gestion émotions face à violence en psychiatrie

[brrruno]

Bonjour, je veux bien répondre à votre questionnaire également par contre c'est à condition que l'on échange avant autour de votre sujet

[krokmor]

Bonjour Marine!

Tu peux m'envoyer ton QNR, j'essaierai d'y répondre!

[krokmor]

Bonjour Manon,
Si tu as encore besoin d'autres avis, tu peux m'envoyer tes questions!

[Cycyy]

bonjour, je veux bien répondre aussi, j'ai d'ailleurs fait un tfe concernant les émotions

[caqui13]

OK pour répondre , mais moi pas besoin de t embêter a en discuter

[brrruno]

OK pour répondre , mais moi pas besoin de t embêter a en discuter

C'est vrai ça qu'est ce qu'on vient embêter cette pôvre étudiante à vouloir discuter, alors que c'est tellement plus simple de se contenter de répondre, d'appliquer un protocole. Quoi de la violence dans mon service ? Non impossible, tous les patients sont attachés dans leur chambre ! Ça s'appelle de la prévention (primaire comme on m'a appris à l'école) m'dame, on est en psychiatrie alors la relation à l'autre c'est bien inutile.

[AmThLi]

De quelle violence on parle, déjà ? De la violence d'un patient, auquel cas tout le monde a peur et il s'agit de ne pas se laisser déborder pour que ça ne dégénère pas en baston générale. Sujet très régulièrement abordé, comme les contentions, l'observance de la pharmacothérapie...

Ou de la violence institutionnelle contre les patients (voire contre les soignants) ? Auquel cas on ne parle pas du tout de la même chose ?

Intéressant cette focalisation sur "les situations de violence" alors qu'en psy c'est plutôt rare qu'un patient soit violent, ça arrive, mais moins souvent qu'aux urgences ou tout dégénère très vite.
Par contre, la violence, y compris "préventive", infligée par l'établissement à tout le monde (patients, soignants, administratifs...), elle fait pas mal de ravages, mais on en parle pas beaucoup hors certains cercles de réflexion.

L'une génère bien souvent l'autre, pas toujours, mais bien souvent.