Concours printemps 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Ifsi deficitaires 2012
Ah je peux pas te dire alors ..
Toujours esperer très fort sans jamais relacher ! Positiver
.
ESI 2012/2015 : Oh Yeahhhhhhhhhh !

ESI 2012/2015 : Oh Yeahhhhhhhhhh !
Re: Ifsi deficitaires 2012
Félicitations!et courage poir ceux qui attendent encore^^
Pour info,j'ai refusé mes places pour le mesnil st denis et la crf de bourges,car j'ai été prise dans une autre école.
donc tenter votre chance!!
Pour info,j'ai refusé mes places pour le mesnil st denis et la crf de bourges,car j'ai été prise dans une autre école.
donc tenter votre chance!!
IFSI de Bicêtre 2012-2015
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- Régulier
- Messages : 41
- Inscription : 07 janv. 2012 07:22
Re: Ifsi deficitaires 2012
bonjour et bon courage pour ceux qui sont encore en attente
essayer Paul Guiraud a Villejuif car pour la pré rentree il y a eu des desistements moi y compris
alors tenter votre chance!!!!!
essayer Paul Guiraud a Villejuif car pour la pré rentree il y a eu des desistements moi y compris
alors tenter votre chance!!!!!
31ans (2 puces:8 et 5 ans)
ESI 2012-2015
S5 oncologie
3 eme année ( dure-dure)
120ects/120
Youpi!!!!
ESI 2012-2015
S5 oncologie
3 eme année ( dure-dure)
120ects/120
Youpi!!!!
Re: Ifsi deficitaires 2012
Essayer d'appeler, ifsi crf bethune, ils m'ont appelé Aujourdh'ui
ESI 2012-2015
Re: actualité 2012-2013
Prendre des antidépresseurs ou conduire, faut-il choisir ?
Le Point.fr - Publié le 29/08/2012 à 13:16
Une étude vient de montrer que les risques d'accident étaient les plus élevés lors de l'initiation ou de la modification du traitement.
C'est un double constat - un lieu commun pour certains -, mais il justifie à lui seul la nouvelle mise en garde émise ce matin par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) : environ 3 % des accidents de la route sont attribuables à la prise de médicaments et les Français sont toujours - même si la fréquence des prescriptions ralentit un peu - de grands amateurs d'antidépresseurs. Plus globalement, près de trois personnes sur dix, dans notre pays, ont déjà consommé des médicaments psychotropes au cours de leur vie, en majorité des anxiolytiques et des hypnotiques. Il faut y ajouter les nouveaux résultats des travaux de l'équipe Inserm "Prévention et prise en charge des traumatismes", publiés dans le Journal of Clinical Psychiatry.
Il existe, dans notre pays, une étude, baptisée CESIR-A, qui met en regard les données de remboursement des médicaments de l'Assurance maladie et les données relatives aux accidents recueillies par les forces de l'ordre. Son but est d'évaluer l'impact de la consommation de médicaments sur le risque d'accident de la circulation. Les résultats portent déjà sur plus de 70 000 conducteurs, chacun impliqué dans un accident survenu entre 2005 et 2008. Un nouveau volet de cette étude, qui évalue l'impact de la consommation de médicaments sur le risque d'accident de la route, vient donc d'être publié.
L'intérêt des messages de prévention
Il apporte un éclairage particulier sur la question des antidépresseurs et il montre qu'une attention toute particulière doit être portée aux périodes d'initiation du traitement ainsi que de changement de posologie ou de médicament, car c'est alors que les risques d'accident sont significativement les plus importants. C'est un sujet que les professionnels de santé doivent aborder avec leurs patients, que ce soit au moment de la prescription, de la délivrance, voire de l'administration de tels médicaments.
L'ANSM en profite pour rappeler l'intérêt des messages de prévention, notamment ceux présents sur les boîtes de médicaments, sous la forme de trois pictogrammes de couleurs différentes. Les premières analyses avaient mis en évidence la pertinence de ce système d'information des usagers, montrant que la prise de médicaments qui portaient un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 augmentait effectivement le risque d'accident... chez ceux qui étaient passés outre ces avertissements. Et, bien évidemment, ce risque est proportionnel au nombre de traitements potentiellement dangereux consommés. On peut y ajouter la consommation d'alcool et de substances illicites. Pour mémoire, un pictogramme orange est imprimé, en France, sur les boîtes de tous les médicaments antidépresseurs et il est toujours recommandé aux consommateurs de lire les notices, au moins la première fois...
Le Point.fr - Publié le 29/08/2012 à 13:16
Une étude vient de montrer que les risques d'accident étaient les plus élevés lors de l'initiation ou de la modification du traitement.
C'est un double constat - un lieu commun pour certains -, mais il justifie à lui seul la nouvelle mise en garde émise ce matin par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) : environ 3 % des accidents de la route sont attribuables à la prise de médicaments et les Français sont toujours - même si la fréquence des prescriptions ralentit un peu - de grands amateurs d'antidépresseurs. Plus globalement, près de trois personnes sur dix, dans notre pays, ont déjà consommé des médicaments psychotropes au cours de leur vie, en majorité des anxiolytiques et des hypnotiques. Il faut y ajouter les nouveaux résultats des travaux de l'équipe Inserm "Prévention et prise en charge des traumatismes", publiés dans le Journal of Clinical Psychiatry.
Il existe, dans notre pays, une étude, baptisée CESIR-A, qui met en regard les données de remboursement des médicaments de l'Assurance maladie et les données relatives aux accidents recueillies par les forces de l'ordre. Son but est d'évaluer l'impact de la consommation de médicaments sur le risque d'accident de la circulation. Les résultats portent déjà sur plus de 70 000 conducteurs, chacun impliqué dans un accident survenu entre 2005 et 2008. Un nouveau volet de cette étude, qui évalue l'impact de la consommation de médicaments sur le risque d'accident de la route, vient donc d'être publié.
L'intérêt des messages de prévention
Il apporte un éclairage particulier sur la question des antidépresseurs et il montre qu'une attention toute particulière doit être portée aux périodes d'initiation du traitement ainsi que de changement de posologie ou de médicament, car c'est alors que les risques d'accident sont significativement les plus importants. C'est un sujet que les professionnels de santé doivent aborder avec leurs patients, que ce soit au moment de la prescription, de la délivrance, voire de l'administration de tels médicaments.
L'ANSM en profite pour rappeler l'intérêt des messages de prévention, notamment ceux présents sur les boîtes de médicaments, sous la forme de trois pictogrammes de couleurs différentes. Les premières analyses avaient mis en évidence la pertinence de ce système d'information des usagers, montrant que la prise de médicaments qui portaient un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 augmentait effectivement le risque d'accident... chez ceux qui étaient passés outre ces avertissements. Et, bien évidemment, ce risque est proportionnel au nombre de traitements potentiellement dangereux consommés. On peut y ajouter la consommation d'alcool et de substances illicites. Pour mémoire, un pictogramme orange est imprimé, en France, sur les boîtes de tous les médicaments antidépresseurs et il est toujours recommandé aux consommateurs de lire les notices, au moins la première fois...
Re: actualité 2012-2013
La bedaine plus dangereuse pour le cœur que l'obésité
Mots clés :obésité, IMC, Graisse abdominale
Par Romy Raffin - le 29/08/2012
Contre toute attente, la santé des personnes avec un poids normal mais avec trop de graisse abdominale serait moins bonne que celle des individus obèses, selon une étude américaine présentée lors du congrès de la société européenne de cardiologie.
Avoir de la «bedaine» est mauvais pour la santé, ça n'est pas une nouveauté. Associé à l'hypertension ou à un excès de sucres dans le sang, l'embonpoint abdominal expose au diabète et aux maladies cardiaques, c'est ce que l'on appelle le syndrome métabolique. Beaucoup plus surprenant, une personne au poids normal mais avec un estomac bedonnant serait plus à risque qu'un obèse, d'après une étude d'envergure menée aux Etats-Unis et dévoilée lundi au congrès de la société européenne de cardiologie à Munich. Des résultats qui pourraient modifier en profondeur la prise en charge des maladies cardiovasculaires.
Ce sont près de 14 années de données sur près de 12.800 sujets âgés de 44 ans en moyenne qui ont été passées au crible par l'équipe du Pr Francisco Lopez-Jimenez de la Mayo Clinic à Rochester (Minnesota). Selon leur IMC (indice de masse corporelle), les sujets étaient classés dans la catégorie normale (de 18,5 à 24,9 kg/m2), en surpoids (de 25 à 29,9kg/m2) ou obèse (plus de 30kg/m2). Surtout, les chercheurs se sont intéressés au rapport entre la circonférence de la taille et celle des hanches, un indicateur de la répartition des graisses au niveau abdominal. Ils ont classé les individus en deux groupes selon ce ratio, normal (moins de 0,85 chez les femmes, moins de 0,90 pour les hommes) ou élevé au-delà.
La graisse abdominale la plus dangereuse
En croisant ces données avec le registre des décès américain, les scientifiques sont arrivés à des conclusions étonnantes. Chez les sujets ayant un IMC normal mais avec de l'embonpoint ventral, pour les hommes comme les femmes, les décès d'origine cardiovasculaire ont été 2,75 plus nombreux que dans la catégorie de référence (poids et rapport taille/hanches normaux) alors que la surmortalité des individus obèses à l'abdomen gras était «seulement» 2,34 plus élevée. Le phénomène s'est également vérifié pour les morts toutes causes confondues.
Comment expliquer ce paradoxe défiant la logique? On s'attendrait en effet à plus de morts dans la catégorie des obèses, ayant plus de tissu gras. D'après les chercheurs, cela tiendrait à la localisation de la masse graisseuse. Celle-ci est plutôt répartie au niveau des jambes et des hanches chez les individus obèses, tandis qu'elle s'accumule dans l'abdomen chez les personnes à l'IMC normal.
Pas plus de risque chez les sumos
«La graisse abdominale est plus dangereuse que celle du reste du corps», explique le Dr Heinz Drexel, chef du service de médecine interne et cardiologie à l'hôpital de Feldkirch (en Autriche) ayant assisté à la présentation. Pour preuve, cet expert de l'obésité abdominale cite l'exemple des sumos, qui ne sont pas plus atteints de maladies cardio-vasculaires que les autres Japonais.
Le sang provenant du tissu gras des jambes se dirige vers les orteils et repart dans la circulation générale, alors que celui de l'abdomen se retrouve directement dans le foie, qui produit des molécules augmentant la résistance à l'insuline menant au diabète, détaille le Dr Drexel.
De plus, ces graisses logées profondément dans l'abdomen (à distinguer des «poignées d'amour» situées juste sous la peau) sont plus nocives car elles sécrètent plus de substances inflammatoires. Faire de l'exercice et avoir une alimentation moins grasse restent les meilleurs moyens pour les éliminer, plus que les régimes, explique le praticien autrichien.
Surveiller la taille de sa ceinture
«Le problème serait surtout lié au style de vie», confirme le Dr Lopez-Jimenez dans une interview.Ces résultats restent donc à conforter en analysant cette fois l'activité physique et les habitudes alimentaires, «des facteurs importants à prendre en compte», ajoute le Dr Karine Sahakyan qui a contribué à l'étude.
Cette recherche apporte en tout des cas des éléments supplémentaires en faveur de l'utilisation de la circonférence abdominale plutôt que l'IMC pour estimer le risque cardiovasculaire, juge le Dr Drexel. Il a lui-même montré que l'obésité abdominale prédit le mieux le risque de récidive après un infarctus ou un AVC. Pour cette raison, le Dr Drexel conseille à ses patients de surveiller leur tour de taille, et d'aller consulter «si votre ceinture n'est plus assez longue.»
Mots clés :obésité, IMC, Graisse abdominale
Par Romy Raffin - le 29/08/2012
Contre toute attente, la santé des personnes avec un poids normal mais avec trop de graisse abdominale serait moins bonne que celle des individus obèses, selon une étude américaine présentée lors du congrès de la société européenne de cardiologie.
Avoir de la «bedaine» est mauvais pour la santé, ça n'est pas une nouveauté. Associé à l'hypertension ou à un excès de sucres dans le sang, l'embonpoint abdominal expose au diabète et aux maladies cardiaques, c'est ce que l'on appelle le syndrome métabolique. Beaucoup plus surprenant, une personne au poids normal mais avec un estomac bedonnant serait plus à risque qu'un obèse, d'après une étude d'envergure menée aux Etats-Unis et dévoilée lundi au congrès de la société européenne de cardiologie à Munich. Des résultats qui pourraient modifier en profondeur la prise en charge des maladies cardiovasculaires.
Ce sont près de 14 années de données sur près de 12.800 sujets âgés de 44 ans en moyenne qui ont été passées au crible par l'équipe du Pr Francisco Lopez-Jimenez de la Mayo Clinic à Rochester (Minnesota). Selon leur IMC (indice de masse corporelle), les sujets étaient classés dans la catégorie normale (de 18,5 à 24,9 kg/m2), en surpoids (de 25 à 29,9kg/m2) ou obèse (plus de 30kg/m2). Surtout, les chercheurs se sont intéressés au rapport entre la circonférence de la taille et celle des hanches, un indicateur de la répartition des graisses au niveau abdominal. Ils ont classé les individus en deux groupes selon ce ratio, normal (moins de 0,85 chez les femmes, moins de 0,90 pour les hommes) ou élevé au-delà.
La graisse abdominale la plus dangereuse
En croisant ces données avec le registre des décès américain, les scientifiques sont arrivés à des conclusions étonnantes. Chez les sujets ayant un IMC normal mais avec de l'embonpoint ventral, pour les hommes comme les femmes, les décès d'origine cardiovasculaire ont été 2,75 plus nombreux que dans la catégorie de référence (poids et rapport taille/hanches normaux) alors que la surmortalité des individus obèses à l'abdomen gras était «seulement» 2,34 plus élevée. Le phénomène s'est également vérifié pour les morts toutes causes confondues.
Comment expliquer ce paradoxe défiant la logique? On s'attendrait en effet à plus de morts dans la catégorie des obèses, ayant plus de tissu gras. D'après les chercheurs, cela tiendrait à la localisation de la masse graisseuse. Celle-ci est plutôt répartie au niveau des jambes et des hanches chez les individus obèses, tandis qu'elle s'accumule dans l'abdomen chez les personnes à l'IMC normal.
Pas plus de risque chez les sumos
«La graisse abdominale est plus dangereuse que celle du reste du corps», explique le Dr Heinz Drexel, chef du service de médecine interne et cardiologie à l'hôpital de Feldkirch (en Autriche) ayant assisté à la présentation. Pour preuve, cet expert de l'obésité abdominale cite l'exemple des sumos, qui ne sont pas plus atteints de maladies cardio-vasculaires que les autres Japonais.
Le sang provenant du tissu gras des jambes se dirige vers les orteils et repart dans la circulation générale, alors que celui de l'abdomen se retrouve directement dans le foie, qui produit des molécules augmentant la résistance à l'insuline menant au diabète, détaille le Dr Drexel.
De plus, ces graisses logées profondément dans l'abdomen (à distinguer des «poignées d'amour» situées juste sous la peau) sont plus nocives car elles sécrètent plus de substances inflammatoires. Faire de l'exercice et avoir une alimentation moins grasse restent les meilleurs moyens pour les éliminer, plus que les régimes, explique le praticien autrichien.
Surveiller la taille de sa ceinture
«Le problème serait surtout lié au style de vie», confirme le Dr Lopez-Jimenez dans une interview.Ces résultats restent donc à conforter en analysant cette fois l'activité physique et les habitudes alimentaires, «des facteurs importants à prendre en compte», ajoute le Dr Karine Sahakyan qui a contribué à l'étude.
Cette recherche apporte en tout des cas des éléments supplémentaires en faveur de l'utilisation de la circonférence abdominale plutôt que l'IMC pour estimer le risque cardiovasculaire, juge le Dr Drexel. Il a lui-même montré que l'obésité abdominale prédit le mieux le risque de récidive après un infarctus ou un AVC. Pour cette raison, le Dr Drexel conseille à ses patients de surveiller leur tour de taille, et d'aller consulter «si votre ceinture n'est plus assez longue.»
Re: actualité 2012-2013
Le cannabis détériore les capacités intellectuelles et abaisse le QI
Avec AFP - Washington Share on joliprintPDF Partager Un suivi de volontaires depuis leur naissance jusqu’à leurs 38 ans a permis de mieux préciser l’impact du cannabis sur les facultés intellectuelles à long terme. Les plus gros fumeurs, surtout s'ils ont commencé pendant l'adolescence, ont perdu jusqu’à 8 points de quotient intellectuel (QI) en 25 ans. La marijuana n’est pas bonne pour le cerveau !
On le suspectait depuis longtemps, c’est désormais mieux démontré. Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, confirme une étude publiée lundi dans Pnas.
La recherche effectuée sur 1.037 Néo-Zélandais, première à prendre en compte une période globale de près de 40 ans, a permis de suivre des enfants nés en 1972-1973 depuis leur naissance et de comparer leur quotient intellectuel (QI) à 13 ans puis à 38 ans. Certains d’entre eux étaient des consommateurs réguliers de cannabis, y compris après 20 ans ou 30 ans, d’autres non. En rencontrant les volontaires à onze reprises au long de leur existence dès le plus jeune âge pour les mettre en confiance, les scientifiques évaluaient les habitudes de vie de chacun via des questionnaires.
Au bout de la période, un écart de huit points s'est creusé entre les plus gros fumeurs et les abstinents de toujours, affirme Madeleine Meier, psychologue à la Duke University, en Caroline du Nord, et auteur principal de cette étude. Or « le QI est censé être stable » à mesure que l'on vieillit, explique-t-elle. Pour les personnes n'ayant jamais fumé de cannabis, le QI a même légèrement progressé de quelques dixièmes de point.
Le cannabis fait perdre la mémoire
« On sait que le QI est un élément fort déterminant pour l'accès à l'université, pour le revenu gagné tout au long de la vie, pour l'accès à l'emploi et la performance au travail », poursuit la chercheuse. « Quelqu'un qui perd huit points de son quotient intellectuel durant son adolescence et à la vingtaine peut se retrouver désavantagé par rapport à ses pairs du même âge pour de nombreux aspects majeurs de la vie », et ce pendant de longues années, conclut-elle, soulignant que cette importante différence ne serait pas due à d'autres facteurs (éducation, alcool, autres drogues, etc.).
Les consommateurs de marijuana ont aussi montré de plus faibles capacités de mémoire, de concentration ou ont obtenu des résultats moins probants lors des tests évaluant certaines fonctions mentales, la vitesse de traitement de l’information ou les fonctions exécutives.
Le cannabis, issu du chanvre, détériore le cerveau, ce qui entraîne des répercussions sur un certain nombre de facteurs intellectuels, mesurés par exemple par les tests de QI. © Chmee2, Wikipédia, cc by sa 3.0
L’adolescence, une période critique
Ceux qui avait ralentit leur consommation l'année précédant leurs 38 ans, moment du second test, n'ont pas pour autant obtenu de meilleurs résultats, ce qui plaide pour une irréversibilité des effets. Cependant, l’échantillonnage sur lequel se basent ces conclusions est mince et donc peu représentatif. Or, de précédents travaux tendaient à montrer que 28 jours d’abstinence suffisaient pour retrouver la pleine possession de ses moyens.
Autre découverte de ce travail : les fumeurs ayant commencé seulement à l'âge adulte ne souffraient pas d'un tel écart intellectuel avec les non-fumeurs. Seulement des données sociologiques démontrent, statistiques à l’appui, que cette consommation de cannabis démarre le plus souvent dans l’adolescence, « une période très sensible du développement du cerveau », indique Mme Meier. Effectivement, cette tranche d’âge est marquée par de nombreuses modifications et réorganisations de l’organe de la pensée, en pleine maturation. En utilisant des substances agissant directement sur le mental, les jeunes « peuvent perturber le processus cérébral normal », explique-t-elle.
Un impact sur l’intelligence déjà suspecté mais non prouvé
L'étude n'évalue pas, en revanche, les effets d'un arrêt ou d'un ralentissement de consommation plus tôt dans la vie, et ne précise pas non plus les quantités consommées.
Par le passé, cette relation entre consommation de cannabis et impact sur l’intelligence avait déjà été fortement suspectée. Une recherche menée sur le rat montrait qu’une consommation de marijuana durant une période équivalente à notre adolescence entraînait des déficits cognitifs. Un autre travail, mené chez de jeunes personnes, révélait grâce à l’IRM que le cortex préfrontal, impliqué dans la prise de décision et le contrôle de soi était moins volumineux chez les consommateurs réguliers.
Mais la question que posaient les plus dubitatifs consistait à savoir si le cannabis détériorait les facultés mentales ou si les personnes avec des capacités intellectuelles légèrement inférieures étaient celles qui se dirigeaient plus facilement vers la drogue. Grâce à cette nouvelle étude, le débat pourrait bien être clos.
Avec AFP - Washington Share on joliprintPDF Partager Un suivi de volontaires depuis leur naissance jusqu’à leurs 38 ans a permis de mieux préciser l’impact du cannabis sur les facultés intellectuelles à long terme. Les plus gros fumeurs, surtout s'ils ont commencé pendant l'adolescence, ont perdu jusqu’à 8 points de quotient intellectuel (QI) en 25 ans. La marijuana n’est pas bonne pour le cerveau !
On le suspectait depuis longtemps, c’est désormais mieux démontré. Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, confirme une étude publiée lundi dans Pnas.
La recherche effectuée sur 1.037 Néo-Zélandais, première à prendre en compte une période globale de près de 40 ans, a permis de suivre des enfants nés en 1972-1973 depuis leur naissance et de comparer leur quotient intellectuel (QI) à 13 ans puis à 38 ans. Certains d’entre eux étaient des consommateurs réguliers de cannabis, y compris après 20 ans ou 30 ans, d’autres non. En rencontrant les volontaires à onze reprises au long de leur existence dès le plus jeune âge pour les mettre en confiance, les scientifiques évaluaient les habitudes de vie de chacun via des questionnaires.
Au bout de la période, un écart de huit points s'est creusé entre les plus gros fumeurs et les abstinents de toujours, affirme Madeleine Meier, psychologue à la Duke University, en Caroline du Nord, et auteur principal de cette étude. Or « le QI est censé être stable » à mesure que l'on vieillit, explique-t-elle. Pour les personnes n'ayant jamais fumé de cannabis, le QI a même légèrement progressé de quelques dixièmes de point.
Le cannabis fait perdre la mémoire
« On sait que le QI est un élément fort déterminant pour l'accès à l'université, pour le revenu gagné tout au long de la vie, pour l'accès à l'emploi et la performance au travail », poursuit la chercheuse. « Quelqu'un qui perd huit points de son quotient intellectuel durant son adolescence et à la vingtaine peut se retrouver désavantagé par rapport à ses pairs du même âge pour de nombreux aspects majeurs de la vie », et ce pendant de longues années, conclut-elle, soulignant que cette importante différence ne serait pas due à d'autres facteurs (éducation, alcool, autres drogues, etc.).
Les consommateurs de marijuana ont aussi montré de plus faibles capacités de mémoire, de concentration ou ont obtenu des résultats moins probants lors des tests évaluant certaines fonctions mentales, la vitesse de traitement de l’information ou les fonctions exécutives.
Le cannabis, issu du chanvre, détériore le cerveau, ce qui entraîne des répercussions sur un certain nombre de facteurs intellectuels, mesurés par exemple par les tests de QI. © Chmee2, Wikipédia, cc by sa 3.0
L’adolescence, une période critique
Ceux qui avait ralentit leur consommation l'année précédant leurs 38 ans, moment du second test, n'ont pas pour autant obtenu de meilleurs résultats, ce qui plaide pour une irréversibilité des effets. Cependant, l’échantillonnage sur lequel se basent ces conclusions est mince et donc peu représentatif. Or, de précédents travaux tendaient à montrer que 28 jours d’abstinence suffisaient pour retrouver la pleine possession de ses moyens.
Autre découverte de ce travail : les fumeurs ayant commencé seulement à l'âge adulte ne souffraient pas d'un tel écart intellectuel avec les non-fumeurs. Seulement des données sociologiques démontrent, statistiques à l’appui, que cette consommation de cannabis démarre le plus souvent dans l’adolescence, « une période très sensible du développement du cerveau », indique Mme Meier. Effectivement, cette tranche d’âge est marquée par de nombreuses modifications et réorganisations de l’organe de la pensée, en pleine maturation. En utilisant des substances agissant directement sur le mental, les jeunes « peuvent perturber le processus cérébral normal », explique-t-elle.
Un impact sur l’intelligence déjà suspecté mais non prouvé
L'étude n'évalue pas, en revanche, les effets d'un arrêt ou d'un ralentissement de consommation plus tôt dans la vie, et ne précise pas non plus les quantités consommées.
Par le passé, cette relation entre consommation de cannabis et impact sur l’intelligence avait déjà été fortement suspectée. Une recherche menée sur le rat montrait qu’une consommation de marijuana durant une période équivalente à notre adolescence entraînait des déficits cognitifs. Un autre travail, mené chez de jeunes personnes, révélait grâce à l’IRM que le cortex préfrontal, impliqué dans la prise de décision et le contrôle de soi était moins volumineux chez les consommateurs réguliers.
Mais la question que posaient les plus dubitatifs consistait à savoir si le cannabis détériorait les facultés mentales ou si les personnes avec des capacités intellectuelles légèrement inférieures étaient celles qui se dirigeaient plus facilement vers la drogue. Grâce à cette nouvelle étude, le débat pourrait bien être clos.
Re: actualité 2012-2013
Un régime peu calorique ne permet pas forcément de vivre plus vieux
PARIS (France) - Un régime alimentaire amputé du tiers des calories consommées normalement ne permet pas forcément d'augmenter l'espérance de vie, comme l'avancent certains chercheurs, selon une nouvelle étude effectuée chez des macaques rhésus.
Il permet en revanche aux macaques de vivre en meilleure santé, avec moins de maladies cardiovasculaires, de cancer et de diabète, selon l'étude publiée mercredi par la revue scientifique britannique Nature.
Cette étude contredit les études réalisées dans le passé sur des souris et des rats et qui établissaient un lien entre restriction alimentaire et longévité. Aucune étude n'a été faite à ce jour sur l'homme.
Pendant plus de 20 ans, les chercheurs de l'institut américain du vieillissement (National Institute on Ageing - NIA) ont soumis 121 macaques rhésus ayant des poids normaux à des restrictions caloriques de 30%, pour certains dès leur jeune âge (1 à 14 ans) et pour d'autres à un âge plus avancé (16-23 ans) et ont comparé les résultats obtenus à ceux d'un groupe témoin.
Aucune différence notable n'a été observée en termes de longévité entre les différents groupes de macaques - dont l'espérance de vie en captivité est supérieure à celle des animaux en liberté, avec une moyenne de 27 ans.
La restriction de calories à l'âge avancé a toutefois eu un impact positif sur le métabolisme, notamment sur les taux de cholestérol chez les mâles, tandis que les singes traités jeunes ont développé moins de cancers et des maladies cardiovasculaires ou du diabète plus tardivement que le groupe témoin.
Ces résultats n'ont pourtant pas entrainé d'effet immédiat sur la longévité, a déclaré à l'AFP Rafael de Cabo, l'un des auteurs de l'étude.
Aucune explication n'a été avancée par l'étude NIA qui contredit les résultats d'une expérience en cours du laboratoire du Wisconsin National Primate Research Center (WNPRC) qui a montré une longévité accrue chez des singes rhésus soumis à la même restriction calorique.
Selon Ricki Colman, co-auteur de cette dernière étude (WNPRC), la différence pourrait s'expliquer par la composition de la nourriture donnée aux macaques du groupe témoin. Les singes témoins NIA ont ainsi bénéficié d'une nourriture particulièrement saine, avec des vitamines et des suppléments minéraux, ce qui pourrait expliquer des durées de vie similaires à celles du groupe témoin.
En revanche les singes témoins WNPRC pouvaient se nourrir à volonté, à l'instar ce qui ce passe chez l'être humain.
Le chercheur du WNPRC n'a pas non plus exclu que la génétique ait pu jouer un rôle dans les différences de longévité qu'il a pour sa part observées.
(©AFP / 29 août 2012 19h00)
PARIS (France) - Un régime alimentaire amputé du tiers des calories consommées normalement ne permet pas forcément d'augmenter l'espérance de vie, comme l'avancent certains chercheurs, selon une nouvelle étude effectuée chez des macaques rhésus.
Il permet en revanche aux macaques de vivre en meilleure santé, avec moins de maladies cardiovasculaires, de cancer et de diabète, selon l'étude publiée mercredi par la revue scientifique britannique Nature.
Cette étude contredit les études réalisées dans le passé sur des souris et des rats et qui établissaient un lien entre restriction alimentaire et longévité. Aucune étude n'a été faite à ce jour sur l'homme.
Pendant plus de 20 ans, les chercheurs de l'institut américain du vieillissement (National Institute on Ageing - NIA) ont soumis 121 macaques rhésus ayant des poids normaux à des restrictions caloriques de 30%, pour certains dès leur jeune âge (1 à 14 ans) et pour d'autres à un âge plus avancé (16-23 ans) et ont comparé les résultats obtenus à ceux d'un groupe témoin.
Aucune différence notable n'a été observée en termes de longévité entre les différents groupes de macaques - dont l'espérance de vie en captivité est supérieure à celle des animaux en liberté, avec une moyenne de 27 ans.
La restriction de calories à l'âge avancé a toutefois eu un impact positif sur le métabolisme, notamment sur les taux de cholestérol chez les mâles, tandis que les singes traités jeunes ont développé moins de cancers et des maladies cardiovasculaires ou du diabète plus tardivement que le groupe témoin.
Ces résultats n'ont pourtant pas entrainé d'effet immédiat sur la longévité, a déclaré à l'AFP Rafael de Cabo, l'un des auteurs de l'étude.
Aucune explication n'a été avancée par l'étude NIA qui contredit les résultats d'une expérience en cours du laboratoire du Wisconsin National Primate Research Center (WNPRC) qui a montré une longévité accrue chez des singes rhésus soumis à la même restriction calorique.
Selon Ricki Colman, co-auteur de cette dernière étude (WNPRC), la différence pourrait s'expliquer par la composition de la nourriture donnée aux macaques du groupe témoin. Les singes témoins NIA ont ainsi bénéficié d'une nourriture particulièrement saine, avec des vitamines et des suppléments minéraux, ce qui pourrait expliquer des durées de vie similaires à celles du groupe témoin.
En revanche les singes témoins WNPRC pouvaient se nourrir à volonté, à l'instar ce qui ce passe chez l'être humain.
Le chercheur du WNPRC n'a pas non plus exclu que la génétique ait pu jouer un rôle dans les différences de longévité qu'il a pour sa part observées.
(©AFP / 29 août 2012 19h00)
Re: Ifsi deficitaires 2012
J'ai été appelée à bethune, evreux, chartres, berck et vire. Tous sont des IFSI déficitaires j'avais envoyé mon dossier mi juin.
ESI 2012/2015
Re: Concours printemps 2012
oui ça va !!! je suis aussi mais vraiment pressée d'y être !!!! j'i vraiment envie de commencer à apprendre et enfin exercer ce métier !! en fait c'est un mélange d'excitation et de stresse que j'ai je pense que c'est pareil pour toi
Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
Re: Concours printemps 2012
au faite il y a un groupe esi sur fb si tu veux bien nous rejoindre ça seriat cool et les autres aussi comme sarah , max, willi ...
Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
Re: Concours printemps 2012
Coucou tout le monde ! Comment ça va ? Je voulais souhaiter bon courage à Maxymiou et LoveParis pour leurs révisions. Ca va le faire j'en suis sûre mais je comprends que ce n'est pas toujours facile de rester motiver
Sinon demain c'est la pré-rentrée pour moi (de 9h à 16h30), je me demande bien ce qu'on va faire pendant tous ce temps. Il y a écrit qu'ils vont nous présenter le nouveau programme, le règlement, le projet pédagogique, l'organisation de la première année. On va aussi acheter les livres et essayer les tenues. Mais je me demande si ça va prendre autant de temps ?
J'ai hâte de commencer mais je suis tellement stressée
Est-ce que quelqu'un aurait des nouvelles de Joulie et William ?

Sinon demain c'est la pré-rentrée pour moi (de 9h à 16h30), je me demande bien ce qu'on va faire pendant tous ce temps. Il y a écrit qu'ils vont nous présenter le nouveau programme, le règlement, le projet pédagogique, l'organisation de la première année. On va aussi acheter les livres et essayer les tenues. Mais je me demande si ça va prendre autant de temps ?
J'ai hâte de commencer mais je suis tellement stressée

Est-ce que quelqu'un aurait des nouvelles de Joulie et William ?
ESI 2012-2015
"Nulle cause n'est perdue. S'il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.."
"Nulle cause n'est perdue. S'il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.."
Re: Concours printemps 2012
Oui Jennifer c'est exactement pareil pour moi, je suis pressée mais très stressée en même temps.
Ah c'est cool pour le groupe Facebook, je ne savais pas. Je veux bien le rejoindre mais c'est quoi le nom ?
Sarah : Effectivement à Bon Secours c'est pas pareil qu'à la Croix Rouge ! J'ai eu ma pré-rentrée mardi et c'était que pour rendre les papiers. Je ne m'attendait pas à ça. Alors que toi à mon avis ils vont te présenter la formation et comment va se dérouler l'année alors que pour moi je saurais tout la semaine prochaine.
C'est clair que 9h - 16h30 c'est beaucoup mais je pense que déjà l'essayage des tenues ça va prendre beaucoup de temps. (A la Croix Rouge c'est nous qui devont aller au magasin les essayer)

Ah c'est cool pour le groupe Facebook, je ne savais pas. Je veux bien le rejoindre mais c'est quoi le nom ?

Sarah : Effectivement à Bon Secours c'est pas pareil qu'à la Croix Rouge ! J'ai eu ma pré-rentrée mardi et c'était que pour rendre les papiers. Je ne m'attendait pas à ça. Alors que toi à mon avis ils vont te présenter la formation et comment va se dérouler l'année alors que pour moi je saurais tout la semaine prochaine.
C'est clair que 9h - 16h30 c'est beaucoup mais je pense que déjà l'essayage des tenues ça va prendre beaucoup de temps. (A la Croix Rouge c'est nous qui devont aller au magasin les essayer)

ESI 2012-2015 CRF <3
1°A : EHPAD+USLD
2°A : Psy Alzheimer+Oncologie/Hémato
3°A : Méd hépato-gastro+Uro/Néphro+Urgences
Infirmière diplômée d'Etat Juil 2015 ! IDE aux Urgences
1°A : EHPAD+USLD
2°A : Psy Alzheimer+Oncologie/Hémato
3°A : Méd hépato-gastro+Uro/Néphro+Urgences
Infirmière diplômée d'Etat Juil 2015 ! IDE aux Urgences
Re: Concours printemps 2012
Peut être que le plus long, ça va être de visiter les locaux
Je ne saurai pas te dire.
Pour ce qui est des dernières nouvelles, ça ne sera pas pour moi cette année. La pré-rentrée ayant eu lieu mardi, la secrétaire a dit qu'ils ne descendaient plus sur les listes complémentaires. Donc voilà, je vais passer les concours pour la 3ème fois. Cela devient une habitude limite
Je pense que cette fois se sera la bonne, du moins, je l'espère parce qu'alors sinon je crois que je me sentirai vraiment bête.
Et sinon je vous souhaite une bonne rentrée, et de vous épanouir dans vos études
Le nom du groupe c'est : La Family ESI !

Pour ce qui est des dernières nouvelles, ça ne sera pas pour moi cette année. La pré-rentrée ayant eu lieu mardi, la secrétaire a dit qu'ils ne descendaient plus sur les listes complémentaires. Donc voilà, je vais passer les concours pour la 3ème fois. Cela devient une habitude limite

Et sinon je vous souhaite une bonne rentrée, et de vous épanouir dans vos études

Le nom du groupe c'est : La Family ESI !
__ ESI 2016.
Re: actualité 2012-2013
minijim j'ai envie de te dire un très gros MERCI pour avoir posté ici tous ces articles! Je passe le concours de cet automne, je ne me suis pas encore vraiment attelée à la lecture d'articles de journaux sur l'actualité sanitaire et sociale, je compte m'y mettre dès demain. Bien sûr dès que je trouverai quelque chose qui semble intéressant je le posterai ici! L'union fait la force lol
concours automne 2012 ap hp...YES WE CAN 
