élection 2014
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
Re: élection 2014
Et donc, dans le plus grand secret, et ses collaborateurs vont organiser un scrutin le 30 octobre prochain dans le but de défricher les territoires vierges : en l’occurrence, il va falloir élire des agents de conseils interdépartementaux (32), et pour cela il va falloir motiver les forces vives pour avoir des candidats et des électeurs qui daignent bien voter.
Les non-inscrits ne sont bien sûr pas concernés par cette nouvelle galipette électorale destinée à essayer de sauver ce qui peut encore l'être, et les hélas-inscrits sont appelés à ignorer ces gesticulations.
Pour finir, la lettre ouverte du syndicat Résilience au président ordinal :
Lettre ouverte à
Monsieur le président de l’oni
228 rue du faubourg Saint Martin
75010 Paris
Copie à Madame la Ministre de la Santé
Copie à Madame la Ministre de la Justice, Garde des Sceaux
Envoi recommandé A/R.
Objet : regroupement des conseils départementaux et élections du 30 octobre 2014.
Strasbourg, le 17 juillet 2014.
Monsieur le président,
en préambule au sujet qui va suivre (et donc vous vous êtes bien gardé de faire une quelconque publicité/information aux adhérents de l’ordre, pourtant premiers concernés), nous voulons signaler la propension des dernières initiatives médiatiques et médiatisées de l’ordre infirmier qui passe son temps à taper sur les infirmières pour des motifs aussi « stratégiques » que les faux infirmiers dans les blocs opératoires, l’infirmière libérale qui aurait (présumée innocente) abusé la sécurité sociale d’un million d’euros à Lyon (dossier dans lequel l’oni se porte partie civile, à quel dessein ?) ou encore l’initiative (nous l’avons d’ailleurs décoré de notre plus haute distinction contre ordinale) de votre président départemental du Haut Rhin, ayant adressé au procureur de la République, des listes d’infirmières exerçant illégalement … Cette agitation publicitaire contribue grandement à positionner l’ordre dans une fonction policière et purement réglementaire, et, à renforcer le sentiment de défiance et de rejet des quelques 150 000 adhérents que vous revendiquez (sans jamais en apporter la preuve.) Sans parler des plus de 450 000 autres infirmières non inscrites qui ne manquent pas de le souligner, ici et là. Dans l’attente des modifications annoncées par Madame la Ministre de la Santé, visant à rendre l’ordre infirmier facultatif, un moindre mal …
C’est ainsi que dans une lettre du 10 juillet 2014, dont nous avons copie, adressée aux présidents des départements et aux membres des délégations interdépartementales, nous découvrons la nouvelle articulation départementale (23) et interdépartementale (24), concoctée dans le plus grand secret avec l’aide (citation) « le rôle majeur des présidents et présidentes de régions dans l’organisation de cette concertation ». Cette nouvelle cartographie ordinale infirmière fait suite aux calamiteuses élections du mois d’avril 2014 ayant vu plus de 78% de vos « adhérents revendiqués » bouder ce simulacre démocratique avec pour résultat exceptionnel : 78 conseils départementaux dans l’impossibilité de fonctionner (et donc regroupés) et plusieurs départements ayant fait « choux blanc », à savoir zéro élu (pour zéro candidat ?).
Vous déclarez ainsi dans ce courrier aux élus (en ont-ils eu le choix ?) que les annonces légales visant à informer les quelques 83 000 électeurs concernés seront publiées avant le 30 juillet 2014 et que les convocations seront adressées le 30 août au plus tard. Vous annoncez aussi que les candidatures (déjà toutes ficelées ?) seront à envoyer à l’ordre avant le 15 septembre 2014, délai de rigueur.
« Il est indispensable que ce scrutin soit un succès et que nous parvenions à pourvoir tous les sièges des nouveaux conseils interdépartementaux » (citation) : monsieur Borniche, si l’ordre infirmier était aussi souhaité par plus de 92% de la population infirmière de France comme un gros mensonge de 2006 l’a fait croire aux Parlementaires abusés, à l’époque, vous n’auriez aucune inquiétude à avoir sur le succès tant attendu de cette nouvelle élection du 30 octobre 2014, celle de la dernière chance, car l’ordre infirmier est bel et bien en sursis de fonctionnement légal après être, en permanence en cessation virtuelle de paiement. Qu’en est-il de la publication des comptes et bilans financiers de l’ordre pour l’exercice 2013 ?
Sur les forums infirmiers, fleurissent ici et là des demandes d’infirmières ayant adressé il y a plusieurs mois des dossiers d’inscriptions à l’ordre et se plaignant de n’avoir reçu aucune réponse, négative ou positive, des cdoi concernés car empêchés de fonctionner par manque d’élus. Vous avez dû en placer sous tutelle des départements voisins (eux même sous tutelle d’autres départements), avec l’aide des ARS, afin qu’au minimum un bureau départemental (président, secrétaire général et trésorier) provisoire puisse fonctionner afin de maintenir une activité légalement reconnue. Mais quid des quorums ordinaux obligatoires et donc nécessaires à la présentation et à la validation ou au rejet des dossiers d’inscriptions en commissions départementales depuis plusieurs mois ?
Tout ceci, monsieur le président, organisé en pleine période de congés estivaux, doit être diffusé (c’est donc le but de cette lettre ouverte) aux adhérents et aux insoumis à l’ordre infirmier afin que chacun puisse avoir, à minima, les informations que vous passez votre temps à cacher aux infirmières et aux infirmiers de France, renforçant ainsi le sentiment d’un fonctionnement, opaque et farfelu, d’un ordre professionnel inutile, redondant et sur endetté.
Nous aurons, bien évidemment, un oeil très attentif sur le processus électoral ordinal que vous allez mettre en place et nous n’hésiterons pas, le cas échéant, à porter tout litige devant les juridictions compétentes.
Pour le syndicat infirmier RESILIENCE,
Hugues Dechilly, secrétaire général.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Les non-inscrits ne sont bien sûr pas concernés par cette nouvelle galipette électorale destinée à essayer de sauver ce qui peut encore l'être, et les hélas-inscrits sont appelés à ignorer ces gesticulations.
Pour finir, la lettre ouverte du syndicat Résilience au président ordinal :
Lettre ouverte à
Monsieur le président de l’oni
228 rue du faubourg Saint Martin
75010 Paris
Copie à Madame la Ministre de la Santé
Copie à Madame la Ministre de la Justice, Garde des Sceaux
Envoi recommandé A/R.
Objet : regroupement des conseils départementaux et élections du 30 octobre 2014.
Strasbourg, le 17 juillet 2014.
Monsieur le président,
en préambule au sujet qui va suivre (et donc vous vous êtes bien gardé de faire une quelconque publicité/information aux adhérents de l’ordre, pourtant premiers concernés), nous voulons signaler la propension des dernières initiatives médiatiques et médiatisées de l’ordre infirmier qui passe son temps à taper sur les infirmières pour des motifs aussi « stratégiques » que les faux infirmiers dans les blocs opératoires, l’infirmière libérale qui aurait (présumée innocente) abusé la sécurité sociale d’un million d’euros à Lyon (dossier dans lequel l’oni se porte partie civile, à quel dessein ?) ou encore l’initiative (nous l’avons d’ailleurs décoré de notre plus haute distinction contre ordinale) de votre président départemental du Haut Rhin, ayant adressé au procureur de la République, des listes d’infirmières exerçant illégalement … Cette agitation publicitaire contribue grandement à positionner l’ordre dans une fonction policière et purement réglementaire, et, à renforcer le sentiment de défiance et de rejet des quelques 150 000 adhérents que vous revendiquez (sans jamais en apporter la preuve.) Sans parler des plus de 450 000 autres infirmières non inscrites qui ne manquent pas de le souligner, ici et là. Dans l’attente des modifications annoncées par Madame la Ministre de la Santé, visant à rendre l’ordre infirmier facultatif, un moindre mal …
C’est ainsi que dans une lettre du 10 juillet 2014, dont nous avons copie, adressée aux présidents des départements et aux membres des délégations interdépartementales, nous découvrons la nouvelle articulation départementale (23) et interdépartementale (24), concoctée dans le plus grand secret avec l’aide (citation) « le rôle majeur des présidents et présidentes de régions dans l’organisation de cette concertation ». Cette nouvelle cartographie ordinale infirmière fait suite aux calamiteuses élections du mois d’avril 2014 ayant vu plus de 78% de vos « adhérents revendiqués » bouder ce simulacre démocratique avec pour résultat exceptionnel : 78 conseils départementaux dans l’impossibilité de fonctionner (et donc regroupés) et plusieurs départements ayant fait « choux blanc », à savoir zéro élu (pour zéro candidat ?).
Vous déclarez ainsi dans ce courrier aux élus (en ont-ils eu le choix ?) que les annonces légales visant à informer les quelques 83 000 électeurs concernés seront publiées avant le 30 juillet 2014 et que les convocations seront adressées le 30 août au plus tard. Vous annoncez aussi que les candidatures (déjà toutes ficelées ?) seront à envoyer à l’ordre avant le 15 septembre 2014, délai de rigueur.
« Il est indispensable que ce scrutin soit un succès et que nous parvenions à pourvoir tous les sièges des nouveaux conseils interdépartementaux » (citation) : monsieur Borniche, si l’ordre infirmier était aussi souhaité par plus de 92% de la population infirmière de France comme un gros mensonge de 2006 l’a fait croire aux Parlementaires abusés, à l’époque, vous n’auriez aucune inquiétude à avoir sur le succès tant attendu de cette nouvelle élection du 30 octobre 2014, celle de la dernière chance, car l’ordre infirmier est bel et bien en sursis de fonctionnement légal après être, en permanence en cessation virtuelle de paiement. Qu’en est-il de la publication des comptes et bilans financiers de l’ordre pour l’exercice 2013 ?
Sur les forums infirmiers, fleurissent ici et là des demandes d’infirmières ayant adressé il y a plusieurs mois des dossiers d’inscriptions à l’ordre et se plaignant de n’avoir reçu aucune réponse, négative ou positive, des cdoi concernés car empêchés de fonctionner par manque d’élus. Vous avez dû en placer sous tutelle des départements voisins (eux même sous tutelle d’autres départements), avec l’aide des ARS, afin qu’au minimum un bureau départemental (président, secrétaire général et trésorier) provisoire puisse fonctionner afin de maintenir une activité légalement reconnue. Mais quid des quorums ordinaux obligatoires et donc nécessaires à la présentation et à la validation ou au rejet des dossiers d’inscriptions en commissions départementales depuis plusieurs mois ?
Tout ceci, monsieur le président, organisé en pleine période de congés estivaux, doit être diffusé (c’est donc le but de cette lettre ouverte) aux adhérents et aux insoumis à l’ordre infirmier afin que chacun puisse avoir, à minima, les informations que vous passez votre temps à cacher aux infirmières et aux infirmiers de France, renforçant ainsi le sentiment d’un fonctionnement, opaque et farfelu, d’un ordre professionnel inutile, redondant et sur endetté.
Nous aurons, bien évidemment, un oeil très attentif sur le processus électoral ordinal que vous allez mettre en place et nous n’hésiterons pas, le cas échéant, à porter tout litige devant les juridictions compétentes.
Pour le syndicat infirmier RESILIENCE,
Hugues Dechilly, secrétaire général.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Re: élection 2014
L'ordre infirmier se prétend être une grande institution démocratique avec élections et tout le tsoin-tsoin ; bien, alors dans ce cas, il est nécessaire de respecter le résultats des urnes, et, après les résultats du scrutin d'avril (les élections départementales), l'honnêteté aurait été d'admettre l'échec et d'en assumer les conséquences à savoir de barrer et foutre définitivement la paix aux infirmiers.
Mais que croyez-vous que le boss fît ? Et bien, avec l'aide de ses disciples, il a inventé les conseils interdépartementaux pour venir au secours des conseils départementaux laminés et sinistrés ; et par là-même, il va organiser un nouveau scrutin en espérant, cette fois-ci, ne pas se ramasser la raclée comme en avril.
Ils ont de la suite dans les idées, mais quel est donc le but réel qu'ils poursuivent à maintenir en semi-vie cet organisme passablement délabré ?
Mais que croyez-vous que le boss fît ? Et bien, avec l'aide de ses disciples, il a inventé les conseils interdépartementaux pour venir au secours des conseils départementaux laminés et sinistrés ; et par là-même, il va organiser un nouveau scrutin en espérant, cette fois-ci, ne pas se ramasser la raclée comme en avril.
Ils ont de la suite dans les idées, mais quel est donc le but réel qu'ils poursuivent à maintenir en semi-vie cet organisme passablement délabré ?
Re: élection 2014
Le 30 octobre, Le président de l'oni invitera les inscrits (potentiellement) électeurs à voter pour des élections nouvellement créées dans le but de camoufler la bérézina du octobre ; les candidatures seront pour le coup fortement souhaitées.
Il est certain que les dirigeants ordinaux se seraient bien passés de ce nouveau challenge risqué, mais ils n'avaient pas le choix, la majorité des sections départementales ne pouvant pas fonctionner.
Le président écrit pour l'occasion : "Je sais pouvoir compter sur votre mobilisation pour faire de ce scrutin une réussite et un nouvel élan pour notre institution".
Bien entendu, il a conscience que les opposants (majoritaires) vont lui mettre quelques peaux de bananes dans les jambes (du type appel au boycott des candidatures et du vote) afin que cette tentative de colonisation des territoires vierges soit un échec dont l'ordre ne se relèvera pas.
Les dernières cartouches de l'ordre ne seront-elles que des pétards mouillés ?
Il est certain que les dirigeants ordinaux se seraient bien passés de ce nouveau challenge risqué, mais ils n'avaient pas le choix, la majorité des sections départementales ne pouvant pas fonctionner.
Le président écrit pour l'occasion : "Je sais pouvoir compter sur votre mobilisation pour faire de ce scrutin une réussite et un nouvel élan pour notre institution".
Bien entendu, il a conscience que les opposants (majoritaires) vont lui mettre quelques peaux de bananes dans les jambes (du type appel au boycott des candidatures et du vote) afin que cette tentative de colonisation des territoires vierges soit un échec dont l'ordre ne se relèvera pas.
Les dernières cartouches de l'ordre ne seront-elles que des pétards mouillés ?
Re: élection 2014
Communiqué RÉSILIENCE
Yann de Kerguenec a objecté que la décision de grouper les CDOI a été prise en séance plénière du conseil national, en présence du représentant du ministère de la santé et du conseiller d'Etat qui y siège avec voix délibérative. Il a noté que ces personnes avaient auparavant été consultées par le CNOI afin de garantir "la stricte légalité" de la procédure.
Il a affirmé que des réunions régionales se sont tenues de mai à juin "dans toutes les régions où des regroupements devaient s'envisager" et que "la concertation a été très large et très transparente". "Onze réunions régionales se sont tenues, rassemblant les représentants de 52 départements", indique la lettre de Didier Borniche.
séance plénière du cnoi dont 14 des 44 membres sont de parfaits inconnus dont on ne sait pas même comment ils ont été nommés/élus en décembre 2013 lors du renouvellement auto proclamé parisien de monsieur Borniche,
onze unions régionales QUI SE COOPTENT ENTRE ELLES, non réélues en juillet 2011, qui siègent depuis 2008 et qui seraient renouvelées en février 2015 ... représentant 52 départements qui pour la plupart sont sous la tutelle les uns des autres avec la bénédiction des ARS ...
avec ça c’est sûr que la démocratie et la représentativité ordinale est assurée ... même madame Touba, nouvelle élue, le reconnaît bien volontiers ...
cette nouvelle cartographie a été décidée "démocratiquement" sans que les cotisants, mis devant le fait accompli, (on ne parle plus d’adhérents) aient été informés ... tous les pouvoirs sont désormais regroupés entre les mains du seul national ... ce que dénonce RESILIENCE depuis le début
Yann de Kerguenec a objecté que la décision de grouper les CDOI a été prise en séance plénière du conseil national, en présence du représentant du ministère de la santé et du conseiller d'Etat qui y siège avec voix délibérative. Il a noté que ces personnes avaient auparavant été consultées par le CNOI afin de garantir "la stricte légalité" de la procédure.
Il a affirmé que des réunions régionales se sont tenues de mai à juin "dans toutes les régions où des regroupements devaient s'envisager" et que "la concertation a été très large et très transparente". "Onze réunions régionales se sont tenues, rassemblant les représentants de 52 départements", indique la lettre de Didier Borniche.
séance plénière du cnoi dont 14 des 44 membres sont de parfaits inconnus dont on ne sait pas même comment ils ont été nommés/élus en décembre 2013 lors du renouvellement auto proclamé parisien de monsieur Borniche,
onze unions régionales QUI SE COOPTENT ENTRE ELLES, non réélues en juillet 2011, qui siègent depuis 2008 et qui seraient renouvelées en février 2015 ... représentant 52 départements qui pour la plupart sont sous la tutelle les uns des autres avec la bénédiction des ARS ...
avec ça c’est sûr que la démocratie et la représentativité ordinale est assurée ... même madame Touba, nouvelle élue, le reconnaît bien volontiers ...
cette nouvelle cartographie a été décidée "démocratiquement" sans que les cotisants, mis devant le fait accompli, (on ne parle plus d’adhérents) aient été informés ... tous les pouvoirs sont désormais regroupés entre les mains du seul national ... ce que dénonce RESILIENCE depuis le début
Re: élection 2014
Et si la Borniche Team se gaufrait une nouvelle fois , comme cela est probable (pourquoi les vilains abstentionnistes d'hier deviendraient de gentils votants cette fois-ci ?), y aura-t-il un troisième tour ? Car, à ce rythme là, il peut y avoir des élections en boucle jusqu'à ce que les territoires vierges soient tous défrichés. On peut aussi regrouper par "anciennes régions" comme le Dauphiné, le Bourbonnais, l'Artois ou la Gascogne, rien n'est impossible pour les maitres du temps...
Et que pensent les autres ordres des manipulations ordino-électorales infirmières ? Sont-ils toujours enclins à aider le petit dernier dont l'existence semble très mal embarquée ?
Et que pensent les autres ordres des manipulations ordino-électorales infirmières ? Sont-ils toujours enclins à aider le petit dernier dont l'existence semble très mal embarquée ?
Re: élection 2014
Pendant que l’ordre national infirmier et ses succursales nous émeuvent et se posent en rempart de la profession contre les violences envers les soignants, il ne faut pas oublier qu’il va y avoir, dans un peu plus de 2 mois, une nouvelle tentative électorale après la grosse baffe de la première du 3 avril dernier.
Un notable ordinal a déclaré après la déroute, qu’il n’y aurait pas de territoires vierges (plus de la moitié des conseils départementaux ne peuvent pas fonctionner) : il faut donc que ceux-ci refusent à nouveau d’être déflorés ; car, les têtes pensantes ordinales se sont grattées les neurones, et ont imaginé un stratagème pour tenter des intrusions dans les départements récalcitrants : la mise en place de conseils interdépartementaux. Sont donc oubliés les « élus » au plus proches géographiquement des ouailles inscrites et cotisantes, les sièges départementaux se situant avec les régionaux et les représentants espérés étant, pour le coup, issus d’autres départements.
Mais le plus consternant est que les prétendues élites, dans le déni complet de leur échec lamentable d’avril, justifient leur nouveau scrutin par cela, je cite « le regroupement des collectivités territoriales est d’actualité. Dès l’an prochain, les régions seront regroupées pour ne former plus que 13 collectivités. Viendra ensuite le temps du regroupement des départements. L’Ordre national des infirmiers est lui aussi engagé dans cette démarche. Aujourd’hui organisé en 100 conseils départementaux, il reposera à compter du 30 octobre sur un tissu de 55 conseils départementaux et interdépartementaux ». Clairement, l’ordre infirmier se moque des personnes qu’il prétend représenter (et je suis poli).
Alors donc que faire pour l’échec du 3 avril soit réitéré : et bien rien ! Ne pas se présenter et ne pas voter, pour ceux qui seront relancés pour cela, c'est-à-dire une minorité par rapport au nombre total d’infirmiers exerçants. Il faut, pour l’ordre, que son organisation fonctionne, vaille que vaille, le banquier mettant la pression pour récupérer, au moins, sa mise de départ, et pour que les salariés ordinaux, hauts de gamme, puissent conserver leurs emplois, généreusement payés. Alors que celles et ceux qui ne veulent pas ou plus de cette structure ou bien qui en ont assez d’être pris pour des demeurés, boycottent cette élection, et que le signe fort demandé par les pontes ordinaux soit celui du refus qui signera la fin de cette gabegie.
Car, n’oublions pas que le processus électoral à l’envers ne devrait logiquement se terminer qu’avec le scrutin régional et la mise en place des nouvelles chambres mortifères, où se font et se défont des carrières professionnelles au bon vouloir de personnes prétentieuses et parfois incompétentes.
Le boycott des élections interdépartementales, tentative misérable de rebondir après la déroute, signera un des éléments destructeurs de cet ordre toujours maintenu en vie artificiellement.
Un notable ordinal a déclaré après la déroute, qu’il n’y aurait pas de territoires vierges (plus de la moitié des conseils départementaux ne peuvent pas fonctionner) : il faut donc que ceux-ci refusent à nouveau d’être déflorés ; car, les têtes pensantes ordinales se sont grattées les neurones, et ont imaginé un stratagème pour tenter des intrusions dans les départements récalcitrants : la mise en place de conseils interdépartementaux. Sont donc oubliés les « élus » au plus proches géographiquement des ouailles inscrites et cotisantes, les sièges départementaux se situant avec les régionaux et les représentants espérés étant, pour le coup, issus d’autres départements.
Mais le plus consternant est que les prétendues élites, dans le déni complet de leur échec lamentable d’avril, justifient leur nouveau scrutin par cela, je cite « le regroupement des collectivités territoriales est d’actualité. Dès l’an prochain, les régions seront regroupées pour ne former plus que 13 collectivités. Viendra ensuite le temps du regroupement des départements. L’Ordre national des infirmiers est lui aussi engagé dans cette démarche. Aujourd’hui organisé en 100 conseils départementaux, il reposera à compter du 30 octobre sur un tissu de 55 conseils départementaux et interdépartementaux ». Clairement, l’ordre infirmier se moque des personnes qu’il prétend représenter (et je suis poli).
Alors donc que faire pour l’échec du 3 avril soit réitéré : et bien rien ! Ne pas se présenter et ne pas voter, pour ceux qui seront relancés pour cela, c'est-à-dire une minorité par rapport au nombre total d’infirmiers exerçants. Il faut, pour l’ordre, que son organisation fonctionne, vaille que vaille, le banquier mettant la pression pour récupérer, au moins, sa mise de départ, et pour que les salariés ordinaux, hauts de gamme, puissent conserver leurs emplois, généreusement payés. Alors que celles et ceux qui ne veulent pas ou plus de cette structure ou bien qui en ont assez d’être pris pour des demeurés, boycottent cette élection, et que le signe fort demandé par les pontes ordinaux soit celui du refus qui signera la fin de cette gabegie.
Car, n’oublions pas que le processus électoral à l’envers ne devrait logiquement se terminer qu’avec le scrutin régional et la mise en place des nouvelles chambres mortifères, où se font et se défont des carrières professionnelles au bon vouloir de personnes prétentieuses et parfois incompétentes.
Le boycott des élections interdépartementales, tentative misérable de rebondir après la déroute, signera un des éléments destructeurs de cet ordre toujours maintenu en vie artificiellement.
- albatros54
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Re: élection 2014
Election ou pétition
http://www.petitionpublique.fr/PeticaoV ... 2014N46611
http://www.petitionpublique.fr/PeticaoV ... 2014N46611
Re: élection 2014
Les élections, ça va encore coûter bonbon pour l'ordre désargenté : cela aurait-il un rapport avec les lettres de rappel menaçantes envoyées (sans recommandé) pour réclamer de la thune ? Mais, c'est ballot, elles n'arrivent pas à leurs destinataires...
Re: élection 2014
L'ordre infirmier est dans la dernière semaine pour recruter des candidats à ses élections : mais qui peut donc avoir du temps à perdre pour défendre cette organisation dont le président actuel était de la direction quadricéphale de 2008 qui avait validé les errements dénoncés aujourd'hui ? http://psychiatriinfirmiere.free.fr/inf ... irmier.htm
Et que dire de ces ficelles énormes données pour justifier l'organisation interdépartementale, alors que tout le monde sait qu'elle n'est que la résultante de la débâcle électorale d'avril dernier ; tout porte à croire, d'ailleurs que l'histoire, fort heureusement, se répètera en octobre.
Et septembre, normalement, devrait voir apparaitre la publication des comptes 2013 : c'est si difficile que ça d’aligner quelques chiffres ?
Et que dire de ces ficelles énormes données pour justifier l'organisation interdépartementale, alors que tout le monde sait qu'elle n'est que la résultante de la débâcle électorale d'avril dernier ; tout porte à croire, d'ailleurs que l'histoire, fort heureusement, se répètera en octobre.
Et septembre, normalement, devrait voir apparaitre la publication des comptes 2013 : c'est si difficile que ça d’aligner quelques chiffres ?
Re: élection 2014
Communiqué RESILIENCE du 17 septembre 2014 : ordre infirmier, les élections de la dernière chance !
alors que depuis hier matin , 16 septembre 2014, les candidatures sont fermées pour pouvoir postuler à l’élection du second premier tour des cdoi en octobre 2014, la première d’avril 2014 ayant constaté un « manque d’enthousiasme » parmi les 150 000 adhérents revendiqués par l’oni, dont 90 000 seraient à mettre au crédit du président autoproclamé en juillet 2011, Didier Borniche, participation électorale du printemps 2014 ayant conduit à la paralysie dans plus de 60 départements dont certains ont vu zéro candidat pour zéro élu, obligeant à un regroupement interdépartemental présenté, honteusement et illégitimement, comme une « nécessaire évolution » suite au futur regroupement des régions françaises décidé par le Gouvernement,
alors que les textes exigent une adhésion formelle depuis au moins 3 ans et d’être à jour de cotisation au moment du dépôt de la candidature, monsieur Borniche ne peut puiser dans les quelques 90 000 dossiers ayant été plus que moins annexés à l’oni sous la contrainte et la menace d’un dé conventionnement à la CPAM ou au refus d’une titularisation auprès d’un employeur depuis fin juillet 2011, seuls les 60 000 inscrits avant août 2011 ayant donc le droit de postuler, infirmières dont la plupart ne cotisent plus depuis 3 ans, comme bon nombre d’adhérents qui se sont vus harcelés par courriers avec menaces d’huissier en même temps qu’ils recevaient la pub pour s’inscrire et postuler à l’élection, belle preuve de timing ordinal,
alors que dans ces plus de 60 départements, les quorums de conseillers départementaux visant à valider, en réunion départementale obligatoire, les dossiers des nouveaux adhérents, sont insuffisants suite à la catastrophe électorale d’avril 2014, le compteur de l’oni reste bloqué à 156 619 depuis le 22 août 2014, est-ce à dire qu’entre avril et le 22 août 2014, des nouveaux adhérents ont été validés (illégalement) sans réunir le quorum départemental, avant que RESILIENCE ne tire la sonnette d’alarme ?
alors que les comptes et bilans financiers de l’oni pour 2013 n’ont toujours pas été diffusés, l’ordre infirmier aurait-il des difficultés à honorer l’arrangement avec sa banque validé en décembre 2011 par le tribunal de commerce de Paris obligeant l’oni à rembourser pas moins de 1 500 000 euros par an sur 7 ans pour apurer l’ex dette de 14 000 000 ?
combien de candidats inscrits avant août 2011, non enthousiastes et non à jour de cotisation en avril 2014, monsieur Borniche va-t-il pouvoir présenter à la presse, au vote du 30 octobre 2014 ?
combien de dossier d’infirmières et d’infirmiers harcelés par l’oni et ses sbires, ayant été obligées de déposer un dossier et un chèque, attendent-ils que le quorum et les magouilles internes à l’oni leur permettent de débloquer leur dossier dans les départements qui ne peuvent plus fonctionner depuis avril 2014 et dont beaucoup sont sous la tutelle de conseillers des départements voisins, eux-mêmes sous la tutelle d’autres départements ?
RESILIENCE demande donc aux infirmières et aux infirmiers qui reçoivent les relances de l’oni visant à récupérer les trois dernières années de cotisations de ne pas en tenir compte,
RESILIENCE attend avec gourmandise le résultat des élections d’octobre 2014 dont on peut prévoir sans beaucoup se tromper qu’ils seront aussi nuls et catastrophiques que ceux d’avril 2014, les mêmes 60 000 adhérents inscrits depuis au moins 3 ans ayant certainement eu peu d’envie de changer d’avis en 6 mois,
RESILIENCE demande aux pouvoirs publics de passer aux actes après avoir formulé des promesses électoralistes qui n’engagent que ceux qui les reçoivent et donc de modifier les statuts de l’oni visant à le rendre facultatif, un moindre mal, pour toutes les infirmières à défaut de l’abroger purement et simplement comme parfois évoqué dans des documents de travail,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
alors que depuis hier matin , 16 septembre 2014, les candidatures sont fermées pour pouvoir postuler à l’élection du second premier tour des cdoi en octobre 2014, la première d’avril 2014 ayant constaté un « manque d’enthousiasme » parmi les 150 000 adhérents revendiqués par l’oni, dont 90 000 seraient à mettre au crédit du président autoproclamé en juillet 2011, Didier Borniche, participation électorale du printemps 2014 ayant conduit à la paralysie dans plus de 60 départements dont certains ont vu zéro candidat pour zéro élu, obligeant à un regroupement interdépartemental présenté, honteusement et illégitimement, comme une « nécessaire évolution » suite au futur regroupement des régions françaises décidé par le Gouvernement,
alors que les textes exigent une adhésion formelle depuis au moins 3 ans et d’être à jour de cotisation au moment du dépôt de la candidature, monsieur Borniche ne peut puiser dans les quelques 90 000 dossiers ayant été plus que moins annexés à l’oni sous la contrainte et la menace d’un dé conventionnement à la CPAM ou au refus d’une titularisation auprès d’un employeur depuis fin juillet 2011, seuls les 60 000 inscrits avant août 2011 ayant donc le droit de postuler, infirmières dont la plupart ne cotisent plus depuis 3 ans, comme bon nombre d’adhérents qui se sont vus harcelés par courriers avec menaces d’huissier en même temps qu’ils recevaient la pub pour s’inscrire et postuler à l’élection, belle preuve de timing ordinal,
alors que dans ces plus de 60 départements, les quorums de conseillers départementaux visant à valider, en réunion départementale obligatoire, les dossiers des nouveaux adhérents, sont insuffisants suite à la catastrophe électorale d’avril 2014, le compteur de l’oni reste bloqué à 156 619 depuis le 22 août 2014, est-ce à dire qu’entre avril et le 22 août 2014, des nouveaux adhérents ont été validés (illégalement) sans réunir le quorum départemental, avant que RESILIENCE ne tire la sonnette d’alarme ?
alors que les comptes et bilans financiers de l’oni pour 2013 n’ont toujours pas été diffusés, l’ordre infirmier aurait-il des difficultés à honorer l’arrangement avec sa banque validé en décembre 2011 par le tribunal de commerce de Paris obligeant l’oni à rembourser pas moins de 1 500 000 euros par an sur 7 ans pour apurer l’ex dette de 14 000 000 ?
combien de candidats inscrits avant août 2011, non enthousiastes et non à jour de cotisation en avril 2014, monsieur Borniche va-t-il pouvoir présenter à la presse, au vote du 30 octobre 2014 ?
combien de dossier d’infirmières et d’infirmiers harcelés par l’oni et ses sbires, ayant été obligées de déposer un dossier et un chèque, attendent-ils que le quorum et les magouilles internes à l’oni leur permettent de débloquer leur dossier dans les départements qui ne peuvent plus fonctionner depuis avril 2014 et dont beaucoup sont sous la tutelle de conseillers des départements voisins, eux-mêmes sous la tutelle d’autres départements ?
RESILIENCE demande donc aux infirmières et aux infirmiers qui reçoivent les relances de l’oni visant à récupérer les trois dernières années de cotisations de ne pas en tenir compte,
RESILIENCE attend avec gourmandise le résultat des élections d’octobre 2014 dont on peut prévoir sans beaucoup se tromper qu’ils seront aussi nuls et catastrophiques que ceux d’avril 2014, les mêmes 60 000 adhérents inscrits depuis au moins 3 ans ayant certainement eu peu d’envie de changer d’avis en 6 mois,
RESILIENCE demande aux pouvoirs publics de passer aux actes après avoir formulé des promesses électoralistes qui n’engagent que ceux qui les reçoivent et donc de modifier les statuts de l’oni visant à le rendre facultatif, un moindre mal, pour toutes les infirmières à défaut de l’abroger purement et simplement comme parfois évoqué dans des documents de travail,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Re: élection 2014
L'ordre infirmier, sur son site, vient de sortir de derrière les fagots, un nombre fantaisiste d'inscrits ; on aimerait mieux qu'ils nous donnent celui des candidats qui postulent aux élections d'octobre, ce qui nous permettrait d'avoir une idée de l'ampleur de la grosse baffe annoncée.
Re: élection 2014
On prend les mêmes (ou presque) et on recommence :
http://election-infirmier.cdoi.fr/candi ... -candidats
Je prends l'exemple du 18/36 (ma paroisse) :
en avril il y eut 7 élus dans le 18 et 1 dans le 36, donc 8 pour les 2 départements.
en octobre, il y a 8 candidats, 7 du 18 et 1 du 36 (4 du public, 1 du privé et 3 du libéral).
Sur les 8 candidats, 6 ont été élus en avril (5 du 18 et l'unique du 36) : il y a donc 2 petites nouvelles libérales, comme par hasard, associées dans le même cabinet ( Cabinet D'Infirmières Philippe Véronique Et Gaignard Sylvie Et Minard Laurence).
Quel succès !
http://election-infirmier.cdoi.fr/candi ... -candidats
Je prends l'exemple du 18/36 (ma paroisse) :
en avril il y eut 7 élus dans le 18 et 1 dans le 36, donc 8 pour les 2 départements.
en octobre, il y a 8 candidats, 7 du 18 et 1 du 36 (4 du public, 1 du privé et 3 du libéral).
Sur les 8 candidats, 6 ont été élus en avril (5 du 18 et l'unique du 36) : il y a donc 2 petites nouvelles libérales, comme par hasard, associées dans le même cabinet ( Cabinet D'Infirmières Philippe Véronique Et Gaignard Sylvie Et Minard Laurence).
Quel succès !
Re: élection 2014
Ces élections interdépartementales ont comme unique objectif de titulariser des suppléants d'avril dans des départements où il y avait peu ou pas d'élus et de tenter de faire croire que ça continue de survivre.
Et même en baissant la densité de conseillers dans les nouveaux territoires, il n'est pas certain que certains conseils puissent fonctionner.
On se souvient de la durée de cotisation à géométrie variable, des élections à l'envers (en commençant par la fin), nous sommes avec ce 2ème 1er tour dans le même registre de confusion et d'incongruité.
Car enfin, ce sont les mêmes qu'en avril qui se représentent, sans complexe, avec la certitude que tout va bien pour l'organisation. Ils n'ont encore pas compris qu'ils ne servent à rien et surtout que la profession n'en veut pas.
Et pour en arriver à ce nouveau scrutin, les ordinaux continuent à gaspiller l'argent des cotisants et aussi celui qu'ils n'ont pas ; on ne se demande d'ailleurs pas pourquoi les comptes 2013 ne sont toujours pas publiés (à l'équilibre qu'ils disaient...).
La solution pour les professionnels est de ne pas donner d'argent et de ne pas donner suite à l'invitation à voter et, bientôt, de l'ordre, on n'en parlera plus.
Et même en baissant la densité de conseillers dans les nouveaux territoires, il n'est pas certain que certains conseils puissent fonctionner.
On se souvient de la durée de cotisation à géométrie variable, des élections à l'envers (en commençant par la fin), nous sommes avec ce 2ème 1er tour dans le même registre de confusion et d'incongruité.
Car enfin, ce sont les mêmes qu'en avril qui se représentent, sans complexe, avec la certitude que tout va bien pour l'organisation. Ils n'ont encore pas compris qu'ils ne servent à rien et surtout que la profession n'en veut pas.
Et pour en arriver à ce nouveau scrutin, les ordinaux continuent à gaspiller l'argent des cotisants et aussi celui qu'ils n'ont pas ; on ne se demande d'ailleurs pas pourquoi les comptes 2013 ne sont toujours pas publiés (à l'équilibre qu'ils disaient...).
La solution pour les professionnels est de ne pas donner d'argent et de ne pas donner suite à l'invitation à voter et, bientôt, de l'ordre, on n'en parlera plus.
Re: élection 2014
Communiqué Syndicat Résilience
Élection ordinale infirmière d’octobre 2014 : on reprend les mêmes et on recommence à voter … mais avec quel fric ?
après avoir renouvelé le conseil national en décembre 2013 dans des conditions plus que contestables, notamment les fameuses et premières élections de l’Histoire de France organisées à l’envers, ayant ré élu la tête à défaut d’avoir une base ordinale départementale stable et fiable permettant un sain renouvellement démocratique,
comme suite au désastre ordinal infirmier consécutif à l’élection d’avril 2014, visant à renouveler les cdoi (opération électorale non effectuée en avril 2011), ayant obligé l’oni à repousser les élections régionales (non effectuées en juillet 2011) à février/mars 2015 et à organiser un second premier tour en octobre 2014,
après la récente publication de la liste des candidats aux élections dites inter départementales du 30 octobre 2014, devant permettre à l’oni de survivre et de re valider les élus d’avril 2014,
après avoir constaté que l’ordre infirmier n’a toujours pas publié ses comptes et bilans financiers 2013 en ce 08 octobre 2014,
RESILIENCE constate, après une simple comparaison des résultats d’avril 2014 et de la publication de la liste des candidats d’octobre 2014, que l’oni continue à mettre en œuvre la logique implacablement ordinale désormais bien connue qui consiste à ré élire les mêmes personnes en dépensant/dilapidant de l’argent qui lui fait défaut, à des fins électorales visant uniquement à maintenir, coûte que coûte avec l’argent des infirmières cotisantes souvent forcées à adhérer, un ordre professionnel infirmier toujours rejeté par plus de 90% de la profession infirmière,
RESILIENCE constate, après une simple comparaison des résultats et de la liste des candidats aux élections inter départementales du 30 octobre 2014 que cette opération ne consiste, ni plus ni moins, qu’à confirmer les élus d’avril 2014 et à permettre aux suppléants d’avril de devenir titulaires dans l’inter départementalité, afin de pouvoir annoncer sans aucune honte fin octobre 2014 que les élections sont un succès, le nombre restreint de postes à pouvoir (13 ou 23) dans chaque regroupement départemental effectué sur mesure par les responsables ordinaux devant permettre de pourvoir tous les postes, ou presque,
ainsi et par exemple, dans la région de Basse Normandie (Seine Maritime et Eure) du président national Didier Borniche, ce ne sont pas moins de 6 suppléants (Seine Maritime) d’avril 2014 qui sont candidats à un poste titulaire sur un nombre total de 13 postes à pouvoir en octobre 2014, éliminant de fait, 3 élus d’avril du département de l’Eure mais dans d’autres secteurs,
ainsi et par exemple, dans la région de Franche Comté, 4 départements (25, 39, 70, 90) où zéro élu dans le 90 et une élue dans le 70 en avril 2014, on observe 18 candidats en octobre 2014 pour 13 postes à pourvoir mais sans connaitre l’origine départementale desdits candidats, il est donc impossible de savoir si les deux départements orphelins seront ou non représentés au sein de la nouvelle entité,
ainsi et par exemple, dans la région Alsace et notamment dans le département du Bas Rhin, on peut noter que l’actuelle présidente Marie Hélène Gerber, ne figure pas sur la liste des élus d’avril 2014, ni sur celle des candidates d’octobre 2014, comment donc peut-elle encore parader dans les rues de Strasbourg en août 2014 au nom de l’ordre infirmier comme en témoignent les centaines de photos et vidéos enregistrées à l’occasion de la marche blanche ?
ainsi et par exemple, dans le regroupement du 18 Cher/36 Indre, sur 7 élus dans le 18 et 1 élu dans le 36 en avril 2014, on retrouve 6 élus d’avril et 2 nouveaux candidats idel du 18 Cher en octobre 2014, il va donc falloir envoyer du matériel électoral dans ces deux départements, Cher et Indre, aux infirmières libérales alors que seul 1 département n’est concerné, le Cher …
etc …
RESILIENCE demande donc, une fois de plus, aux pouvoirs publics et aux Parlementaires de prendre les dispositions visant à abroger cette aventure ordinale infirmière grotesque, inutile et très coûteuse, aventure débutée en décembre 2006 et qui, 8 ans après, confirme un ordre infirmier autiste et toujours financièrement sur endetté,
RESILIENCE renouvelle sa demande de 2013 à madame la Ministre de la Santé visant à diligenter une mission d’audit de l’inspection générale des services afin de connaître la réalité catastrophique ordinale infirmière et les implications financières qui lient l’ordre infirmier et sa banque qui continue à le soutenir abusivement,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Élection ordinale infirmière d’octobre 2014 : on reprend les mêmes et on recommence à voter … mais avec quel fric ?
après avoir renouvelé le conseil national en décembre 2013 dans des conditions plus que contestables, notamment les fameuses et premières élections de l’Histoire de France organisées à l’envers, ayant ré élu la tête à défaut d’avoir une base ordinale départementale stable et fiable permettant un sain renouvellement démocratique,
comme suite au désastre ordinal infirmier consécutif à l’élection d’avril 2014, visant à renouveler les cdoi (opération électorale non effectuée en avril 2011), ayant obligé l’oni à repousser les élections régionales (non effectuées en juillet 2011) à février/mars 2015 et à organiser un second premier tour en octobre 2014,
après la récente publication de la liste des candidats aux élections dites inter départementales du 30 octobre 2014, devant permettre à l’oni de survivre et de re valider les élus d’avril 2014,
après avoir constaté que l’ordre infirmier n’a toujours pas publié ses comptes et bilans financiers 2013 en ce 08 octobre 2014,
RESILIENCE constate, après une simple comparaison des résultats d’avril 2014 et de la publication de la liste des candidats d’octobre 2014, que l’oni continue à mettre en œuvre la logique implacablement ordinale désormais bien connue qui consiste à ré élire les mêmes personnes en dépensant/dilapidant de l’argent qui lui fait défaut, à des fins électorales visant uniquement à maintenir, coûte que coûte avec l’argent des infirmières cotisantes souvent forcées à adhérer, un ordre professionnel infirmier toujours rejeté par plus de 90% de la profession infirmière,
RESILIENCE constate, après une simple comparaison des résultats et de la liste des candidats aux élections inter départementales du 30 octobre 2014 que cette opération ne consiste, ni plus ni moins, qu’à confirmer les élus d’avril 2014 et à permettre aux suppléants d’avril de devenir titulaires dans l’inter départementalité, afin de pouvoir annoncer sans aucune honte fin octobre 2014 que les élections sont un succès, le nombre restreint de postes à pouvoir (13 ou 23) dans chaque regroupement départemental effectué sur mesure par les responsables ordinaux devant permettre de pourvoir tous les postes, ou presque,
ainsi et par exemple, dans la région de Basse Normandie (Seine Maritime et Eure) du président national Didier Borniche, ce ne sont pas moins de 6 suppléants (Seine Maritime) d’avril 2014 qui sont candidats à un poste titulaire sur un nombre total de 13 postes à pouvoir en octobre 2014, éliminant de fait, 3 élus d’avril du département de l’Eure mais dans d’autres secteurs,
ainsi et par exemple, dans la région de Franche Comté, 4 départements (25, 39, 70, 90) où zéro élu dans le 90 et une élue dans le 70 en avril 2014, on observe 18 candidats en octobre 2014 pour 13 postes à pourvoir mais sans connaitre l’origine départementale desdits candidats, il est donc impossible de savoir si les deux départements orphelins seront ou non représentés au sein de la nouvelle entité,
ainsi et par exemple, dans la région Alsace et notamment dans le département du Bas Rhin, on peut noter que l’actuelle présidente Marie Hélène Gerber, ne figure pas sur la liste des élus d’avril 2014, ni sur celle des candidates d’octobre 2014, comment donc peut-elle encore parader dans les rues de Strasbourg en août 2014 au nom de l’ordre infirmier comme en témoignent les centaines de photos et vidéos enregistrées à l’occasion de la marche blanche ?
ainsi et par exemple, dans le regroupement du 18 Cher/36 Indre, sur 7 élus dans le 18 et 1 élu dans le 36 en avril 2014, on retrouve 6 élus d’avril et 2 nouveaux candidats idel du 18 Cher en octobre 2014, il va donc falloir envoyer du matériel électoral dans ces deux départements, Cher et Indre, aux infirmières libérales alors que seul 1 département n’est concerné, le Cher …
etc …
RESILIENCE demande donc, une fois de plus, aux pouvoirs publics et aux Parlementaires de prendre les dispositions visant à abroger cette aventure ordinale infirmière grotesque, inutile et très coûteuse, aventure débutée en décembre 2006 et qui, 8 ans après, confirme un ordre infirmier autiste et toujours financièrement sur endetté,
RESILIENCE renouvelle sa demande de 2013 à madame la Ministre de la Santé visant à diligenter une mission d’audit de l’inspection générale des services afin de connaître la réalité catastrophique ordinale infirmière et les implications financières qui lient l’ordre infirmier et sa banque qui continue à le soutenir abusivement,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.