TFE : autisme
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
TFE : autisme
Je voulais savoir ce que vous pensez de mon début de TFE, j'ai beaucoup de mal à démarrer... Si le poème est plutôt bien? j'ai besoin de vos avis, merci beaucoup.
Toujours le regard ailleurs,
Au monde qui te pleures,
Tu es pourtant bien présent,
Puisque tu n'es qu'un enfant.
Tu ne dis pas un mot,
Par rapport aux gens « normaux »,
Tu gémis et pousses des cris,
Pour cela tu nous punis.
Sentiments, attachements ne sont pas francs,
Là n'est pas ton plan,
Tu contemples la vie où l'ennui,
Parfois même si tu n'en trouves pas l'envie.
Comment faire quand on est soignants?
Entre tes balancements et ton isolement,
L'autisme, désespoir?
L'autisme, espoir?
L'autisme; pour les nombreux psychologues, psychiatres reste une pathologie où beaucoup de recherches restent à faire. Depuis plusieurs années, des tests de dépistages ont été mis en place comme le « cha » par Simon Baron-Cohen où l'enfant est observé afin d'étudier son comportement le plus tôt possible (entre 18 et 36 mois). Ces tests de dépistage permettent d'affirmer le diagnostic et de prendre en charge l'enfant par la suite.
Lorque l'on pense à autisme: l'image de la personne isolée, sans aucune attache, se balançant d'avant en arrière en poussant parfois des cris nous vient à l'esprit. Les efforts des soignants combattant pour leur autonomie se retrouvent parfois en échec; ce que j'ai pu observé dans les situations de stage que j'ai vécu.
En effet lors de mon stage en maison d'accueil spécialisé accueillant des déficients mentaux, j'ai pris en charge une patiente âgée de 26 ans diagnostiquée comme autiste. C'était ma première approche de cette pathologie; pas de regard dans les yeux, le vide total, l'absence de communication, l'isolement. Avant d'entamer la prise en charge, j'ai pris le temps d'observer son comportement ainsi que d'autres patients atteints des mêmes troubles. Pour moi, j'allais droit vers l'inconnu; plus de bases, pas de fiche technique. Par rapport à son vécu j'ai donc entrepris différentes activités avec elle comme les promenades où les soins esthétiques. A la lecture de son dossier médical; vers ses 20 ans; j'ai appris que cette patiente savait manger seule et arrivait à se vêtir avec une aide, seulement à ce jour elle n'arrivait plus à manger seule qu' une fois sur deux et à également perdu ses capacités à se vêtir. J'ai donc pu remarquer que les activités qu'elle faisait tout au long des semaines ne l'ont donc pas aidés à maintenir son autonomie.
En effectuant des recherches, j'ai pu constater que ce problème était courant chez les autistes que ce soit enfant ou adulte. A travers le livre « Maman pas l'hôpital! » de Jeanne-Marie Préfaut, j'ai découvert la vie d'une mère se battant pour aider son enfant à acquérir et conserver son autonomie. Malgré ses efforts permanents, cette prise en charge particulière a été vouée à l'échec. Dans les différents livres que j'ai pu lire, certains enfants autistes se sont fait une place dans la vie quotidienne tout en conservant quelques traits caractéristiques comme l'isolement, les troubles de la communication, les troubles du comportement.
A travers cette situation et ces recherches, je me suis donc intéressée au rôle infirmier dans la prise en charge des patients autistiques pour en arriver à plusieurs questionnements:
Dans quelle mesure l'infirmier peut-il participer à la conservation des acquis d'un patient autiste? En effet, de par mes situations vécues et mes recherches, l'autiste peut donc acquérir un geste le matin et l'oublier volontairement ou involontairement le lendemain.
Comment remédier à ces pertes d'autonomie, doit-on y faire face?
Peut-on en permanence « pousser » l'autiste vers l'autonomie?
[Titre modifié => Juju5544]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Toujours le regard ailleurs,
Au monde qui te pleures,
Tu es pourtant bien présent,
Puisque tu n'es qu'un enfant.
Tu ne dis pas un mot,
Par rapport aux gens « normaux »,
Tu gémis et pousses des cris,
Pour cela tu nous punis.
Sentiments, attachements ne sont pas francs,
Là n'est pas ton plan,
Tu contemples la vie où l'ennui,
Parfois même si tu n'en trouves pas l'envie.
Comment faire quand on est soignants?
Entre tes balancements et ton isolement,
L'autisme, désespoir?
L'autisme, espoir?
L'autisme; pour les nombreux psychologues, psychiatres reste une pathologie où beaucoup de recherches restent à faire. Depuis plusieurs années, des tests de dépistages ont été mis en place comme le « cha » par Simon Baron-Cohen où l'enfant est observé afin d'étudier son comportement le plus tôt possible (entre 18 et 36 mois). Ces tests de dépistage permettent d'affirmer le diagnostic et de prendre en charge l'enfant par la suite.
Lorque l'on pense à autisme: l'image de la personne isolée, sans aucune attache, se balançant d'avant en arrière en poussant parfois des cris nous vient à l'esprit. Les efforts des soignants combattant pour leur autonomie se retrouvent parfois en échec; ce que j'ai pu observé dans les situations de stage que j'ai vécu.
En effet lors de mon stage en maison d'accueil spécialisé accueillant des déficients mentaux, j'ai pris en charge une patiente âgée de 26 ans diagnostiquée comme autiste. C'était ma première approche de cette pathologie; pas de regard dans les yeux, le vide total, l'absence de communication, l'isolement. Avant d'entamer la prise en charge, j'ai pris le temps d'observer son comportement ainsi que d'autres patients atteints des mêmes troubles. Pour moi, j'allais droit vers l'inconnu; plus de bases, pas de fiche technique. Par rapport à son vécu j'ai donc entrepris différentes activités avec elle comme les promenades où les soins esthétiques. A la lecture de son dossier médical; vers ses 20 ans; j'ai appris que cette patiente savait manger seule et arrivait à se vêtir avec une aide, seulement à ce jour elle n'arrivait plus à manger seule qu' une fois sur deux et à également perdu ses capacités à se vêtir. J'ai donc pu remarquer que les activités qu'elle faisait tout au long des semaines ne l'ont donc pas aidés à maintenir son autonomie.
En effectuant des recherches, j'ai pu constater que ce problème était courant chez les autistes que ce soit enfant ou adulte. A travers le livre « Maman pas l'hôpital! » de Jeanne-Marie Préfaut, j'ai découvert la vie d'une mère se battant pour aider son enfant à acquérir et conserver son autonomie. Malgré ses efforts permanents, cette prise en charge particulière a été vouée à l'échec. Dans les différents livres que j'ai pu lire, certains enfants autistes se sont fait une place dans la vie quotidienne tout en conservant quelques traits caractéristiques comme l'isolement, les troubles de la communication, les troubles du comportement.
A travers cette situation et ces recherches, je me suis donc intéressée au rôle infirmier dans la prise en charge des patients autistiques pour en arriver à plusieurs questionnements:
Dans quelle mesure l'infirmier peut-il participer à la conservation des acquis d'un patient autiste? En effet, de par mes situations vécues et mes recherches, l'autiste peut donc acquérir un geste le matin et l'oublier volontairement ou involontairement le lendemain.
Comment remédier à ces pertes d'autonomie, doit-on y faire face?
Peut-on en permanence « pousser » l'autiste vers l'autonomie?
[Titre modifié => Juju5544]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: TFE : autisme
as tu lu la charte ? message, remonter un message ? le sujet est souvent abordé...
pour le poeme , je suis ok (mais dans ma grille de notation il n'a pas sa place )
mais bon pour ce questionnement mais ta question de depart c'est quoi ? les concepts que tu veux developper ? tes lectures ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour le poeme , je suis ok (mais dans ma grille de notation il n'a pas sa place )
mais bon pour ce questionnement mais ta question de depart c'est quoi ? les concepts que tu veux developper ? tes lectures ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Rejoignez
notre communauté
notre communauté
