TFE : humour
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TFE : humour
coucou tout le monde,
je suis élève en deuxième année et je commence a faire des recherche pour le TFE mon idée etait:
"l'humour entre soignants et soignés peut il favoriser la relation therapeutique, et dans quel cas peut il la freiner??" mais je voudrais en particulié parler des clowns à l'hopital.Si vous avez des contacts des conseils ou bien avoir fait un travail sur ce them contacté moi un grand merci d'avanceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je suis élève en deuxième année et je commence a faire des recherche pour le TFE mon idée etait:
"l'humour entre soignants et soignés peut il favoriser la relation therapeutique, et dans quel cas peut il la freiner??" mais je voudrais en particulié parler des clowns à l'hopital.Si vous avez des contacts des conseils ou bien avoir fait un travail sur ce them contacté moi un grand merci d'avanceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
va voir à cette adresse!
http://www.drclown.ca/francais/alhopital.htm
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Ô mon païs.... ô Toulouse....
bonjour
salut à tous je viens d'arriver sur votre forum et je me pose déjà plein de questions!!
Je sui à l'IFSI de nantes en première année et je commence à voir pour mon sujet de fin d'étude. Oui je sais c'est un peu tôt mais je recherche des infos et des références d'auteur pour un sujet portant sur le rire dans le soin.... si certains d'entre vous ont des idées..
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passe en deuxième année!!
tu peux trouver des renseignements auprés de l'association "le rire médecin" et tu devrais meme lire leur livre qui porte le meme titre.
bon courageÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
bon courageÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
slt
merci pour l'info... c'est sympa surtout que j'ai l'impression que ce type de sujet n'est pas très courant, enfin c'est peutêtre simplement une idée que je me fais!
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passe en deuxième année!!
Moi aussi !
Salut à tous !
Je suis ESI en 2ème année à Toulouse. J aimerai également porter mon sujet sur l humour dans la relation soignant soigné. J ai deux ou trois idées d orientation. Je passe une demande d aide à celles et ceux qui trouveraient de la doc pour m indiquer où ! Gros merci d avance !
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Je suis ESI en 2ème année à Toulouse. J aimerai également porter mon sujet sur l humour dans la relation soignant soigné. J ai deux ou trois idées d orientation. Je passe une demande d aide à celles et ceux qui trouveraient de la doc pour m indiquer où ! Gros merci d avance !
Apparemment il y a plein de sujets en cours ou deja traités ! le plus dur est de trouver ce qui correspond à son sujet à soic'est sympa surtout que j'ai l'impression que ce type de sujet n'est pas très courant, enfin c'est peutêtre simplement une idée que je me fais!

- racamlerouge1
- Messages : 11
- Inscription : 09 févr. 2005 15:15
bonjour
Je viens d'avoir mon diplome en novembre dernier et j'ai fait mon memoire sur le rire et l'humour.
Si vous avez besoin ,je vous laisse mon adresse mail , , si vous avec msn ou autres n'hesitez opas a me contacter.
C'est un sujet original et pour lequel je me suis passionné.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Si vous avez besoin ,je vous laisse mon adresse mail , , si vous avec msn ou autres n'hesitez opas a me contacter.
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- Messages : 18
- Inscription : 16 avr. 2008 11:01
Re: tfe et l'humour!!!
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Bonjour,
je suis eide en 2e année et je souhaitais vous soumettre ma situation de départ sur l'humour dans la relation soignant soignée.
C'est un 1er jet,il ya pas mal de retouches à apporter.
Merci de me dire ce que vous en pensez.
lucie
En milieu de 2e année, j'ai effectué un stage en rééducation fonctionnelle (orthopédie) dans un institut hélio marin.
Vers le début de ce stage, nous avons admis dans le service une femme sexagénaire pour une rééducation post allux valgus.
Cette patiente était anxieuse à son entrée.
Rien ne semblait la satisfaire et il était très difficile d'entrer en contact avec elle sans risquer de se voir attribuer une réflexion désagréable quant à la qualité des locaux, des services et du personnel.
Cet état de fait nous avait été signalé lors des transmissions infirmières effectuées par l'équipe du matin.
Je n'avais donc pas encore rencontré la patiente personnellement.
Une fois la relève terminée et l'équipe du matin partie, je me retrouvée avec l'infirmière de l'après midi.
Il était prévu pour cette dame, divers examens d’entrée, tels qu’un électrocardiogramme, prise des constantes et recueils de données.
L'infirmière m'a donc confié la tâche d'effectuer ces divers soins.
A vrai dire, j’appréhendais le moment d'entrer dans la chambre, je me demandais comment j'allais entrer en contact avec cette patiente et faire en sorte que tout ce déroule pour le mieux sans qu'il n'y ait incident.
Étant d’un naturel plutôt calme et pacifiste, je redoutais une situation de conflits qui aurait rendu compliquée toute relation de confiance avec cette patiente.
Je suis donc partie effectuer les soins en question.
J'ai frappé à la porte et suis entrée.
J'ai découvert une femme, d'apparence soignée, les traits un peu tirés, qui m’a rendu mon bonjour d'un ton un peu sec et qui semblait agacé.
Il y avait une deuxième personne dans la chambre, que j'ai aussitôt pris pour son mari, et alors que j'expliquais à la patiente ce que j'allais lui faire, je ne me doutais pas du quiproquo qui était en train de se jouer.
En effet, j’avançais dans mes explications concernant l'examen que j'allais effectuer sans me douter du malentendu.
Avant d'entreprendre de positionner et de déshabiller la dame en vue de la pose des électrodes de l'électrocardiogramme, j’ai enfin eu la présence d'esprit de lui demander si la présence de son mari ne la gênait pas et, elle, qui jusque là affichait beaucoup de froideur et d'hostilité quant au personnel et aux soins, a esquissé un large sourire et n'a pu se retenir de partir dans un grand fou rire.
J'avoue être restée assez hébétée par ce revirement soudain d'attitude et me demandait ce qui était en train de se passer.
L'homme qui se tenait prés de nous riait également, et a enfin donné une explication à cette hilarité collective.
Celui-ci était en effet non pas son mari, mais un technicien de l’institut, venant étant présent dans la chambre à ce moment pour un problème concernant la télévision de la patiente.
J'étais assez confuse et, après avoir présenté mes excuses, je me suis jointe moi aussi à leur amusement.
Le technicien a pris congé, et je suis restée seule avec la patiente.
Une fois l'euphorie du moment un peu retombée, je l'installai pour le soin. Je la sentais un peu tendue, elle me demandait si je savais bien ce que je faisais, que si je ne savais pas, il fallait appeler quelqu'un de plus compétent etc…
Je la rassurai alors sur mon savoir faire. A ce moment là, afin d'optimiser notre entrée en relation, et pour détendre ma patiente, j’eus l'idée de rebondir sur l'incident en faisant mention de la présence d'esprit que j'avais eu au moment où je lui avais demandé si le fait que son mari soit présent ne la génait pas, car pour le coup, le technicien l'aurait alors vu fort dévêtue. (Un peu long non comme phrase ?)
Cette note d’humour eut pour effet de dédramatiser le contexte hospitalier dans lequel nous étions et me permit d'achever le soin dans une certaine ambiance décontractée.
Pendant le reste de l’hospitalisation, ayant compris que l'humour avait une incidence positive sur cette patiente, je lui prodiguai ses soins avec beaucoup moins d'appréhension et me rendis compte que la relation qui s'était établie entre nous était faite, malgré la dérision, d’une certaine confiance.
Si cette anecdote est assez récente, je me souviens par ailleurs avoir déjà utilisé l'humour au cours de mon exercice professionnel dans mes anciennes fonctions d'aide soignante.
Cela m'avait alors semblé rendre la dimension hospitalière plus humaine.
Aussi cette nouvelle expérience m'a amené à me questionner sur l’humour et son utilité.
Aussi, à la suite de cette situation, je me suis demandé quelle était la place de l'humour dans le soin, et surtout dans la relation soignant /soigné. Quels effets pouvait-il avoir sur les patients, mais aussi sur les patients, notamment en moyen séjour ?
Je me suis aussi demandé quelles étaient les limites de l'humour dans la relation soignant /soigné.
Enfin, quelle sorte d'humour choisir selon les situations.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Bonjour,
je suis eide en 2e année et je souhaitais vous soumettre ma situation de départ sur l'humour dans la relation soignant soignée.
C'est un 1er jet,il ya pas mal de retouches à apporter.
Merci de me dire ce que vous en pensez.
lucie
En milieu de 2e année, j'ai effectué un stage en rééducation fonctionnelle (orthopédie) dans un institut hélio marin.
Vers le début de ce stage, nous avons admis dans le service une femme sexagénaire pour une rééducation post allux valgus.
Cette patiente était anxieuse à son entrée.
Rien ne semblait la satisfaire et il était très difficile d'entrer en contact avec elle sans risquer de se voir attribuer une réflexion désagréable quant à la qualité des locaux, des services et du personnel.
Cet état de fait nous avait été signalé lors des transmissions infirmières effectuées par l'équipe du matin.
Je n'avais donc pas encore rencontré la patiente personnellement.
Une fois la relève terminée et l'équipe du matin partie, je me retrouvée avec l'infirmière de l'après midi.
Il était prévu pour cette dame, divers examens d’entrée, tels qu’un électrocardiogramme, prise des constantes et recueils de données.
L'infirmière m'a donc confié la tâche d'effectuer ces divers soins.
A vrai dire, j’appréhendais le moment d'entrer dans la chambre, je me demandais comment j'allais entrer en contact avec cette patiente et faire en sorte que tout ce déroule pour le mieux sans qu'il n'y ait incident.
Étant d’un naturel plutôt calme et pacifiste, je redoutais une situation de conflits qui aurait rendu compliquée toute relation de confiance avec cette patiente.
Je suis donc partie effectuer les soins en question.
J'ai frappé à la porte et suis entrée.
J'ai découvert une femme, d'apparence soignée, les traits un peu tirés, qui m’a rendu mon bonjour d'un ton un peu sec et qui semblait agacé.
Il y avait une deuxième personne dans la chambre, que j'ai aussitôt pris pour son mari, et alors que j'expliquais à la patiente ce que j'allais lui faire, je ne me doutais pas du quiproquo qui était en train de se jouer.
En effet, j’avançais dans mes explications concernant l'examen que j'allais effectuer sans me douter du malentendu.
Avant d'entreprendre de positionner et de déshabiller la dame en vue de la pose des électrodes de l'électrocardiogramme, j’ai enfin eu la présence d'esprit de lui demander si la présence de son mari ne la gênait pas et, elle, qui jusque là affichait beaucoup de froideur et d'hostilité quant au personnel et aux soins, a esquissé un large sourire et n'a pu se retenir de partir dans un grand fou rire.
J'avoue être restée assez hébétée par ce revirement soudain d'attitude et me demandait ce qui était en train de se passer.
L'homme qui se tenait prés de nous riait également, et a enfin donné une explication à cette hilarité collective.
Celui-ci était en effet non pas son mari, mais un technicien de l’institut, venant étant présent dans la chambre à ce moment pour un problème concernant la télévision de la patiente.
J'étais assez confuse et, après avoir présenté mes excuses, je me suis jointe moi aussi à leur amusement.
Le technicien a pris congé, et je suis restée seule avec la patiente.
Une fois l'euphorie du moment un peu retombée, je l'installai pour le soin. Je la sentais un peu tendue, elle me demandait si je savais bien ce que je faisais, que si je ne savais pas, il fallait appeler quelqu'un de plus compétent etc…
Je la rassurai alors sur mon savoir faire. A ce moment là, afin d'optimiser notre entrée en relation, et pour détendre ma patiente, j’eus l'idée de rebondir sur l'incident en faisant mention de la présence d'esprit que j'avais eu au moment où je lui avais demandé si le fait que son mari soit présent ne la génait pas, car pour le coup, le technicien l'aurait alors vu fort dévêtue. (Un peu long non comme phrase ?)
Cette note d’humour eut pour effet de dédramatiser le contexte hospitalier dans lequel nous étions et me permit d'achever le soin dans une certaine ambiance décontractée.
Pendant le reste de l’hospitalisation, ayant compris que l'humour avait une incidence positive sur cette patiente, je lui prodiguai ses soins avec beaucoup moins d'appréhension et me rendis compte que la relation qui s'était établie entre nous était faite, malgré la dérision, d’une certaine confiance.
Si cette anecdote est assez récente, je me souviens par ailleurs avoir déjà utilisé l'humour au cours de mon exercice professionnel dans mes anciennes fonctions d'aide soignante.
Cela m'avait alors semblé rendre la dimension hospitalière plus humaine.
Aussi cette nouvelle expérience m'a amené à me questionner sur l’humour et son utilité.
Aussi, à la suite de cette situation, je me suis demandé quelle était la place de l'humour dans le soin, et surtout dans la relation soignant /soigné. Quels effets pouvait-il avoir sur les patients, mais aussi sur les patients, notamment en moyen séjour ?
Je me suis aussi demandé quelles étaient les limites de l'humour dans la relation soignant /soigné.
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Re: tfe et l'humour!!!
Je ne sais pas comment vous allez "tourner" vos TFE,mais je trouve que c'est une excellente idée,car le rire est formidable partout et aussi a l'hopital,que ce soit pour les patients ou pour nous.
Je l'"utilise" au quotidien avec les patients pour créer une relation,les détendre,diminuer l'enxiété avant leur intervention chir,surtout qd je suis a l'accueil du bloc.Bien entendu il faut s'adapter a la personne et au contexte,car une fois un collégue IADE arrive en salle pour se présenter au patient en disant dés son entrée ds la salle "a qui est-ce qu'on coupe une main aujourd'hui(nous ne faisons plus de vascualire)?!",et la,malheureusement,il n'a pas vu/compris nos gestes,car justement le patient le patient qui venait nous voir était amputé d'une main...La,on rigole moins...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je l'"utilise" au quotidien avec les patients pour créer une relation,les détendre,diminuer l'enxiété avant leur intervention chir,surtout qd je suis a l'accueil du bloc.Bien entendu il faut s'adapter a la personne et au contexte,car une fois un collégue IADE arrive en salle pour se présenter au patient en disant dés son entrée ds la salle "a qui est-ce qu'on coupe une main aujourd'hui(nous ne faisons plus de vascualire)?!",et la,malheureusement,il n'a pas vu/compris nos gestes,car justement le patient le patient qui venait nous voir était amputé d'une main...La,on rigole moins...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- augusta
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Re: TFE : humour
J'ai travaillé sur ce sujet l'année dernière....j'aurais adoré pouvoir garder ma situation pour le TFE mais malheureusement c'est impossible. Bref.
Je ne crois pas que l'on puisse choisir un mode d'humour!
L'humour n'est pas quelque chose qui se prépare (enfin nous ne sommes pas des Florence Foresti quoi!).
Je pense qu'il faut réfléchir à des thèmes comme l'authenticité, la spontanéité des ESI.
Comment garder notre spontanéité, notre fraîcheur d'ESi qui nous entraîne parfois dans le type de situation que tu décris.
L'humour dans la relation soignant-soigné a evidemment sa place....mais il doit être adapté à la situation, à la personne.
Enfin pour moi il part obligatoirement de quelque chose de spontané.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je ne crois pas que l'on puisse choisir un mode d'humour!
L'humour n'est pas quelque chose qui se prépare (enfin nous ne sommes pas des Florence Foresti quoi!).
Je pense qu'il faut réfléchir à des thèmes comme l'authenticité, la spontanéité des ESI.
Comment garder notre spontanéité, notre fraîcheur d'ESi qui nous entraîne parfois dans le type de situation que tu décris.
L'humour dans la relation soignant-soigné a evidemment sa place....mais il doit être adapté à la situation, à la personne.
Enfin pour moi il part obligatoirement de quelque chose de spontané.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault