Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Gels pour les mains : avec modération
[12 février 2008 - 11:15]
Très pratiques et ultra hygiéniques, les savons-gels pour les mains qui s’utilisent sans eau et sèchent directement en laissant une sensation de fraîcheur et de propreté, ne doivent pas être utilisés trop régulièrement. Ils contiennent de l’alcool et risquent, à la longue, de dessécher la peau… Réservez-les dès lors aux circonstances exceptionnelles (dans la voiture, en voyage…).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[12 février 2008 - 11:15]
Très pratiques et ultra hygiéniques, les savons-gels pour les mains qui s’utilisent sans eau et sèchent directement en laissant une sensation de fraîcheur et de propreté, ne doivent pas être utilisés trop régulièrement. Ils contiennent de l’alcool et risquent, à la longue, de dessécher la peau… Réservez-les dès lors aux circonstances exceptionnelles (dans la voiture, en voyage…).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
Cancer de l'utérus : l'âge de la vaccination remis en cause
LE MONDE | 12.02.08 | 15h12 • Mis à jour le 12.02.08 | 15h12
Depuis sa commercialisation en novembre 2006, plus de 435 000 doses de Gardasil, vaccin destiné à prévenir le cancer du col de l'utérus, ont été délivrées en France. Alors que la vaccination des jeunes filles a été fixée à 14 ans pour être prise en charge par la Sécurité sociale, l'Académie nationale de médecine, dans un rapport présenté mardi 12 février, recommande de "reconsidérer l'âge de la primo-vaccination".
"Nous sommes le seul pays à avoir choisi 14 ans, souligne le professeur Pierre Bégué, membre de l'Académie et coordonnateur de l'étude. L'âge de 11-12 ans retenu ailleurs permet une efficience maximale, notamment au regard de la durée de protection vaccinale, actuellement évaluée à cinq ans." Selon le rapport, "le non-remboursement des vaccins avant 14 ans devrait être revu".
En outre, l'Académie s'interroge sur l'intérêt de la vaccination de rattrapage conseillée "pour les jeunes femmes de 15 à 23 ans qui n'auraient pas eu de rapports sexuels ou au plus tard dans l'année suivant le début de leur vie sexuelle". L'efficacité diminuant fortement au-delà de 19 ans, "une étude de cette population, suivie d'un message approprié, serait nécessaire", estime le rapport.
Un message qui devrait notamment porter sur l'importance de maintenir le dépistage par frottis, et ce, même si l'on est vaccinée. Car, dans le meilleur des cas, le Gardasil ne couvre que 70 % des papillomavirus responsables des cancers du col de l'utérus. "C'est la première fois que l'on se trouve devant une double prévention : vaccin et dépistage. Tout est beaucoup plus compliqué que cela ne paraît", souligne le professeur Bégué. "Il faut non seulement ne pas relâcher le dépistage, mais aussi mieux l'organiser", ajoute-t-il.
Quant à la vaccination, l'Académie recommande de "surveiller attentivement" l'épidémiologie des papillomavirus, afin de déceler un changement éventuel des prévalences, la durée de protection, pour répondre à la question laissée en suspens de la périodicité des rappels et l'évolution de l'âge des premiers rapports sexuels.
Le rapport pointe aussi l'importance des messages de prévention. "L'information ne doit pas amoindrir les messages de protection vis-à-vis des autres infections sexuellement transmissibles, en particulier du VIH", insiste l'Académie. Selon elle, "le contenu de l'information doit aussi tenir compte de l'environnement géographique et socioculturel des populations concernées, en fonction notamment de l'âge auquel le vaccin sera proposé".
Quant à l'opportunité de mener une campagne de vaccination dans les collèges, il n'en est, pour l'heure, pas question. L'épisode de la vaccination systématique contre l'hépatite B interrompue en milieu scolaire en 1998 à cause d'un éventuel risque de survenue de sclérose en plaques laisse un cuisant souvenir.
Alors qu'un deuxième vaccin (le Cervarix) est désormais disponible sur le marché - mais non encore remboursé -, l'Académie souligne "le progrès important pour la santé publique" que représente cette nouvelle vaccination. "Si son application apparaît hautement souhaitable, elle doit être néanmoins soigneusement concertée et évaluée." Un vaccin, "c'est fragile", résume le professeur Bégué.
La veille de pharmacovigilance mise en place par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) indique que 200 effets indésirables ont été rapportés.
Sandrine BlanchardÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
LE MONDE | 12.02.08 | 15h12 • Mis à jour le 12.02.08 | 15h12
Depuis sa commercialisation en novembre 2006, plus de 435 000 doses de Gardasil, vaccin destiné à prévenir le cancer du col de l'utérus, ont été délivrées en France. Alors que la vaccination des jeunes filles a été fixée à 14 ans pour être prise en charge par la Sécurité sociale, l'Académie nationale de médecine, dans un rapport présenté mardi 12 février, recommande de "reconsidérer l'âge de la primo-vaccination".
"Nous sommes le seul pays à avoir choisi 14 ans, souligne le professeur Pierre Bégué, membre de l'Académie et coordonnateur de l'étude. L'âge de 11-12 ans retenu ailleurs permet une efficience maximale, notamment au regard de la durée de protection vaccinale, actuellement évaluée à cinq ans." Selon le rapport, "le non-remboursement des vaccins avant 14 ans devrait être revu".
En outre, l'Académie s'interroge sur l'intérêt de la vaccination de rattrapage conseillée "pour les jeunes femmes de 15 à 23 ans qui n'auraient pas eu de rapports sexuels ou au plus tard dans l'année suivant le début de leur vie sexuelle". L'efficacité diminuant fortement au-delà de 19 ans, "une étude de cette population, suivie d'un message approprié, serait nécessaire", estime le rapport.
Un message qui devrait notamment porter sur l'importance de maintenir le dépistage par frottis, et ce, même si l'on est vaccinée. Car, dans le meilleur des cas, le Gardasil ne couvre que 70 % des papillomavirus responsables des cancers du col de l'utérus. "C'est la première fois que l'on se trouve devant une double prévention : vaccin et dépistage. Tout est beaucoup plus compliqué que cela ne paraît", souligne le professeur Bégué. "Il faut non seulement ne pas relâcher le dépistage, mais aussi mieux l'organiser", ajoute-t-il.
Quant à la vaccination, l'Académie recommande de "surveiller attentivement" l'épidémiologie des papillomavirus, afin de déceler un changement éventuel des prévalences, la durée de protection, pour répondre à la question laissée en suspens de la périodicité des rappels et l'évolution de l'âge des premiers rapports sexuels.
Le rapport pointe aussi l'importance des messages de prévention. "L'information ne doit pas amoindrir les messages de protection vis-à-vis des autres infections sexuellement transmissibles, en particulier du VIH", insiste l'Académie. Selon elle, "le contenu de l'information doit aussi tenir compte de l'environnement géographique et socioculturel des populations concernées, en fonction notamment de l'âge auquel le vaccin sera proposé".
Quant à l'opportunité de mener une campagne de vaccination dans les collèges, il n'en est, pour l'heure, pas question. L'épisode de la vaccination systématique contre l'hépatite B interrompue en milieu scolaire en 1998 à cause d'un éventuel risque de survenue de sclérose en plaques laisse un cuisant souvenir.
Alors qu'un deuxième vaccin (le Cervarix) est désormais disponible sur le marché - mais non encore remboursé -, l'Académie souligne "le progrès important pour la santé publique" que représente cette nouvelle vaccination. "Si son application apparaît hautement souhaitable, elle doit être néanmoins soigneusement concertée et évaluée." Un vaccin, "c'est fragile", résume le professeur Bégué.
La veille de pharmacovigilance mise en place par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) indique que 200 effets indésirables ont été rapportés.
Sandrine BlanchardÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE depuis le 31 mai 2012 !

Internet, le meilleur et le pire moyen de se faire des amis
LE MONDE | 12.02.08 | 15h24 • Mis à jour le 12.02.08 | 15h24
Internet ne fait pas peur. C'est un des enseignements de l'étude rendue publique mardi 12 février, réalisée pour l'éditeur de logiciels Symantec par Harris Interactive auprès de 4 687 adultes et 2 717 enfants, de 8 à 17 ans surfant au moins une heure par mois et habitant dans huit pays (Allemagne, Australie, Brésil, Chine, Etats-Unis, France, Japon et Royaume-Uni).
Le flou s'installe entre le monde "en ligne" et le monde réel : 60 % des adultes déclarent avoir rencontré un ami sur la Toile et maintenu cette amitié. Plus surprenant, les gens font, sur le réseau des réseaux, ce qu'ils ne feraient sans doute pas dans la "vraie" vie.
Près de 20 % des personnes interrogées socialisent sur Internet en toute confiance avec de parfaits inconnus, et près de 70 % des adultes ont donné leurs adresses e-mail et leurs noms à des personnes qu'ils ne connaissent pas.
PEU DE CONTRÔLE PARENTAL
Au total, 52 % des adultes et 46 % des enfants se sont fait des amis sur Internet. Parmi les adultes, près de 70 % ont transféré ces amitiés dans le monde réel. Plus étonnant, ils admettent même apprécier autant leurs amis "en ligne" que ceux du monde réel, voire les préférer.
Cette confiance se fait souvent au détriment de leur propre sécurité. Moins de 50 % des adultes prennent des mesures de sécurité supplémentaires comme utiliser plusieurs adresses e-mail, ne surfer que sur des sites de confiance et changer fréquemment de mots de passe.
Près d'un adulte sur dix dans le monde a partagé des informations relatives à ses comptes bancaires avec des personnes qui ne sont ni des amis ni des connaissances.
Du côté des enfants, environ 20 % d'entre eux reconnaissent faire des choses en ligne que leurs parents n'approuveraient pas. Et cela en toute ignorance de ces derniers : moins de la moitié d'entre eux ont installé un contrôle parental sur l'ordinateur ou surveillent les activités en ligne.
L'e-mail est plébiscité, mais d'autres formes de communication sur Internet connaissent un succès inattendu. Ainsi, plus d'un adulte sur cinq a créé un blog.
En France, les chiffres révèlent qu'Internet est principalement utilisé pour les jeux (71 % des adultes et 95 % des enfants), pour télécharger de la musique (51 % et 56 %), et partager des photos et des vidéos (69 % et 73 %).
Enfin, la plupart des adultes passent autant de temps, soit une heure par mois, à lire les actualités sur Internet que sur les médias papier traditionnels, journaux et magazines.
Joël MorioÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
LE MONDE | 12.02.08 | 15h24 • Mis à jour le 12.02.08 | 15h24
Internet ne fait pas peur. C'est un des enseignements de l'étude rendue publique mardi 12 février, réalisée pour l'éditeur de logiciels Symantec par Harris Interactive auprès de 4 687 adultes et 2 717 enfants, de 8 à 17 ans surfant au moins une heure par mois et habitant dans huit pays (Allemagne, Australie, Brésil, Chine, Etats-Unis, France, Japon et Royaume-Uni).
Le flou s'installe entre le monde "en ligne" et le monde réel : 60 % des adultes déclarent avoir rencontré un ami sur la Toile et maintenu cette amitié. Plus surprenant, les gens font, sur le réseau des réseaux, ce qu'ils ne feraient sans doute pas dans la "vraie" vie.
Près de 20 % des personnes interrogées socialisent sur Internet en toute confiance avec de parfaits inconnus, et près de 70 % des adultes ont donné leurs adresses e-mail et leurs noms à des personnes qu'ils ne connaissent pas.
PEU DE CONTRÔLE PARENTAL
Au total, 52 % des adultes et 46 % des enfants se sont fait des amis sur Internet. Parmi les adultes, près de 70 % ont transféré ces amitiés dans le monde réel. Plus étonnant, ils admettent même apprécier autant leurs amis "en ligne" que ceux du monde réel, voire les préférer.
Cette confiance se fait souvent au détriment de leur propre sécurité. Moins de 50 % des adultes prennent des mesures de sécurité supplémentaires comme utiliser plusieurs adresses e-mail, ne surfer que sur des sites de confiance et changer fréquemment de mots de passe.
Près d'un adulte sur dix dans le monde a partagé des informations relatives à ses comptes bancaires avec des personnes qui ne sont ni des amis ni des connaissances.
Du côté des enfants, environ 20 % d'entre eux reconnaissent faire des choses en ligne que leurs parents n'approuveraient pas. Et cela en toute ignorance de ces derniers : moins de la moitié d'entre eux ont installé un contrôle parental sur l'ordinateur ou surveillent les activités en ligne.
L'e-mail est plébiscité, mais d'autres formes de communication sur Internet connaissent un succès inattendu. Ainsi, plus d'un adulte sur cinq a créé un blog.
En France, les chiffres révèlent qu'Internet est principalement utilisé pour les jeux (71 % des adultes et 95 % des enfants), pour télécharger de la musique (51 % et 56 %), et partager des photos et des vidéos (69 % et 73 %).
Enfin, la plupart des adultes passent autant de temps, soit une heure par mois, à lire les actualités sur Internet que sur les médias papier traditionnels, journaux et magazines.
Joël MorioÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE depuis le 31 mai 2012 !

- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Hépatite B : les inquiétudes de l’Académie de médecine
[13 février 2008 - 11:37]
« Les craintes à l’égard de la vaccination (contre l’hépatite B) sont injustifiées » réaffirme l’Académie nationale de Médecine, alors qu’une « campagne médiatique sur les effets adverses de la vaccination contre l’hépatite B se développe à nouveau en France ». L’Académie insiste encore sur « l’absence d’imputabilité (à la vaccination) dans la sclérose en plaques (SEP) chez les enfants et adolescents ». Données à l’appui.
Au cours des six dernières années, un total de « huit études nationales et internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B », rappellent les Académiciens.
« En 2002 déjà, l’évaluation du rapport bénéfices/risques du vaccin faite par l’Institut de Veille sanitaire (InVS), dans une cohorte d’adolescents et d’adultes à risque montrait que le nombre de porteurs chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires (qui lui sont) imputés ».
L’Académie craint que cette « campagne médiatique » ne réveille « l’inquiétude des médecins vaccinateurs et des personnes à vacciner ». Et surtout elle redoute des conséquences dramatiques en termes de santé publique.
Elle rappelle en effet que la couverture vaccinale du nourrisson et de l’enfant demeure très faible en France (25%) contrairement aux autres pays européens et du continent nord-américain. « En 2003-2004, on observait 600 nouveaux cas d’hépatites B annuels, dont la moitié auraient pu être évitée si les recommandations de vaccination avaient été suivies », souligne-t-elle.
« Les craintes à l’égard de la vaccination vont encore aggraver cette situation ». D’autant, comme il convient de le rappeler, que l’hépatite B est à l’origine de près de 10% des transplantations hépatiques en France, que dans 20% des cas, elle évolue vers une cirrhose. Sans oublier enfin que d’après les chiffres de l’OMS, cette maladie est à l’origine de 60% à 80% des cancers primitifs du foie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[13 février 2008 - 11:37]
« Les craintes à l’égard de la vaccination (contre l’hépatite B) sont injustifiées » réaffirme l’Académie nationale de Médecine, alors qu’une « campagne médiatique sur les effets adverses de la vaccination contre l’hépatite B se développe à nouveau en France ». L’Académie insiste encore sur « l’absence d’imputabilité (à la vaccination) dans la sclérose en plaques (SEP) chez les enfants et adolescents ». Données à l’appui.
Au cours des six dernières années, un total de « huit études nationales et internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B », rappellent les Académiciens.
« En 2002 déjà, l’évaluation du rapport bénéfices/risques du vaccin faite par l’Institut de Veille sanitaire (InVS), dans une cohorte d’adolescents et d’adultes à risque montrait que le nombre de porteurs chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires (qui lui sont) imputés ».
L’Académie craint que cette « campagne médiatique » ne réveille « l’inquiétude des médecins vaccinateurs et des personnes à vacciner ». Et surtout elle redoute des conséquences dramatiques en termes de santé publique.
Elle rappelle en effet que la couverture vaccinale du nourrisson et de l’enfant demeure très faible en France (25%) contrairement aux autres pays européens et du continent nord-américain. « En 2003-2004, on observait 600 nouveaux cas d’hépatites B annuels, dont la moitié auraient pu être évitée si les recommandations de vaccination avaient été suivies », souligne-t-elle.
« Les craintes à l’égard de la vaccination vont encore aggraver cette situation ». D’autant, comme il convient de le rappeler, que l’hépatite B est à l’origine de près de 10% des transplantations hépatiques en France, que dans 20% des cas, elle évolue vers une cirrhose. Sans oublier enfin que d’après les chiffres de l’OMS, cette maladie est à l’origine de 60% à 80% des cancers primitifs du foie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Appel d’urgence en Europe : le 112 n’est pas installé…
[13 février 2008 - 14:16]
Sympathique, le clin d’œil de la Commission européenne qui a choisi le 11 février -le 11/2 donc- pour lancer une « action de sensibilisation » sur le… 112, le numéro d’appel d’urgence européen. Une campagne justifiée : d’après une récente étude, seulement un Européen sur cinq (22%) sait qu’il peut appeler ce numéro depuis n’importe quel endroit de l’Union européenne.
Un chiffre qui ressort de l’Eurobaromètre The European Emergency number 112, autrement dit le 112 : le numéro d’urgence européen. Conclusion de ce travail : « la population a besoin d’être mieux informée sur le 112. La Commission invite donc les Etats membres à déployer des efforts en ce sens ». Une bonne idée aurait été pour cela, que la Commission ne communique pas qu’en anglais sur le sujet…
C’est principalement au Nord de l’Europe que se situent les « bons élèves », ceux qui ont davantage le « réflexe 112 ». A titre d’exemple, 48% des Estoniens qui ont appelé un numéro d’urgence au cours des cinq dernières années, ont composé le 112. Cela n’a été le cas que pour 29% des Français, 24% des Allemands, 23% des Espagnols et… 13% des Maltais.
A l’heure actuelle, 26 des 27 Etats membres ont introduit la possibilité d’appeler le 112 à partir d’un téléphone fixe ou mobile sur leur territoire. Une procédure d’infraction est en cours contre la Bulgarie « pour défaut de disponibilité du 112 ».
Le numéro d’urgence européen a été introduit en 1991. L’objectif rappelons-le, était d’avoir un seul numéro à appeler en cas d’urgence, le même dans tous les Etats membres. Afin de faciliter la tache des voyageurs notamment. En France, le 112 est dirigé selon les départements, vers les sapeurs-pompiers (18) ou vers le SAMU (15). Il peut être composé depuis un poste fixe ou un portable. Y compris dans ce dernier cas, si le réseau est saturé, ou si l’appareil n’a plus d’unité. Et même si le code PIN n’a pas été saisi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[13 février 2008 - 14:16]
Sympathique, le clin d’œil de la Commission européenne qui a choisi le 11 février -le 11/2 donc- pour lancer une « action de sensibilisation » sur le… 112, le numéro d’appel d’urgence européen. Une campagne justifiée : d’après une récente étude, seulement un Européen sur cinq (22%) sait qu’il peut appeler ce numéro depuis n’importe quel endroit de l’Union européenne.
Un chiffre qui ressort de l’Eurobaromètre The European Emergency number 112, autrement dit le 112 : le numéro d’urgence européen. Conclusion de ce travail : « la population a besoin d’être mieux informée sur le 112. La Commission invite donc les Etats membres à déployer des efforts en ce sens ». Une bonne idée aurait été pour cela, que la Commission ne communique pas qu’en anglais sur le sujet…
C’est principalement au Nord de l’Europe que se situent les « bons élèves », ceux qui ont davantage le « réflexe 112 ». A titre d’exemple, 48% des Estoniens qui ont appelé un numéro d’urgence au cours des cinq dernières années, ont composé le 112. Cela n’a été le cas que pour 29% des Français, 24% des Allemands, 23% des Espagnols et… 13% des Maltais.
A l’heure actuelle, 26 des 27 Etats membres ont introduit la possibilité d’appeler le 112 à partir d’un téléphone fixe ou mobile sur leur territoire. Une procédure d’infraction est en cours contre la Bulgarie « pour défaut de disponibilité du 112 ».
Le numéro d’urgence européen a été introduit en 1991. L’objectif rappelons-le, était d’avoir un seul numéro à appeler en cas d’urgence, le même dans tous les Etats membres. Afin de faciliter la tache des voyageurs notamment. En France, le 112 est dirigé selon les départements, vers les sapeurs-pompiers (18) ou vers le SAMU (15). Il peut être composé depuis un poste fixe ou un portable. Y compris dans ce dernier cas, si le réseau est saturé, ou si l’appareil n’a plus d’unité. Et même si le code PIN n’a pas été saisi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
Pic épidémique pour la grippe en France, décrue de la gastro
(source : AFP, 13 Février)
L'épidémie grippale a atteint son pic pendant la semaine du 4 au 10 février et devrait commencer rapidement à amorcer sa décrue, tandis que la décrue se confirme pour la gastro-entérite, selon le réseau Sentinelles de l'Inserm mardi.
En cinq semaines, 1.450.000 personnes ont consulté le médecin pour la grippe. La semaine dernière, l'incidence nationale (nouveaux cas) de la grippe a été de 643 cas pour 100.000 habitants, très au-dessus du seuil épidémique (160/100.000) et plus que la semaine précédente (506 cas pour 100.000 habitants), précise le réseau.
Les médecins Sentinelles n'ont pas rapporté de gravité particulière de l'épidémie, avec un taux d'hospitalisation inférieur à 1%. L'efficacité vaccinale est bonne, avec 78% d'efficacité chez les moins de 65 ans et 57% chez les plus de 65 ans, observe le réseau.
Les régions les plus touchées sont le Languedoc-Roussillon, le Nord-Pas-de-Calais, le Limousin et Rhône-Alpes.
L'épidémie grippale devrait amorcer sa décrue la semaine prochaine, mais la fin de l'épidémie n'est pas prévue dans les trois semaines, précise Sentinelles.
Pour la gastro-entérite, la décrue se confirme et "l'activité devrait repasser sous le seuil épidémique d'ici une à deux semaines".
L'incidence nationale de la diarrhée aigüe a été de 292 cas pour 100.000 habitants la semaine dernière, juste au-dessus du seuil épidémique (262/100.000) mais en recul par rapport à la semaine précédente (304 cas pour 100.000 habitants).
Au total 2,7 millions de personnes ont consulté leur médecin en 12 semaines d'épidémie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : AFP, 13 Février)
L'épidémie grippale a atteint son pic pendant la semaine du 4 au 10 février et devrait commencer rapidement à amorcer sa décrue, tandis que la décrue se confirme pour la gastro-entérite, selon le réseau Sentinelles de l'Inserm mardi.
En cinq semaines, 1.450.000 personnes ont consulté le médecin pour la grippe. La semaine dernière, l'incidence nationale (nouveaux cas) de la grippe a été de 643 cas pour 100.000 habitants, très au-dessus du seuil épidémique (160/100.000) et plus que la semaine précédente (506 cas pour 100.000 habitants), précise le réseau.
Les médecins Sentinelles n'ont pas rapporté de gravité particulière de l'épidémie, avec un taux d'hospitalisation inférieur à 1%. L'efficacité vaccinale est bonne, avec 78% d'efficacité chez les moins de 65 ans et 57% chez les plus de 65 ans, observe le réseau.
Les régions les plus touchées sont le Languedoc-Roussillon, le Nord-Pas-de-Calais, le Limousin et Rhône-Alpes.
L'épidémie grippale devrait amorcer sa décrue la semaine prochaine, mais la fin de l'épidémie n'est pas prévue dans les trois semaines, précise Sentinelles.
Pour la gastro-entérite, la décrue se confirme et "l'activité devrait repasser sous le seuil épidémique d'ici une à deux semaines".
L'incidence nationale de la diarrhée aigüe a été de 292 cas pour 100.000 habitants la semaine dernière, juste au-dessus du seuil épidémique (262/100.000) mais en recul par rapport à la semaine précédente (304 cas pour 100.000 habitants).
Au total 2,7 millions de personnes ont consulté leur médecin en 12 semaines d'épidémie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
Inquiétudes sur le Botox aux États-Unis
(source : AFP et Lefigaro, 14 février)
L'usage de la toxine botulique, commercialisée notamment sous le nom de Botox, pourrait avoir des effets dangereux, voire mortels, a fait savoir vendredi la Food and Drug Administration (FDA), après avoir eu connaissance de «rapports portant sur des réactions graves», qui affectent l'appareil respiratoire, en particulier. L'autorité américaine de surveillance du médicament ne va cependant pas jusqu'à interdire cette substance utilisée par des millions de personnes dans le monde pour gommer leurs rides de vieillesse.
En effet, le Dr Russell Katz, qui dirige la division des produits neurologiques de la FDA, a précisé qu'aucun patient ayant utilisé du Botox à des fins esthétiques ne figure parmi les victimes recensées, mais il a demandé la plus grande vigilance tant de la part des médecins que de leurs patients.
Les cas d'intoxication les plus sérieux se sont produits chez des patients, adultes et enfants, à qui la toxine botulique a été injectée à des fins thérapeutiques, c'est-à-dire à des doses beaucoup plus élevées qu'en usage cosmétique. Il s'agit le plus souvent de soigner des contractions incontrôlables des muscles du cou et des épaules, un strabisme ou encore des battements incontrôlés des paupières.
Plus foudroyant que le cyanure
La FDA fait état de réactions proches de celles observées avec le botulisme, une maladie gravissime qui survient «lorsque la toxine botulique se répand dans le corps au-delà de l'endroit où elle a été injectée» . Elles pourraient être liées à un surdosage.
L'avertissement de la FDA intervient alors que l'association consumériste américaine Public Citizen, fondée par le militant Ralph Nader, a mis en cause récemment la dangerosité du Botox, responsable selon elle de 87 hospitalisations aux États-Unis entre novembre 1997 et décembre 2006 , dont 16 décès. Les responsables de la FDA se sont refusés toutefois à donner des chiffres, le Dr Katz signalant seulement «une poignée de cas».
La toxine botulique, commercialisée sous les marques Botox ou Vistabel (laboratoires Allergan), Myobloc ou Neurobloc (laboratoires Solstice Neurosciences) ou Dysport (laboratoires Ipsen), est à l'origine un poison violent, 40 millions de fois plus foudroyant que le cyanure. Elle est sécrétée naturellement par une bactérie (Clostridium botulinum) qui se développe principalement dans les conserves ou la charcuterie avariées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : AFP et Lefigaro, 14 février)
L'usage de la toxine botulique, commercialisée notamment sous le nom de Botox, pourrait avoir des effets dangereux, voire mortels, a fait savoir vendredi la Food and Drug Administration (FDA), après avoir eu connaissance de «rapports portant sur des réactions graves», qui affectent l'appareil respiratoire, en particulier. L'autorité américaine de surveillance du médicament ne va cependant pas jusqu'à interdire cette substance utilisée par des millions de personnes dans le monde pour gommer leurs rides de vieillesse.
En effet, le Dr Russell Katz, qui dirige la division des produits neurologiques de la FDA, a précisé qu'aucun patient ayant utilisé du Botox à des fins esthétiques ne figure parmi les victimes recensées, mais il a demandé la plus grande vigilance tant de la part des médecins que de leurs patients.
Les cas d'intoxication les plus sérieux se sont produits chez des patients, adultes et enfants, à qui la toxine botulique a été injectée à des fins thérapeutiques, c'est-à-dire à des doses beaucoup plus élevées qu'en usage cosmétique. Il s'agit le plus souvent de soigner des contractions incontrôlables des muscles du cou et des épaules, un strabisme ou encore des battements incontrôlés des paupières.
Plus foudroyant que le cyanure
La FDA fait état de réactions proches de celles observées avec le botulisme, une maladie gravissime qui survient «lorsque la toxine botulique se répand dans le corps au-delà de l'endroit où elle a été injectée» . Elles pourraient être liées à un surdosage.
L'avertissement de la FDA intervient alors que l'association consumériste américaine Public Citizen, fondée par le militant Ralph Nader, a mis en cause récemment la dangerosité du Botox, responsable selon elle de 87 hospitalisations aux États-Unis entre novembre 1997 et décembre 2006 , dont 16 décès. Les responsables de la FDA se sont refusés toutefois à donner des chiffres, le Dr Katz signalant seulement «une poignée de cas».
La toxine botulique, commercialisée sous les marques Botox ou Vistabel (laboratoires Allergan), Myobloc ou Neurobloc (laboratoires Solstice Neurosciences) ou Dysport (laboratoires Ipsen), est à l'origine un poison violent, 40 millions de fois plus foudroyant que le cyanure. Elle est sécrétée naturellement par une bactérie (Clostridium botulinum) qui se développe principalement dans les conserves ou la charcuterie avariées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
Plan Alzheimer: inquiétudes de plusieurs associations sur le financement
(source : AFP, 14 février)
Des associations représentant les familles et établissements d'accueil de malades d'Alzheimer ont jugé mercredi "insuffisant" le financement du plan Alzheimer 2008-2012, qui prévoit l'engagement de 1,6 milliard d'euros de plus sur cinq ans.
Nicolas Sarkozy a présenté le 1er février un plan en dix "mesures phare" pour accélérer la recherche et améliorer la prise en charge des malades.
Lors d'une conférence de presse, Guy Le Rochais, de l'association France-Alzheimer, a salué "la philosophie" du plan, tout en "n'étant pas certain que les moyens soient au rendez-vous" et suffisants.
"Le président de la République ne s'y est pas trompé puisqu'il a dit qu'il y aurait une réévaluation en cours de route", a-t-il noté.
Selon M. Le Rochais, il est "faux" d'affirmer qu'il y a 5.200 places d'accueil de jour en France, car "le véritable nombre de places d'accueil thérapeutique de jour autonome, avec une équipe constituée et un projet d'établissement entièrement dédié au malade, ne dépasse pas 700".
Rappelant que 70% de personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer vivent à domicile, il a rappelé que "l"hébergement temporaire était une demande constante des familles". "Or ces hébergements temporaires sont occupés à 80% de manière permanente et c'est le système D qui prévaut, ce qui est très dommageable", a-t-il dit.
Pour le président de l'AD-Pa (maisons de retraite), Pascal Champvert, il faudrait "doubler le nombre des professionnels aidant les personnes malades à domicile ou en établissement pour atteindre des niveaux comparables à ce qui se passe chez nos voisins européens", ce qui "suppose de trouver 5 à 6 milliards d'euros".
"L'un des points positifs du plan", a poursuivi M. Champvert, est que M. Sarkozy "ait insisté sur le +consentement+ de la personne". "Laissez entendre qu'une personne atteinte de pathologie Alzheimer n'est plus un être humain, n'a plus son mot à dire dans un certain nombre de décision est insupportable", a-t-il ajouté.
Pour Jean-Marie Vetel (syndicat national de gérontologie), la France manque "d'unités psycho-gériatriques sanitaires qui permettent de garder certains malades au lieu de les renvoyer en maisons de retraite".
Enfin, la formation des généralistes à la maladie d'Alzheimer pourrait être renforcée par "un certificat de consultation mémoire", a-t-il proposé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : AFP, 14 février)
Des associations représentant les familles et établissements d'accueil de malades d'Alzheimer ont jugé mercredi "insuffisant" le financement du plan Alzheimer 2008-2012, qui prévoit l'engagement de 1,6 milliard d'euros de plus sur cinq ans.
Nicolas Sarkozy a présenté le 1er février un plan en dix "mesures phare" pour accélérer la recherche et améliorer la prise en charge des malades.
Lors d'une conférence de presse, Guy Le Rochais, de l'association France-Alzheimer, a salué "la philosophie" du plan, tout en "n'étant pas certain que les moyens soient au rendez-vous" et suffisants.
"Le président de la République ne s'y est pas trompé puisqu'il a dit qu'il y aurait une réévaluation en cours de route", a-t-il noté.
Selon M. Le Rochais, il est "faux" d'affirmer qu'il y a 5.200 places d'accueil de jour en France, car "le véritable nombre de places d'accueil thérapeutique de jour autonome, avec une équipe constituée et un projet d'établissement entièrement dédié au malade, ne dépasse pas 700".
Rappelant que 70% de personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer vivent à domicile, il a rappelé que "l"hébergement temporaire était une demande constante des familles". "Or ces hébergements temporaires sont occupés à 80% de manière permanente et c'est le système D qui prévaut, ce qui est très dommageable", a-t-il dit.
Pour le président de l'AD-Pa (maisons de retraite), Pascal Champvert, il faudrait "doubler le nombre des professionnels aidant les personnes malades à domicile ou en établissement pour atteindre des niveaux comparables à ce qui se passe chez nos voisins européens", ce qui "suppose de trouver 5 à 6 milliards d'euros".
"L'un des points positifs du plan", a poursuivi M. Champvert, est que M. Sarkozy "ait insisté sur le +consentement+ de la personne". "Laissez entendre qu'une personne atteinte de pathologie Alzheimer n'est plus un être humain, n'a plus son mot à dire dans un certain nombre de décision est insupportable", a-t-il ajouté.
Pour Jean-Marie Vetel (syndicat national de gérontologie), la France manque "d'unités psycho-gériatriques sanitaires qui permettent de garder certains malades au lieu de les renvoyer en maisons de retraite".
Enfin, la formation des généralistes à la maladie d'Alzheimer pourrait être renforcée par "un certificat de consultation mémoire", a-t-il proposé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
Les pharmaciens peuvent délivrer des médicaments malgré des ordonnances expirées
(source : AFP, 14 février)
Les pharmaciens sont désormais autorisés à délivrer des médicaments à des malades chroniques malgré l'expiration de leur ordonnance, dans la limite d'une boîte supplémentaire, selon un décret paru au Journal Officiel.
"Dans le cadre d'un traitement chronique, lorsque la durée de validité d'une ordonnance renouvelable est expirée, le pharmacien dispense les médicaments nécessaires à la poursuite du traitement", indique le décret daté du 5 février 2008, paru au JO du 7 février.
Cette autorisation, qui vise à éviter une interruption de traitement risquée pour la santé des patients, est cependant assortie de limites pour qu'elle reste exceptionnelle.
Il doit ainsi s'agir de médicaments ayant fait l'objet d'une prescription d'au moins trois mois, et l'Union nationale des pharmacies de France (UNPF) précise que certains médicaments comme les stupéfiants, les anxiolytiques et hypnotiques ne peuvent être délivrés.
L'autorisation n'est valable qu'une seule fois par ordonnance et le pharmacien "délivre le conditionnement commercialisé comportant le plus petit nombre d'unités de prise", c'est-à-dire la plus petite boîte disponible du médicament.
Le médecin prescripteur doit être informé de la délivrance du médicament à son patient "dès que possible et par tous les moyens", par le pharmacien.[/b]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : AFP, 14 février)
Les pharmaciens sont désormais autorisés à délivrer des médicaments à des malades chroniques malgré l'expiration de leur ordonnance, dans la limite d'une boîte supplémentaire, selon un décret paru au Journal Officiel.
"Dans le cadre d'un traitement chronique, lorsque la durée de validité d'une ordonnance renouvelable est expirée, le pharmacien dispense les médicaments nécessaires à la poursuite du traitement", indique le décret daté du 5 février 2008, paru au JO du 7 février.
Cette autorisation, qui vise à éviter une interruption de traitement risquée pour la santé des patients, est cependant assortie de limites pour qu'elle reste exceptionnelle.
Il doit ainsi s'agir de médicaments ayant fait l'objet d'une prescription d'au moins trois mois, et l'Union nationale des pharmacies de France (UNPF) précise que certains médicaments comme les stupéfiants, les anxiolytiques et hypnotiques ne peuvent être délivrés.
L'autorisation n'est valable qu'une seule fois par ordonnance et le pharmacien "délivre le conditionnement commercialisé comportant le plus petit nombre d'unités de prise", c'est-à-dire la plus petite boîte disponible du médicament.
Le médecin prescripteur doit être informé de la délivrance du médicament à son patient "dès que possible et par tous les moyens", par le pharmacien.[/b]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
L'Académie de médecine défend la vaccination contre l'hépatite B
(source : AFP, 14 février)
L'Académie de médecine a réaffirmé l'importance de la vaccination contre l'hépatite B et regretté la faiblesse de la couverture vaccinale de l'enfant, en dépit de nombreuses études démontrant "l'absence de relation statistiquement significative avec la sclérose en plaques".
Dans un communiqué, l'Académie regrette qu'après l'inculpation le mois dernier de deux laboratoires pour "tromperie aggravée", l'accent ait été mis une nouvelle fois sur la responsabilité du vaccin dans la survenue de cas de sclérose en plaques (SEP).
Elle fait valoir qu'en quelque cinq ans, pas moins de huit études nationales et internationales "ont démontré l'absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l'hépatite B". Une autre faisait apparaître que "le nombre de porteurs chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires imputés".
L'étude la plus récente, réalisée sur dix ans par une équipe de chercheurs français et publiée en décembre dans la revue américaine Archives of pediatrics and adolescent medicine, montre que la vaccination chez les enfants n'accroît pas le risque de SEP.
Pour cette étude comparative, menée de janvier 1994 à décembre 2003, une population de 143 enfants souffrant de sclérose en plaques a été comparée à une population saine de 1.122 enfants. Dans les deux groupes, un pourcentage équivalent de 32% de personnes avait été vacciné contre l'hépatite B au cours des trois années précédentes.
L'Académie souligne à cet égard "la cohérence en terme d'efficacité et de sécurité des recommandations de vaccination contre l'hépatite B des nourrissons avec rattrapage jusqu'à 13 ans".
Elle note que des 600 nouveaux cas d'hépatite B annuels constatés en 2003-2004, "la moitié aurait pu être évitée si les recommandations de vaccination avaient été suivies".
En 1998, un moratoire avait suspendu la vaccination anti-hépatite B en milieu scolaire, portant un coup d'arrêt à la campagne massive lancée en 1994.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : AFP, 14 février)
L'Académie de médecine a réaffirmé l'importance de la vaccination contre l'hépatite B et regretté la faiblesse de la couverture vaccinale de l'enfant, en dépit de nombreuses études démontrant "l'absence de relation statistiquement significative avec la sclérose en plaques".
Dans un communiqué, l'Académie regrette qu'après l'inculpation le mois dernier de deux laboratoires pour "tromperie aggravée", l'accent ait été mis une nouvelle fois sur la responsabilité du vaccin dans la survenue de cas de sclérose en plaques (SEP).
Elle fait valoir qu'en quelque cinq ans, pas moins de huit études nationales et internationales "ont démontré l'absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l'hépatite B". Une autre faisait apparaître que "le nombre de porteurs chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires imputés".
L'étude la plus récente, réalisée sur dix ans par une équipe de chercheurs français et publiée en décembre dans la revue américaine Archives of pediatrics and adolescent medicine, montre que la vaccination chez les enfants n'accroît pas le risque de SEP.
Pour cette étude comparative, menée de janvier 1994 à décembre 2003, une population de 143 enfants souffrant de sclérose en plaques a été comparée à une population saine de 1.122 enfants. Dans les deux groupes, un pourcentage équivalent de 32% de personnes avait été vacciné contre l'hépatite B au cours des trois années précédentes.
L'Académie souligne à cet égard "la cohérence en terme d'efficacité et de sécurité des recommandations de vaccination contre l'hépatite B des nourrissons avec rattrapage jusqu'à 13 ans".
Elle note que des 600 nouveaux cas d'hépatite B annuels constatés en 2003-2004, "la moitié aurait pu être évitée si les recommandations de vaccination avaient été suivies".
En 1998, un moratoire avait suspendu la vaccination anti-hépatite B en milieu scolaire, portant un coup d'arrêt à la campagne massive lancée en 1994.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
Loi SRU: Un palmarès accablant
(source : JDD.fr 14 février)
La Fondation Abbé-Pierre présentait mercredi matin son "tableau d'honneur" des communes soumises à la loi SRU, qui les contraint depuis 2002 à atteindre l'objectif de 20% de logements sociaux. Si l'objectif global annuel de construction est atteint, de fortes disparités subsistent: seules quatre communes sur dix respectent la loi. Et près de 10% l'ignorent complètement.
Quel est le point commun entre L'Etang-la-Ville, Allauch et Saint-Maur-des-Fossés? Ces trois villes ne construisent pas ou quasiment pas de logement social. Alors que six millions de personnes vivent en situation de grande précarité - mal logées, logées provisoirement ou sans-abri -, la volonté politique de mettre du logement social à disposition du plus grand nombre n'est pas toujours manifeste. C'est le principal enseignement qui ressort de l'étude présentée ce mercredi par la Fondation Abbé-Pierre sur le respect, ou non, de loi de solidarité et renouvellement urbains (SRU). Adoptée en décembre 2000 et entrée en vigueur au 1er janvier 2002, elle impose à certaines communes (*) de compter 20% de logements sociaux dans un délai de 20 ans, et fixe ainsi des objectifs annuels. Grossièrement, à raison de 736 communes concernées, cela revient à construire quelque 20 000 logements sociaux par an.
A l'échelle de la France, l'objectif est respecté, puisqu'en 2006, dernière année pour laquelle la Fondation Abbé-Pierre a obtenu les chiffres, ce sont quelque 21000 logements qui ont été mis en route (même si un tiers correspond au dispositif PLS, dont les loyers restent parfois rédhibitoires pour les plus précaires). Pourtant, de grandes disparités demeurent, alors que la France a été le premier pays d'Europe à imposer des taux de logements sociaux. Or, la question du logement social ne se résume pas à de l'habitat. La loi SRU doit permettre de rendre "concrète la notion de mixité sociale", souligne Patrick Patrick Doutreligne, secrétaire général de la Fondation. "Il y a des territoires qui concentrent ces logements, donc les familles fragilisées s'y accumulent", ajoute Christophe Robert. Ainsi les bons élèves, à la volonté politique visible, renforcent leur position, alors que les "cancres" continuent de défier la loi qui les oblige pourtant à la solidarité: à peine un tiers des villes disposant de moins de 5% de logement social a rempli la moitié de ses objectifs.
Les sanctions peu appliquées
Deux tiers des communes soumises à la loi SRU n'ont pas atteint les objectifs fixés. "Inacceptable", s'emporte la Fondation Abbé-Pierre, qui pointe particulièrement du doigt les 68 communes - près d'une sur dix - qui n'ont financé aucun logement social. "Il faut faire pression pour qu'aucun ne s'abaisse à cette indignité", lance Patrick Doutreligne. Pour mieux appuyer sa démonstration, la Fondation a donc présenté un tableau d'honneur et de déshonneur des communes (lire les tableaux). Le "déshonneur" touche notamment de très nombreuses villes qui apparaissaient déjà comme défaillantes en 2004. C'est le cas de Saint-Maur-des-Fossés, plus mauvais élèves parmi les villes de plus de 50 000 habitants, talonné par Neuilly-sur-Seine. Les grandes villes sont plutôt respectueuses dans l'ensemble - 21 sur 29 sont "dans les clous", et trois au-delà de 50% des objectifs atteints.
Surtout, la Fondation Abbé Pierre s'inquiète du dysfonctionnement de la loi. Car le système de sanctions prévues - une taxe doit être acquittée par les communes qui ne remplissent pas l'objectif, et elle est doublée si un « constat de carence » est établi - est mal appliqué. Ainsi, alors qu'en 2004, 500 communes ne s'étaient pas conformées à la loi, seuls 140 constats ont été dressés par les préfets. C'est le cas, par exemple, de Saint-Maur-des-Fossés. Ç'aurait pu être celui de Neuilly, mais il semble que le maire ait demandé le constat, pour ne pas être lynché par les médias. Et beaucoup de communes négocient avec le préfet - faisant promesse de bonne volonté ou arguant du coût des logements - pour ne pas payer. "Il y a une inquiétude pour l'avenir", explique Patrick Doutreligne. "Quand ceux qui produisent beaucoup vont atteindre les 20% d'ici 3 à 5 ans, l'impact de la loi va être divisé par deux." Pour pallier les insuffisances d'application de la loi, la Fondation a donc imaginé quatre propositions: établir systématiquement le constat de carence, multiplier la taxe par trois en cas de non-respect, faire en sorte que, en cas de constat, le préfet substitue le maire pour la délivrance des permis de construire (actuellement, il peut seulement préempter un terrain libre) et ne pas prendre en compte les logements relevant du PLS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : JDD.fr 14 février)
La Fondation Abbé-Pierre présentait mercredi matin son "tableau d'honneur" des communes soumises à la loi SRU, qui les contraint depuis 2002 à atteindre l'objectif de 20% de logements sociaux. Si l'objectif global annuel de construction est atteint, de fortes disparités subsistent: seules quatre communes sur dix respectent la loi. Et près de 10% l'ignorent complètement.
Quel est le point commun entre L'Etang-la-Ville, Allauch et Saint-Maur-des-Fossés? Ces trois villes ne construisent pas ou quasiment pas de logement social. Alors que six millions de personnes vivent en situation de grande précarité - mal logées, logées provisoirement ou sans-abri -, la volonté politique de mettre du logement social à disposition du plus grand nombre n'est pas toujours manifeste. C'est le principal enseignement qui ressort de l'étude présentée ce mercredi par la Fondation Abbé-Pierre sur le respect, ou non, de loi de solidarité et renouvellement urbains (SRU). Adoptée en décembre 2000 et entrée en vigueur au 1er janvier 2002, elle impose à certaines communes (*) de compter 20% de logements sociaux dans un délai de 20 ans, et fixe ainsi des objectifs annuels. Grossièrement, à raison de 736 communes concernées, cela revient à construire quelque 20 000 logements sociaux par an.
A l'échelle de la France, l'objectif est respecté, puisqu'en 2006, dernière année pour laquelle la Fondation Abbé-Pierre a obtenu les chiffres, ce sont quelque 21000 logements qui ont été mis en route (même si un tiers correspond au dispositif PLS, dont les loyers restent parfois rédhibitoires pour les plus précaires). Pourtant, de grandes disparités demeurent, alors que la France a été le premier pays d'Europe à imposer des taux de logements sociaux. Or, la question du logement social ne se résume pas à de l'habitat. La loi SRU doit permettre de rendre "concrète la notion de mixité sociale", souligne Patrick Patrick Doutreligne, secrétaire général de la Fondation. "Il y a des territoires qui concentrent ces logements, donc les familles fragilisées s'y accumulent", ajoute Christophe Robert. Ainsi les bons élèves, à la volonté politique visible, renforcent leur position, alors que les "cancres" continuent de défier la loi qui les oblige pourtant à la solidarité: à peine un tiers des villes disposant de moins de 5% de logement social a rempli la moitié de ses objectifs.
Les sanctions peu appliquées
Deux tiers des communes soumises à la loi SRU n'ont pas atteint les objectifs fixés. "Inacceptable", s'emporte la Fondation Abbé-Pierre, qui pointe particulièrement du doigt les 68 communes - près d'une sur dix - qui n'ont financé aucun logement social. "Il faut faire pression pour qu'aucun ne s'abaisse à cette indignité", lance Patrick Doutreligne. Pour mieux appuyer sa démonstration, la Fondation a donc présenté un tableau d'honneur et de déshonneur des communes (lire les tableaux). Le "déshonneur" touche notamment de très nombreuses villes qui apparaissaient déjà comme défaillantes en 2004. C'est le cas de Saint-Maur-des-Fossés, plus mauvais élèves parmi les villes de plus de 50 000 habitants, talonné par Neuilly-sur-Seine. Les grandes villes sont plutôt respectueuses dans l'ensemble - 21 sur 29 sont "dans les clous", et trois au-delà de 50% des objectifs atteints.
Surtout, la Fondation Abbé Pierre s'inquiète du dysfonctionnement de la loi. Car le système de sanctions prévues - une taxe doit être acquittée par les communes qui ne remplissent pas l'objectif, et elle est doublée si un « constat de carence » est établi - est mal appliqué. Ainsi, alors qu'en 2004, 500 communes ne s'étaient pas conformées à la loi, seuls 140 constats ont été dressés par les préfets. C'est le cas, par exemple, de Saint-Maur-des-Fossés. Ç'aurait pu être celui de Neuilly, mais il semble que le maire ait demandé le constat, pour ne pas être lynché par les médias. Et beaucoup de communes négocient avec le préfet - faisant promesse de bonne volonté ou arguant du coût des logements - pour ne pas payer. "Il y a une inquiétude pour l'avenir", explique Patrick Doutreligne. "Quand ceux qui produisent beaucoup vont atteindre les 20% d'ici 3 à 5 ans, l'impact de la loi va être divisé par deux." Pour pallier les insuffisances d'application de la loi, la Fondation a donc imaginé quatre propositions: établir systématiquement le constat de carence, multiplier la taxe par trois en cas de non-respect, faire en sorte que, en cas de constat, le préfet substitue le maire pour la délivrance des permis de construire (actuellement, il peut seulement préempter un terrain libre) et ne pas prendre en compte les logements relevant du PLS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
Un milliard de morts liés au tabac au XXIe siècle
(source : lefigaro, 14 février)
L'Organisation mondiale de la santé s'inquiète de la progression fulgurante du tabagisme dans les pays en voie de développement et chez les femmes.
NOUS avons le sentiment, en France notamment, que l'industrie du tabac a perdu la bataille, face aux législations désormais très prohibitives. En réalité, les industriels du tabac ayant prévu une telle évolution se sont tournés, ces dernières années, vers les pays en voie de développement.
« Le tabac pourrait faire un milliard de morts au cours de ce siècle à travers le monde si les gouvernements et les sociétés civiles n'agissent pas rapidement pour en réduire l'usage », affirme un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) présenté par la directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, et le maire de New York, Michael Bloomberg, lors d'une conférence de presse jeudi à New York.
Au XXe siècle, le tabac aurait été responsable dans le monde de 100 millions de décès. « Si rien n'est fait, le nombre des décès liés au tabagisme atteindra plus de huit millions par an d'ici à 2030 et 80 % de ces cas se produiront dans les pays en développement » , poursuit le document.
Selon l'enquête effectuée par l'OMS, seulement 5 % de la population mondiale habite dans un pays qui a mis en place une stratégie de lutte contre le tabac. C'est dans les pays à faibles revenus que l'usage du tabac augmente le plus.
Six stratégies universellesde lutte antitabac
Ce phénomène est dû à une stratégie mondiale de l'industrie du tabac qui cible les jeunes et les adultes dans les pays en voie de développement afin de « rendre mortellement dépendantes des millions de personnes chaque année, souligne le rapport. En particulier, le choix des jeunes femmes comme cibles est considéré comme l'un des faits les plus marquants pour l'évolution de l'épidémie ».
Près des deux tiers des fumeurs vivent dans dix pays, Chine (près de 30 % du total), Inde (10 %), Indonésie, Russie, États-Unis, Japon, Brésil, Bangladesh, Allemagne et Turquie. Dans la plupart des régions du monde, l'usage du tabac est plus répandu parmi les populations pauvres que chez les riches.
L'Organisation mondiale de la santé propose dans ce rapport un ensemble de six stratégies de lutte antitabac qui pourraient être appliquées de manière universelle : suivi dans chaque pays de la consommation et des politiques de prévention ; protection des populations contre la fumée du tabac ; programmes d'aide à ceux qui veulent arrêter de fumer ; meilleure information sur les dangers du tabac ; mise en œuvre effective des interdictions de la promotion et de la publicité ; hausse des taxes sur le tabac.
« Bien que les efforts pour combattre le tabac gagnent de l'ampleur, pratiquement chaque pays doit faire davantage », a déclaré Margaret Chan. « Ces six lignes d'action sont à la portée de tous les pays et, mises en œuvre ensemble, elles offrent la meilleure chance d'inverser cette épidémie galopante. » Estimant ce rapport « révolutionnaire », Michael Bloomberg a déclaré : « Nous disposons pour la première fois d'une approche rigoureuse et de données fiables, et nous devons tous prendre nos responsabilités. Aucun pays n'applique complètement toutes les stratégies définies et 80 % des pays n'en appliquent aucune. »
Actuellement, dans 40 % des 179 États membres de l'OMS, il est encore permis de fumer dans les écoles et dans les hôpitaux. Seulement 6 % de la population mondiale vit dans un pays qui exige l'apposition de mises en garde sur les emballages des produits du tabac. L'industrie du tabac, quant à elle, dépense des dizaines de milliards de dollars en marketing et cible les pays en voie développement à l'aide de stratégies de vente et de lobbying qui ont été interdits dans les pays riches. L'incitation à l'usage du tabac des femmes et des jeunes fait partie de ces stratégies, ainsi que les pressions sur les gouvernements pour faire obstacle aux restrictions légales et aux hausses des taxes.
L'augmentation des taxes sur le tabac serait, selon l'OMS, « le moyen le plus efficace pour réduire la consommation et encourager les fumeurs à cesser ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
(source : lefigaro, 14 février)
L'Organisation mondiale de la santé s'inquiète de la progression fulgurante du tabagisme dans les pays en voie de développement et chez les femmes.
NOUS avons le sentiment, en France notamment, que l'industrie du tabac a perdu la bataille, face aux législations désormais très prohibitives. En réalité, les industriels du tabac ayant prévu une telle évolution se sont tournés, ces dernières années, vers les pays en voie de développement.
« Le tabac pourrait faire un milliard de morts au cours de ce siècle à travers le monde si les gouvernements et les sociétés civiles n'agissent pas rapidement pour en réduire l'usage », affirme un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) présenté par la directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, et le maire de New York, Michael Bloomberg, lors d'une conférence de presse jeudi à New York.
Au XXe siècle, le tabac aurait été responsable dans le monde de 100 millions de décès. « Si rien n'est fait, le nombre des décès liés au tabagisme atteindra plus de huit millions par an d'ici à 2030 et 80 % de ces cas se produiront dans les pays en développement » , poursuit le document.
Selon l'enquête effectuée par l'OMS, seulement 5 % de la population mondiale habite dans un pays qui a mis en place une stratégie de lutte contre le tabac. C'est dans les pays à faibles revenus que l'usage du tabac augmente le plus.
Six stratégies universellesde lutte antitabac
Ce phénomène est dû à une stratégie mondiale de l'industrie du tabac qui cible les jeunes et les adultes dans les pays en voie de développement afin de « rendre mortellement dépendantes des millions de personnes chaque année, souligne le rapport. En particulier, le choix des jeunes femmes comme cibles est considéré comme l'un des faits les plus marquants pour l'évolution de l'épidémie ».
Près des deux tiers des fumeurs vivent dans dix pays, Chine (près de 30 % du total), Inde (10 %), Indonésie, Russie, États-Unis, Japon, Brésil, Bangladesh, Allemagne et Turquie. Dans la plupart des régions du monde, l'usage du tabac est plus répandu parmi les populations pauvres que chez les riches.
L'Organisation mondiale de la santé propose dans ce rapport un ensemble de six stratégies de lutte antitabac qui pourraient être appliquées de manière universelle : suivi dans chaque pays de la consommation et des politiques de prévention ; protection des populations contre la fumée du tabac ; programmes d'aide à ceux qui veulent arrêter de fumer ; meilleure information sur les dangers du tabac ; mise en œuvre effective des interdictions de la promotion et de la publicité ; hausse des taxes sur le tabac.
« Bien que les efforts pour combattre le tabac gagnent de l'ampleur, pratiquement chaque pays doit faire davantage », a déclaré Margaret Chan. « Ces six lignes d'action sont à la portée de tous les pays et, mises en œuvre ensemble, elles offrent la meilleure chance d'inverser cette épidémie galopante. » Estimant ce rapport « révolutionnaire », Michael Bloomberg a déclaré : « Nous disposons pour la première fois d'une approche rigoureuse et de données fiables, et nous devons tous prendre nos responsabilités. Aucun pays n'applique complètement toutes les stratégies définies et 80 % des pays n'en appliquent aucune. »
Actuellement, dans 40 % des 179 États membres de l'OMS, il est encore permis de fumer dans les écoles et dans les hôpitaux. Seulement 6 % de la population mondiale vit dans un pays qui exige l'apposition de mises en garde sur les emballages des produits du tabac. L'industrie du tabac, quant à elle, dépense des dizaines de milliards de dollars en marketing et cible les pays en voie développement à l'aide de stratégies de vente et de lobbying qui ont été interdits dans les pays riches. L'incitation à l'usage du tabac des femmes et des jeunes fait partie de ces stratégies, ainsi que les pressions sur les gouvernements pour faire obstacle aux restrictions légales et aux hausses des taxes.
L'augmentation des taxes sur le tabac serait, selon l'OMS, « le moyen le plus efficace pour réduire la consommation et encourager les fumeurs à cesser ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Concours 2008 CRF Ollioules le 5 Avril à 7 heures du matin, HAHAHA Hum.. :'(
TELEVISION
Emission spéciale "Alzheimer" : Sarkozy accorde une interview à Delarue
mercredi 13 février 2008, 22h03 | leparisien.fr avec l'AFP
Le président Nicolas Sarkozy a appelé à «un combat européen» contre Alzheimer, dans une émission consacrée à cette maladie diffusée ce mercredi soir sur France 2.
Malgré la grève dans l'audiovisuel public, France 2 diffuse ce mercredi soir en direct une émission spéciale intitulée «Un nouveau regard sur la maladie d'Alzheimer».
Dans le cadre de cette émission, le président Nicolas Sarkozy a accordé une interview exclusive au présentateur de la soirée, Jean-Luc Delarue. Enregistrée en milieu de journée, l'entretien a abordé certains points du "plan Alzheimer", lancé il y a quelques jours par le chef de l'Etat.
Rappelant qu'il serait au second semestre président de l'Union européenne, M.
Sarkozy a indiqué, qu'il allait «demander que le combat contre Alzheimer soit un combat européen».
Il a jugé nécessaire que les chercheurs «de partout en Europe et dans le monde» échangent «les informations et que l'on trouve des solutions».
M. Sarkozy a présenté le 1er février les dix «mesures phare» du plan Alzheimer 2008-12, qui prévoit l'engagement de 1,6 milliard d'euros de plus sur cinq ans, dont 200 millions d'euros pour la recherche.
Amplement inspiré des travaux de la commission dirigée par le professeur Joël Ménard - invité central de l'émission ce soir - ce plan vise à «améliorer le diagnostic» de la maladie, «mieux soigner, mieux accompagner» les malades, «aider plus et mieux» les familles et «chercher plus vite».
«On va mettre le paquet en matière de recherche médicale», a insisté M. Sarkozy. Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Emission spéciale "Alzheimer" : Sarkozy accorde une interview à Delarue
mercredi 13 février 2008, 22h03 | leparisien.fr avec l'AFP
Le président Nicolas Sarkozy a appelé à «un combat européen» contre Alzheimer, dans une émission consacrée à cette maladie diffusée ce mercredi soir sur France 2.
Malgré la grève dans l'audiovisuel public, France 2 diffuse ce mercredi soir en direct une émission spéciale intitulée «Un nouveau regard sur la maladie d'Alzheimer».
Dans le cadre de cette émission, le président Nicolas Sarkozy a accordé une interview exclusive au présentateur de la soirée, Jean-Luc Delarue. Enregistrée en milieu de journée, l'entretien a abordé certains points du "plan Alzheimer", lancé il y a quelques jours par le chef de l'Etat.
Rappelant qu'il serait au second semestre président de l'Union européenne, M.
Sarkozy a indiqué, qu'il allait «demander que le combat contre Alzheimer soit un combat européen».
Il a jugé nécessaire que les chercheurs «de partout en Europe et dans le monde» échangent «les informations et que l'on trouve des solutions».
M. Sarkozy a présenté le 1er février les dix «mesures phare» du plan Alzheimer 2008-12, qui prévoit l'engagement de 1,6 milliard d'euros de plus sur cinq ans, dont 200 millions d'euros pour la recherche.
Amplement inspiré des travaux de la commission dirigée par le professeur Joël Ménard - invité central de l'émission ce soir - ce plan vise à «améliorer le diagnostic» de la maladie, «mieux soigner, mieux accompagner» les malades, «aider plus et mieux» les familles et «chercher plus vite».
«On va mettre le paquet en matière de recherche médicale», a insisté M. Sarkozy. Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
Hormone de croissance : le
réquisitoire de deux experts
Stéphane Durand-Souffland
14/02/2008 | Mise à jour : 07:50 | .
«J'ai eu tort de dire que j'étais un porte-plume» au sein de France Hypophyse, a admis hier le Pr Jean-Claude Job à l'audience.
Évoquant des négligences et un manque de précaution, les deux scientifiques ont plongé la défense dans l'embarras.
La deuxième semaine du procès de l'hormone de croissance commence rudement pour les prévenus. Deux témoins, entendus hier, ont en effet pointé du doigt les négligences présumées de l'association créée pour fabriquer et distribuer ce médicament contre le nanisme hypophysaire.
Voici d'abord Jeanne Brugère-Picoux. Cette sexagénaire a l'élégance et les décorations des scientifiques distingués, mais aussi l'aplomb et le franc-parler des vétérinaires de terrain. Normal : elle est les deux à la fois, avec la particularité d'appartenir au petit cercle des spécialistes mondiaux des pathologies transmises par le prion, comme la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ).
C'est, bizarrement, un avocat de la défense qui a fait citer le professeur de Maisons-Alfort. Peut-être Me Benoît Chabert, conseil de l'ex-directeur de la Pharmacie centrale des hôpitaux, Henri Cerceau, pensait-il que le témoin dirait en substance : on ne savait rien du prion, donc on ne pouvait rien faire à l'époque pour éviter ses ravages.
Me Chabert doit déchanter bien vite, qui ne posera pas une seule question à «son» témoin. Voici, résumée, sa déposition : dès 1975, un chercheur écossais évoque la transmission possible de la MCJ via les prélèvements d'organes ; dès 1981, les autorités sanitaires britanniques décrètent que «les hypophyses de sujets déments ne doivent pas être prélevées pour fabriquer de l'hormone de croissance» ; il est hautement improbable que les médecins français aient ignoré ces travaux. Or, les prélèvements non encadrés d'hypophyses perdureront jusqu'en 1988…
«Un mandarin comme on n'en fait plus»
Me Bès de Berc, conseil du Pr Jean-Claude Job, tente de décrédibiliser le témoin, au motif qu'elle a préfacé le livre d'une partie civile : en vain. Mme Brugère-Picoux se retire sur ces mots : «S'il n'y a pas eu de traçabilité [des prélèvements], on peut dire qu'il y a eu négligence.»
Place à Françoise Lalande, l'une des responsables de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas). En 1992, elle a supervisé la mission ordonnée après les premiers cas de MCJ.
Selon Mme Lalande, les pédiatres qui dirigeaient France Hypophyse n'en faisaient qu'à leur tête, dans le cadre flou d'un «système entièrement dérogatoire». La surveillance des pouvoirs publics ? «Les contrôleurs avaient peu de poids face aux contrôlés, face au prestige, au pouvoir, à l'influence des présidents successifs», affirme le témoin. Le premier d'entre eux, le Pr Royer, était «un mandarin comme on n'en fait plus, extrêmement influent, connu dans les cercles politiques». Avant de lui succéder, le Pr Job était le secrétaire général de l'association. Lui aussi avait «une influence considérable», en tant que «cheville ouvrière» de la structure. Le prévenu, la semaine dernière, se décrivait modestement en « porte-plume» de feu le Pr Royer…
Surtout, Mme Lalande stigmatise les prélèvements d'hypophyses dans des établissements «à risque» où de nombreux patients étaient atteints de démence sénile. Elle révèle aussi les billets glissés aux garçons d'amphithéâtre pour que les précieuses glandes soient prélevées plus vite, hors contrôle médical. «France Hypophyse n'a pas supprimé les pourboires, note le témoin. Ils ont au contraire augmenté, jusqu'à atteindre 50 francs (7,60 € environ) par hypophyse.»
Me Chabert tente une comparaison avec l'affaire du sang contaminé : «Existait-il un test pour savoir si un produit était infecté par le prion ?» Mais ce n'est décidément pas son jour, car la réponse fuse, cruelle : «À l'époque, non. D'où l'importance des précautions qui auraient dû être mises en œuvre lors de la collecte des hypophyses.»
Le Pr Job s'avance au micro : «J'ai eu tort de dire que j'étais un porte-plume», reconnaît-il. C'est exact, et le tribunal l'avait manifestement déjà compris.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
réquisitoire de deux experts
Stéphane Durand-Souffland
14/02/2008 | Mise à jour : 07:50 | .
«J'ai eu tort de dire que j'étais un porte-plume» au sein de France Hypophyse, a admis hier le Pr Jean-Claude Job à l'audience.
Évoquant des négligences et un manque de précaution, les deux scientifiques ont plongé la défense dans l'embarras.
La deuxième semaine du procès de l'hormone de croissance commence rudement pour les prévenus. Deux témoins, entendus hier, ont en effet pointé du doigt les négligences présumées de l'association créée pour fabriquer et distribuer ce médicament contre le nanisme hypophysaire.
Voici d'abord Jeanne Brugère-Picoux. Cette sexagénaire a l'élégance et les décorations des scientifiques distingués, mais aussi l'aplomb et le franc-parler des vétérinaires de terrain. Normal : elle est les deux à la fois, avec la particularité d'appartenir au petit cercle des spécialistes mondiaux des pathologies transmises par le prion, comme la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ).
C'est, bizarrement, un avocat de la défense qui a fait citer le professeur de Maisons-Alfort. Peut-être Me Benoît Chabert, conseil de l'ex-directeur de la Pharmacie centrale des hôpitaux, Henri Cerceau, pensait-il que le témoin dirait en substance : on ne savait rien du prion, donc on ne pouvait rien faire à l'époque pour éviter ses ravages.
Me Chabert doit déchanter bien vite, qui ne posera pas une seule question à «son» témoin. Voici, résumée, sa déposition : dès 1975, un chercheur écossais évoque la transmission possible de la MCJ via les prélèvements d'organes ; dès 1981, les autorités sanitaires britanniques décrètent que «les hypophyses de sujets déments ne doivent pas être prélevées pour fabriquer de l'hormone de croissance» ; il est hautement improbable que les médecins français aient ignoré ces travaux. Or, les prélèvements non encadrés d'hypophyses perdureront jusqu'en 1988…
«Un mandarin comme on n'en fait plus»
Me Bès de Berc, conseil du Pr Jean-Claude Job, tente de décrédibiliser le témoin, au motif qu'elle a préfacé le livre d'une partie civile : en vain. Mme Brugère-Picoux se retire sur ces mots : «S'il n'y a pas eu de traçabilité [des prélèvements], on peut dire qu'il y a eu négligence.»
Place à Françoise Lalande, l'une des responsables de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas). En 1992, elle a supervisé la mission ordonnée après les premiers cas de MCJ.
Selon Mme Lalande, les pédiatres qui dirigeaient France Hypophyse n'en faisaient qu'à leur tête, dans le cadre flou d'un «système entièrement dérogatoire». La surveillance des pouvoirs publics ? «Les contrôleurs avaient peu de poids face aux contrôlés, face au prestige, au pouvoir, à l'influence des présidents successifs», affirme le témoin. Le premier d'entre eux, le Pr Royer, était «un mandarin comme on n'en fait plus, extrêmement influent, connu dans les cercles politiques». Avant de lui succéder, le Pr Job était le secrétaire général de l'association. Lui aussi avait «une influence considérable», en tant que «cheville ouvrière» de la structure. Le prévenu, la semaine dernière, se décrivait modestement en « porte-plume» de feu le Pr Royer…
Surtout, Mme Lalande stigmatise les prélèvements d'hypophyses dans des établissements «à risque» où de nombreux patients étaient atteints de démence sénile. Elle révèle aussi les billets glissés aux garçons d'amphithéâtre pour que les précieuses glandes soient prélevées plus vite, hors contrôle médical. «France Hypophyse n'a pas supprimé les pourboires, note le témoin. Ils ont au contraire augmenté, jusqu'à atteindre 50 francs (7,60 € environ) par hypophyse.»
Me Chabert tente une comparaison avec l'affaire du sang contaminé : «Existait-il un test pour savoir si un produit était infecté par le prion ?» Mais ce n'est décidément pas son jour, car la réponse fuse, cruelle : «À l'époque, non. D'où l'importance des précautions qui auraient dû être mises en œuvre lors de la collecte des hypophyses.»
Le Pr Job s'avance au micro : «J'ai eu tort de dire que j'étais un porte-plume», reconnaît-il. C'est exact, et le tribunal l'avait manifestement déjà compris.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
L'automédication progresse en France
Le marché français de l'automédication a continué de croître en 2007, tout en conservant des prix "stables", explique une étude du cabinet IMS dévoilée aujourd'hui, alors que les pharmacies s'apprêtent à mettre en vente des médicaments en libre-service.
Le marché a progressé de 4,4% en valeur, à 1,9 milliard d'euros, selon cette étude réalisée pour l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa).
En 2006, il avait crû de 8,8%, porté par les vagues successives de déremboursements de médicaments.
Les Français ont consommé un total de 423 millions de boîtes de médicaments par automédication en 2007, soit 4,1% de plus qu'en 2006.
Cette croissance s'explique par "une reprise d'une dynamique propre", en particulier l'existence d'une "forte pathologie hivernale" qui a poussé les Français à recourir à l'automédication pour les rhumes, maux de gorge et autres état grippaux, a détaillé l'Afipa dans un communiqué.
Source : AFPÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le marché français de l'automédication a continué de croître en 2007, tout en conservant des prix "stables", explique une étude du cabinet IMS dévoilée aujourd'hui, alors que les pharmacies s'apprêtent à mettre en vente des médicaments en libre-service.
Le marché a progressé de 4,4% en valeur, à 1,9 milliard d'euros, selon cette étude réalisée pour l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa).
En 2006, il avait crû de 8,8%, porté par les vagues successives de déremboursements de médicaments.
Les Français ont consommé un total de 423 millions de boîtes de médicaments par automédication en 2007, soit 4,1% de plus qu'en 2006.
Cette croissance s'explique par "une reprise d'une dynamique propre", en particulier l'existence d'une "forte pathologie hivernale" qui a poussé les Français à recourir à l'automédication pour les rhumes, maux de gorge et autres état grippaux, a détaillé l'Afipa dans un communiqué.
Source : AFPÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!