préparation et astuces pour l'oral ifsi
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Re: Préparation à l'oral
Bonjour a tous ,
Je viens de recevoir ma convocation pour l'oral il est donc tant de reprendre les révisions ! J'ai une petite question durant l'entretien faut il rester neutre si on nous pose une question du type " êtes vous pour ou contre l'euthanasie ? " c'est a dire faut il se placer en tant que futur professionnel ? Merci a vous et bon courage a toutes et a tous
Je viens de recevoir ma convocation pour l'oral il est donc tant de reprendre les révisions ! J'ai une petite question durant l'entretien faut il rester neutre si on nous pose une question du type " êtes vous pour ou contre l'euthanasie ? " c'est a dire faut il se placer en tant que futur professionnel ? Merci a vous et bon courage a toutes et a tous
Re: Préparation à l'oral
Coucou à tous !
Je suis nouvelle sur ce site, et je passe mon oral dans moins d'un mois. C'est un peu panique à bord dans ma tête pour la première partie de l’épreuve
. Je n’arrive pas à trouver une méthode efficace pour réviser ma culture générale et je le perd souvent ^^
Quelles sont vos méthodes de travail pour la culture Générale ?
Ah et 2ème question : j'ai un an d'avance donc encore 16 ans, on m'a pas mal dit qu'être trop jeune desservait beaucoup à l'entretien.... Est ce que parmi vous certains sont dans le même cas que moi, ou l'ont été ?
Merki

Je suis nouvelle sur ce site, et je passe mon oral dans moins d'un mois. C'est un peu panique à bord dans ma tête pour la première partie de l’épreuve

Quelles sont vos méthodes de travail pour la culture Générale ?
Ah et 2ème question : j'ai un an d'avance donc encore 16 ans, on m'a pas mal dit qu'être trop jeune desservait beaucoup à l'entretien.... Est ce que parmi vous certains sont dans le même cas que moi, ou l'ont été ?
Merki

- La bougie ne perd rien de sa lumière en la communiquant à une autre bougie. -
- proverbes japonais
IFSI de Montbrison : Admissible
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IFSI de Montbrison : Admissible
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- Inscription : 29 avr. 2014 17:34
Re: Préparation à l'oral
Bonjour à tous !
Donc je me présente, je viens d'avoir 18 ans et je suis actuellement en terminale S. Depuis toute petite, je veux exercer la profession d'infirmière (plus précisément infirmière puéricultrice). Je suis très intéressée et motivée pour ce métier, je me sens faîte pour et aucun autre métier ne m'intéresse !
Cette année, j'ai décidé (avec beaucoup de détermination) de faire en parallèle à mon année de terminale, une classe préparatoire (les samedis matins) pour travailler mes concours IFSI (je sais que c'est un bon point à mettre en valeur à l'oral, car peu de terminales sacrifient leur samedi matin pour travailler, or moi je l'ai fait pour quelque chose qui me passionne).
Comment montrer au jury que je mérite ma place face à des personnes qui peuvent avoir 5 voire 10 ans de plus que moi (avec de l'expérience dans le milieu) ? (Car étant en terminale et ayant le diplôme BAFA, je n'ai pas eu le temps de faire des stages pendant mes vacances scolaires)
J'aurais sûrement d'autres questions, plus tard...
(mon premier oral est le 19 mai)
Bon courage à vous toutes !
Donc je me présente, je viens d'avoir 18 ans et je suis actuellement en terminale S. Depuis toute petite, je veux exercer la profession d'infirmière (plus précisément infirmière puéricultrice). Je suis très intéressée et motivée pour ce métier, je me sens faîte pour et aucun autre métier ne m'intéresse !
Cette année, j'ai décidé (avec beaucoup de détermination) de faire en parallèle à mon année de terminale, une classe préparatoire (les samedis matins) pour travailler mes concours IFSI (je sais que c'est un bon point à mettre en valeur à l'oral, car peu de terminales sacrifient leur samedi matin pour travailler, or moi je l'ai fait pour quelque chose qui me passionne).
Comment montrer au jury que je mérite ma place face à des personnes qui peuvent avoir 5 voire 10 ans de plus que moi (avec de l'expérience dans le milieu) ? (Car étant en terminale et ayant le diplôme BAFA, je n'ai pas eu le temps de faire des stages pendant mes vacances scolaires)
J'aurais sûrement d'autres questions, plus tard...

Bon courage à vous toutes !
ADMISE AUX ORAUX IFSI
DU PUY EN VELAY, MOULINS, MONTLUCON, VICHY
DU PUY EN VELAY, MOULINS, MONTLUCON, VICHY
Re: Préparation à l'oral
Salut! Tu es bien courageuse d'avoir fait ça en même temps que la préparation du bac, je te dis bravo!
Déjà lors de ton oral ne dis surtout pas que c'est ton rêve depuis toujours de faire infirmière car ça fait un peu "nunuche" si je peux dire ça.
Montrer que tu es déterminée, motivée pour faire ça et que tu sais malgré l'absence de stage, que c'est ta vocation car tu aimes beaucoup le relationnel et le contact avec autrui.
Les motivations sont personnelles, tu dois te "vendre" en quelque sorte. Il faut dire tes qualités mais aussi tes défauts (sans te dégrader non plus!!). Après ils vont te poser tes questions et c'est sur le moment que tu pourrais y répondre car de nombreuses questions sont possibles.
J'espère que d'autres personnes pourront plus t'éclaircir que moi, je te dis M*rde pour cet oral. Moi c'est mardi prochain!

Déjà lors de ton oral ne dis surtout pas que c'est ton rêve depuis toujours de faire infirmière car ça fait un peu "nunuche" si je peux dire ça.
Montrer que tu es déterminée, motivée pour faire ça et que tu sais malgré l'absence de stage, que c'est ta vocation car tu aimes beaucoup le relationnel et le contact avec autrui.

Les motivations sont personnelles, tu dois te "vendre" en quelque sorte. Il faut dire tes qualités mais aussi tes défauts (sans te dégrader non plus!!). Après ils vont te poser tes questions et c'est sur le moment que tu pourrais y répondre car de nombreuses questions sont possibles.
J'espère que d'autres personnes pourront plus t'éclaircir que moi, je te dis M*rde pour cet oral. Moi c'est mardi prochain!

Concours printemps 2015, me voilà!
Re: Préparation à l'oral
Bonjour les filles aller je me lance aussi!!!
Bonjour, je m’appelle dollon (surnom donné ici
), j’ai 37 ans,Je suis en reconversion professionnelle, je suis actuellement technicien de laboratoire en électronique depuis 17 ans, après avoir eu une licence en chimie.
Avez-vous déjà travaillé dans le secteur paramédical ? Si oui, à quel poste ? Pourquoi changer ?
Non je n’ai malheureusement pas déjà travaillé dans le secteur paramédical, cela fait plusieurs années que je travaille pour la même société.
Comment savez-vous que vous êtes prêt à soigner des personnes ?
J'aime prendre soin des personnes et leur apporter mon aide, c'est une des raisons qui font qu'aujourd'hui je désir changer de métier, mon métier est très bien et très intéressant mais il ne m'offre pas le contact avec les gents et cela manque à mon épanouissement.
Avez-vous déjà fait face à la maladie, la mort ? Dans quelles circonstances ? Quelle a été votre réaction ?
A 37 ans bien sur que j'ai connu la mort, et la maladie, nos alleux vivent plus longtemps donc nous sommes forcement concerné un jour ou l'autre.J'ai fait face et aider mes proches à faire de même.
Connaissez-vous les avantages et les contraintes de travail (horaires, salaires,...), les contraintes physiques et psychologiques de cette profession ? Vous-y êtes-vous préparé ?
Tout comme l'infirmier qui à des horaires décalées week end et jours fériés, dans l'entreprise dans laquelle j'exerce mon métier, on travaille ainsi, j'ai donc effectué 5 ans d'équipe de week end, 2 ans en alternance une semaine de matin et une semaine d'après midi, 1 ans de nuits et le reste en journées,ainsi que les jours fériés.
Le métier d'infirmier et souvent soumis à la pression, au stress, chose que je connais bien puisque je gère les retours clients.
L’infirmier travaille en équipe et collaboration avec les autres infirmers et les médecins.
Avez-vous des amis ou des parents qui pratiquent ces métiers ? Que vous en disent-ils ?
3 de mes cousines sont infirmières et ma sœur et aide soignantes, ce qu'elles m'en disent c'est que c'est un métier qui demande beaucoup d'investissement,métier qui est à réputation pénible mais qui apporte beaucoup d'épanouissement, personnelle.
pourquoi changer de métier maintenant, quel à était l'élément déclencheur?
J'ai toujours voulu faire ce métier,le monde médicale m'attire depuis toujours, mais lors de mes études j'ai étais poussé à faire de longues études, et je me suis vu proposer un CDI dans l'entreprise dans laquelle je travaille à la suite de CCD de vacances et contrat étudiant.Aujourd'hui , j'ai moins de contraintes personnelles et j'ai envie de revenir à mon métier passion.
Vos qualités et défauts
Je suis généreuse, j'aime donner de mon temps et de moi même, je suis joviale, je prends la vie du bon coté et je suis persévérante, que je classerais aussi dans mes défauts car une fois lancé, j'ai du mal à décrocher.
défauts: émotives, mais avec le temps et l’expérience, j'ai appris à en faire une vrai force.Je suis maniaque j'aime que tout soit en ordre et rangé .
Le fait d'avoir des enfants peut-il être un frein pour votre reprise d'études?
J'arrive parfaitement à concilier vie de famille et vie professionnelle, mes enfants sont grands, je les gère en alternance (garde alternée) avec leur père et mon conjoint m'aide beaucoup.
Voila pas facile !!!
Bisou!!
Bonjour, je m’appelle dollon (surnom donné ici

Avez-vous déjà travaillé dans le secteur paramédical ? Si oui, à quel poste ? Pourquoi changer ?
Non je n’ai malheureusement pas déjà travaillé dans le secteur paramédical, cela fait plusieurs années que je travaille pour la même société.
Comment savez-vous que vous êtes prêt à soigner des personnes ?
J'aime prendre soin des personnes et leur apporter mon aide, c'est une des raisons qui font qu'aujourd'hui je désir changer de métier, mon métier est très bien et très intéressant mais il ne m'offre pas le contact avec les gents et cela manque à mon épanouissement.
Avez-vous déjà fait face à la maladie, la mort ? Dans quelles circonstances ? Quelle a été votre réaction ?
A 37 ans bien sur que j'ai connu la mort, et la maladie, nos alleux vivent plus longtemps donc nous sommes forcement concerné un jour ou l'autre.J'ai fait face et aider mes proches à faire de même.
Connaissez-vous les avantages et les contraintes de travail (horaires, salaires,...), les contraintes physiques et psychologiques de cette profession ? Vous-y êtes-vous préparé ?
Tout comme l'infirmier qui à des horaires décalées week end et jours fériés, dans l'entreprise dans laquelle j'exerce mon métier, on travaille ainsi, j'ai donc effectué 5 ans d'équipe de week end, 2 ans en alternance une semaine de matin et une semaine d'après midi, 1 ans de nuits et le reste en journées,ainsi que les jours fériés.
Le métier d'infirmier et souvent soumis à la pression, au stress, chose que je connais bien puisque je gère les retours clients.
L’infirmier travaille en équipe et collaboration avec les autres infirmers et les médecins.
Avez-vous des amis ou des parents qui pratiquent ces métiers ? Que vous en disent-ils ?
3 de mes cousines sont infirmières et ma sœur et aide soignantes, ce qu'elles m'en disent c'est que c'est un métier qui demande beaucoup d'investissement,métier qui est à réputation pénible mais qui apporte beaucoup d'épanouissement, personnelle.
pourquoi changer de métier maintenant, quel à était l'élément déclencheur?
J'ai toujours voulu faire ce métier,le monde médicale m'attire depuis toujours, mais lors de mes études j'ai étais poussé à faire de longues études, et je me suis vu proposer un CDI dans l'entreprise dans laquelle je travaille à la suite de CCD de vacances et contrat étudiant.Aujourd'hui , j'ai moins de contraintes personnelles et j'ai envie de revenir à mon métier passion.
Vos qualités et défauts
Je suis généreuse, j'aime donner de mon temps et de moi même, je suis joviale, je prends la vie du bon coté et je suis persévérante, que je classerais aussi dans mes défauts car une fois lancé, j'ai du mal à décrocher.
défauts: émotives, mais avec le temps et l’expérience, j'ai appris à en faire une vrai force.Je suis maniaque j'aime que tout soit en ordre et rangé .
Le fait d'avoir des enfants peut-il être un frein pour votre reprise d'études?
J'arrive parfaitement à concilier vie de famille et vie professionnelle, mes enfants sont grands, je les gère en alternance (garde alternée) avec leur père et mon conjoint m'aide beaucoup.
Voila pas facile !!!
Bisou!!
ESIF 2014-2017 Marseille SUD
- MinusculeCla
- Régulier
- Messages : 33
- Inscription : 19 avr. 2014 15:17
Re: Préparation à l'oral
Bonjour tout le monde!
J'ai essayé de lire tous les post précédants, c'était très intéressant
J'ai passé deux concours, et je suis admissible pour les deux. Mon premier est dans une semaine, et je commence à stresser un peu... A vrai dire, je viens d'une classe préparatoire littéraire, et je sais que le jury va forcément tiquer devant un tel changement d'orientation. J'ai tenté de répondre aux questions les plus fréquemment posées avec le plus d'honnêteté possible, et j'aimerais savoir si vous pourriez les lire et me donner votre avis. Je m'excuse d'avance, c'est trèèèèèès loin, mais je suis dans le doute alors j'ai préféré tout mettre
.
Merci d'avance, et bonne soirée
Pour vous, que signifie être infirmière ?
Infirmière, c’est pour moi aider à un patient à se sentir bien : prendre soin de lui, le panser, le rassurer au sein d’un environnement –l’hôpital- qui peut parfois lui sembler effrayant. C’est mettre en place un suivi pour ce patient, tant psychologique que physique, de parvenir à faire en sorte qu’ils se sentent bien, soutenus, à l’aise, et que des personnes seront présentes si nécessaires.
C’est aussi des responsabilités : exécuter correctement la prescription du médecin, et savoir la remettre en question si nécessaire ; instaurer une surveillance du patient sur tous les plans, superviser plusieurs patients en même temps, savoir réagir aux imprévus ; compléter ses connaissances dès que possible.
C’est en plus, la possibilité d’exercer des soins. Au rapport aux patients s’ajoutent un suivi thérapeutique, savoir administrer les bonnes doses, au bon moment.
C’est aussi apprendre à travailler en équipe, en trouvant le parfait dosage entre soins et relationnel.
Pourquoi voulez-vous être infirmière ?
Petite, je ne savais qu’une chose : que je voulais aider les autres, et si possible dans l’humanitaire, tout en sachant que je vais recevoir énormément en retour. Certes, j’avais une vision utopique des choses. Mais la vocation est restée, et infirmière s’est imposée peu à peu, au fur à mesure des discussions et des rencontres. Infirmière est un métier complet dans lequel relationnel et soins se complètent parfaitement. Il offre de plus, plusieurs secteurs d’évolution, dans des pays différents, avec des spécialisations (réanimation, de bloc opératoire, puériculteur) et l’acquisition de compétences supplémentaires –par le biais des DU- tout au long de la carrière. Les horaires ne sont pas stables, mais c’est une partie de ce qui me plait dans ce métier. Et si la nécessité d’avoir des horaires plus régulier –de part l’arrivée d’une famille- se fait sentir, il y a toujours possibilité de devenir cadre infirmier. C’est un métier des possibles très technique et aux fortes responsabilités, qui peut me permettre de m’épanouir malgré les difficultés.
Qu’est ce que la réforme de 2009 a apporté au métier d’infirmière ?
La réforme de 2009 a permis de donner le grade de licence à la profession infirmière, qui n’était auparavant reconnu comme un bac+2. Cela permet d’harmoniser les études au sein de l’union européenne et de permettre aux étudiants d’exercer et de complèter leur formation un peu partout. Qui plus est, cette licence offre la possibilité aux étudiants, pour ceux qui le souhaitent, de s’orienter vers la recherche, par le biais d’un master ou d’un doctorat.
Quels sont les points négatifs du métier d’infirmière ?
C’est un métier éprouvant, fatiguant, demandant une concentration et un contrôle constant. Il met face aux maux et aux maladies que l’on peut tous avoir, soi comme ses proches. Enfin, il est difficile de rester impassible face à ce métier : les infirmiers côtoient la maladie, la mort, le deuil lorsqu’une relation s’est instaurée avec le patient. Ils sont exposés au sang, à la douleur et aux blessures diverses.
Le métier d’infirmière ne jouit pas nécessairement d’une bonne réputation. Pour beaucoup, un infirmier est un simple éxécutant du médecin, relévant de sa hiérarchie. C’est en ce sens qu’est organisée la journée de l’infirmier le 12 mai chaque année.
De plus, les horaires sont denses et peu stables. En période d’astreinte, il faut pouvoir être disponible à tout moment.
Que fait une infirmière ?
Elle pratique les principaux soins du patient : soins médicaux et les soins d’hygiène. Elle met en pratique les prescriptions du médecin, prise de sang, pose de perfusion, changement des pansements…). Elle veille au respect du traitement médicamenteux, prescrit par une ordonnance. De plus, elle surveille l’évolution du patient, elle le suit et peu de fait percevoir les changements. Elle est la première à constater des changements physiques ou des symptômes car elle voit le patient plus souvent que le médecin. Elle doit être à même de prévenir et d’intervenir lorsqu’elle constate que quelque chose ne va pas. En bloc opératoire, elle prépare le patient avant et après l’opération.
Pourquoi avoir fait prépa littéraire avant infirmière ?
C’est une décision qui résulte de mon histoire personnelle. Bien que toujours attirée par la profession, mes parents n’y étaient pas nécessairement ouverts. J’étais bonne élève, et ils pensaient que je m’épanouirais plus dans des études longues, type doctorat. Je me suis orientée là dedans pour leur prouver et me prouver quelque chose, puis j’ai réussi à prendre la décision que je voulais prendre depuis longtemps : j’ai passé les concours sans leur en parler. Je suis en train d’achever mon année, car j’aime aller jusqu’au bout des choses, et j’essaie d’en retirer le meilleur, en me faisant fi des points négatifs qui m’ont fait me rendre compte que la formation ne me conviendrait pas.
Pourquoi ne pas faire aide-soignante ou aide médico-psychologique plutôt qu’infirmière ?
Les métiers d’aide-soignant et d’aide médico-psychologique s’oriente majoritairement vers le patient, le bien être. A ces capacités s’ajoutent dans le métier d’infirmière, la possibilité de réaliser des soins et une connaissance plus approfondie du corps et des maladies. Pour autant, les aide-soignant demeurent indispensable, de part leur meilleure connaissance du patient. Infirmier est un choix réfléchi, car j’ai déjà regardé les cours enseignés, et ils m’intéressent vraiment. J’ai sincèrement envie de pratiquer aussi ces soins.
Avez-vous déjà fait un stage en hôpital ?
Je n’ai pas encore fait de stage en hôpital. Les heures de cours en classe préparatoire étaient denses, et ne m’en laissaient pas le temps. Pour autant, cela me plairait beaucoup, notamment durant les vacances d’été. J’ai déjà rendu visite à des proches à l’hôpital et voir ainsi l’exercice de la profession, et discuter avec les infirmiers.
Quelles sont les études d’infirmier ?
Les études d’infirmière se déroulent sur 3 années, à l’issue desquelles l’étudiant valident son diplôme, et produit un TFE (un travail de fin d’étude = mémoire) sur un sujet de son choix. Les trois années sont découpées en 6 semestres de 20 semaines chacun. Cela représente en tout 4200 heures -2100 heures de cours théoriques (750h de cours magistraux, 1050h de travaux dirigés, 300 heures de travaux personnels encadrés) et 2100 heures de cours pratiques (= stages se répartissant ainsi : 60 semaines : 5 semaines au 1er semestre, 10 aux 2ème, 3ème, 4ème et 5ème semestres et 15 semaines au 6ème semestre (2 stages)). Les UE (unité d’enseignement) sont : UE 1 Sciences Humaines, Sociales et Droit ; UE 2 Sciences Biologiques et Médicales ; UE 3 Sciences et Techniques Infirmières, Fondement et Méthodes ; UE 4 Sciences et Techniques Infirmière, Intervention ; UE 5 Intégration des Savoirs et Posture Professionnelle Infirmière ; UE 6 Méthode de Travail et Technologies Information Communication (TIC), Anglais.
L’évaluation se fait, selon l’établissement, sous forme de contrôle continu et de partiels sur les différents cours abordées au cours du semestre. A l’instar de l’université, des crédits sont accordés aux étudiants, 30 par semestre. 180 sont nécessaires pour valider la formation. Il est nécessaire d’avoir une moyenne supérieure ou égale à 10 pour valider les UE.
Que comptez-vous faire après votre formation ?
J’aimerais travailler à l’hôpital, et m’orienter vers trois secteurs : réanimation, psychatrie ou soins palliatifs. Ils sont difficiles, mais ils permettent de cotoyer un monde différent.
J’espère, après quelques années de pratique, obtenir un master en humanitaire, de manière à pouvoir partir en missions.
Quelles sont vos qualités ?
J’ai une forte volonté, une grande capacité d’adaptation. Je suis tolérante et sociable, et j’aime le contact humain. J’ai beaucoup d’empathie.
Quels sont vos défauts ?
Je suis d’un naturel stressé, angoissé. Je suis impulsive et j’ai une forte sensibilité. Je travaille dessus de manière à en faire une force plus qu’une faiblesse.
Que pensez-vous apporter au malade ?
Je pense pouvoir, individuellement, pouvoir lui apporter une certaine écoute, une présence rassurante. J’aimerai pouvoir parvenir à lui consacrer du temps personnalisé, comme une lecture, une anecdote, parvenir à lui faire oublier qu’il est à l’hopital pendant un temps, tout en lui permettant de mieux accepter sa maladie. Collectivement, des soins adaptés, une surveillance constante, un sentiment de sécurité.
Quel serait votre réaction face à la souffrance et à la mort ?
J’y ai déjà été confrontée par le passé, et ma première réaction avait été la peur, l’angoisse. J’ai entamé un travail sur moi, et j’ai essayé de faire de ces échéances une force pour profiter de la vie. Comme tout le monde, la peur reste présente quand on s’y trouve confrontée, en face à face, mais elle n’est plus paralysante. Elle devient même une force d’action.
Quels sont vos besoins en matière de formation? Qu’attendez-vous d'un IFSI?
Peut être une certaine forme de soif de connaissances. Le besoin de rendre attractif les enseignements par des exemples, des mises en pratique. Retrouver ce caractère humain qui est à la base de la profession. Instaurer une certaine cohésion de groupe puisque le travail collectif va rythmer par la suite les journées d’exercice.
‘‘La tolérance", qu'évoque pour vous ce terme en tant que futur infirmier ?
La tolérance, c’est l’ouverture d’esprit, c’est l’absence de jugement. Certains cas peuvent parfois susciter des réactions propres à chaque individu car ils font écho ou sont à l’opposé de son éducation et de sa vie. La tolérance, c’est réaliser son travail sans faire interventions le personnel et le jugement.
Qu’est ce qu'un stage clinique ? Quels sont ses objectifs ?
Quelles sont les conditions pour exercer en libéral ? Quel est le rôle de l'infirmier libéral ?
On vous annonce qu’un proche à le SIDA, quelle est votre réaction ?
C’est une proche, la première réaction sera multiple : peur, tristesse, anxiété. Quel est le stade de la maladie, quel sera l’impact sur sa vie, son espérance de vie ? Puis, une réfléxion sur son ressenti, la volonté de lui montrer que nous serons là sans jugements ni pitié aucune. Une fois l’émotion de départ atténuée, une volonté de lui venir en aide, un recherche des solutions, des aides, des équipements à mettre en place pour la maladie n’empêche pas la vie.
Que pensez-vous de la dépression?
Je ne pense rien. 1 français sur 6 y sera un jour confronté dans sa vie, et peut être que cela sera mon cas. Je ne pense rien de la maladie, mais par rapport à ces conséquences, je pense qu’il est nécessaire de ne pas émettre de jugement sur ceux qui la vivent en les accusant de faiblesse. De même, il ne faut pas en avoir peur : chacun possède en lui les ressources nécessaires pour en venir à bout (avec ou sans aide psychologique et médicamenteuse), même si cette lutte varie d’un individu à l’autre en fonction de sa capacité de résilience. C’est une véritable maladie psychologique qu’il ne faut pas minimiser et condamner. Il ne faut pas pointer du doigt ceux qui la vivent, mais au contraire les aider, les orienter, leur montrer qu’on est présent sans juger.
Peut-on encore de nos jours trouver joie et plaisir au travail ?
Comme pour beaucoup de chose dans la vie, la joie et le plaisir viennent souvent de la volonté. Pour autant, il est certain qu’en étant confronté à des conditions de travail infernales (relationnel, horaires…), il est plus difficile d’être épanoui. C’est à chacun d’apprendre à connaître ses limites et ses besoins, de manière à orienter son activité professionnelle pour qu’elle devienne épanouissante et non plus douloureuse.
Pour finir cet entretien, vous avez quelque chose à ajouter pour nous convaincre de vous choisir?
Je pense avoir une certaine maturité pour appréhender les difficultés du métier, et les questions éthiques et psychologiques qui s’y rapportent. Pour autant, je suis jeune et il me reste beaucoup à apprendre, et je pense sincèrement que l’IFSI pourra contribuer à cet enrichissement.
Quel intérêt représente pour vous le travail en équipe?
Dans ce métier, le travail en équipe est une nécessité, tant pour le patient que pour le personnel soignant. Il permet de regrouper les connaissances de chacun pour un apporter une aide complète. De plus, il permet de niveler les disparités de formation, et d’enrichir chaque individu au contact de l’autre. Il suppose une certaine humilité qui s’acquiert au fur et à mesure du travail en équipe, car il suppose d’accepter qu’autrui est tout aussi indispensable que nous, et réciproquement, indépendamment de sa formation.
J'ai essayé de lire tous les post précédants, c'était très intéressant

J'ai passé deux concours, et je suis admissible pour les deux. Mon premier est dans une semaine, et je commence à stresser un peu... A vrai dire, je viens d'une classe préparatoire littéraire, et je sais que le jury va forcément tiquer devant un tel changement d'orientation. J'ai tenté de répondre aux questions les plus fréquemment posées avec le plus d'honnêteté possible, et j'aimerais savoir si vous pourriez les lire et me donner votre avis. Je m'excuse d'avance, c'est trèèèèèès loin, mais je suis dans le doute alors j'ai préféré tout mettre

Merci d'avance, et bonne soirée

Pour vous, que signifie être infirmière ?
Infirmière, c’est pour moi aider à un patient à se sentir bien : prendre soin de lui, le panser, le rassurer au sein d’un environnement –l’hôpital- qui peut parfois lui sembler effrayant. C’est mettre en place un suivi pour ce patient, tant psychologique que physique, de parvenir à faire en sorte qu’ils se sentent bien, soutenus, à l’aise, et que des personnes seront présentes si nécessaires.
C’est aussi des responsabilités : exécuter correctement la prescription du médecin, et savoir la remettre en question si nécessaire ; instaurer une surveillance du patient sur tous les plans, superviser plusieurs patients en même temps, savoir réagir aux imprévus ; compléter ses connaissances dès que possible.
C’est en plus, la possibilité d’exercer des soins. Au rapport aux patients s’ajoutent un suivi thérapeutique, savoir administrer les bonnes doses, au bon moment.
C’est aussi apprendre à travailler en équipe, en trouvant le parfait dosage entre soins et relationnel.
Pourquoi voulez-vous être infirmière ?
Petite, je ne savais qu’une chose : que je voulais aider les autres, et si possible dans l’humanitaire, tout en sachant que je vais recevoir énormément en retour. Certes, j’avais une vision utopique des choses. Mais la vocation est restée, et infirmière s’est imposée peu à peu, au fur à mesure des discussions et des rencontres. Infirmière est un métier complet dans lequel relationnel et soins se complètent parfaitement. Il offre de plus, plusieurs secteurs d’évolution, dans des pays différents, avec des spécialisations (réanimation, de bloc opératoire, puériculteur) et l’acquisition de compétences supplémentaires –par le biais des DU- tout au long de la carrière. Les horaires ne sont pas stables, mais c’est une partie de ce qui me plait dans ce métier. Et si la nécessité d’avoir des horaires plus régulier –de part l’arrivée d’une famille- se fait sentir, il y a toujours possibilité de devenir cadre infirmier. C’est un métier des possibles très technique et aux fortes responsabilités, qui peut me permettre de m’épanouir malgré les difficultés.
Qu’est ce que la réforme de 2009 a apporté au métier d’infirmière ?
La réforme de 2009 a permis de donner le grade de licence à la profession infirmière, qui n’était auparavant reconnu comme un bac+2. Cela permet d’harmoniser les études au sein de l’union européenne et de permettre aux étudiants d’exercer et de complèter leur formation un peu partout. Qui plus est, cette licence offre la possibilité aux étudiants, pour ceux qui le souhaitent, de s’orienter vers la recherche, par le biais d’un master ou d’un doctorat.
Quels sont les points négatifs du métier d’infirmière ?
C’est un métier éprouvant, fatiguant, demandant une concentration et un contrôle constant. Il met face aux maux et aux maladies que l’on peut tous avoir, soi comme ses proches. Enfin, il est difficile de rester impassible face à ce métier : les infirmiers côtoient la maladie, la mort, le deuil lorsqu’une relation s’est instaurée avec le patient. Ils sont exposés au sang, à la douleur et aux blessures diverses.
Le métier d’infirmière ne jouit pas nécessairement d’une bonne réputation. Pour beaucoup, un infirmier est un simple éxécutant du médecin, relévant de sa hiérarchie. C’est en ce sens qu’est organisée la journée de l’infirmier le 12 mai chaque année.
De plus, les horaires sont denses et peu stables. En période d’astreinte, il faut pouvoir être disponible à tout moment.
Que fait une infirmière ?
Elle pratique les principaux soins du patient : soins médicaux et les soins d’hygiène. Elle met en pratique les prescriptions du médecin, prise de sang, pose de perfusion, changement des pansements…). Elle veille au respect du traitement médicamenteux, prescrit par une ordonnance. De plus, elle surveille l’évolution du patient, elle le suit et peu de fait percevoir les changements. Elle est la première à constater des changements physiques ou des symptômes car elle voit le patient plus souvent que le médecin. Elle doit être à même de prévenir et d’intervenir lorsqu’elle constate que quelque chose ne va pas. En bloc opératoire, elle prépare le patient avant et après l’opération.
Pourquoi avoir fait prépa littéraire avant infirmière ?
C’est une décision qui résulte de mon histoire personnelle. Bien que toujours attirée par la profession, mes parents n’y étaient pas nécessairement ouverts. J’étais bonne élève, et ils pensaient que je m’épanouirais plus dans des études longues, type doctorat. Je me suis orientée là dedans pour leur prouver et me prouver quelque chose, puis j’ai réussi à prendre la décision que je voulais prendre depuis longtemps : j’ai passé les concours sans leur en parler. Je suis en train d’achever mon année, car j’aime aller jusqu’au bout des choses, et j’essaie d’en retirer le meilleur, en me faisant fi des points négatifs qui m’ont fait me rendre compte que la formation ne me conviendrait pas.
Pourquoi ne pas faire aide-soignante ou aide médico-psychologique plutôt qu’infirmière ?
Les métiers d’aide-soignant et d’aide médico-psychologique s’oriente majoritairement vers le patient, le bien être. A ces capacités s’ajoutent dans le métier d’infirmière, la possibilité de réaliser des soins et une connaissance plus approfondie du corps et des maladies. Pour autant, les aide-soignant demeurent indispensable, de part leur meilleure connaissance du patient. Infirmier est un choix réfléchi, car j’ai déjà regardé les cours enseignés, et ils m’intéressent vraiment. J’ai sincèrement envie de pratiquer aussi ces soins.
Avez-vous déjà fait un stage en hôpital ?
Je n’ai pas encore fait de stage en hôpital. Les heures de cours en classe préparatoire étaient denses, et ne m’en laissaient pas le temps. Pour autant, cela me plairait beaucoup, notamment durant les vacances d’été. J’ai déjà rendu visite à des proches à l’hôpital et voir ainsi l’exercice de la profession, et discuter avec les infirmiers.
Quelles sont les études d’infirmier ?
Les études d’infirmière se déroulent sur 3 années, à l’issue desquelles l’étudiant valident son diplôme, et produit un TFE (un travail de fin d’étude = mémoire) sur un sujet de son choix. Les trois années sont découpées en 6 semestres de 20 semaines chacun. Cela représente en tout 4200 heures -2100 heures de cours théoriques (750h de cours magistraux, 1050h de travaux dirigés, 300 heures de travaux personnels encadrés) et 2100 heures de cours pratiques (= stages se répartissant ainsi : 60 semaines : 5 semaines au 1er semestre, 10 aux 2ème, 3ème, 4ème et 5ème semestres et 15 semaines au 6ème semestre (2 stages)). Les UE (unité d’enseignement) sont : UE 1 Sciences Humaines, Sociales et Droit ; UE 2 Sciences Biologiques et Médicales ; UE 3 Sciences et Techniques Infirmières, Fondement et Méthodes ; UE 4 Sciences et Techniques Infirmière, Intervention ; UE 5 Intégration des Savoirs et Posture Professionnelle Infirmière ; UE 6 Méthode de Travail et Technologies Information Communication (TIC), Anglais.
L’évaluation se fait, selon l’établissement, sous forme de contrôle continu et de partiels sur les différents cours abordées au cours du semestre. A l’instar de l’université, des crédits sont accordés aux étudiants, 30 par semestre. 180 sont nécessaires pour valider la formation. Il est nécessaire d’avoir une moyenne supérieure ou égale à 10 pour valider les UE.
Que comptez-vous faire après votre formation ?
J’aimerais travailler à l’hôpital, et m’orienter vers trois secteurs : réanimation, psychatrie ou soins palliatifs. Ils sont difficiles, mais ils permettent de cotoyer un monde différent.
J’espère, après quelques années de pratique, obtenir un master en humanitaire, de manière à pouvoir partir en missions.
Quelles sont vos qualités ?
J’ai une forte volonté, une grande capacité d’adaptation. Je suis tolérante et sociable, et j’aime le contact humain. J’ai beaucoup d’empathie.
Quels sont vos défauts ?
Je suis d’un naturel stressé, angoissé. Je suis impulsive et j’ai une forte sensibilité. Je travaille dessus de manière à en faire une force plus qu’une faiblesse.
Que pensez-vous apporter au malade ?
Je pense pouvoir, individuellement, pouvoir lui apporter une certaine écoute, une présence rassurante. J’aimerai pouvoir parvenir à lui consacrer du temps personnalisé, comme une lecture, une anecdote, parvenir à lui faire oublier qu’il est à l’hopital pendant un temps, tout en lui permettant de mieux accepter sa maladie. Collectivement, des soins adaptés, une surveillance constante, un sentiment de sécurité.
Quel serait votre réaction face à la souffrance et à la mort ?
J’y ai déjà été confrontée par le passé, et ma première réaction avait été la peur, l’angoisse. J’ai entamé un travail sur moi, et j’ai essayé de faire de ces échéances une force pour profiter de la vie. Comme tout le monde, la peur reste présente quand on s’y trouve confrontée, en face à face, mais elle n’est plus paralysante. Elle devient même une force d’action.
Quels sont vos besoins en matière de formation? Qu’attendez-vous d'un IFSI?
Peut être une certaine forme de soif de connaissances. Le besoin de rendre attractif les enseignements par des exemples, des mises en pratique. Retrouver ce caractère humain qui est à la base de la profession. Instaurer une certaine cohésion de groupe puisque le travail collectif va rythmer par la suite les journées d’exercice.
‘‘La tolérance", qu'évoque pour vous ce terme en tant que futur infirmier ?
La tolérance, c’est l’ouverture d’esprit, c’est l’absence de jugement. Certains cas peuvent parfois susciter des réactions propres à chaque individu car ils font écho ou sont à l’opposé de son éducation et de sa vie. La tolérance, c’est réaliser son travail sans faire interventions le personnel et le jugement.
Qu’est ce qu'un stage clinique ? Quels sont ses objectifs ?
Quelles sont les conditions pour exercer en libéral ? Quel est le rôle de l'infirmier libéral ?
On vous annonce qu’un proche à le SIDA, quelle est votre réaction ?
C’est une proche, la première réaction sera multiple : peur, tristesse, anxiété. Quel est le stade de la maladie, quel sera l’impact sur sa vie, son espérance de vie ? Puis, une réfléxion sur son ressenti, la volonté de lui montrer que nous serons là sans jugements ni pitié aucune. Une fois l’émotion de départ atténuée, une volonté de lui venir en aide, un recherche des solutions, des aides, des équipements à mettre en place pour la maladie n’empêche pas la vie.
Que pensez-vous de la dépression?
Je ne pense rien. 1 français sur 6 y sera un jour confronté dans sa vie, et peut être que cela sera mon cas. Je ne pense rien de la maladie, mais par rapport à ces conséquences, je pense qu’il est nécessaire de ne pas émettre de jugement sur ceux qui la vivent en les accusant de faiblesse. De même, il ne faut pas en avoir peur : chacun possède en lui les ressources nécessaires pour en venir à bout (avec ou sans aide psychologique et médicamenteuse), même si cette lutte varie d’un individu à l’autre en fonction de sa capacité de résilience. C’est une véritable maladie psychologique qu’il ne faut pas minimiser et condamner. Il ne faut pas pointer du doigt ceux qui la vivent, mais au contraire les aider, les orienter, leur montrer qu’on est présent sans juger.
Peut-on encore de nos jours trouver joie et plaisir au travail ?
Comme pour beaucoup de chose dans la vie, la joie et le plaisir viennent souvent de la volonté. Pour autant, il est certain qu’en étant confronté à des conditions de travail infernales (relationnel, horaires…), il est plus difficile d’être épanoui. C’est à chacun d’apprendre à connaître ses limites et ses besoins, de manière à orienter son activité professionnelle pour qu’elle devienne épanouissante et non plus douloureuse.
Pour finir cet entretien, vous avez quelque chose à ajouter pour nous convaincre de vous choisir?
Je pense avoir une certaine maturité pour appréhender les difficultés du métier, et les questions éthiques et psychologiques qui s’y rapportent. Pour autant, je suis jeune et il me reste beaucoup à apprendre, et je pense sincèrement que l’IFSI pourra contribuer à cet enrichissement.
Quel intérêt représente pour vous le travail en équipe?
Dans ce métier, le travail en équipe est une nécessité, tant pour le patient que pour le personnel soignant. Il permet de regrouper les connaissances de chacun pour un apporter une aide complète. De plus, il permet de niveler les disparités de formation, et d’enrichir chaque individu au contact de l’autre. Il suppose une certaine humilité qui s’acquiert au fur et à mesure du travail en équipe, car il suppose d’accepter qu’autrui est tout aussi indispensable que nous, et réciproquement, indépendamment de sa formation.
14 mars: ADMIIIIIIIIIIIIIISE
05 avril : ADMIIIIIIIIIIIIIIIIIISE
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Re: Préparation à l'oral
coucou à tous
je voulais vous remercier pour tous ces conseils, qui pour ma part me sont très utiles!!!
je voulais vous remercier pour tous ces conseils, qui pour ma part me sont très utiles!!!

Paray le Monial ->laisse ma place
Vichy51è sur LC.... ADMISE
Moulins -> recalée
Nevers-> laisse ma place
ESI 2014-2017 !!![/color][/b]
Si on peut l'imaginer, on peut le réaliser!
Vichy51è sur LC.... ADMISE
Moulins -> recalée
Nevers-> laisse ma place
ESI 2014-2017 !!![/color][/b]
Si on peut l'imaginer, on peut le réaliser!
Re: Préparation à l'oral
Munusculecla je trouve ta presentation super, tes phrases sont bien construites et tu degage une vrai maturitè.bravo
ESIF 2014-2017 Marseille SUD
Re: Préparation à l'oral
Bonjour je suis admissible au oraux infirmiere
Je suis actuellement ASH en maison de retraite mais je fais fonction aide soignante
Je ne sais pas si il faut que je le dise puisque je n'ai pas le diplôme AS où alors parler de mon expérience en disant qu'une ASH est moins cher qu'en as puis les VAE existent donc des gens sont dans la même situation que moi
Pensez vous que je dois en parler ou les jury ne vont pas apprécier ma fonction aide soignante ?
Je suis actuellement ASH en maison de retraite mais je fais fonction aide soignante
Je ne sais pas si il faut que je le dise puisque je n'ai pas le diplôme AS où alors parler de mon expérience en disant qu'une ASH est moins cher qu'en as puis les VAE existent donc des gens sont dans la même situation que moi
Pensez vous que je dois en parler ou les jury ne vont pas apprécier ma fonction aide soignante ?
Re: Préparation à l'oral
je pense qu'il vaux mieux juste parler d'ASH...si tu leur dis que tu fais fonction AS il se diront que l'illégalité ne te dérange pas (en faisant bref...)Giada42 a écrit :Bonjour je suis admissible au oraux infirmiere
Je suis actuellement ASH en maison de retraite mais je fais fonction aide soignante
Je ne sais pas si il faut que je le dise puisque je n'ai pas le diplôme AS où alors parler de mon expérience en disant qu'une ASH est moins cher qu'en as puis les VAE existent donc des gens sont dans la même situation que moi
Pensez vous que je dois en parler ou les jury ne vont pas apprécier ma fonction aide soignante ?
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais
IDE depuis 07/2018 en hématologie stérile
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Re: Préparation à l'oral
Oui je suis d'accord pour dire juste ASH mais si il me demande en quoi consiste mon travail ?
Re: Préparation à l'oral
ben dis leur ton travail d'origine....tu as pas d'ASH dans ton service ?
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Re: Préparation à l'oral
Si si bien sur mais on a toute la même fonction d'aide soignante ..
Re: Préparation à l'oral
sur ton contrat c'est noté quoi ?
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