpulence, rappelle le Pr Basdevant Les obèses souffrent avant tout d'un manque de respect. »
Dans la première étude sur la stigmatisation des obèses qu'il a publié avec Jean-Pierre Poulain, il montrait que l'obésité est un facteur de discrimination sociale et professionnelle qui concerne 4,7 millions de personnes en France. Les lieux de stigmatisation sont d'abord l'école puis l'univers professionnel, avec comme situation particulièrement délicate le moment de l'embauche où l'apparence physique occulte les compétences professionnelles. L'étude montre également que les obèses ont un accès à l'enseignement supérieur plus difficile, un niveau de revenu plus faible et une promotion plus lente. Une situation encore plus marquée chez les femmes : seulement 3 % d'entre elles contre 16 % des hommes occupent une haute position sociale.
En déclarant que l'obésité est "un problème mental", le nutritionniste Pierre Dukan semble sous-estimer la réalité d'une maladie sociale, génétique, métabolique et neurologique.
Nouvelle polémique en vue ? L’obésité est un « problème mental », selon le Dr Pierre Dukan. Dans une interview accordée au journal britannique "Mail On Sunday", le concepteur du régime ultra-protéiné explique que les obèses « ne sont pas vraiment malades, pas comme s’ils avaient un cancer, mais ils se sentent exclus de la société ». Et il poursuit : « C’est un problème mental. Je n’ai jamais vu une personne obèse dire « je me sens bien dans ma tête » ».
Ces propos pourraient raviver les critiques contre le célèbre nutritionniste qui proposait déjà en janvier dernier de faire gagner des points au bac aux lycéens qui ne grossissent pas lors de la première et de la terminale. Réduire l'obésité uniquement à un facteur psychologique fait bondir les spécialistes.
Comme le montrent les chercheurs, les origines de l’obésité et du surpoids sont multiples. Nombreux sont les scientifiques comme le Pr Arnaud Basdevant, chef du service de nutrition de La Pitié Salpétrière à Paris et président du plan national de lutte contre l’obésité, à rappeler que l'obésité est une maladie du développement économique liée à une sédentarisation massive et à de fortes pressions qui poussent à la consommation alimentaire. L’excès d’apport énergétique par l’alimentation et l’insuffisance des dépenses sous forme d’activité physique jouent un rôle central. On sait que l’augmentation de la taille des portions, la plus grande densité énergétique de l’alimentation, l’évolution des prix alimentaires favorisent l’excès de consommation calorique. La sédentarité comme le temps passé devant la télévision, est associée à l’excès de poids.
Une maladie sociale
Des facteurs socio-économiques interviennent dans le développement de l’obésité. L’obésité suit la courbes des disparités économiques. En France, la prévalence de l’obésité chez les ménages ayant un revenu mensuel net inférieur à 900 euros est 1,5 fois plus élevée que dans la population générale. La première étude publiée à partir de la cohorte RECORD a révélé que la pression artérielle augmenterait à mesure que diminuent à la fois le niveau d’instruction des individus et le niveau d’instruction moyen du quartier de résidence.
Ce travail, conduit par une équipe de l’unité Inserm 707 a ainsi montré que l’indice de masse corporelle et le tour de taille apportaient la contribution la plus forte aux associations entre niveau d’instruction et pression artérielle. En d’autres termes, selon Basile Chaix, "les disparités d’obésité observées entre quartiers favorisés et défavorisés sont suffisamment fortes pour donner lieu à des différences de pression artérielle mesurables entre quartiers".
Des facteurs génétiques et biologiques
Le développement de l’obésité obéit aussi à d’autres facteurs. C'est aussi en fonction de son terrain génétique, de ses capacités biologiques et ses dispositions psychologiques que le corps d'un individu réagit au mode de vie plus sédentaire. Si les parents et les grands-parents sont obèses, le risque pour l'enfant de le devenir varie de 40% à 65%.
Plusieurs équipes françaises de l’Inserm et du CNRS ont identifié des gènes impliqués dans la prise de poids, l’obésité sévère et les complications de l’obésité aussi bien dans des populations d’enfants que chez l’adulte. Les chercheurs ont mis en évidence plus de 400 gènes, marqueurs ou régions chromosomiques associés. D’autres facteurs biologiques, comme des anomalies du tissu adipeux ou des centres de contrôle de la prise alimentaire, peuvent rendre compte de ces différences de susceptibilité individuelle à l’obésité.
Plus récemment l’intérêt des chercheurs s’est porté sur les anomalies des cellules graisseuses, leur différenciation, leur multiplication, leur développement pathologique. L’obésité est en effet une pathologie du tissu adipeux, ce tissu formé d’adipocytes (cellules chargées de stocker l’énergie dans les territoires sous-cutanés et la région intra-abdominale) et d’une multitude d’autres cellules. Les chercheurs s’intéressent actuellement aux facteurs biologiques qui conduisent à l’inflation de ce tissu graisseux, aux modifications des cellules et de leur environnement. Il s’est avéré que ce tissu avait une étonnante capacité à sécréter des substances expliquant la résistance à la perte de poids et l’apparition de certaines complications telles que les anomalies hépatiques, cardiaques, respiratoires, articulaires.
Un autre champ considérable de la recherche sur l’obésité vise à identifier les mécanismes qui conduisent le système nerveux central, en particulier l’hypothalamus, à ne plus être en mesure de freiner la prise alimentaire et d’augmenter la dépense énergétique face à cet excès de masse grasse chez certaines personnes. Les neurosciences sont ici en première ligne. Par ailleurs, plusieurs équipes de recherche s’intéressent au rôle de l’intestin, en particulier des hormones sécrétées par le tube digestif, et à la flore intestinale qui pourraient avoir un rôle facilitateur dans la prise de poids.
Une maladie discriminante
Conclusion, l’obésité est une pathologie bien loin plus complexe qu'un simple problèmed mental. Ce qui explique la difficulté de trouver les bons traitements. Rappelons que cette maladie entraîne des troubles de la santé dont les principaux sont le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, l’excès de lipides dans le sang, les atteintes cardiovasculaires, le syndrome d’apnée du sommeil, l’arthrose et un risque accru de certains cancers.
Il faut également souligner le retentissement psychologique et social de la maladie. « L'obésité est une maladie qui se voit. Elle entraîne des jugements moraux et primaires sur la corpulence, rappelle le Pr Basdevant Les obèses souffrent avant tout d'un manque de respect. »
Dans la première étude sur la stigmatisation des obèses qu'il a publié avec Jean-Pierre Poulain, il montrait que l'obésité est un facteur de discrimination sociale et professionnelle qui concerne 4,7 millions de personnes en France. Les lieux de stigmatisation sont d'abord l'école puis l'univers professionnel, avec comme situation particulièrement délicate le moment de l'embauche où l'apparence physique occulte les compétences professionnelles. L'étude montre également que les obèses ont un accès à l'enseignement supérieur plus difficile, un niveau de revenu plus faible et une promotion plus lente. Une situation encore plus marquée chez les femmes : seulement 3 % d'entre elles contre 16 % des hommes occupent une haute position sociale.
Re: actualité 2012-2013
voila si par tout les hazards vous passer sur ce post et que vous trouvez des infos sur l'actu non presente ici ca serais fort sympatique de faire un copier coller
merci a tous lol
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Re: Ifsi deficitaires 2012
Bonjour,
Juste pour vous informer que j'ai reçu un appel de l'IFSI de Chartres hier matin, ils me proposaient une place !
Etant prise dans l'IFSI de mon choix, je l'ai bien sûr refusée mais pour ceux qui sont sur LC et qui sont dans l'attente, foncez ! Même si vous ne leur avez pas envoyé de courrier tentez le coup ... Voilà
Juste pour vous informer que j'ai reçu un appel de l'IFSI de Chartres hier matin, ils me proposaient une place !
Etant prise dans l'IFSI de mon choix, je l'ai bien sûr refusée mais pour ceux qui sont sur LC et qui sont dans l'attente, foncez ! Même si vous ne leur avez pas envoyé de courrier tentez le coup ... Voilà

ESI 2012 / 2015 au CHU de Nantes

Re: Ifsi deficitaires 2012
bon je pense que je vais le repasser le concour , on est en fin de mois et ya toujour pas dapel donc
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Re: Ifsi deficitaires 2012
Pour ce qui est de Châteauroux, j'ai appelé ce matin et la secrétaire m'a clairement dit que ce qui n'était pas de la région avait très peu de chances d'être appelé, car ils avaient reçu bcps de courrier et que les appels se faisaient au compte goutte...
Donc pour ceux de la région centre restez près du tel!
Donc pour ceux de la région centre restez près du tel!
Re: ARS
Oui :Shope94 a écrit :Alors tu nous quittes,Nounou77 a écrit :Coucou !
Moi aussi j'ai reçu ma lettre d'affectation ajd, j'suis prise à mon 3ème choix : Tenon (pour info : mon 1er choix était Cochin et le 2ème Saint Antoine).
Courage à tous ^^
ESI 1ère année Promo 2012/2015 à Tenon (AP-HP)
S1 Psy
S2 SLD/SSR
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Re: ARS
Oki,Nounou77 a écrit :Oui :Shope94 a écrit :Alors tu nous quittes,Nounou77 a écrit :Coucou !
Moi aussi j'ai reçu ma lettre d'affectation ajd, j'suis prise à mon 3ème choix : Tenon (pour info : mon 1er choix était Cochin et le 2ème Saint Antoine).
Courage à tous ^^
Tu mettras combien de temps pour aller à Tenon de chez toi ?
Moi aussi j'avais été prise à l'AP-HP, mais j'ai opté pour les Murets car j'ai choisis la proximité...
Je te souhaites bonne chance pour ta formation

ESI 2012-2015 aux Murets.
S1: Ehpad. S2: Psy et Médecine onco
S3 Pédiatrie ado S4: Libéral et dispensaire
S5: Dialyse
S1: Ehpad. S2: Psy et Médecine onco
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S5: Dialyse
Re: Ifsi deficitaires 2012
Misstinguette02 a écrit :Moi aussi , ça me dégoute

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Re: Ifsi deficitaires 2012
J'habite à Toulouse et toi ? Allez courage, si c'est ce que tu veux faire, faut persévérer même si c'est dur !!mary01 a écrit :Misstinguette02 a écrit :Moi aussi , ça me dégoutepfff jai pas envie de le repasser!!!! tu est de quel region toi???sans indiscretion
ESI 2012/2015 aux Murets YES !!
Re: Ifsi deficitaires 2012
perso l'ARS IDF me fait bien marrer je sais pas comment ils font pour choisir les gens mais franchement si je dois recommencer ce cirque l'année prochaine je ne m'inscrirais pas chez eux c'est clair et net parce que je suis inscrite depuis le premier jour et presque la première heure... et toujours que dal... donc franchement c'est à désespérer un régiment..
c'était : le coup de gueule de la soirée de Laurie
c'était : le coup de gueule de la soirée de Laurie

ESI à l'IFSI de Châlons en Champagne
DE en novembre?????????
DE en novembre?????????
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Re: Ifsi deficitaires 2012
T'inquietes pas on est beaucoup dans ton cas je pense, c'est qu'une question de chance aussi malheureusement !laurie15 a écrit :perso l'ARS IDF me fait bien marrer je sais pas comment ils font pour choisir les gens mais franchement si je dois recommencer ce cirque l'année prochaine je ne m'inscrirais pas chez eux c'est clair et net parce que je suis inscrite depuis le premier jour et presque la première heure... et toujours que dal... donc franchement c'est à désespérer un régiment..
c'était : le coup de gueule de la soirée de Laurie
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Re: Ifsi deficitaires 2012
je m'en fous j'aurais refusé car financièrement je peux pas me permettre .... mais bon c'est sur le principe normalement c'est sensé être 'premier arrivé premier servi' à moins qu'il y ait eu 2000 inscriptions avant je vois pas le soucis ... bref on s'en fout tant qu'on finit par avoir une école 

ESI à l'IFSI de Châlons en Champagne
DE en novembre?????????
DE en novembre?????????
Re: Ifsi deficitaires 2012
slt je voudrais savoir comment vous avez préparé votre concours prépas ou bouquin ?