Concours ifsi 2015: Sujets tombés à l'ORAL
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Comme quoi !!maria-59 a écrit :moi j'avais dit à mon homme 2 jours avant, tiens on parle bcp de la pollution en ce moment. Quand j'ai retourné la feuille je me suis dit bingo...mais après c'est de la façon dont la question était tourné qui n'était pas évidente avec les risques environnementaux.
oui idem les cubes un peu mis au pif, les figures avec les histoires de virages aussi...
oui je suis de st saulve.
Oui c'était un article complexe quand même avec beaucoup de données.
Ha oui. J'ai pas aimé cet exercice à virage la !
D'accord. Tu étais dans quelle salle hier ?
MONACO : RÉSULTAT DÉFINITIF LE 03/07
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Sujet sur la santé et les smart phones. Troisième question. La santé est un acteur majeure de notre société actuelle. Pas de consignes de lignes
Trois concours. Aphp croix rouge et montreuil. Y'a plus qu'à attendre..
Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
oula c'est chaud ta question teuteuf ...
j'étais dans la petite salle sur le côté "salle de vie" et toi ? on était une soixantaine
j'étais dans la petite salle sur le côté "salle de vie" et toi ? on était une soixantaine
Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Bonjour
Si quelqu'un a passe le concours croix rouge sur le suicide des jeunes filles qui'il me contacte en message prive merci
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
J'étais dans la salle 2, celle en bas à côté des toilettes des distributeurs tout ça. On était une bonne centaine nous je pense !maria-59 a écrit :oula c'est chaud ta question teuteuf ...
j'étais dans la petite salle sur le côté "salle de vie" et toi ? on était une soixantaine

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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Pas facile ça ...teuteuf7775 a écrit :Sujet sur la santé et les smart phones. Troisième question. La santé est un acteur majeure de notre société actuelle. Pas de consignes de lignes
Tu a mis quoi comme éléments de réponse ?
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
et tu sais combien il y avait de salle ? je ne suis pas allée dans le bâtiment principal du coup, je sais pas du tout combien on pouvait être en tout.
Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Je ne sais pas trop.maria-59 a écrit :et tu sais combien il y avait de salle ? je ne suis pas allée dans le bâtiment principal du coup, je sais pas du tout combien on pouvait être en tout.
L'amphi prend bien 200 personnes je pense et il me semble 8 salles plus la salle de repos. Sachant qu'il y a environ 100 personnes par salles ça fait un bon nombre quand même !
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Bonjour,j'aimerai avoir des informations sur le sujet du concours d'ile de france hier.merci
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
J'ai parler selon trois axe.
Économiquement. Avec les campagnes de prevention formation du personnel pour des soins et système de sécurité sociale base sur la solidarité
Historiquement depuis toujours médecin dans nos société et progrès de la médecine pour la santé encore aujourdui.
Enfin d'un point de vue moral. Malgré les inégalités présentent dans notre société en terme de richesse. La santé avec le temps finit par se détériorer et on finit tous par mourir. Dc voilà.
Impression ? Autres idées à mettre ?
Économiquement. Avec les campagnes de prevention formation du personnel pour des soins et système de sécurité sociale base sur la solidarité
Historiquement depuis toujours médecin dans nos société et progrès de la médecine pour la santé encore aujourdui.
Enfin d'un point de vue moral. Malgré les inégalités présentent dans notre société en terme de richesse. La santé avec le temps finit par se détériorer et on finit tous par mourir. Dc voilà.
Impression ? Autres idées à mettre ?
Trois concours. Aphp croix rouge et montreuil. Y'a plus qu'à attendre..
Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
teuteuf7775 a écrit :J'ai parler selon trois axe.
Économiquement. Avec les campagnes de prevention formation du personnel pour des soins et système de sécurité sociale base sur la solidarité
Historiquement depuis toujours médecin dans nos société et progrès de la médecine pour la santé encore aujourdui.
Enfin d'un point de vue moral. Malgré les inégalités présentent dans notre société en terme de richesse. La santé avec le temps finit par se détériorer et on finit tous par mourir. Dc voilà.
Impression ? Autres idées à mettre ?
Ce sont des bonnes idées je trouve !
Tu aurais aussi pu pour le cote moral humain notifier que sans argent l'accès à la santé est difficile même impossible.
Et que l'accees a la sante est forcement meilleur et "rapide" quon on est aisé.
Accentuer le côté humanitaire, les organisations tout ça aurait pu être pas mal aussi je pense.
En tous cas je trouve que tu a vraiment eu des idées pas mal !

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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
On est d'accord, une vrai horreur ces test !! La je vais savoir si j'ai de la chance ou non parce que ....lililapraline a écrit :sujet nice, monaco et environ
Peu de néologismes peuvent se vanter d’un succès aussi fulgurant. Lorsqu’en 2001, il entre dans Le Petit Robert, le terme « malbouffe » n’a été (re)mis (1) au goût du jour que depuis quelques mois par l’incontournable leader de la Confédération paysanne, José Bové. C’est lors du fameux « démontage » du McDo de Millau (août 1999) qu’il dit l’avoir utilisé pour la première fois. La malbouffe, dans la bouche du médiatique agriculteur, c’est d’abord la standardisation de l’alimentation, l’émergence d’une « nourriture de nulle part » qui fait que l’on retrouve « les mêmes goûts partout »(2). Mais le terme ouvre également sur une critique de l’industrialisation de l’agriculture et de l’usage de techniques potentiellement dangereuses pour la santé, qu’il s’agisse d’hormones, d’OGM ou de pesticides.
Un « modèle alimentaire français » ?
Le succès est immédiat, et la dénonciation de la malbouffe va peu à peu s’émanciper de la sphère altermondialiste où elle est née pour devenir un problème de santé publique. Car l’idée s’est longtemps maintenue que la France était protégée des méfaits de la malbouffe grâce aux vertus de son « modèle alimentaire » dans lequel, comme le dit le ministère de l’Agriculture, « manger n’est pas seulement un acte fonctionnel, c’est un plaisir quotidien et partagé qui obéit à certaines règles : la convivialité, la diversité alimentaire, le respect d’horaires fixes et la structuration des repas autour de trois plats principaux (3) ». Mais l’augmentation du taux d’obésité dans la population française, particulièrement rapide au cours des années 1990-2000 (7 % d’obèses et 36 % de personnes obèses ou en surpoids en 1970, respectivement 15 % et 47 % en 2009, a obligé à être moins cocardier. Et à constater que ce « modèle français » tend à s’effriter, en particulier chez les moins de 35 ans qui passent deux fois moins de temps à cuisiner que leurs aînés. La consommation d’aliments préparés, souvent trop riches en graisse, en sucre ou en sel, augmente donc, d’autant que les Français mangent de plus en plus souvent à l’extérieur de leur domicile. Par ailleurs, on constate que si les personnes obèses tendent à consommer davantage de fromage, de pâtisseries et de viandes, elles n’ont pas une alimentation moins diversifiée que les autres. Ainsi, « ni la variété de l’alimentation, ni la permanence d’un goût pour les produits patrimoniaux ne protègent de la prise de poids (5) » et des risques qui l’accompagnent (diabète, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires et respiratoires, cancer…).
Prévention et inégalités sociales
Pour toutes ces raisons, les pouvoirs publics ont lancé dès 2001 le Plan national nutrition santé (PNNS), dont l’objectif principal a été de diffuser des recommandations pour une alimentation équilibrée, telles que le désormais fameux « cinq fruits et légumes par jour ». Des actions sur l’environnement ont également été menées, comme par exemple l’interdiction des distributeurs automatiques de boissons et produits alimentaires au sein des établissements scolaires ou l’encadrement de la publicité (ajouts de messages sanitaires). Reste que ce type d’interventions se heurte aux inégalités en matière d’alimentation : les catégories sociales les plus réceptives sont celles qui sont déjà les plus enclines à se préoccuper de leur santé, à savoir les cadres et les professions intellectuelles supérieures. Les catégories populaires ou pauvres, outre qu’elles n’ont pas toujours les moyens économiques de se plier à ces prescriptions, sont également celles qui valorisent le plus le plaisir de manger abondamment des produits plaisants et riches – frites, ketchup, charcuterie. Elles apprécient les produits de l’industrie agroalimentaire et la restauration rapide car ils sont « la preuve d’une participation à la société de consommation, dont les membres des catégories modestes sont exclus par bien d’autres aspects (6) ». Les difficultés de la vie et l’absence de perspectives conduisent également à privilégier les satisfactions présentes plutôt que les incertains bénéfices à long terme d’une alimentation « saine ».
De leur côté, les industries agroalimentaires, incitées à prendre des initiatives, ont voulu montrer qu’elles prenaient le problème de la malbouffe au sérieux. L’Association nationale des industries alimentaires (Ania) déclarait ainsi en 2008 avoir recensé « plus de 250 démarches de progrès volontaires » venant des entreprises. Celles-ci pouvaient concerner la qualité nutritionnelle des produits (diminution du sodium dans les céréales, les soupes et les plats composés, quasi-disparition du sucre dans les chewing-gums…), mais portaient là encore pour l’essentiel sur l’information au consommateur (étiquetage nutritionnel des produits) et des actions d’éducation.
La portée de ces mesures reste cependant difficile à mesurer. Elles n’ont en tout cas pas suffi à enrayer les inégalités entre groupes sociaux, que ce soit en termes de surpoids infantile ou de consommation de fruits et légumes, qui ont plutôt tendance à augmenter.
Agir sur plusieurs leviers
Comment alors diminuer le poids de la malbouffe dans les pratiques alimentaires ? Pour Fabrice Etilé, il faudrait agir de façon cohérente sur plusieurs leviers (7). Premier type de mesure proposé par l’économiste : sur chaque produit, un affichage nutritionnel obligatoire et simple, sous forme de feux tricolores indiquant le risque nutritionnel (rouge = élevé, vert = bas). À cet étiquetage serait associée une taxation à taux variable selon le plus ou moins bon profil nutritionnel du produit, qui pourrait par exemple se fonder sur le taux de graisse, de sucre ou de sel ajouté lors de la transformation. Autre perspective d’action : l’encadrement des dispositifs marchands, qu’il s’agisse de réfléchir à l’ordre de présentation des plats dans les self-services (les premiers plats étant toujours les plus choisis, quels qu’ils soient) ou de diminuer la taille des bouteilles et canettes de soda.
question 1 : synthése
question 2 : commentez la partie " l'augmentation du taux.... en 2009"
question 3: selon l'auteur il existe une relation entre les déterminants socio-démographiques et l'etat nutritionnel; qu'en pensez vous?
encore faut-il savoir qu'est ce que c'est les déterminants socio-demographiques??? pffffffffff l'horreur
puis les tests psychotechniques n'en parlons pas; avec cette exercices avec 28 jetons de 7 couleurs a caser dans 7 tiroirs différents, puis les calculs de dose, perfusions qui coulent en combien de temps, conversion de cm3 en ml etc.... au secours
MONACO : RÉSULTAT DÉFINITIF LE 03/07
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
On est d'accord, une vrai horreur ces test !! La je vais savoir si j'ai de la chance ou non parce que ....lililapraline a écrit :sujet nice, monaco et environ
Peu de néologismes peuvent se vanter d’un succès aussi fulgurant. Lorsqu’en 2001, il entre dans Le Petit Robert, le terme « malbouffe » n’a été (re)mis (1) au goût du jour que depuis quelques mois par l’incontournable leader de la Confédération paysanne, José Bové. C’est lors du fameux « démontage » du McDo de Millau (août 1999) qu’il dit l’avoir utilisé pour la première fois. La malbouffe, dans la bouche du médiatique agriculteur, c’est d’abord la standardisation de l’alimentation, l’émergence d’une « nourriture de nulle part » qui fait que l’on retrouve « les mêmes goûts partout »(2). Mais le terme ouvre également sur une critique de l’industrialisation de l’agriculture et de l’usage de techniques potentiellement dangereuses pour la santé, qu’il s’agisse d’hormones, d’OGM ou de pesticides.
Un « modèle alimentaire français » ?
Le succès est immédiat, et la dénonciation de la malbouffe va peu à peu s’émanciper de la sphère altermondialiste où elle est née pour devenir un problème de santé publique. Car l’idée s’est longtemps maintenue que la France était protégée des méfaits de la malbouffe grâce aux vertus de son « modèle alimentaire » dans lequel, comme le dit le ministère de l’Agriculture, « manger n’est pas seulement un acte fonctionnel, c’est un plaisir quotidien et partagé qui obéit à certaines règles : la convivialité, la diversité alimentaire, le respect d’horaires fixes et la structuration des repas autour de trois plats principaux (3) ». Mais l’augmentation du taux d’obésité dans la population française, particulièrement rapide au cours des années 1990-2000 (7 % d’obèses et 36 % de personnes obèses ou en surpoids en 1970, respectivement 15 % et 47 % en 2009, a obligé à être moins cocardier. Et à constater que ce « modèle français » tend à s’effriter, en particulier chez les moins de 35 ans qui passent deux fois moins de temps à cuisiner que leurs aînés. La consommation d’aliments préparés, souvent trop riches en graisse, en sucre ou en sel, augmente donc, d’autant que les Français mangent de plus en plus souvent à l’extérieur de leur domicile. Par ailleurs, on constate que si les personnes obèses tendent à consommer davantage de fromage, de pâtisseries et de viandes, elles n’ont pas une alimentation moins diversifiée que les autres. Ainsi, « ni la variété de l’alimentation, ni la permanence d’un goût pour les produits patrimoniaux ne protègent de la prise de poids (5) » et des risques qui l’accompagnent (diabète, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires et respiratoires, cancer…).
Prévention et inégalités sociales
Pour toutes ces raisons, les pouvoirs publics ont lancé dès 2001 le Plan national nutrition santé (PNNS), dont l’objectif principal a été de diffuser des recommandations pour une alimentation équilibrée, telles que le désormais fameux « cinq fruits et légumes par jour ». Des actions sur l’environnement ont également été menées, comme par exemple l’interdiction des distributeurs automatiques de boissons et produits alimentaires au sein des établissements scolaires ou l’encadrement de la publicité (ajouts de messages sanitaires). Reste que ce type d’interventions se heurte aux inégalités en matière d’alimentation : les catégories sociales les plus réceptives sont celles qui sont déjà les plus enclines à se préoccuper de leur santé, à savoir les cadres et les professions intellectuelles supérieures. Les catégories populaires ou pauvres, outre qu’elles n’ont pas toujours les moyens économiques de se plier à ces prescriptions, sont également celles qui valorisent le plus le plaisir de manger abondamment des produits plaisants et riches – frites, ketchup, charcuterie. Elles apprécient les produits de l’industrie agroalimentaire et la restauration rapide car ils sont « la preuve d’une participation à la société de consommation, dont les membres des catégories modestes sont exclus par bien d’autres aspects (6) ». Les difficultés de la vie et l’absence de perspectives conduisent également à privilégier les satisfactions présentes plutôt que les incertains bénéfices à long terme d’une alimentation « saine ».
De leur côté, les industries agroalimentaires, incitées à prendre des initiatives, ont voulu montrer qu’elles prenaient le problème de la malbouffe au sérieux. L’Association nationale des industries alimentaires (Ania) déclarait ainsi en 2008 avoir recensé « plus de 250 démarches de progrès volontaires » venant des entreprises. Celles-ci pouvaient concerner la qualité nutritionnelle des produits (diminution du sodium dans les céréales, les soupes et les plats composés, quasi-disparition du sucre dans les chewing-gums…), mais portaient là encore pour l’essentiel sur l’information au consommateur (étiquetage nutritionnel des produits) et des actions d’éducation.
La portée de ces mesures reste cependant difficile à mesurer. Elles n’ont en tout cas pas suffi à enrayer les inégalités entre groupes sociaux, que ce soit en termes de surpoids infantile ou de consommation de fruits et légumes, qui ont plutôt tendance à augmenter.
Agir sur plusieurs leviers
Comment alors diminuer le poids de la malbouffe dans les pratiques alimentaires ? Pour Fabrice Etilé, il faudrait agir de façon cohérente sur plusieurs leviers (7). Premier type de mesure proposé par l’économiste : sur chaque produit, un affichage nutritionnel obligatoire et simple, sous forme de feux tricolores indiquant le risque nutritionnel (rouge = élevé, vert = bas). À cet étiquetage serait associée une taxation à taux variable selon le plus ou moins bon profil nutritionnel du produit, qui pourrait par exemple se fonder sur le taux de graisse, de sucre ou de sel ajouté lors de la transformation. Autre perspective d’action : l’encadrement des dispositifs marchands, qu’il s’agisse de réfléchir à l’ordre de présentation des plats dans les self-services (les premiers plats étant toujours les plus choisis, quels qu’ils soient) ou de diminuer la taille des bouteilles et canettes de soda.
question 1 : synthése
question 2 : commentez la partie " l'augmentation du taux.... en 2009"
question 3: selon l'auteur il existe une relation entre les déterminants socio-démographiques et l'etat nutritionnel; qu'en pensez vous?
encore faut-il savoir qu'est ce que c'est les déterminants socio-demographiques??? pffffffffff l'horreur
puis les tests psychotechniques n'en parlons pas; avec cette exercices avec 28 jetons de 7 couleurs a caser dans 7 tiroirs différents, puis les calculs de dose, perfusions qui coulent en combien de temps, conversion de cm3 en ml etc.... au secours
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Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
Bonjour.
Je pense que le côté humanitaire je ne trouve pas sa bon. Peut être le bénévolat. Oui pk pas. Mais c une part infime d'aide. Ensuite pour en venir à l'argent et les plus aises des meilleurs soins. Je suis d'accord. Cependant la question est la santé et un acteur majeur de notre société actuelle. Tes informations sont cohérente mais frise le hors sujet je trouve.
En tout cas je n'y ai pas penser.
Je pense que le côté humanitaire je ne trouve pas sa bon. Peut être le bénévolat. Oui pk pas. Mais c une part infime d'aide. Ensuite pour en venir à l'argent et les plus aises des meilleurs soins. Je suis d'accord. Cependant la question est la santé et un acteur majeur de notre société actuelle. Tes informations sont cohérente mais frise le hors sujet je trouve.
En tout cas je n'y ai pas penser.
Trois concours. Aphp croix rouge et montreuil. Y'a plus qu'à attendre..
Re: Concours ifsi 2015: Sujets tombés
politique aussi, on entend bcp parler de la santé dont le fameux projet de loi santé : grève des médecins etc..
présence des représentants de la santé partout : écoles, lieux de travail, lors des grandes manifestations avec la croix rouge
les médias : dons pour le sida et autres recherches, la loi leonetti dont on a bcp entendu parler, les pubs avec les 5 fruits et légumes.
mais bon c'est tellement vaste que ce n'est pas évident, et tu avais combien de pages ?
présence des représentants de la santé partout : écoles, lieux de travail, lors des grandes manifestations avec la croix rouge
les médias : dons pour le sida et autres recherches, la loi leonetti dont on a bcp entendu parler, les pubs avec les 5 fruits et légumes.
mais bon c'est tellement vaste que ce n'est pas évident, et tu avais combien de pages ?