témoin de maltraitance, que faites vous?
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témoin de maltraitance, que faites vous?
Bonjour à tous,
voilà, ceci vous est peut-être déjà arrivé et vous vous êtes demandé que faire.
Lors de mon dernier stage, une soignante maltraite physiquement et verbalement des patients qui me confient avoir très peur de celle-ci.
Je décide qu'à la fin de mon stage j'en parlerais au cadre, avant ma note.
Oui mais voilà, tout le monde est au courant que je veux en parler, et gros montage de tête général, je me fais casser à l'entretien, et je n'ai pas l'occasion de voir le cadre
Il me rappelle et m'avoue qu'un AS lui dit que je souhaitais lui parler, alors je décide de lui raconter, sachant que ça pourrait être interprété comme une vengeance, et que c'est très difficile en tant que stagiaire de faire ça...
Finalement, l'AS en question fait l'objet d'une surveillance pour actes de maltraitance, et mon témoignage m'est demandé par écrit, celle-ci ne sera plus en contact avec des personnes vulnérables.
Qu'auriez vous fait en tant que stagiaire? Comment auriez vous gérer, auriez vous préférer ne rien dire sachant que je mettais en risque mes études?
soyez sincères svpÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
voilà, ceci vous est peut-être déjà arrivé et vous vous êtes demandé que faire.
Lors de mon dernier stage, une soignante maltraite physiquement et verbalement des patients qui me confient avoir très peur de celle-ci.
Je décide qu'à la fin de mon stage j'en parlerais au cadre, avant ma note.
Oui mais voilà, tout le monde est au courant que je veux en parler, et gros montage de tête général, je me fais casser à l'entretien, et je n'ai pas l'occasion de voir le cadre

Il me rappelle et m'avoue qu'un AS lui dit que je souhaitais lui parler, alors je décide de lui raconter, sachant que ça pourrait être interprété comme une vengeance, et que c'est très difficile en tant que stagiaire de faire ça...
Finalement, l'AS en question fait l'objet d'une surveillance pour actes de maltraitance, et mon témoignage m'est demandé par écrit, celle-ci ne sera plus en contact avec des personnes vulnérables.
Qu'auriez vous fait en tant que stagiaire? Comment auriez vous gérer, auriez vous préférer ne rien dire sachant que je mettais en risque mes études?
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Ex ESI en perdition
Ex AS perdue
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Depuis, chargée de clientèle, ça va mieux
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- cedelah
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salut
je ne suis pas esi mais tu as eu la bonne attitude, par contre si toi en étant stagiaire tu t'es rendu compte de l'attitude de ce soignant, l'équipe qui travaille avec elle était t-elle au courant de ses agissements avant que tu en parles?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je ne suis pas esi mais tu as eu la bonne attitude, par contre si toi en étant stagiaire tu t'es rendu compte de l'attitude de ce soignant, l'équipe qui travaille avec elle était t-elle au courant de ses agissements avant que tu en parles?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"On la pense terre de chaleur et de sécheresse, on la pressent étouffante. Mais c'est oublier que l'Ardèche est une terre d'eau qui porte fièrement le nom de sa plus tumultueuse rivière."
je ne suis plus étudiant ide mais je pense que j'aurais agit différemment
tt d'abord la législation nous oblige à dénoncer les actes de maltraitance auprés de l'autorité judiciaire ou administrative (dérogation au secret professionnel)
rien ne t'oblige donc à en informer l'équipe dans laquelle tu te trouve si tu estimes que cela risque de nuire à toi même ou à la procédure
deuxio il me semble peu prudent d'attendre la fin de ton stage si les actes sont graves et répétés (cf la législation de la non assistance à personne en danger)
petits rappels législatifs
Décret n° 93-221 du 16 février 1993
relatif aux règles professionnelles des infirmiers et infirmières
Art. 7. Lorsqu'un infirmier ou une infirmière discerne dans l'exercice de sa profession qu'un mineur est victime de sévices ou de privations, il doit mettre en œuvre les moyens les plus adéquats pour le protéger, en n'hésitant pas, si cela est nécessaire, à alerter les autorités médicales ou administratives compétentes lorsqu'il s'agit d'un mineur de quinze ans
Article 222-14 du Code pénal
Les violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur sont punies :
1°) De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ;
2°) De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ;
3°) De dix ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ;
4°) De cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours.
Obligation de dénonciation :
Article 434-3 du Code Pénal
Le fait, pour quiconque ayant eu connaissance de privations, de mauvais traitements ou d'atteintes sexuelles infligés à un mineur de quinze ans ou à une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge, d'une maladie, d'une infirmité, d'une déficience physique ou psychique ou d'un état de grossesse, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.Sauf lorsque la loi en dispose autrement, sont exceptées des dispositions qui précèdent les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l'article 226-13.
Les limites du secret professionnel :
Article 226-13
La révélation d'une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d'une fonction ou d'une mission temporaire, est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende
Article 226-14
L'article 226-13 n'est pas applicable dans les cas où la loi impose ou autorise la révélation du secret. En outre, il n'est pas applicable :
1°) A celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de privations ou de sévices, y compris lorsqu'il s'agit d'atteintes sexuelles dont il a eu connaissance et qui ont été infligés à un mineur de quinze ans ou à une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique ;Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
tt d'abord la législation nous oblige à dénoncer les actes de maltraitance auprés de l'autorité judiciaire ou administrative (dérogation au secret professionnel)
rien ne t'oblige donc à en informer l'équipe dans laquelle tu te trouve si tu estimes que cela risque de nuire à toi même ou à la procédure
deuxio il me semble peu prudent d'attendre la fin de ton stage si les actes sont graves et répétés (cf la législation de la non assistance à personne en danger)
petits rappels législatifs
Décret n° 93-221 du 16 février 1993
relatif aux règles professionnelles des infirmiers et infirmières
Art. 7. Lorsqu'un infirmier ou une infirmière discerne dans l'exercice de sa profession qu'un mineur est victime de sévices ou de privations, il doit mettre en œuvre les moyens les plus adéquats pour le protéger, en n'hésitant pas, si cela est nécessaire, à alerter les autorités médicales ou administratives compétentes lorsqu'il s'agit d'un mineur de quinze ans
Article 222-14 du Code pénal
Les violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur sont punies :
1°) De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ;
2°) De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ;
3°) De dix ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ;
4°) De cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours.
Obligation de dénonciation :
Article 434-3 du Code Pénal
Le fait, pour quiconque ayant eu connaissance de privations, de mauvais traitements ou d'atteintes sexuelles infligés à un mineur de quinze ans ou à une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge, d'une maladie, d'une infirmité, d'une déficience physique ou psychique ou d'un état de grossesse, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.Sauf lorsque la loi en dispose autrement, sont exceptées des dispositions qui précèdent les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l'article 226-13.
Les limites du secret professionnel :
Article 226-13
La révélation d'une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d'une fonction ou d'une mission temporaire, est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende
Article 226-14
L'article 226-13 n'est pas applicable dans les cas où la loi impose ou autorise la révélation du secret. En outre, il n'est pas applicable :
1°) A celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de privations ou de sévices, y compris lorsqu'il s'agit d'atteintes sexuelles dont il a eu connaissance et qui ont été infligés à un mineur de quinze ans ou à une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique ;Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je trouve que tu as eu la bonne réaction.
Tu as fait preuve de courage en dénoncant ces agissement.
En tous cas beaucoup plus que ceux qui ne disent rien et fond comme s'il était sourd aveugle et muet pour ne pas mettre en péril leur étude.
C'est ton role en tant que futur IDE de protéger tes patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Tu as fait preuve de courage en dénoncant ces agissement.
En tous cas beaucoup plus que ceux qui ne disent rien et fond comme s'il était sourd aveugle et muet pour ne pas mettre en péril leur étude.
C'est ton role en tant que futur IDE de protéger tes patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE hôpital du Bailleul (72)
Tous ces textes sont clairs, mais quand un étudiant (ou même un soignant) est témoin de maltraitance, ce n'est pas évidant d'en parler.
Le mieux est de consigner soigneusement par écrit ses observations, de les dater et d'indiquer l'heure, d'en référer à son formateur référent qui pourra soutenir l'étudiant si l'équipe ne veut rien entendre. Puis seulement en parler au cadre du service (attention, certains cadres protègent coûte que coûte leur personnel, et la parole d'un étudiant n'est qu'un courant d'air !!)
Les étudiants sont plus facilement témoins de maltraitances car ilsaccompagnent en permanence un soignant, alors que le reste de l'équipe a sa propre charge de travail, et ne peut qu'entendre les plaintes des patients capables de s'exprimer. Ensuite effectivement une surveillance accrue doit être effectuée auprès de la personne incriminée. Mais on ne peut pas accuser sans preuve...
Christèle, tu as bien agit, et ça n'a pas dû être facile pour toi.
Tu peux provoquer des discutions dans ton IFSI, et réfléchir à la meilleure conduite à tenir....sachant qu'il n'y a pas de recette...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le mieux est de consigner soigneusement par écrit ses observations, de les dater et d'indiquer l'heure, d'en référer à son formateur référent qui pourra soutenir l'étudiant si l'équipe ne veut rien entendre. Puis seulement en parler au cadre du service (attention, certains cadres protègent coûte que coûte leur personnel, et la parole d'un étudiant n'est qu'un courant d'air !!)
Les étudiants sont plus facilement témoins de maltraitances car ilsaccompagnent en permanence un soignant, alors que le reste de l'équipe a sa propre charge de travail, et ne peut qu'entendre les plaintes des patients capables de s'exprimer. Ensuite effectivement une surveillance accrue doit être effectuée auprès de la personne incriminée. Mais on ne peut pas accuser sans preuve...
Christèle, tu as bien agit, et ça n'a pas dû être facile pour toi.
Tu peux provoquer des discutions dans ton IFSI, et réfléchir à la meilleure conduite à tenir....sachant qu'il n'y a pas de recette...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Fidèle
- Messages : 211
- Inscription : 07 août 2004 20:51
- Localisation : par là
J'ai toujours dénoncer et je suis toujours aller droit dans le mur.................
Je pense que je vais peut-être envisager d'utiliser une autre tactique.......
lol
Rester à ma place de petite étudiante et LA FERMERÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.



Rester à ma place de petite étudiante et LA FERMERÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Il vaut mieux...
...suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d'un pas ferme.
ESI 3émé un jour
...suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d'un pas ferme.
ESI 3émé un jour
surtout pas ! penses aux patients maltraités !cécile delmas a écrit :...
Rester à ma place de petite étudiante et LA FERMER
agit proprement, rigoureusement, assures-toi d'avoir un soutien de la part de ton école (il faut parfois y mettre les formes, certes), mais ne te tais pas...
à ta place d'étudiante comme tu dis, tu as aussi le devoir de dénoncer, comme toute personne témoin de maltraitance.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Fidèle
- Messages : 211
- Inscription : 07 août 2004 20:51
- Localisation : par là
oui et de faire un rapport à la DASS et à la DDSI
Puis d'avoir les C...... d'y faire figurer mon nom
Et résultat me faire lincher l'année d'après par la même personne que j'ai soutenu par mon témoignage l'année d'avant
Alors merci bien j'ai assez donné
Je pense que je vais me la couler douce douce douce douce maintenant
Je laisse Robin des Bois et Donquichotte pour les autres je reprendrais tous ça une fois diplômé
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puis d'avoir les C...... d'y faire figurer mon nom
Et résultat me faire lincher l'année d'après par la même personne que j'ai soutenu par mon témoignage l'année d'avant
Alors merci bien j'ai assez donné
Je pense que je vais me la couler douce douce douce douce maintenant
Je laisse Robin des Bois et Donquichotte pour les autres je reprendrais tous ça une fois diplômé

Il vaut mieux...
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ESI 3émé un jour
...suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d'un pas ferme.
ESI 3émé un jour
il m'est arrivé, pratiquement, la même chose.
je vous renvoie à mon témoignage làÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je vous renvoie à mon témoignage làÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui -P.Desproges
CLASS- Centre de Lutte Anti SMS : the fight goes on
CLASS- Centre de Lutte Anti SMS : the fight goes on
effectivement ça s'est mal passé pour toi cette fois-ci, mais il n'empêche que tu peux quand même signaler d'autres problèmes, en général tu n'es jamais seule... et puis tout dépend du problème que tu dénonces...cécile delmas a écrit :oui et de faire un rapport à la DASS et à la DDSI
Puis d'avoir les C...... d'y faire figurer mon nom
Et résultat me faire lincher l'année d'après par la même personne que j'ai soutenu par mon témoignage l'année d'avant
Alors merci bien j'ai assez donné
Je pense que je vais me la couler douce douce douce douce maintenant
Je laisse Robin des Bois et Donquichotte pour les autres je reprendrais tous ça une fois diplômé
en tout cas tu as eu du courage, et c'est ce qu'il faut retenir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- annedelyon
- Fidèle
- Messages : 225
- Inscription : 19 juil. 2005 13:34
- Localisation : Dijon
bonsoir
j'ai été témoin en tant que professionnelle de maltraitance surtout verbale sur des ado et adultes handicapés. Je l'ai signalé à ma direction, et on m'a demandé un témoignage écrit, ce que j'ai fait. En réaction, la personne concernée à porté plainte pour difamation contre les personnes qui avaient témoigné. Résultat, nous nous sommes retrouvées devant le juge ! Ca m'a couté de l'argent (avocat), beaucoup de stress... mais nous avons eu gain de cause.
Si c'était à refaire, je retémoignerais, mais cette fois sans faire d'écrit...
En tant que stagiaire, je pense que je le signalerais au cadre en fin de stage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'ai été témoin en tant que professionnelle de maltraitance surtout verbale sur des ado et adultes handicapés. Je l'ai signalé à ma direction, et on m'a demandé un témoignage écrit, ce que j'ai fait. En réaction, la personne concernée à porté plainte pour difamation contre les personnes qui avaient témoigné. Résultat, nous nous sommes retrouvées devant le juge ! Ca m'a couté de l'argent (avocat), beaucoup de stress... mais nous avons eu gain de cause.
Si c'était à refaire, je retémoignerais, mais cette fois sans faire d'écrit...
En tant que stagiaire, je pense que je le signalerais au cadre en fin de stage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Reprise en 2ème année à Beaune. C'est reparti !
on m'a aussi demandé de faire un écrit et je l'ai fait.
Mais cette personne était sous surveillance par l'hopital car déjà signalée pour acte de maltraitance.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Ex ESI en perdition
Ex AS perdue
Aurevoir le paramédical...
Depuis, chargée de clientèle, ça va mieux
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- jimcarrey
- Messages : 23
- Inscription : 01 mars 2006 12:18
- Localisation : regardez la photo jsuis en train de chercher
c clair que c'est pas une situation evidente t'as eu le bon reflexe , taurais pu aussi aller voir le soignant qui maltraite ces personnes vulnerables et lui demander d'etre un peu plus discret.
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- pouliche66
- Insatiable
- Messages : 394
- Inscription : 04 déc. 2005 19:31
- Localisation : Là, je cuis des ragondins à la broche
eh mais tu es taré jimcarey!!!!
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ESI 3em année Louis Mourier
Soutenance du mémoire le 07 Octobre (oulalalalala)
En attente date Pratique MSP du DE
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En attente date Pratique MSP du DE
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- VIP
- Messages : 1838
- Inscription : 03 déc. 2005 11:50
- Contact :
mon tout premier stage en géronto m'a laissé un tres mauvais gout d'amertume ...
Une IDE libéral a plus que maltraité un patient totalement dépendant, elle l'a roué de coups ...
La direction en a eu connaissance et lui a gentiment demandé de ne plus venir travailler chez eux et point ! elle garde son DE et elle a encore la possibilitée de passer ses nerfs sur les patients !
Je trouve ça révoltant !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Une IDE libéral a plus que maltraité un patient totalement dépendant, elle l'a roué de coups ...
La direction en a eu connaissance et lui a gentiment demandé de ne plus venir travailler chez eux et point ! elle garde son DE et elle a encore la possibilitée de passer ses nerfs sur les patients !
Je trouve ça révoltant !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.