Des cathéters centraux posés par des IADE à Lyon

[revenge of anesthesith]

Arrête de t'énerver mon petit canard...

Ah non je suis zen cher Amora.

Je n'ai rien contre les pratiques avancées en soi. Je dis juste qu'elle sont initiées avant tout pour faire des profit

ah oui le complot habituel. Il y avait longtemps. Tu te repètes cher ypérite.

Tu dis "si" mais tu argues du contraire.
.

Je suis pour un protocole validé. Donc oui j'argue pour ça. Rien d'autre.

[Anonyme222222]

Je suis pour un protocole validé. Donc oui j'argue pour ça. Rien d'autre.

C'est bien ça le problème canard....
Rien d'autre
.

[Dop@mine]

PS 2) Ne dit on pas en Droit que "Tout ce qui n'est pas interdit est autorisé" ?

C'est exact, le droit français est a priori permissif. C'est à dire que ce qui n'est pas défini comme interdit est autorisé.
Mais c'est a priori en l'absence de données restrictives.

Donc Loulic, je ne crois pas/plus que tu puisses opposer le décret d'actes infirmiers à une interdiction d'actes.

Il est 100% opposable.
Dans la mesure ou un décrêt fait la liste des gestes autorisés cela signifie que tout ce qui ne figure pas dans cette liste n'a pas à être réalisé. Il y a parfois des choses équivoques, mais en l'espèce, c'est très clair.

Le fameux article 51 le confirme, puisque c'est précisément une exception qui confirme la règle énnoncé précédement. Il faut mettre en place un système spécifique de validation pour réaliser un acte hors de cette liste.

En ce qui concerne les IADE, la partie les concernant ouvre des perspectives plus larges puisque le texte est rédigé dans un sens permissif. Les gestes et le concours aux techniques d'anesthésies ne sont pas listés (je ne parle pas de la partie ALR qui elle, fait l'objet de précisions). Il serait cependant plutôt hasardeux de se lancer dans des procédures qui ne sont pas enseignées dans notre cursus ou qui n'ont pas fait l'objet de formations et d'encadrement spécifique.

En l'occurrence, et pour revenir sur la pose des VVC, lors de ma formation, j'avais bénéficié de tout l'apport théorique pour réaliser le geste. Il se trouve que cela ne se pratique pas dans les services ou j'exerce et qu'il n'y a pas d'habitude le validant. Je m'en passe donc très bien... mais il ne serait absolument pas illégal que je le réalise et ce, sans avoir besoin de l'article 51 et d'un protocole qui en soit issu.

[Anonyme222222]

PS 2)

Ne dit on pas en Droit que "Tout ce qui n'est pas interdit est autorisé" ?

C'est exact, le droit français est a priori permissif. C'est à dire que ce qui n'est pas défini comme interdit est autorisé.
Mais c'est a priori en l'absence de données restrictives.

Il n'y a pas de "mais" qui tienne !

Donc Loulic, je ne crois pas/plus que tu puisses opposer le décret d'actes infirmiers à une interdiction d'actes.

Il est 100% opposable.

Quel reste t'il (de mes amours) des 100 % avec cette avalanche d'exceptions ?

"L'exagération est le mensonge des honnêtes gens"

Ces protocoles doivent aussi permettre de régulariser des pratiques existantes non reconnues.

Peux-tu m'expliquer Dopamine STP ce qu'est une pratique existante non reconnue ?

[Dop@mine]

Ces protocoles doivent aussi permettre de régulariser des pratiques existantes non reconnues.

Peux-tu m'expliquer Dopamine STP ce qu'est une pratique existante non reconnue ?

Il est assez amusant de s'auto citer et de s'auto demander une explication de texte.

Une pratique existante non reconnue est une belle façon de parler d'exercice illégal. Pour les gens qui sont malhonnêtes, c'est penser qu'on va légaliser des des procédures jusqu'ici non autorisées. Par exemple que parce que c'est la secrétaire de machin qui ferme le patient depuis 10 ans, elle va pouvoir continuer de le faire, mais avec bénédiction. Parce que bon hein, finalement, ça se passe pas si mal que ça...

Pour les gens plus honnêtes, c'est de systématiser des bilans d'entrée par exemple. On sait très bien que le monsieur avec son bout d'os qui sort de la jambe va avoir besoin d'un bilan pré opératoire. D'habitude l'infirmière remplit la feuille de demande. Sauf qu'elle n'a pas le droit de prescrire normalement. Donc on va s'installer autour d'une table pour essayer de mettre en place des protocoles pour systématiser ces prescriptions limitées.

En aucun cas, comme il semble que tu le suggères (pardon si je me trompe), cela ne veut dire qu'on peut de toute manière faire d'autres choses que celles listées dans le décret, parce que hein, avec le temps on fera bien un protocole de collaboration...

Et puisque les citations sont à la mode
Si tu dis couic-couic quand tu marches, les gens pensent que t'as des chaussures neuves.
JCVD

[Anonyme222222]

Il est assez amusant de s'auto citer et de s'auto demander une explication de texte.

J'ai pas fait exprès bien sûr !

Une pratique existante non reconnue est une belle façon de parler d'exercice illégal.

Bien ! Au moins on a la même lecture.

C'est la porte ouverte à toutes les dérives, tous les excès, toutes les dérèglementations, tous les abus. Si mes souvenirs sont bons, il fut un temps où le snia était quel que peu frileux ?

Pour les gens qui sont malhonnêtes, c'est penser qu'on va légaliser des procédures jusqu'ici non autorisées.

Malhonnête ou ignorant ou frustré ou auto investi d'une mission ou...etc.

Les protocoles de coopération permettent à moindre coût de régulariser des situations existantes et les tutelles avec l'assentiment de certaines sociétés dites savantes, avec le lobbying des zélites auto proclamés et autres associations rend donc légales des pratiques illégales.

Et puisque les citations sont à la mode

Si tu dis couic-couic quand tu marches, les gens pensent que t'as des chaussures neuves.
JCVD

[Dop@mine]

On a fini par être d'accord sur quelque chose...