Aide tefe alcoolisme
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Aide tefe alcoolisme
Bonjour, j suis actuellment en début de 3é année et commence à ma pencher sérieusement sur mon mémoire!!
J'aimerai que vous m'aidiez car je ne sais pas trop par où commencer ni trouver ma question de départ...
...ça part d'une situation que j'ai vécue lors d'un stage en réanimation où une jeune femme était hospitalisé pour pancréatite aigue dù à un éthylisme chronique. Cette jeune femme est sortie contre avis médicale alors que sa vie était en danger...ce qui ma choqué, c'est que malgrès la peine de l'équipe soignante face à cette dame, il n'ont pas vraiment essayé de la retenir, de lui faire prendre conscience des risques qu'elle prennait....etc
C'est un sentiment d'échec et d'impuissance étant donné qu'il est difficile de sougner un alcoolique...
Pouvez vous m'aidez svp.
merciÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'aimerai que vous m'aidiez car je ne sais pas trop par où commencer ni trouver ma question de départ...
...ça part d'une situation que j'ai vécue lors d'un stage en réanimation où une jeune femme était hospitalisé pour pancréatite aigue dù à un éthylisme chronique. Cette jeune femme est sortie contre avis médicale alors que sa vie était en danger...ce qui ma choqué, c'est que malgrès la peine de l'équipe soignante face à cette dame, il n'ont pas vraiment essayé de la retenir, de lui faire prendre conscience des risques qu'elle prennait....etc
C'est un sentiment d'échec et d'impuissance étant donné qu'il est difficile de sougner un alcoolique...
Pouvez vous m'aidez svp.
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Le problême, c'est qu'on ne peut pas soigner quelqu'un contre son gré. Si le patient n'adhère pas à la prise en charge, c'est l'échec assuré. Donc on laisse partir la patiente, qui reviendra (peut-être
) lorsque l'idée aura fait son chemin.
Admettons qu'on ait tenté de la retenir, ne serait-ce qu'en exerçant un chantage à la prise en charge avec elle : elle se serait certainement alcoolisée en cachette.
Soigner l'addiction contre la volonté des patients : 0% de réussite.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Admettons qu'on ait tenté de la retenir, ne serait-ce qu'en exerçant un chantage à la prise en charge avec elle : elle se serait certainement alcoolisée en cachette.
Soigner l'addiction contre la volonté des patients : 0% de réussite.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Savoir travailler en tension ...
salut , je suis en debut de 3 eme année comme toi je crois ...
alors voila l'année derniere j'ai fais mon module op sur le refus de soins ... sujet tres tres interressant ... alors je pense que je peux t'aider ,hessite pas ...
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alors voila l'année derniere j'ai fais mon module op sur le refus de soins ... sujet tres tres interressant ... alors je pense que je peux t'aider ,hessite pas ...

la prise en charge d'un patient alcoolique dans des sevices de soins généraux n'est malheureusement jamais globale. On prend en compte la raison somatique de son hospitalisation mais on n'essaie pas de creuser. Pourquoi ce désengagement des soignants?
En tant qque soignant, quand on travaille on aime avoir un résultat de nos gestes, avec ces patients on en a pas. La prise en charge est difficile car c patients sont souvent dans le déni de leur maladie alcoolique tant qu'ils n'ont pas, malheureusement, de séquelles physiques.
Pour avoir fait mon TFE sur ce sujet, je peux te donner quelques pistes : l'image que renvoit ces personne alcoolique aux soignants, la connaissance qu'ils ont de la pathologie alcoolique et l'intéret quils y porte,
le comportement des patients qui peuvent être violents ou dans le déni... Mais surtout on ne soigne pas quelqu'un contre son gré, encore plus vrai dans cette prise en charge car le seul traitement de cette maladie est l'abstinence donc le patient doit trouver ces motivations car tout dépend de lui. La démarche de soin personnel a un rôle dans la pérennité de l'abstinence.
a+Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
En tant qque soignant, quand on travaille on aime avoir un résultat de nos gestes, avec ces patients on en a pas. La prise en charge est difficile car c patients sont souvent dans le déni de leur maladie alcoolique tant qu'ils n'ont pas, malheureusement, de séquelles physiques.
Pour avoir fait mon TFE sur ce sujet, je peux te donner quelques pistes : l'image que renvoit ces personne alcoolique aux soignants, la connaissance qu'ils ont de la pathologie alcoolique et l'intéret quils y porte,
le comportement des patients qui peuvent être violents ou dans le déni... Mais surtout on ne soigne pas quelqu'un contre son gré, encore plus vrai dans cette prise en charge car le seul traitement de cette maladie est l'abstinence donc le patient doit trouver ces motivations car tout dépend de lui. La démarche de soin personnel a un rôle dans la pérennité de l'abstinence.
a+Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE en poche!!!!
C'est parti pour la vie active sur Paris.....
poste en chir ortho
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