stage optionnel: voyage humanitaire au burkina faso
Modérateurs : Modérateurs, ESI
-
virginie.13
- Régulier
- Messages : 59
- Inscription : 23 nov. 2004 16:47
- Localisation : marseille
stage optionnel: voyage humanitaire au burkina faso
Salut à tous!
Comme c'est écrit dans le titre, je suis partie au burkina faso et j'en suis rentrée depuis une semaine.
Maintenant je relativise certains problèmes comme le manque de matériel par exemple, car là bas c'est la pénurie. Tout le matériel que l'on avait apporté avec nous est partis à l'hôpital ou dans des dispensaires pour y être vendus aux malades.
En effet, le patient doit tout acheté pour que le soignant puisse faire les soins (compresses, sparadrap, aiguilles, seringues, médicaments ...), on dit alors qu'ils ont "honoré l'ordonance" sans quoi ils ne sont pas soignés. Et c'est le cas tous le temps même s'il arrive en urgences, un membre de la famille apporte l'argent et en suite les soins sont faits.
C'est dur de voir des parent résignés attendant la mort de leur enfant car ils n'ont pas les moyens de payer... alors quand on voit le peu de lien affectif qui lie l'enfant à sa mère on se dit que c'est pour éviter de trop souffrir si l'enfant venait à mourir, la mortalité y est très importante.
De même la relation soignant-soigné n'existe pas, l'infirmier fait son soin sans adresser la parole au patient et on peut remarquer une certaine crainte du soignant de la part du patient.
Il y a eut quand même des moments plus réjouissant car ce sont des gens très accueillants et très solidaire, un jour notre car est tombé en panne au milieu de nulle part et tous ceux qui passaient sur cette poiste se sont arrêtés pour nous aider... La découverte du culture tout à fait différente de la notre, là bas il n'y a pas de stress, ils prennent la vie du bon côté...
Une chose qui est sûre, c'est que je repartirais faire de l'humanitaire, je ne sais pas si ce sera au burkina ou dans un autre pays...
Et je conseille vivement d'en faire au moins une fois.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Comme c'est écrit dans le titre, je suis partie au burkina faso et j'en suis rentrée depuis une semaine.
Maintenant je relativise certains problèmes comme le manque de matériel par exemple, car là bas c'est la pénurie. Tout le matériel que l'on avait apporté avec nous est partis à l'hôpital ou dans des dispensaires pour y être vendus aux malades.
En effet, le patient doit tout acheté pour que le soignant puisse faire les soins (compresses, sparadrap, aiguilles, seringues, médicaments ...), on dit alors qu'ils ont "honoré l'ordonance" sans quoi ils ne sont pas soignés. Et c'est le cas tous le temps même s'il arrive en urgences, un membre de la famille apporte l'argent et en suite les soins sont faits.
C'est dur de voir des parent résignés attendant la mort de leur enfant car ils n'ont pas les moyens de payer... alors quand on voit le peu de lien affectif qui lie l'enfant à sa mère on se dit que c'est pour éviter de trop souffrir si l'enfant venait à mourir, la mortalité y est très importante.
De même la relation soignant-soigné n'existe pas, l'infirmier fait son soin sans adresser la parole au patient et on peut remarquer une certaine crainte du soignant de la part du patient.
Il y a eut quand même des moments plus réjouissant car ce sont des gens très accueillants et très solidaire, un jour notre car est tombé en panne au milieu de nulle part et tous ceux qui passaient sur cette poiste se sont arrêtés pour nous aider... La découverte du culture tout à fait différente de la notre, là bas il n'y a pas de stress, ils prennent la vie du bon côté...
Une chose qui est sûre, c'est que je repartirais faire de l'humanitaire, je ne sais pas si ce sera au burkina ou dans un autre pays...
Et je conseille vivement d'en faire au moins une fois.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
2ème année ESI
Si ton prof se tue à t'expliquer quelque chose, laisse-le mourir !
Heureux l'étudiant qui, comme la rivière, peut suivre son cours sans quitter son lit !
Si ton prof se tue à t'expliquer quelque chose, laisse-le mourir !
Heureux l'étudiant qui, comme la rivière, peut suivre son cours sans quitter son lit !
-
virginie.13
- Régulier
- Messages : 59
- Inscription : 23 nov. 2004 16:47
- Localisation : marseille
J'étais principalement dans la capitale, à Ouagadougou, au centre du pays.
Mais aussi on est allé à Tiebele, Titao...
Ainsi que dans le sud pour un week-end de détente à Bobo dioulasso.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mais aussi on est allé à Tiebele, Titao...
Ainsi que dans le sud pour un week-end de détente à Bobo dioulasso.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
2ème année ESI
Si ton prof se tue à t'expliquer quelque chose, laisse-le mourir !
Heureux l'étudiant qui, comme la rivière, peut suivre son cours sans quitter son lit !
Si ton prof se tue à t'expliquer quelque chose, laisse-le mourir !
Heureux l'étudiant qui, comme la rivière, peut suivre son cours sans quitter son lit !
Rejoignez
notre communauté
notre communauté
