VIGILANCE MAXIMALE
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers spécialisés - IBODE
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marie-paule31
- Messages : 11
- Inscription : 05 nov. 2012 17:32
VIGILANCE MAXIMALE
Mesdames, Messieurs, Chers Collègues,
Nous sommes dans l'attente de décisions ministérielles concernant notre statut, décisions qui devraient se finaliser dans le courant de ce mois ci.
Le mouvement toulousain, crée en octobre 2012, dont le but est la défense et la valorisation de notre profession vous interpelle aujourd'hui.
Quelle est votre position face aux décisions qui seront prises, accepterons nous encore la non reconnaissance de notre diplôme au grade de master 2 sans réagir ?
Nous espérons que les journées des 29 au 31 mai lors du congrès national des IBODE nous permettront de communiquer de façon positive quant au devenir de notre profession.
Nous avons interpellé les députés de notre région et trois d'entre eux (Mmes Imbert, Poumirol, Mr Lemasle) sont nos porte parole auprès de Mme Touraine avec des questions posées à l'assemblée nationale : « Mme Françoise Imbert attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la reconnaissance de la qualification des infirmiers de bloc opératoire diplômés d'État (IBODE). En effet, les IBODE exercent, selon l'article R. 4311-11 du code de la santé publique, au sein des blocs opératoires. Ils doivent effectuer, après l'obtention du diplôme d'État d'infirmier (IDE), un exercice de deux années de cette profession, une formation complémentaire de dix-huit mois abordant la gestion des risques, l'hygiène et les techniques chirurgicales. Ils demandent à ce que leur diplôme soit reconnu, dans le cadre du dispositif LMD, au niveau master 2, tout comme l'est celui des infirmiers anesthésistes (IADE). Actuellement, l'absence de reconnaissance de cette spécialisation et de la compétence particulière des IBODE entraîne une pénurie du personnel spécialisé dans les blocs opératoires, qui peut faire courir des risques supplémentaires du point de vue de la qualité des interventions et de la sécurité des patients. Aussi, elle lui demande quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre pour maintenir l'attractivité des spécialités infirmières ainsi que leur valorisation tant statutaire que financière. »
Notre formation professionnelle nous permet d'acquérir l'expertise nécessaire pour apporter des soins de qualité au patient et travailler de façon sécuritaire au Bloc Opératoire.
Arrêtons de la mépriser!
Nous restons déterminés et voulons rester fiers d'être IBODE.
Nous comptons sur votre soutien!!!!!
LE MOUVEMENT TOULOUSAIN
Nous sommes dans l'attente de décisions ministérielles concernant notre statut, décisions qui devraient se finaliser dans le courant de ce mois ci.
Le mouvement toulousain, crée en octobre 2012, dont le but est la défense et la valorisation de notre profession vous interpelle aujourd'hui.
Quelle est votre position face aux décisions qui seront prises, accepterons nous encore la non reconnaissance de notre diplôme au grade de master 2 sans réagir ?
Nous espérons que les journées des 29 au 31 mai lors du congrès national des IBODE nous permettront de communiquer de façon positive quant au devenir de notre profession.
Nous avons interpellé les députés de notre région et trois d'entre eux (Mmes Imbert, Poumirol, Mr Lemasle) sont nos porte parole auprès de Mme Touraine avec des questions posées à l'assemblée nationale : « Mme Françoise Imbert attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la reconnaissance de la qualification des infirmiers de bloc opératoire diplômés d'État (IBODE). En effet, les IBODE exercent, selon l'article R. 4311-11 du code de la santé publique, au sein des blocs opératoires. Ils doivent effectuer, après l'obtention du diplôme d'État d'infirmier (IDE), un exercice de deux années de cette profession, une formation complémentaire de dix-huit mois abordant la gestion des risques, l'hygiène et les techniques chirurgicales. Ils demandent à ce que leur diplôme soit reconnu, dans le cadre du dispositif LMD, au niveau master 2, tout comme l'est celui des infirmiers anesthésistes (IADE). Actuellement, l'absence de reconnaissance de cette spécialisation et de la compétence particulière des IBODE entraîne une pénurie du personnel spécialisé dans les blocs opératoires, qui peut faire courir des risques supplémentaires du point de vue de la qualité des interventions et de la sécurité des patients. Aussi, elle lui demande quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre pour maintenir l'attractivité des spécialités infirmières ainsi que leur valorisation tant statutaire que financière. »
Notre formation professionnelle nous permet d'acquérir l'expertise nécessaire pour apporter des soins de qualité au patient et travailler de façon sécuritaire au Bloc Opératoire.
Arrêtons de la mépriser!
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