Entraînement culture générale 2012
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Memo a écrit :1)Voici le quatrième exercice :
1)Résumez le texte en 5 à 7 lignes maximum.
2)Présentez brièvement le cancer, et les facteurs environnementaux entrant en compte.
Votre rédaction ne doit pas dépasser 25 lignes.
Face à l'augmentation significative des mélanomes, l'académie américaine de dermatologie réactualise ses recommandations aux médecins. Je redis la même chose qu'à debella , il faut éviter vraiment la paraphrase de titre ou de problématique, le jour du concours si on vous dis "citez la problématique" et que vous faites de la paraphrase c'est zéro, mise a part les mots clefs il faut reformuler et prendre des synonymes.
Pour recommandations tu as : conseils,directives,avis,indications.
Pour actualiser tu as : Mettre à jour, reformuler.
A travers un inventaire des définitions de la pathologie, des stades qui la caractérise, des traitements qui lui sont associé et des techniques de biopsie qui permettent de la diagnostiquer. Tout en conseillant un traitement personalisé et un suivi sur long terme du patient permettant d'améliorer son pronostic vital et sa qualité de vie.
Je crois que ma première phrase pourrait servir de titre. Qu'en pensez vous???
2)
Cancer: Dévellopement de tumeur maligne après une mutation d'une cellule saine. Qui peut se disperser dans la totalité de l'organisme par l'intermédiaire de metastase.
Très bien à mettre en introduction , conseil quand vous avez un article comme ici qui a un rapport avec la problématique c'est qu'on attend que en + de vos connaissances vous l'utilisiez en exemple. (en même temps sa répond à la question de Fafa ).
Cause: Facteurs Environementaux
Physique: Rayonement UV, radon gaz, tabagisme passif gaz
Chimique: Amiante, pollution
Très bien.
Lutte:
CIRC et classification des matériaux cancérigène
Pour l'ouverture (en dernière phrase de conclusion) c'est bien , mais je pense étant donné l'article , et le sujets une ouverture sur l'environnement aurait pu être encore + pertinente.(trou dans la couche d'ozone etc)
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S1: Chir ortho post op
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Re: Entraînement culture générale 2012
Ok!!
Merci angelito!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Merci angelito!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Sniiiiiiiiiiif Angelito tu vas me faire pleurer !!!! Si tout les candidats sont comme toi jss dans le caca =/ :'(Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Entraînement culture générale 2012
Il vaut mieux savoir ça maintenant Fafa. ça nous laisse tout le temps de nous améliorer!!
Pas de baisse de motivation!!
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Re: Entraînement culture générale 2012
M'améliorer =/ j'ai que jusqu'au 5 octobre ='(
Va faloir que je reprenne tout depuis le début en cg et en tp =/Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Mais non t'inquiète pas lol , je fais mon malin par internet mais le jour du concours je pense pas être autant efficace la confiance en soit joue un grand rôle.
Je vous embête beaucoup avec les résumés , les reformulations , les problématiques , car n'oublions pas le concours à changé.
A l'époque c'était 5 questions 5 petits textes différents , et donc plus de chance de se rattraper , maintenant on a un seul texte et 3 questions qui vont dans le même sens , dans le même thème alors si on loupe la problématique autant dire que le reste des questions vont en pâtir, d'ou l'intérêt de réussir à comprendre le sens d'un texte, de savoir le synthétiser avec des synonymes SAUF POUR LES MOTS CLEFS , et de réussir à comprendre le système de plan etc....
Mais attention sa veut pas dire que le concours est plus dure, il est juste différent.
Courage dîtes vous que le 24 Août j'étais une quiche , je savais pas résumer , encore moins argumenter j'ai commencé à zéro sauf pour les maths.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je vous embête beaucoup avec les résumés , les reformulations , les problématiques , car n'oublions pas le concours à changé.
A l'époque c'était 5 questions 5 petits textes différents , et donc plus de chance de se rattraper , maintenant on a un seul texte et 3 questions qui vont dans le même sens , dans le même thème alors si on loupe la problématique autant dire que le reste des questions vont en pâtir, d'ou l'intérêt de réussir à comprendre le sens d'un texte, de savoir le synthétiser avec des synonymes SAUF POUR LES MOTS CLEFS , et de réussir à comprendre le système de plan etc....
Mais attention sa veut pas dire que le concours est plus dure, il est juste différent.
Courage dîtes vous que le 24 Août j'étais une quiche , je savais pas résumer , encore moins argumenter j'ai commencé à zéro sauf pour les maths.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
On est là pour t'aider. Pour que tu fasses au mieux le jour du concours.
Et de toute façon si c'est pas pour cette fois, ce sera pour la prochaine!! Tant que tu es sûre de faire ce métier...
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Re: Entraînement culture générale 2012
^^ Allez je me remotive ^^
Merciiiii à vous deux =)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Rien n'est joué , c'est sûre que la plupart qui réussissent ont commencé à réviser 3 mois avant ( c'est ce qui est conseillé dans la plupart des livres).Fafa9576 a écrit :M'améliorer =/ j'ai que jusqu'au 5 octobre ='(
Va faloir que je reprenne tout depuis le début en cg et en tp =/
Mais et il ne sont pas négligeable y en a faute de temps, ou pour X raisons s'y sont mis 1 mois même des fois 2 semaines à l'avance et ils réussissent.
Maintenant c'est sûre que c'est pas le mieux et en aucuns cas je conseille d'attendre 15 jours avant le concours pour s'y mettre , MAIS quand on se retrouve dans cette situation pour n'importe quelle raison , il faut y croire , y aller jusqu'au bout et se dire si d'autres l'ont fait pourquoi pas moi ?
Il ne faut pas penser à l'échec en se disant "pas grave je passerai le prochain" , si tu commences comme sa tu diras sa à chaque fois lol ( c'est l’expérience qui parle XD).
Si sa peut t'aider ou t'encourager ma méthode moi c'est :
- Un livre de tests d'aptitudes
-Un livre de culture générale
-Le site infirmier.com et google.
-Chaque jour je divise la journée en 4 parties et j'alterne culture générale tests d'aptitudes.
-Je travaille environ 4 à 6h par jour , et 2h de lecture (articles , fiches, magazine de la santé).
-Je me repose par demi journée quand vraiment j'en peux plus (en générale une demi journée tout les 3 jours).
Voilà Courage , j'ai des amies a moi qui ont réussis dans des conditions de "ouf" et c'est pas des mythes , et elles serraient là elles te mettraient un coup de pied au cul lol . Y en a une elle y est allé en touriste elle a réussi les 3 concours dont l'ap hp elle en a raté aucun (mais je te conseille pas d'y aller en touriste).
Allez perd pas de temps à ta poser des questions, lis , travailles, résume, calcule lol
et tu verras bien ^^ mais je suis sûre que tu peux au moins aller jusqu'à l'orale ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Je suis une copieuse je vais me faire le même planning que toi ^^ La c'est sur je mis met encore plus à fonnnd :pangelito94 a écrit :Rien n'est joué , c'est sûre que la plupart qui réussissent ont commencé à réviser 3 mois avant ( c'est ce qui est conseillé dans la plupart des livres).Fafa9576 a écrit :M'améliorer =/ j'ai que jusqu'au 5 octobre ='(
Va faloir que je reprenne tout depuis le début en cg et en tp =/
Mais et il ne sont pas négligeable y en a faute de temps, ou pour X raisons s'y sont mis 1 mois même des fois 2 semaines à l'avance et ils réussissent.
Maintenant c'est sûre que c'est pas le mieux et en aucuns cas je conseille d'attendre 15 jours avant le concours pour s'y mettre , MAIS quand on se retrouve dans cette situation pour n'importe quelle raison , il faut y croire , y aller jusqu'au bout et se dire si d'autres l'ont fait pourquoi pas moi ?
Il ne faut pas penser à l'échec en se disant "pas grave je passerai le prochain" , si tu commences comme sa tu diras sa à chaque fois lol ( c'est l’expérience qui parle XD).
Si sa peut t'aider ou t'encourager ma méthode moi c'est :
- Un livre de tests d'aptitudes
-Un livre de culture générale
-Le site infirmier.com et google.
-Chaque jour je divise la journée en 4 parties et j'alterne culture générale tests d'aptitudes.
-Je travaille environ 4 à 6h par jour , et 2h de lecture (articles , fiches, magazine de la santé).
-Je me repose par demi journée quand vraiment j'en peux plus (en générale une demi journée tout les 3 jours).
Voilà Courage , j'ai des amies a moi qui ont réussis dans des conditions de "ouf" et c'est pas des mythes , et elles serraient là elles te mettraient un coup de pied au cul lol . Y en a une elle y est allé en touriste elle a réussi les 3 concours dont l'ap hp elle en a raté aucun (mais je te conseille pas d'y aller en touriste).
Allez perd pas de temps à ta poser des questions, lis , travailles, résume, calcule lol
et tu verras bien ^^ mais je suis sûre que tu peux au moins aller jusqu'à l'orale ^^
Merciiii encore bcp bcp bcp ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice numéro 5 : Alcool
1) Voici un brouillon , en bleu sont représentés les différents arguments. En noir précédés de "ex" les exemples correspondant à l'argument.
a)Vous exprimerez une problématique.
b)Vous illustrerez par des exemples les arguments qui n'en possèdent pas.
c)Enfin à l'aide des arguments seulement, de vos exemples et des exemples déjà présent, vous rédigerez une argumentation.
Votre argumentation serra composée :
Une introduction : Le plan et la problématique doivent être explicites.
Développement : il y a deux paragraphes (triez bien les arguments)
Conclusion: Résumé très bref de votre développement et une phrase d'ouverture libre.
Conseil : n'oubliez pas la phrase de lien entre les deux paragraphes du développement.
-Aspect festif,convivialité. ex : alcool souvent associé à la fête (bac, anniversaire..)
-Influence culturelle et familiale. ex: Alcool présent dans les familles, appartient à l'image de la culture française.
-L'alcool désinhibe, moins de timidité.
-L'alcool palliatif aux difficultés,au mal-être.ex: échec scolaire,violences,chagrin d'amour.
-Informer et prévenir.
-Échanger avec des professionnels,victimes,jeunes. ex:Témoignages,débats.
-Impliquer des professionnels de la fête et du sport. ex : Mesures pour lutter et prévenir dans les discothèques et dans les clubs de sportifs.
-Sensibiliser famille et société.
Voilà bon courage , je pense que le fait de faire l'inverse nous aide à mieux comprendre l'argumentation
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1) Voici un brouillon , en bleu sont représentés les différents arguments. En noir précédés de "ex" les exemples correspondant à l'argument.
a)Vous exprimerez une problématique.
b)Vous illustrerez par des exemples les arguments qui n'en possèdent pas.
c)Enfin à l'aide des arguments seulement, de vos exemples et des exemples déjà présent, vous rédigerez une argumentation.
Votre argumentation serra composée :
Une introduction : Le plan et la problématique doivent être explicites.
Développement : il y a deux paragraphes (triez bien les arguments)
Conclusion: Résumé très bref de votre développement et une phrase d'ouverture libre.
Conseil : n'oubliez pas la phrase de lien entre les deux paragraphes du développement.
-Aspect festif,convivialité. ex : alcool souvent associé à la fête (bac, anniversaire..)
-Influence culturelle et familiale. ex: Alcool présent dans les familles, appartient à l'image de la culture française.
-L'alcool désinhibe, moins de timidité.
-L'alcool palliatif aux difficultés,au mal-être.ex: échec scolaire,violences,chagrin d'amour.
-Informer et prévenir.
-Échanger avec des professionnels,victimes,jeunes. ex:Témoignages,débats.
-Impliquer des professionnels de la fête et du sport. ex : Mesures pour lutter et prévenir dans les discothèques et dans les clubs de sportifs.
-Sensibiliser famille et société.
Voilà bon courage , je pense que le fait de faire l'inverse nous aide à mieux comprendre l'argumentation

Dernière modification par angelito94 le 13 sept. 2011 08:44, modifié 1 fois.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice numéro 6 : Tabac.
1) Résumer : 15lignes.
2) Quand-est il des mesures "Anti-tabac" en France ? Donnez votre avis. Rédaction 25 lignes maximum.
'Organisation mondiale de la Santé publie son rapport 2011 sur l'épidémie mondiale de tabagisme
11.07.2011 | Mise à jour le 18.07.2011
Le Rapport de l’OMS sur l’épidémie mondiale de tabagisme 2011 examine les avancées en matière de lutte antitabac.
Organisation mondiale de la santé - Communiqué de presse du 7 juillet 2011
Désormais, plus d’un milliard de personnes vivent dans 19 pays dont la législation exige la présence de grandes mises en garde sanitaires explicites sur les conditionnements des produits du tabac. C'est près de deux fois plus qu'il y a deux ans, lorsque 547 millions de personnes étaient concernées dans 16 pays. C’est ce qu’indique l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans son troisième rapport périodique sur l’épidémie mondiale de tabagisme.
Les États-Unis d'Amérique, le Mexique et le Pérou sont les trois pays ayant exigé le plus récemment la présence de grandes mises en garde sanitaires explicites. Il est avéré que celles-ci motivent les gens à arrêter de consommer du tabac et diminuent l’attrait pour ceux qui ne sont pas encore dépendants.
Une majorité de pays ne fait pas assez
Le Rapport de l’OMS sur l’épidémie mondiale de tabagisme 2011 examine aussi les campagnes antitabac dans les médias et constate que plus de 1,9 milliard de personnes vivent dans 23 pays ayant mis en œuvre au moins une campagne puissante au cours des deux dernières années.
« Nous sommes heureux de constater que de plus en plus de personnes sont suffisamment averties des dangers du tabagisme, déclare le Dr Ala Alwan, sous-directeur général à l’OMS pour les Maladies non transmissibles et la santé mentale. Mais, dans le même temps, nous ne pouvons pas être satisfaits de voir que la majorité des pays ne font rien ou n’en font pas assez. Nous exhortons tous les pays à appliquer les meilleures pratiques pour réduire la consommation du tabac, à devenir Parties à la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac et à l’appliquer pleinement.»
Six mesures de lutte antitabac
L’exigence de grandes mises en garde sanitaires explicites fait partie des six mesures préconisées par l’OMS pour réduire la demande. Les autres mesures consistent à surveiller le tabagisme, à protéger les gens contre la fumée du tabac, à faciliter le sevrage tabagique, à faire appliquer les interdictions sur la publicité, la promotion et le parrainage en faveur du tabac et à augmenter les taxes sur le tabac. Chaque mesure correspond à au moins une disposition de la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac, en vigueur depuis 2005 et à laquelle plus de 170 pays et l’Union européenne sont devenus Parties. Ces mesures sont définies comme étant «les meilleures» ou «avantageuses» dans le cadre de la lutte antitabac.
On compte un milliard de fumeurs dans le monde et plus de 80% vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Jusqu’à la moitié d’entre eux finiront par mourir d’une maladie liée au tabagisme.
Une épidémie qui tue des millions de personnes
Cette année, l’épidémie de tabagisme tuera près de 6 millions de personnes, parmi lesquelles plus de 5 millions seront des consommateurs ou des anciens consommateurs de produits du tabac avec ou sans fumée et plus de 600 000 seront des non-fumeurs qui ont été exposés à la fumée du tabac. D’ici 2030, le tabac pourrait tuer 8 millions de personnes par an. Le tabagisme est l’un des facteurs contribuant le plus à l’épidémie de maladies non transmissibles, responsables de 63% des décès, parmi lesquelles on trouve les cardiopathies, les accidents vasculaires cérébraux, les cancers et l’emphysème.
« Les grandes mises en garde sanitaires explicites, pour lesquelles l’Uruguay, le Canada et quelques autres pays ont été des pionniers, sont un moyen efficace de réduire l’attrait du tabac, explique le Dr Douglas Bettcher, Directeur de l’Initiative de l’OMS pour un monde sans tabac. La législation proposée par l’Australie et imposant que le tabac soit vendu dans des conditionnements simples contribuera encore plus à réduire le nombre de personnes tombant dans le piège de la maladie et des décès prématurés. L’OMS se tient prête à aider les pays à résister aux tentatives sans scrupules de l’industrie du tabac pour éliminer ces protections importantes.»
Plus de la moitié de la population mondiale, 3,8 milliards de personnes, bénéficie désormais d’au moins une des mesures susmentionnées visant à réduire la demande. Il y a eu des progrès dans chacun des domaines grâce aux mesures efficaces prises par les pays en 2009 et en 2010.
Principales observations
Parmi les autres observations essentielles du rapport :
Plus de 739 millions de personnes, dans 31 pays, sont désormais couvertes par une législation complète exigeant des espaces intérieurs non fumeurs, soit plus du double par rapport à l’édition du rapport de 2009 qui faisait état de 353 millions de personnes dans 15 pays. Le Burkina Faso, l’Espagne, Nauru, le Pakistan, le Pérou, et la Thaïlande font partie des derniers pays à avoir interdit de fumer dans les espaces intérieurs publics et sur le lieu de travail.
Douze autres pays, soit 27 au total désormais, ont augmenté les taxes sur le tabac, en les portant à plus de 75% du prix de vente.
Trois autres pays — la Colombie, la Syrie et le Tchad — ont interdit la publicité, la promotion et le parrainage en faveur du tabac.
Un nouveau pays — la Turquie — propose aux consommateurs une aide complète au sevrage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1) Résumer : 15lignes.
2) Quand-est il des mesures "Anti-tabac" en France ? Donnez votre avis. Rédaction 25 lignes maximum.
'Organisation mondiale de la Santé publie son rapport 2011 sur l'épidémie mondiale de tabagisme
11.07.2011 | Mise à jour le 18.07.2011
Le Rapport de l’OMS sur l’épidémie mondiale de tabagisme 2011 examine les avancées en matière de lutte antitabac.
Organisation mondiale de la santé - Communiqué de presse du 7 juillet 2011
Désormais, plus d’un milliard de personnes vivent dans 19 pays dont la législation exige la présence de grandes mises en garde sanitaires explicites sur les conditionnements des produits du tabac. C'est près de deux fois plus qu'il y a deux ans, lorsque 547 millions de personnes étaient concernées dans 16 pays. C’est ce qu’indique l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans son troisième rapport périodique sur l’épidémie mondiale de tabagisme.
Les États-Unis d'Amérique, le Mexique et le Pérou sont les trois pays ayant exigé le plus récemment la présence de grandes mises en garde sanitaires explicites. Il est avéré que celles-ci motivent les gens à arrêter de consommer du tabac et diminuent l’attrait pour ceux qui ne sont pas encore dépendants.
Une majorité de pays ne fait pas assez
Le Rapport de l’OMS sur l’épidémie mondiale de tabagisme 2011 examine aussi les campagnes antitabac dans les médias et constate que plus de 1,9 milliard de personnes vivent dans 23 pays ayant mis en œuvre au moins une campagne puissante au cours des deux dernières années.
« Nous sommes heureux de constater que de plus en plus de personnes sont suffisamment averties des dangers du tabagisme, déclare le Dr Ala Alwan, sous-directeur général à l’OMS pour les Maladies non transmissibles et la santé mentale. Mais, dans le même temps, nous ne pouvons pas être satisfaits de voir que la majorité des pays ne font rien ou n’en font pas assez. Nous exhortons tous les pays à appliquer les meilleures pratiques pour réduire la consommation du tabac, à devenir Parties à la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac et à l’appliquer pleinement.»
Six mesures de lutte antitabac
L’exigence de grandes mises en garde sanitaires explicites fait partie des six mesures préconisées par l’OMS pour réduire la demande. Les autres mesures consistent à surveiller le tabagisme, à protéger les gens contre la fumée du tabac, à faciliter le sevrage tabagique, à faire appliquer les interdictions sur la publicité, la promotion et le parrainage en faveur du tabac et à augmenter les taxes sur le tabac. Chaque mesure correspond à au moins une disposition de la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac, en vigueur depuis 2005 et à laquelle plus de 170 pays et l’Union européenne sont devenus Parties. Ces mesures sont définies comme étant «les meilleures» ou «avantageuses» dans le cadre de la lutte antitabac.
On compte un milliard de fumeurs dans le monde et plus de 80% vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Jusqu’à la moitié d’entre eux finiront par mourir d’une maladie liée au tabagisme.
Une épidémie qui tue des millions de personnes
Cette année, l’épidémie de tabagisme tuera près de 6 millions de personnes, parmi lesquelles plus de 5 millions seront des consommateurs ou des anciens consommateurs de produits du tabac avec ou sans fumée et plus de 600 000 seront des non-fumeurs qui ont été exposés à la fumée du tabac. D’ici 2030, le tabac pourrait tuer 8 millions de personnes par an. Le tabagisme est l’un des facteurs contribuant le plus à l’épidémie de maladies non transmissibles, responsables de 63% des décès, parmi lesquelles on trouve les cardiopathies, les accidents vasculaires cérébraux, les cancers et l’emphysème.
« Les grandes mises en garde sanitaires explicites, pour lesquelles l’Uruguay, le Canada et quelques autres pays ont été des pionniers, sont un moyen efficace de réduire l’attrait du tabac, explique le Dr Douglas Bettcher, Directeur de l’Initiative de l’OMS pour un monde sans tabac. La législation proposée par l’Australie et imposant que le tabac soit vendu dans des conditionnements simples contribuera encore plus à réduire le nombre de personnes tombant dans le piège de la maladie et des décès prématurés. L’OMS se tient prête à aider les pays à résister aux tentatives sans scrupules de l’industrie du tabac pour éliminer ces protections importantes.»
Plus de la moitié de la population mondiale, 3,8 milliards de personnes, bénéficie désormais d’au moins une des mesures susmentionnées visant à réduire la demande. Il y a eu des progrès dans chacun des domaines grâce aux mesures efficaces prises par les pays en 2009 et en 2010.
Principales observations
Parmi les autres observations essentielles du rapport :
Plus de 739 millions de personnes, dans 31 pays, sont désormais couvertes par une législation complète exigeant des espaces intérieurs non fumeurs, soit plus du double par rapport à l’édition du rapport de 2009 qui faisait état de 353 millions de personnes dans 15 pays. Le Burkina Faso, l’Espagne, Nauru, le Pakistan, le Pérou, et la Thaïlande font partie des derniers pays à avoir interdit de fumer dans les espaces intérieurs publics et sur le lieu de travail.
Douze autres pays, soit 27 au total désormais, ont augmenté les taxes sur le tabac, en les portant à plus de 75% du prix de vente.
Trois autres pays — la Colombie, la Syrie et le Tchad — ont interdit la publicité, la promotion et le parrainage en faveur du tabac.
Un nouveau pays — la Turquie — propose aux consommateurs une aide complète au sevrage.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 7 : Cancer
1)Résumer : 5 lignes.
2) Quel problématique est soutenu ? Vous l'argumenterez. 25 lignes Maximum.
A la télé - Après un cancer, la vie !
30.08.2011 | Mise à jour le 30.08.2011
Diffusé en mars dernier à l’occasion de la Semaine nationale de lutte contre le cancer, ce documentaire intitulé « Après un cancer, la vie ! » met en évidence la difficulté, pour ceux qui ont guéri d’un cancer, à reprendre leur vie d’avant. France 5 le reprogramme le 1er septembre prochain. A vos magnétos !
Aujourd'hui, 60 % des pathologies cancéreuses sont curables, davantage encore pour certains cancers. Chaque année, grâce au dépistage précoce et aux traitements, de plus en plus de personnes sont en rémission. Mais cette période tant attendue, tant désirée par les malades, n'est pas toujours idyllique...
Les patients sont confrontés à de nouvelles difficultés : comment vivre avec les séquelles, souvent importantes, des traitements ? Comment ne pas être différent après avoir affronté la mort ? Comment retrouver sa place au travail et plus généralement dans la société après avoir surmonté une telle épreuve ? Après un cancer, l'identité du malade est profondément modifiée et le chemin pour retrouver une vie ordinaire est souvent long et difficile.
A travers l’expérience de Dominique, Marc, Sabine et Valérie, le documentaire de Géraldine Laura, révèle les difficultés de ceux et celles qui, hier, ont eu à affronter le « crabe » et qui, aujourd’hui, doivent se reconstruire. « Je pensais avoir fait le plus dur », reconnaît Dominique. Marc, soigné pour un cancer de la gorge, a quant à lui dû réapprendre à parler. Il se considère encore comme malade et se renferme sur lui-même. Sabine qui, il y a deux ans, a souffert d’un lymphome, a choisi d’aller de l’avant et de se projeter dans l’avenir et faire construire une maison. Mais les assurances refusent de la couvrir... Valérie, guérie d’un cancer du sein, a été licenciée par son employeur alors qu’elle s’apprêtait à revenir.
Quatre personnes, quatre situations. Mais une réalité commune à tous ceux qui ont surmonté un cancer : la difficulté à reprendre leur vie d’avant. « Un combat qu’on vit seul contre personne » dit l'un deux.
• France 5, Documentaire de 52' réalisé par Géraldine Laura, produit par Pulsations, avec la participation de France Télévisions. 2011. Jeudi 1er Septembre 2011, 14:39 Durée : 51. Vidéo disponible sur http://videos.france5.fr/video/iLyROoafzeYy.htmlÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1)Résumer : 5 lignes.
2) Quel problématique est soutenu ? Vous l'argumenterez. 25 lignes Maximum.
A la télé - Après un cancer, la vie !
30.08.2011 | Mise à jour le 30.08.2011
Diffusé en mars dernier à l’occasion de la Semaine nationale de lutte contre le cancer, ce documentaire intitulé « Après un cancer, la vie ! » met en évidence la difficulté, pour ceux qui ont guéri d’un cancer, à reprendre leur vie d’avant. France 5 le reprogramme le 1er septembre prochain. A vos magnétos !
Aujourd'hui, 60 % des pathologies cancéreuses sont curables, davantage encore pour certains cancers. Chaque année, grâce au dépistage précoce et aux traitements, de plus en plus de personnes sont en rémission. Mais cette période tant attendue, tant désirée par les malades, n'est pas toujours idyllique...
Les patients sont confrontés à de nouvelles difficultés : comment vivre avec les séquelles, souvent importantes, des traitements ? Comment ne pas être différent après avoir affronté la mort ? Comment retrouver sa place au travail et plus généralement dans la société après avoir surmonté une telle épreuve ? Après un cancer, l'identité du malade est profondément modifiée et le chemin pour retrouver une vie ordinaire est souvent long et difficile.
A travers l’expérience de Dominique, Marc, Sabine et Valérie, le documentaire de Géraldine Laura, révèle les difficultés de ceux et celles qui, hier, ont eu à affronter le « crabe » et qui, aujourd’hui, doivent se reconstruire. « Je pensais avoir fait le plus dur », reconnaît Dominique. Marc, soigné pour un cancer de la gorge, a quant à lui dû réapprendre à parler. Il se considère encore comme malade et se renferme sur lui-même. Sabine qui, il y a deux ans, a souffert d’un lymphome, a choisi d’aller de l’avant et de se projeter dans l’avenir et faire construire une maison. Mais les assurances refusent de la couvrir... Valérie, guérie d’un cancer du sein, a été licenciée par son employeur alors qu’elle s’apprêtait à revenir.
Quatre personnes, quatre situations. Mais une réalité commune à tous ceux qui ont surmonté un cancer : la difficulté à reprendre leur vie d’avant. « Un combat qu’on vit seul contre personne » dit l'un deux.
• France 5, Documentaire de 52' réalisé par Géraldine Laura, produit par Pulsations, avec la participation de France Télévisions. 2011. Jeudi 1er Septembre 2011, 14:39 Durée : 51. Vidéo disponible sur http://videos.france5.fr/video/iLyROoafzeYy.htmlÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 8 : Soins palliatifs.
1) Présentez brièvement le "Programme national de développement des soins palliatifs 2008-12 ".
2)Relevez les idées principales évoquées dans les deux sujets.
3)Que signifie pour vous " Bientraitance " , comment là faire progresser dans les établissements de santé ? Rédaction de 25 lignes.
L'Institut National du Cancer
Rapport d’étape du programme national de développement des soins palliatifs 2008-2012
07/06/11
Le Pr Régis Aubry, en charge du pilotage du Plan de développement des soins palliatifs, a remis au Président de la République son rapport d’étape. Ce plan s'articule avec le Plan cancer pour la qualité de vie des personnes atteintes de cancer en fin de vie.
Le Président de la République a noté avec satisfaction que la quasi-totalité des C.H.U de France disposait désormais d'une unité de soins palliatifs et qu'au total près de 6000 lits de soins palliatifs étaient identifiés contre 2000 avant le Plan.
Conçues pour prendre en charge les situations les plus complexes, les Unités de Soins Palliatifs sont, quant à elles, présentes dans chacune des régions françaises et dans tous les C.H.U. Il existe malgré tout des disparités : deux-tiers des unités sont concentrées dans 5 des 26 régions françaises (PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Nord-Pas-de-Calais et Ile-de-France).
Les équipes mobiles de soins palliatifs ont connu, pour leur part, un essor important au cours des trois dernières années, avec un maillage territorial relativement homogène.
Le rapport d’étape met en avant deux axes sur lesquels le Programme national de développement des soins palliatifs 2008-2012 doit se concentrer : « le parachèvement du maillage territorial de l’offre hospitalière en soins palliatifs, et la diffusion de la démarche palliative dans les établissements médico-sociaux et à domicile ».
Source : http://www.e-cancer.fr/toutes-les-actua ... 2008-2012-
2ème article :
Soins palliatifs : l’application du plan de développement jugée non satisfaisante
pour Le Monde.fr | 06.06.11 | 10h51 • Mis à jour le 06.06.11 | 13h12
Un essor des soins palliatifs en demi-teinte, selon le rapport remis lundi 6 juin à Nicolas Sarkozy par le Professeur Régis Aubry, président du Comité national de suivi du développement des soins palliatifs.AFP/JORGE DIRKX
Peut largement mieux faire. A mi-parcours du Plan national de développement des soins palliatifs 2008-2012, le rapport remis lundi 6 juin à Nicolas Sarkozy par le Professeur Régis Aubry, président du Comité national de suivi, décrit un essor des soins palliatifs en demi-teinte, pointant notamment une inégalité de l'offre entre régions et des dysfonctionnements dans l'allocation de crédits.
Ainsi, concernant les "lits identifiés de soins palliatifs", installés dans des services classiques, le comité de suivi pointe un "paradoxe peu défendable". Il n'a constaté aucun renfort significatif de soignants, alors que ces lits génèrent d'importantes ressources pour les hôpitaux, puisqu'il a été décidé, comme la prise en charge des patients en fin de vie est plus lourde, qu'ils soient mieux dotés financièrement afin de recruter du personnel.
Dans les équipes mobiles, chargées de conseiller sur les questions techniques et éthiques les soignants qui suivent ces patients en hôpital ou maison de retraite, le personnel fait aussi défaut. L'insuffisance de moyens de fonctionnement est d'autant plus condamnable que les financements sont là. Pour les 353 équipes mobiles, plus de 100 millions d'euros sont dégagés chaque année. Mais selon le comité, il semble que des sommes allouées soient amputées soit par les Agences régionales de santé, soit par les hôpitaux, et destinées à d'autres objectifs.
Le rapport insiste aussi sur l'inégale répartition de l'offre de soins entre régions. Ainsi, la France compte au total 107 Unités de soins palliatifs (USP), services dédiés à la fin de vie qui accueillent les cas les plus complexes. Chaque région en a au moins une, mais pour 100 000 habitants, le taux d'équipements en lits varie de 0,4 à 4,8 lits. Les USP sont concentrées dans cinq régions (PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Nord-Pas-de-Calais et Ile-de-France), qui comptent 71 % des lits alors qu'elles ne représentent que 48 % de la population. Pays de la Loire, Basse et Haute-Normandie, Poitou-Charentes, Centre et Bourgogne sont, elles, mal dotées. Résultat : dans certains départements, il n'y a toujours pas d'unité.
Laetitia Clavreul
Source : lemonde.fr
Bon courage
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1) Présentez brièvement le "Programme national de développement des soins palliatifs 2008-12 ".
2)Relevez les idées principales évoquées dans les deux sujets.
3)Que signifie pour vous " Bientraitance " , comment là faire progresser dans les établissements de santé ? Rédaction de 25 lignes.
L'Institut National du Cancer
Rapport d’étape du programme national de développement des soins palliatifs 2008-2012
07/06/11
Le Pr Régis Aubry, en charge du pilotage du Plan de développement des soins palliatifs, a remis au Président de la République son rapport d’étape. Ce plan s'articule avec le Plan cancer pour la qualité de vie des personnes atteintes de cancer en fin de vie.
Le Président de la République a noté avec satisfaction que la quasi-totalité des C.H.U de France disposait désormais d'une unité de soins palliatifs et qu'au total près de 6000 lits de soins palliatifs étaient identifiés contre 2000 avant le Plan.
Conçues pour prendre en charge les situations les plus complexes, les Unités de Soins Palliatifs sont, quant à elles, présentes dans chacune des régions françaises et dans tous les C.H.U. Il existe malgré tout des disparités : deux-tiers des unités sont concentrées dans 5 des 26 régions françaises (PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Nord-Pas-de-Calais et Ile-de-France).
Les équipes mobiles de soins palliatifs ont connu, pour leur part, un essor important au cours des trois dernières années, avec un maillage territorial relativement homogène.
Le rapport d’étape met en avant deux axes sur lesquels le Programme national de développement des soins palliatifs 2008-2012 doit se concentrer : « le parachèvement du maillage territorial de l’offre hospitalière en soins palliatifs, et la diffusion de la démarche palliative dans les établissements médico-sociaux et à domicile ».
Source : http://www.e-cancer.fr/toutes-les-actua ... 2008-2012-
2ème article :
Soins palliatifs : l’application du plan de développement jugée non satisfaisante
pour Le Monde.fr | 06.06.11 | 10h51 • Mis à jour le 06.06.11 | 13h12
Un essor des soins palliatifs en demi-teinte, selon le rapport remis lundi 6 juin à Nicolas Sarkozy par le Professeur Régis Aubry, président du Comité national de suivi du développement des soins palliatifs.AFP/JORGE DIRKX
Peut largement mieux faire. A mi-parcours du Plan national de développement des soins palliatifs 2008-2012, le rapport remis lundi 6 juin à Nicolas Sarkozy par le Professeur Régis Aubry, président du Comité national de suivi, décrit un essor des soins palliatifs en demi-teinte, pointant notamment une inégalité de l'offre entre régions et des dysfonctionnements dans l'allocation de crédits.
Ainsi, concernant les "lits identifiés de soins palliatifs", installés dans des services classiques, le comité de suivi pointe un "paradoxe peu défendable". Il n'a constaté aucun renfort significatif de soignants, alors que ces lits génèrent d'importantes ressources pour les hôpitaux, puisqu'il a été décidé, comme la prise en charge des patients en fin de vie est plus lourde, qu'ils soient mieux dotés financièrement afin de recruter du personnel.
Dans les équipes mobiles, chargées de conseiller sur les questions techniques et éthiques les soignants qui suivent ces patients en hôpital ou maison de retraite, le personnel fait aussi défaut. L'insuffisance de moyens de fonctionnement est d'autant plus condamnable que les financements sont là. Pour les 353 équipes mobiles, plus de 100 millions d'euros sont dégagés chaque année. Mais selon le comité, il semble que des sommes allouées soient amputées soit par les Agences régionales de santé, soit par les hôpitaux, et destinées à d'autres objectifs.
Le rapport insiste aussi sur l'inégale répartition de l'offre de soins entre régions. Ainsi, la France compte au total 107 Unités de soins palliatifs (USP), services dédiés à la fin de vie qui accueillent les cas les plus complexes. Chaque région en a au moins une, mais pour 100 000 habitants, le taux d'équipements en lits varie de 0,4 à 4,8 lits. Les USP sont concentrées dans cinq régions (PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Nord-Pas-de-Calais et Ile-de-France), qui comptent 71 % des lits alors qu'elles ne représentent que 48 % de la population. Pays de la Loire, Basse et Haute-Normandie, Poitou-Charentes, Centre et Bourgogne sont, elles, mal dotées. Résultat : dans certains départements, il n'y a toujours pas d'unité.
Laetitia Clavreul
Source : lemonde.fr
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Dernière modification par angelito94 le 15 sept. 2011 12:57, modifié 1 fois.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 9 : Euthanasie.
1) Relevez les informations essentielles. (Faites juste une liste).
2) A l'aide des réponses à la question 1 et de vos connaissances, expliquez le débat sur l'euthanasie en France. 25 lignes maximum.
Comment les médecins en hôpital abordent la fin de vie
Mots clés : Euthanasie, Fin De Vie
Par Agnès Leclair
Mis à jour le 05/09/2011 à 23:44 | publié le 05/09/2011 à 23:27
De l'avis des médecins, les demandes d'euthanasie émanant des malades restent rares.
Loin de la polémique sur les agissements du Dr Bonnemaison - mis en examen pour «empoisonnement» - des praticiens hospitaliers confrontés tous les jours à la fin de vie décrivent des situations douloureuses ou apaisées, toujours variées. Une manière de prendre des distances avec le débat sur l'euthanasie relancé par l'actualité qu'ils jugent trop tranché et superficiel.
«Difficile pour un malade de se dire qu'il est arrivé “en fin de vie” et de prendre une décision. Au quotidien, les choses ne se passent pas comme ça», rappelle le Dr Gilbert Desfosses, chef de l'unité de soins palliatifs de l'hôpital des Diaconesses, à Paris. «Tous les patients ne prennent pas conscience de l'évolution de la maladie. Un certain nombre d'entre eux ont des moments de confusion. La tonalité de leurs humeurs dépend aussi en grande partie de la qualité des soins et de leur entourage», décrit ce médecin qui tient à rappeler que son métier est de soigner.
Pourtant, il arrive que les médecins soient confrontés à des demandes d'euthanasie. «Des patients bien pris en charge qui demandent à en finir, c'est exceptionnel. En vingt ans, cela m'est arrivé deux ou trois fois», raconte Bernard Devalois, chef du service de l'unité de soins palliatifs de Pontoise. «Les demandes réfléchies sont assez nombreuses pour en parler, estime Édouard Ferrand, anesthésiste-réanimateur, responsable de l'unité soins de support à l'hôpital Foch de Suresnes et chercheur en éthique médicale. Elles n'émanent pas forcément de personnes isolées ou mal prises en charge mais de patients qui ont déjà fait du chemin avec la maladie et estiment qu'ils sont allés au bout.»
«Tempête émotionnelle»
«Ce sont surtout les familles qui demandent à voir la vie d'un proche abrégée, relève Bernard Devalois, également auteur de l'essai Peut-on vraiment choisir sa mort ? Les parents du patient veulent accélérer sa mort pour éviter l'agonie, qu'elles imaginent souvent à tort comme un moment de souffrance. Ils sont pris dans une tempête émotionnelle : effondrés de voir quelqu'un qu'ils aiment les quitter et désireux de le voir partir vite. À nous de les déculpabiliser et de les aider à accompagner leur proche.»
Depuis 2005, la fin de vie est réglementée par la loi Leonetti. Cette dernière interdit l'acharnement thérapeutique et permet l'utilisation en fin de vie de médicaments pouvant avoir pour effet secondaire d'entraîner la mort du patient. Mais à quel moment décide-t-on de l'arrêt des traitements et comment ? «Quand le patient en fin de vie le demande et que l'on en a sérieusement discuté avec lui, tente de résumer le Dr Sylvain Pourchet, responsable de l'unité de soins palliatifs à l'hôpital Paul-Brousse, à Villejuif (Val-de-Marne). Une tâche délicate quand on sait que le désir de vivre ou de mourir est rarement catégorique. «Notre rôle est d'étudier les différents scénarios de soins et de discuter avec le patient de la gradation et de l'utilité des traitements pour savoir jusqu'où il souhaite aller, rapporte Sylvain Pourchet. Mais, aujourd'hui encore, des patients arrivent aux urgences en fin de vie, sans que personne n'ait anticipé ce moment alors qu'il était prévisible. Si on saute cette étape de discussion, on aboutit à des situations de panique, à des drames. La famille est traumatisée et les soignants ont l'impression de mal faire leur travail.»
La décision doit également être prise dans un cadre collégial avec toute l'équipe médicale, dit aussi la loi Leonetti. Cette phase de réflexion viendrait trop tard, selon Édouard Ferrand. «Les médecins ont l'initiative de cette discussion alors que les infirmières sont en première ligne pour voir les situations limites. Du coup, la réflexion palliative arrive parfois quand on est déjà dans de l'acharnement thérapeutique», regrette l'anesthésiste-réanimateur. «Beaucoup d'agonies ne sont pas encore prises en charge correctement en France, reconnaît le Dr Bernard Devalois. Il faut poser le problème de la toute-puissance médicale. Certains médecins ont du mal à accepter de voir leur patient mourir. Confrontés à leur impuissance, ils peuvent choisir de faire disparaître rapidement le patient pour éliminer le sentiment de frustration. D'autres, à l'inverse, pratiqueront l'acharnement thérapeutique.»
Au-delà de la maladie et du soin, «il ne faut pas oublier la prise en charge psychologique et sociale des malades », plaide Sylvain Pourchet. Récemment, ce dernier a ainsi dû réfléchir à une solution d'accueil pour le fils d'une mère célibataire atteinte d'un cancer et décédée dans son service. «Nous avons trouvé une prise en charge et préservé leur relation jusqu'au dernier jour : c'est bien là le plus important» , conclut-il.
Figaro.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1) Relevez les informations essentielles. (Faites juste une liste).
2) A l'aide des réponses à la question 1 et de vos connaissances, expliquez le débat sur l'euthanasie en France. 25 lignes maximum.
Comment les médecins en hôpital abordent la fin de vie
Mots clés : Euthanasie, Fin De Vie
Par Agnès Leclair
Mis à jour le 05/09/2011 à 23:44 | publié le 05/09/2011 à 23:27
De l'avis des médecins, les demandes d'euthanasie émanant des malades restent rares.
Loin de la polémique sur les agissements du Dr Bonnemaison - mis en examen pour «empoisonnement» - des praticiens hospitaliers confrontés tous les jours à la fin de vie décrivent des situations douloureuses ou apaisées, toujours variées. Une manière de prendre des distances avec le débat sur l'euthanasie relancé par l'actualité qu'ils jugent trop tranché et superficiel.
«Difficile pour un malade de se dire qu'il est arrivé “en fin de vie” et de prendre une décision. Au quotidien, les choses ne se passent pas comme ça», rappelle le Dr Gilbert Desfosses, chef de l'unité de soins palliatifs de l'hôpital des Diaconesses, à Paris. «Tous les patients ne prennent pas conscience de l'évolution de la maladie. Un certain nombre d'entre eux ont des moments de confusion. La tonalité de leurs humeurs dépend aussi en grande partie de la qualité des soins et de leur entourage», décrit ce médecin qui tient à rappeler que son métier est de soigner.
Pourtant, il arrive que les médecins soient confrontés à des demandes d'euthanasie. «Des patients bien pris en charge qui demandent à en finir, c'est exceptionnel. En vingt ans, cela m'est arrivé deux ou trois fois», raconte Bernard Devalois, chef du service de l'unité de soins palliatifs de Pontoise. «Les demandes réfléchies sont assez nombreuses pour en parler, estime Édouard Ferrand, anesthésiste-réanimateur, responsable de l'unité soins de support à l'hôpital Foch de Suresnes et chercheur en éthique médicale. Elles n'émanent pas forcément de personnes isolées ou mal prises en charge mais de patients qui ont déjà fait du chemin avec la maladie et estiment qu'ils sont allés au bout.»
«Tempête émotionnelle»
«Ce sont surtout les familles qui demandent à voir la vie d'un proche abrégée, relève Bernard Devalois, également auteur de l'essai Peut-on vraiment choisir sa mort ? Les parents du patient veulent accélérer sa mort pour éviter l'agonie, qu'elles imaginent souvent à tort comme un moment de souffrance. Ils sont pris dans une tempête émotionnelle : effondrés de voir quelqu'un qu'ils aiment les quitter et désireux de le voir partir vite. À nous de les déculpabiliser et de les aider à accompagner leur proche.»
Depuis 2005, la fin de vie est réglementée par la loi Leonetti. Cette dernière interdit l'acharnement thérapeutique et permet l'utilisation en fin de vie de médicaments pouvant avoir pour effet secondaire d'entraîner la mort du patient. Mais à quel moment décide-t-on de l'arrêt des traitements et comment ? «Quand le patient en fin de vie le demande et que l'on en a sérieusement discuté avec lui, tente de résumer le Dr Sylvain Pourchet, responsable de l'unité de soins palliatifs à l'hôpital Paul-Brousse, à Villejuif (Val-de-Marne). Une tâche délicate quand on sait que le désir de vivre ou de mourir est rarement catégorique. «Notre rôle est d'étudier les différents scénarios de soins et de discuter avec le patient de la gradation et de l'utilité des traitements pour savoir jusqu'où il souhaite aller, rapporte Sylvain Pourchet. Mais, aujourd'hui encore, des patients arrivent aux urgences en fin de vie, sans que personne n'ait anticipé ce moment alors qu'il était prévisible. Si on saute cette étape de discussion, on aboutit à des situations de panique, à des drames. La famille est traumatisée et les soignants ont l'impression de mal faire leur travail.»
La décision doit également être prise dans un cadre collégial avec toute l'équipe médicale, dit aussi la loi Leonetti. Cette phase de réflexion viendrait trop tard, selon Édouard Ferrand. «Les médecins ont l'initiative de cette discussion alors que les infirmières sont en première ligne pour voir les situations limites. Du coup, la réflexion palliative arrive parfois quand on est déjà dans de l'acharnement thérapeutique», regrette l'anesthésiste-réanimateur. «Beaucoup d'agonies ne sont pas encore prises en charge correctement en France, reconnaît le Dr Bernard Devalois. Il faut poser le problème de la toute-puissance médicale. Certains médecins ont du mal à accepter de voir leur patient mourir. Confrontés à leur impuissance, ils peuvent choisir de faire disparaître rapidement le patient pour éliminer le sentiment de frustration. D'autres, à l'inverse, pratiqueront l'acharnement thérapeutique.»
Au-delà de la maladie et du soin, «il ne faut pas oublier la prise en charge psychologique et sociale des malades », plaide Sylvain Pourchet. Récemment, ce dernier a ainsi dû réfléchir à une solution d'accueil pour le fils d'une mère célibataire atteinte d'un cancer et décédée dans son service. «Nous avons trouvé une prise en charge et préservé leur relation jusqu'au dernier jour : c'est bien là le plus important» , conclut-il.
Figaro.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
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