Entraînement culture générale 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Bonjour futurs collègues infirmiers !
Je vous proposerai ma correction des derniers exercices (exercice 5 série 2) et des annales proposés ce week end et dès Dimanche soir/Lundi Matin je mettrai des nouveaux exercices.
Par contre j'ai un petit problème pour mettre des graphiques ? des schémas ? si vous avez une solution à me proposer se serrai très gentil! car j'ai un exercice qui s'appui sur des documents graphiques et un texte.
Merci!
Travaillez bien et profitez de votre week end
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je vous proposerai ma correction des derniers exercices (exercice 5 série 2) et des annales proposés ce week end et dès Dimanche soir/Lundi Matin je mettrai des nouveaux exercices.
Par contre j'ai un petit problème pour mettre des graphiques ? des schémas ? si vous avez une solution à me proposer se serrai très gentil! car j'ai un exercice qui s'appui sur des documents graphiques et un texte.
Merci!
Travaillez bien et profitez de votre week end

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci angelito, on attend tes exos avec impatience!!
Je pourrais pas t'aider pour les graphiques désolé...
Profites de ce week end toi aussi.
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Je pourrais pas t'aider pour les graphiques désolé...

Profites de ce week end toi aussi.

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci c'est gentil 
Au pire je vais essayer de mettre l'exercice sur un format joint ou sinon dernier recours je vous donnerez une description des documents sa serra toujours sa
Les thèmes de cette semaine (si vous voulez les relire)
- La nutrition (obésité, anorexie, boulimie, malnutrition etc..)
- Les hommes les femmes les enfants les adolescents La famille
- La sécurité sociale (risque social, financement, assurance maladie , dette , moyen de lutte.)
- Les médicament (afssap , médiator etc..)
- IST / tuberculose/ cancer.
Voilà si rien ne change je vous mettrai :
- Un exercice type concours (avec les 3 questions) 2h
- Un exercice de cours et d'actualité (30 min)
- Un exercice de commentaire/analyse (45 min)
- Un exercice d'explication de phrase (30 min)
- Un exercice de synthèse / argumentation (45min)
Voilà profitez bien du week end
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Au pire je vais essayer de mettre l'exercice sur un format joint ou sinon dernier recours je vous donnerez une description des documents sa serra toujours sa

Les thèmes de cette semaine (si vous voulez les relire)
- La nutrition (obésité, anorexie, boulimie, malnutrition etc..)
- Les hommes les femmes les enfants les adolescents La famille
- La sécurité sociale (risque social, financement, assurance maladie , dette , moyen de lutte.)
- Les médicament (afssap , médiator etc..)
- IST / tuberculose/ cancer.
Voilà si rien ne change je vous mettrai :
- Un exercice type concours (avec les 3 questions) 2h
- Un exercice de cours et d'actualité (30 min)
- Un exercice de commentaire/analyse (45 min)
- Un exercice d'explication de phrase (30 min)
- Un exercice de synthèse / argumentation (45min)
Voilà profitez bien du week end

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Désolé j'ai pris un peu de retard mais je vous met déjà un exercice pour vous occuper.
Exercice 6 (série 2) : Synthèse,résumé et rédaction. Temps estimé 45 min /1 h
1) Présentez le sujet.
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
L'obésité de l'enfant, une affaire de famille
Par damien Mascret 07/10/2011 lefigaro.fr
Un rapport de la Haute Autorité de santé recommande un dépistage précoce du surpoids.
Près d'un enfant sur cinq est en surpoids entre 3 ans et 17 ans, mais contrairement à une idée reçue ça ne se voit pas toujours. «Les parents qui ont eux-mêmes des problèmes de poids ont tendance à sous-estimer celui de leur enfant. À l'inverse, ceux qui ont un poids normal ont tendance à le surévaluer» , remarque le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, attaché à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris (*). Cet expert soutient que même les médecins peuvent se tromper s'ils s'essaient à dépister le surpoids de l'enfant sans utiliser les courbes de croissance. C'est d'ailleurs tout le mérite des nouvelles recommandations sur le surpoids et l'obésité de l'enfant et de l'adolescent, émises jeudi par la Haute autorité de santé (HAS), que de souligner l'importance des courbes de corpulence qui figurent dans le carnet de santé des enfants et qui tiennent compte à la fois de la taille, du poids et du sexe. En effet, c'est en traçant les courbes que l'on peut repérer un signe d'alerte de surpoids ou d'obésité, comme par exemple une ascension continue de cette courbe depuis la naissance ; un changement rapide de «couloir» sur cette courbe ; un rapport tour de taille/taille supérieur à 0,5… Sans ces repères, on peut aisément passer à côté d'une obésité en train de s'installer insidieusement : « L'obésité s'acquiert progressivement quand le style de vie est inadapté. Cela peut être aussi bien une alimentation inadéquate qu'une activité physique insuffisante», explique le Dr Marie-Laure Frelut, responsable de la consultation d'obésité à Bicêtre (Paris).
Le rôle de l'environnement familial est évident. On sait que l'obésité dans l'enfance augmente le risque d'être obèse à l'âge adulte, puisque plus de la moitié des enfants obèses à 6 ans, le resteront à l'âge adulte, mais il est aussi vrai que le risque est accru si l'un des deux parents - et a fortiori les deux - est aussi obèse. Rien d'étonnant pour le Dr Géraldine Kechid, pédopsychiatre à l'hôpital Jeanne-de-Flandres de Lille : «Ce n'est pas tant l'enfant qui doit faire un effort. Ce n'est pas une histoire d'effort. Ce qui est important c'est l'implication des parents.» Concrètement, il ne s'agit pas de privation, mais de mettre en place à la maison une alimentation équilibrée, variée et malgré tout plaisante. L'enfant doit diversifier sa palette alimentaire et découvrir de nouveaux goûts, en évitant l'alimentation de type junk-food. L'idée consiste, non pas à créer de la frustration, mais à faire découvrir d'autres plaisirs alimentaires.
«L'enfant a envie d'être beau»
Les choses ne sont pas plus simples à l'adolescence lorsque viennent s'ajouter les questions de la sexualité et de la puberté, estime le Dr Kechid : « Bien sûr, la première motivation pour corriger l'excès de poids doit venir de l'enfant. Souvent c'est de l'ordre de l'esthétisme, l'enfant a envie d'être plus beau. Mais pour tenir sur la durée, il faut que la famille soutienne son projet.» Attention, souligne la HAS, il faut avant tout « expliquer, rassurer, dédramatiser et déculpabiliser». De plus, aucun aliment ne doit être interdit et les régimes à visée amaigrissante sont déconseillés , selon la HAS. « C'est très important là aussi, abonde le Dr Cocaul. Interdire des aliments à un enfant - en dehors de certaines maladies, bien sûr - est le meilleur moyen de développer des frustrations qui vont devenir intolérables. Dès qu'il sera dans un autre environnement, l'enfant va se précipiter sur la bouteille de Coca qu'on lui interdit à la maison. Il va manger en cachette et développer des troubles du comportement alimentaire autrement plus graves. L'école apprend des notions de nutrition mais c'est aux parents de les éduquer. L'enfant doit apprendre à gérer les fraises Tagada ou le pot de Nutella. »
Bon courage à tous et toutes
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Exercice 6 (série 2) : Synthèse,résumé et rédaction. Temps estimé 45 min /1 h
1) Présentez le sujet.
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
L'obésité de l'enfant, une affaire de famille
Par damien Mascret 07/10/2011 lefigaro.fr
Un rapport de la Haute Autorité de santé recommande un dépistage précoce du surpoids.
Près d'un enfant sur cinq est en surpoids entre 3 ans et 17 ans, mais contrairement à une idée reçue ça ne se voit pas toujours. «Les parents qui ont eux-mêmes des problèmes de poids ont tendance à sous-estimer celui de leur enfant. À l'inverse, ceux qui ont un poids normal ont tendance à le surévaluer» , remarque le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, attaché à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris (*). Cet expert soutient que même les médecins peuvent se tromper s'ils s'essaient à dépister le surpoids de l'enfant sans utiliser les courbes de croissance. C'est d'ailleurs tout le mérite des nouvelles recommandations sur le surpoids et l'obésité de l'enfant et de l'adolescent, émises jeudi par la Haute autorité de santé (HAS), que de souligner l'importance des courbes de corpulence qui figurent dans le carnet de santé des enfants et qui tiennent compte à la fois de la taille, du poids et du sexe. En effet, c'est en traçant les courbes que l'on peut repérer un signe d'alerte de surpoids ou d'obésité, comme par exemple une ascension continue de cette courbe depuis la naissance ; un changement rapide de «couloir» sur cette courbe ; un rapport tour de taille/taille supérieur à 0,5… Sans ces repères, on peut aisément passer à côté d'une obésité en train de s'installer insidieusement : « L'obésité s'acquiert progressivement quand le style de vie est inadapté. Cela peut être aussi bien une alimentation inadéquate qu'une activité physique insuffisante», explique le Dr Marie-Laure Frelut, responsable de la consultation d'obésité à Bicêtre (Paris).
Le rôle de l'environnement familial est évident. On sait que l'obésité dans l'enfance augmente le risque d'être obèse à l'âge adulte, puisque plus de la moitié des enfants obèses à 6 ans, le resteront à l'âge adulte, mais il est aussi vrai que le risque est accru si l'un des deux parents - et a fortiori les deux - est aussi obèse. Rien d'étonnant pour le Dr Géraldine Kechid, pédopsychiatre à l'hôpital Jeanne-de-Flandres de Lille : «Ce n'est pas tant l'enfant qui doit faire un effort. Ce n'est pas une histoire d'effort. Ce qui est important c'est l'implication des parents.» Concrètement, il ne s'agit pas de privation, mais de mettre en place à la maison une alimentation équilibrée, variée et malgré tout plaisante. L'enfant doit diversifier sa palette alimentaire et découvrir de nouveaux goûts, en évitant l'alimentation de type junk-food. L'idée consiste, non pas à créer de la frustration, mais à faire découvrir d'autres plaisirs alimentaires.
«L'enfant a envie d'être beau»
Les choses ne sont pas plus simples à l'adolescence lorsque viennent s'ajouter les questions de la sexualité et de la puberté, estime le Dr Kechid : « Bien sûr, la première motivation pour corriger l'excès de poids doit venir de l'enfant. Souvent c'est de l'ordre de l'esthétisme, l'enfant a envie d'être plus beau. Mais pour tenir sur la durée, il faut que la famille soutienne son projet.» Attention, souligne la HAS, il faut avant tout « expliquer, rassurer, dédramatiser et déculpabiliser». De plus, aucun aliment ne doit être interdit et les régimes à visée amaigrissante sont déconseillés , selon la HAS. « C'est très important là aussi, abonde le Dr Cocaul. Interdire des aliments à un enfant - en dehors de certaines maladies, bien sûr - est le meilleur moyen de développer des frustrations qui vont devenir intolérables. Dès qu'il sera dans un autre environnement, l'enfant va se précipiter sur la bouteille de Coca qu'on lui interdit à la maison. Il va manger en cachette et développer des troubles du comportement alimentaire autrement plus graves. L'école apprend des notions de nutrition mais c'est aux parents de les éduquer. L'enfant doit apprendre à gérer les fraises Tagada ou le pot de Nutella. »
Bon courage à tous et toutes

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci angelito!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Entraînement culture générale 2012
1)Cet article traite du dépistage et des solutions pour lutter contre le surpoids infantile.Exercice 6 (série 2) : Synthèse,résumé et rédaction. Temps estimé 45 min /1 h
1) Présentez le sujet.
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
2)1er paragraphe: Dépister
2ème paragraphe: Alimentation variée
3ème paragraphe: Éduquer
3)Quels sont les moyens de dépistage et de lutte contre l'obésité?
4)On fait un inventaire???Il faut utiliser des synonymes??
-La haute autorité de santé préconise le depistage avancé de l'excès de poids.
-La courbe de croissance qui prends trois caractéristiques en compte (sexe, taille, poids) permet de mettre en évidence l'embonpoint.
-La mauvaise hygiène de vie conduit graduellement à l'obésité.
-50% des personnes atteintes d'obésité infantile, le reste à l'age adulte.
-Les proches doivent encadrer l'enfant pour l'aider à se sentir mieux dans sa peau et à contrôler de manière autonome son alimentation.
-Exclure un aliment peut conduire au trouble de comportement alimentaire.
5)Il faut utiliser des synonymes différents du 4??
La haute autorité de santé prône la découverte prompt d'une corpulence excessive. Pour cela, elle propose l'utilisation des courbes de croissance qui permettrais de le mettre en évidence facilement. L'apparition de l'obésité peut se faire au fil des ans suite à l'application d'une mauvaise hygiène de vie à travers l'absence de sport ou des repas inapproprié.
On observe que la moitié des jeunes qui présentent un excès de poids le conservent à l'age adulte. C'est à l'entourage de proposer un menu équilibré à l'enfant sans le priver pour autant, car prohiber certains aliments peut entrainer l'apparition de trouble du comportement alimentaire. Il suffit de lui apprendre à doser correctement chaque chose.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Entraînement culture générale 2012
merci angelito pour cet exos
je me joinds a vous car je trouve cela vraiment enrichissant meme si c'et dure de se creuser la tete faut bien s'y mettre un jour
question 1
(je sais pas si j'ai bien saisie la questions je ne trouve pas la nuance entre presenter ce sujet et relevé les idees essencielles
)
bon je me lance
Ce texte ecrit par Damien Madret est tiré du journal LE FIGARO le 07/10/2011. Il traite essenciellement de l'obesité de l'enfant dans le milieu familial
question 2
paragraphe 1 : courbe de croissance
paragraphe 2 : alimentation equilibree
paragraphe 3 : troubles du comportement
question 3
Le role des parents dans l'education de leurs enfants pourraient ils amoindrir voire eviter l'obesité?
question 4
L'obesité est un facteur difficile à evaluer.
En effet, la vision des parents face aux poids de leurs enfants n'est pas realiste.
De plus, les courbes de croissances sont de moins en moins utilisées et celle ci permettent de depister une eventuelle obesité.
Ensuite, afin d'eviter l'obesité le role des parents est important, ils doivent donner à leurs enfants une alimentation saine equilibrée et diversifiée.
Enfin, si leurs enfants veulent faire un regime car ils sont complexés, les parents doivent les encourager en interdisant aucun aliment , car cela pourrait provoquer des complusions alimentaires graves.
Ainsi meme si l'ecole enseignes des valeurs et des codes c'est au parents que revient le role de l'education.
question 5
Estimer l'obesité est un reel probleme car les parents ont du mal a savoir si leurs enfants sont dans la norme, et les courbes de poids sont peu utilisées par les professionnels de santé.
Les parents doivent revoir les habitudes alimentaires de leurs enfants.
Ils doivent epaulés leurs enfants s'ils entreprennent un regime en prohibant aucun aliment qui provoquerait de l'hyperphagie
Par consequent les parents doivent etre avant tout des educateurs.
voila
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
je me joinds a vous car je trouve cela vraiment enrichissant meme si c'et dure de se creuser la tete faut bien s'y mettre un jour
question 1
(je sais pas si j'ai bien saisie la questions je ne trouve pas la nuance entre presenter ce sujet et relevé les idees essencielles

bon je me lance

Ce texte ecrit par Damien Madret est tiré du journal LE FIGARO le 07/10/2011. Il traite essenciellement de l'obesité de l'enfant dans le milieu familial
question 2
paragraphe 1 : courbe de croissance
paragraphe 2 : alimentation equilibree
paragraphe 3 : troubles du comportement
question 3
Le role des parents dans l'education de leurs enfants pourraient ils amoindrir voire eviter l'obesité?
question 4
L'obesité est un facteur difficile à evaluer.
En effet, la vision des parents face aux poids de leurs enfants n'est pas realiste.
De plus, les courbes de croissances sont de moins en moins utilisées et celle ci permettent de depister une eventuelle obesité.
Ensuite, afin d'eviter l'obesité le role des parents est important, ils doivent donner à leurs enfants une alimentation saine equilibrée et diversifiée.
Enfin, si leurs enfants veulent faire un regime car ils sont complexés, les parents doivent les encourager en interdisant aucun aliment , car cela pourrait provoquer des complusions alimentaires graves.
Ainsi meme si l'ecole enseignes des valeurs et des codes c'est au parents que revient le role de l'education.
question 5
Estimer l'obesité est un reel probleme car les parents ont du mal a savoir si leurs enfants sont dans la norme, et les courbes de poids sont peu utilisées par les professionnels de santé.
Les parents doivent revoir les habitudes alimentaires de leurs enfants.
Ils doivent epaulés leurs enfants s'ils entreprennent un regime en prohibant aucun aliment qui provoquerait de l'hyperphagie
Par consequent les parents doivent etre avant tout des educateurs.
voila

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 6 (série 2) : Synthèse,résumé et rédaction. Temps estimé 45 min /1 h
1) Présentez le sujet.
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
1. Cet article a été écrit par Damien Macret, le 07 octobre 2011, publié dans le figaro.fr, son titre est "l'obésité de l'enfant, une affaire de famille"
2.
1. Dépistage
2. Hygiène alimentaire
3. Rééducation alimentaire
3. Quelles sont les moyens a mettre en oeuvre pour lutter contre l'obésité de l'enfant ?
4.
Dépistage de l'enfant en surpoids.
Parents obèse se rendent moins compte de l'obésité de leur enfant et vice versa.
Courbes de croissance très importantes.
Permettent de constater une sortie de courbe, relative a un surpoids.
Les courbes permettent de calculer grace au sexe, poids et taille.
L'alimentation s'aquiert des le plus jeune age, par les parents.
La perte de poids d'un enfant doit venir de lui meme, et ses parents doivent l'aider et l'encourager.
5.
La Haute autorité de Santé averti la découverte rapide de l'embonpoint chez l'enfant. Souvent les familles en surpoids, ne considère pas leurs progénitures tel quel et vice versa. Par ailleurs, on constate que les courbes de croissance présentent dans les carnets de santé de nos chérubins permettent une surveillance de l'obésité, en ayant plusieurs paramètre comme le sexe, l'age, le poids et la taille.
L'hygiène alimentaire est une habitude qui s'éduque dès le plus jeune âge afin d'éviter les conséquences de l'exces de poids. Lorsque celui-ci est installé, c'est à l'enfant lui-même de prendre l'initiative de mincir et c'est a ses parents de l'aider et l'encourager.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1) Présentez le sujet.
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
1. Cet article a été écrit par Damien Macret, le 07 octobre 2011, publié dans le figaro.fr, son titre est "l'obésité de l'enfant, une affaire de famille"
2.
1. Dépistage
2. Hygiène alimentaire
3. Rééducation alimentaire
3. Quelles sont les moyens a mettre en oeuvre pour lutter contre l'obésité de l'enfant ?
4.
Dépistage de l'enfant en surpoids.
Parents obèse se rendent moins compte de l'obésité de leur enfant et vice versa.
Courbes de croissance très importantes.
Permettent de constater une sortie de courbe, relative a un surpoids.
Les courbes permettent de calculer grace au sexe, poids et taille.
L'alimentation s'aquiert des le plus jeune age, par les parents.
La perte de poids d'un enfant doit venir de lui meme, et ses parents doivent l'aider et l'encourager.
5.
La Haute autorité de Santé averti la découverte rapide de l'embonpoint chez l'enfant. Souvent les familles en surpoids, ne considère pas leurs progénitures tel quel et vice versa. Par ailleurs, on constate que les courbes de croissance présentent dans les carnets de santé de nos chérubins permettent une surveillance de l'obésité, en ayant plusieurs paramètre comme le sexe, l'age, le poids et la taille.
L'hygiène alimentaire est une habitude qui s'éduque dès le plus jeune âge afin d'éviter les conséquences de l'exces de poids. Lorsque celui-ci est installé, c'est à l'enfant lui-même de prendre l'initiative de mincir et c'est a ses parents de l'aider et l'encourager.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Vous avez tous globalement bien répondu , je rappelle quelques points méthodes :
- Présenter le sujet : Nature, Auteur, Date, titre , publication (le monde, figaro.fr)
-Relevez les idées essentielles : Correspond au travail de synthèse c'est un résumé rédigez de la problématique et des arguments de l'auteur. (on doit retrouver le plan de l'article dans votre réponse)
-La dernière question : Il faut résumer (donc synonyme si besoin) votre rédaction à la question 4.
Je suis désolé du retard que j'ai pris ce n'est pas mon genre mais je suis très occupé en ce moment.
Je fais en priorité les exercice de cette semaine et dès que j'ai du temps bonus je vous ajouterez les corrections qui manquent de la semaine dernière.
Travaillez bien ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- Présenter le sujet : Nature, Auteur, Date, titre , publication (le monde, figaro.fr)
-Relevez les idées essentielles : Correspond au travail de synthèse c'est un résumé rédigez de la problématique et des arguments de l'auteur. (on doit retrouver le plan de l'article dans votre réponse)
-La dernière question : Il faut résumer (donc synonyme si besoin) votre rédaction à la question 4.
Je suis désolé du retard que j'ai pris ce n'est pas mon genre mais je suis très occupé en ce moment.
Je fais en priorité les exercice de cette semaine et dès que j'ai du temps bonus je vous ajouterez les corrections qui manquent de la semaine dernière.
Travaillez bien ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.angelito94 a écrit :Désolé j'ai pris un peu de retard mais je vous met déjà un exercice pour vous occuper.
Exercice 6 (série 2) : Synthèse,résumé et rédaction. Temps estimé 45 min /1 h
Proposition de correction.
1) Présentez le sujet.
Le sujet est un article à but informatif intitulé "L'obésité de l'enfant , une affaire de famille" écrit par Damien Mascret le 07/10/2011 et publié sur lefigaro.fr
2) Relevez un mot clef par paragraphe.
Le but de cette question est une aide "méthodologique" pour le travail de synthèse (relevé d'idées essentielles ou principales) vous n'aurez jamais cette question au concours mais elle vous entraîne à trouver un mot par type d'argument pour faciliter votre synthèse. (en général un type d'argument par paragraphe CE N EST PAS TOUT LE TEMPS LE CAS)
Donc ici les mots clefs les plus pertinents résumant pour ma part un maximum chaque paragraphe sont
Paragraphe 1 : Courbe de corpulence ( en gros dans ce paragraphe on vous explique l'importance de l'objectivité face à un enfant afin de mieux évaluer son surpoids. Objectivité chose essentielle dans notre futur profession )
Paragraphe 2 : Alimentation équilibrée
Paragraphe 3 : Déculpabiliser
Vos mots clefs doivent avoir une logique , la pour moi vous voyez bien qu'ils soulignent les moyens de "prévention" de l'obésité ou du surpoids.
3) Repérez et reformulez la problématique de l'article.
La problématique ici c'est le titre , tout au long de l'article vous voyez que l'auteur fait toujours un lien avec la famille et les arguments ou informations.
De plus la problématique est la version interrogative à quel question répond l'auteur à travers son article ?
Reformulation(s) : je vous en propose plusieurs
L'obésité infantile ou se situe la place de la famille ?
Quel est rôle de l'environnement familial dans les risques d'obésités infantiles ?
Le foyer est il facteur d'obésité chez l'enfant ?
Vous avez une palette de possibilités.
4) Relevez les idées essentielles de l'article. (14 lignes maximum)
La réponse doit être rédigée , c'est une synthèse donc on doit voir la thèse ou la problématique de l'auteur ainsi que les différents arguments.
Le foyer joue un rôle non négligeable dans l'obésité infantile, mais aussi dans sa prévention.
Tout d'abord lors du dépistage, par manque de subjectivité des parents, ou même du professionnel de santé on peut sous-estimer ou à l'inverse sur estimer le surpoids d'un enfant. D'ou la nécessité d'après la HAS de suivre la courbe de corpulence qui elle reste objective.
Dans un autre temps, les habitudes d'hygiènes de vie à la maison vont jouer un rôle majeur , effectivement si les parents sont tout deux ou l'un des deux obèse le risque s'accroît pour l'enfant, de même l'interdiction n'est pas une solution, tout le monde doit s'investir afin de manger des repas divers, équilibrés et agréables.
Enfin lors de l'adolescence , l'estime de soit liée à son apparence déstabilise beaucoup le jeune, il est important encore une fois d'adapter un environnement dès l'enfance pour qu'il soit ni privatif ni carencer afin d'éviter les troubles du comportement alimentaire lors de la sortie temporaire ou définitive du foyer, tout passe par l'éducation de l'enfant à la gestion.
Vous voyez bien dans ma synthèse la problématique
Les 3 types d'arguments
en 1er le dépistage
en 2ème l'environnement lors de l'enfance
en 3ème l'environnement lors de l'adolescence + Ne pas priver mais gérer
5) Résumez et reformulez votre rédaction de la question 4. ( 9 lignes maximum)
Là vous devez résumez votre propre rédaction cette question à un double objectif d'une part :
- Différencier synthèse et résumé
- Apprendre à résumer vos propos ou même à rectifier et relire la rédaction précédente.
Astuce : là on vous dit de résumer Votre rédaction OR votre rédaction est la synthèse de l'article donc si votre synthèse est bien faîtes vous pouvez résumer l'article si vous avez du mal à résumer votre rédaction.
La famille est impliquée dans l'embonpoint de l'enfant.
Les dépistages trop tardifs ou trop précoces d'une obésité parfois inexistante, rend la prise en charge plus difficile, la HAS recommande vivement de s'en tenir à la courbe de corpulence.
L'environnement familial , la présence de parents obèses ou tout simplement les habitudes peuvent entraîner l'enfant vers un surpoids qui se confirmera à l'âge adulte, mais aussi dès l'adolescence à des troubles du comportement alimentaire causés par la frustration et le changement d'environnement. Il est donc important d'apprendre à gérer et non d'interdire à l'enfant des aliments.
Voilà sa a pas été évident j'ai essayé de résoudre l'exercice en essayant de proposer d'autres rédactions différentes des votre et d'autres synonymes
L'obésité de l'enfant, une affaire de famille
Par damien Mascret 07/10/2011 lefigaro.fr
Un rapport de la Haute Autorité de santé recommande un dépistage précoce du surpoids.
Près d'un enfant sur cinq est en surpoids entre 3 ans et 17 ans, mais contrairement à une idée reçue ça ne se voit pas toujours. «Les parents qui ont eux-mêmes des problèmes de poids ont tendance à sous-estimer celui de leur enfant. À l'inverse, ceux qui ont un poids normal ont tendance à le surévaluer» , remarque le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, attaché à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris (*). Cet expert soutient que même les médecins peuvent se tromper s'ils s'essaient à dépister le surpoids de l'enfant sans utiliser les courbes de croissance. C'est d'ailleurs tout le mérite des nouvelles recommandations sur le surpoids et l'obésité de l'enfant et de l'adolescent, émises jeudi par la Haute autorité de santé (HAS), que de souligner l'importance des courbes de corpulence qui figurent dans le carnet de santé des enfants et qui tiennent compte à la fois de la taille, du poids et du sexe. En effet, c'est en traçant les courbes que l'on peut repérer un signe d'alerte de surpoids ou d'obésité, comme par exemple une ascension continue de cette courbe depuis la naissance ; un changement rapide de «couloir» sur cette courbe ; un rapport tour de taille/taille supérieur à 0,5… Sans ces repères, on peut aisément passer à côté d'une obésité en train de s'installer insidieusement : « L'obésité s'acquiert progressivement quand le style de vie est inadapté. Cela peut être aussi bien une alimentation inadéquate qu'une activité physique insuffisante», explique le Dr Marie-Laure Frelut, responsable de la consultation d'obésité à Bicêtre (Paris).
Le rôle de l'environnement familial est évident. On sait que l'obésité dans l'enfance augmente le risque d'être obèse à l'âge adulte, puisque plus de la moitié des enfants obèses à 6 ans, le resteront à l'âge adulte, mais il est aussi vrai que le risque est accru si l'un des deux parents - et a fortiori les deux - est aussi obèse. Rien d'étonnant pour le Dr Géraldine Kechid, pédopsychiatre à l'hôpital Jeanne-de-Flandres de Lille : «Ce n'est pas tant l'enfant qui doit faire un effort. Ce n'est pas une histoire d'effort. Ce qui est important c'est l'implication des parents.» Concrètement, il ne s'agit pas de privation, mais de mettre en place à la maison une alimentation équilibrée, variée et malgré tout plaisante. L'enfant doit diversifier sa palette alimentaire et découvrir de nouveaux goûts, en évitant l'alimentation de type junk-food. L'idée consiste, non pas à créer de la frustration, mais à faire découvrir d'autres plaisirs alimentaires.
«L'enfant a envie d'être beau»
Les choses ne sont pas plus simples à l'adolescence lorsque viennent s'ajouter les questions de la sexualité et de la puberté, estime le Dr Kechid : « Bien sûr, la première motivation pour corriger l'excès de poids doit venir de l'enfant. Souvent c'est de l'ordre de l'esthétisme, l'enfant a envie d'être plus beau. Mais pour tenir sur la durée, il faut que la famille soutienne son projet.» Attention, souligne la HAS, il faut avant tout « expliquer, rassurer, dédramatiser et déculpabiliser». De plus, aucun aliment ne doit être interdit et les régimes à visée amaigrissante sont déconseillés , selon la HAS. « C'est très important là aussi, abonde le Dr Cocaul. Interdire des aliments à un enfant - en dehors de certaines maladies, bien sûr - est le meilleur moyen de développer des frustrations qui vont devenir intolérables. Dès qu'il sera dans un autre environnement, l'enfant va se précipiter sur la bouteille de Coca qu'on lui interdit à la maison. Il va manger en cachette et développer des troubles du comportement alimentaire autrement plus graves. L'école apprend des notions de nutrition mais c'est aux parents de les éduquer. L'enfant doit apprendre à gérer les fraises Tagada ou le pot de Nutella. »
Bon courage à tous et toutes
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 7 (série 2) : Questions de cours et d'actualité en vrac. temps estimé 20min
1) Définissez les termes suivants :
a)Infection nosocomiale
b)HAS
c)Affsaps
d)obésité
e)régime
f) risque social (illustrez d’exemples les différents types)
2) Que c'est il passé dans les années 80 à 90 dans le domaine sanitaire et sociale ? (citez au moins 2 évènements)
3)Quelle avancé au niveau mondiale la condition féminine à connue en septembre 2011?
4)Expliquez le plan PNNS et illustrez le d'au moins un slogan télévisé.
5)En 2005 quel loi importante a été adoptée dans le domaine de l'enfance?
6) Expliquez brièvement le scandale du médiator.
7) Enfin citez un évènement d'actualité sanitaire et sociale durant l'année 2011 qui vous a marqué et expliquez le.
Bon courage ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1) Définissez les termes suivants :
a)Infection nosocomiale
b)HAS
c)Affsaps
d)obésité
e)régime
f) risque social (illustrez d’exemples les différents types)
2) Que c'est il passé dans les années 80 à 90 dans le domaine sanitaire et sociale ? (citez au moins 2 évènements)
3)Quelle avancé au niveau mondiale la condition féminine à connue en septembre 2011?
4)Expliquez le plan PNNS et illustrez le d'au moins un slogan télévisé.
5)En 2005 quel loi importante a été adoptée dans le domaine de l'enfance?
6) Expliquez brièvement le scandale du médiator.
7) Enfin citez un évènement d'actualité sanitaire et sociale durant l'année 2011 qui vous a marqué et expliquez le.
Bon courage ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 8 (série 2) : Orale et préparation d'un plan. temps estimé 10/15min
Voici un sujet d'oral , vous devez trouver un plan et rédiger seulement l'introduction et la conclusion.
sujet :
Le papillomavirus chez les hommes.
Bon courage ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Voici un sujet d'oral , vous devez trouver un plan et rédiger seulement l'introduction et la conclusion.
sujet :
Le papillomavirus chez les hommes.
Bon courage ^^Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci à toi de penser à nous et de nous poster des exos malgré que tu sois très occupé!!
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 9 (série 2) : Commentaire / explication de phrase. Temps estimé 1h15
Santé : Soignez-vous moins cher !
Faute de moyens, un Français sur trois renonce à se soigner. Des solutions existent pourtant, permettant de payer moins cher, mais elles sont souvent méconnues ou négligées
Un système de santé à deux vitesses. Voilà vers quoi se dirige la France. Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français. Mais à côté de ces prestations, connues pour être onéreuses et très mal remboursées, plus d’une personne sur dix abandonnent les « soins courants », et ils sont 6 % à ne même plus acheter de médicaments. Sans parler de ceux, 5 %, qui laissent de côté hospitalisation, examens ou traitements coûteux, alors qu’ils sont souvent réservés aux maladies les plus graves. Le constat est alarmant, et l’avenir plutôt noir.
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. La vignette bleue passera prochainement de 35 % à 30 % de remboursement ; la consultation chez le généraliste coûte depuis quelques mois 23 € au lieu de 22, et les mutuelles augmentent en conséquence.
Les Français ne s’y trompent pas : plus de la moitié d’entre eux estime que notre système de santé ne garantit plus l’égalité face aux soins. D’autant moins que les plafonds de revenus qui donnent droit aux aides de l’Etat (CMU, Chèque santé…) restent très bas : de 7.771 € pour une personne seule à 16.320 pour une famille de 4 personnes. Même avec la revalorisation prévue dans le cadre du budget 2012 de la Sécurité sociale, il faudra toujours gagner moins d’un SMIC pour en bénéficier.
Afin d’aider ceux qui ne réussissent plus à se soigner correctement, voici quelques conseils simples pour préserver, à moindre coût, l’un des biens les plus essentiels de notre vie. Comme le martelaient nos grands-mères avec raison : quand la santé va, tout va !
Faites de la prévention
La Sécu vous l’offre, profitez-en ! Tous les cinq ans, n’importe quel assuré social peut bénéficier d’un bilan gratuit. Analyses (sang, urine…), tests de vision, d’audition, de capacité respiratoire, examen dentaire, radio des poumons et électrocardiogramme, dépistages de l’hépatite B et du sida sur demande, plus examen clinique par un médecin. Selon les besoins, il peut être complété par des recherches plus poussées (gynécologiques, cardiovasculaires…). Les frais de transport sont remboursés et, éventuellement, la perte de salaire s’il y a lieu. Le bilan est destiné à dépister les premiers signes d’une affection et à prévenir les maladies les plus graves.
Pour les enfants
Les PMI (protection maternelle et infantile) sont gratuites et accessibles à tous, sans conditions de revenus et même sans couverture sociale. Elles assurent le suivi des femmes enceintes et des enfants jusqu’à l’âge de six ans. Seul inconvénient, elles ne proposent pas de service de consultation urgente et, selon les régions, il faut parfois attendre un mois pour un rendez-vous.
Et n’oubliez pas non plus le programme de l’assurance maladie « M’Tdents ». Un mois avant leur anniversaire (6, 9, 12, 15 et 18 ans), vos enfants reçoivent une invitation à prendre rendez-vous chez le dentiste de votre choix. Consultation et soins sont pris en charge à 100 pour cent. Il serait dommage de s’en priver.
Passez par un réseau
Le principe est simple : de nombreuses mutuelles (Groupama, GAN, MAAF, AGF, MMA…) orientent leurs clients vers des professionnels qui s’engagent à pratiquer des prix au plus proche des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Pour ce faire, elles font appel à des sociétés qui connaissent parfaitement le marché, possèdent des réseaux de professionnels (chirurgiens, opticiens, dentistes, audio-prothésistes…) par secteur géographique et passent leur temps à comparer les prix. On les appelle les « cost killers », les « tueurs de coût ». En aidant les assurés à réduire leurs frais, elles réduisent également la part de remboursement de la mutuelle. C’est gagnant-gagnant.
Ciblez la bonne pharmacie
On a du mal à le croire : certains médicaments en vente libre peuvent aller du simple au triple selon les officines. Selon une étude BIPE-Leclerc de 2010, qui a comparé les tarifs de trente produits dans quatre régions de France choisies au hasard, de simples comprimés contre les nausées sont vendus entre 2,93 € et… 10,20 € ! Dans une même ville, le prix du paracétamol varie de 1,64 à 4,50 € et celui d’un sirop contre la toux de 2,50 à 3,87. Autant dire que, même si vous adorez votre pharmacien qui vous conseille depuis vingt ans, cela vaut peut-être la peine d’aller explorer les rayonnages voisins. Les prix, libres pour les médicaments non remboursés, sont le plus souvent modulés en fonction de l’offre et de la demande. Une officine peut très bien pratiquer des tarifs prohibitifs sur les collyres et s’avérer compétitive sur les sachets contre les maux d’estomac.
Demandez le remède remboursé
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. Peut-être est-ce le cas pour l’un des vôtres. Demandez à votre médecin traitant de vous prescrire un équivalent remboursé. Presque tous les traitements en ont un. Et si vous n’avez pas d’ordonnance, il vaut mieux choisir quand même la version remboursable d’une même molécule. Un exemple ? Pour deux Ibuprofène, le Nureflex avec sa vignette, et son prix fixe, vous reviendra à 2,28 €, le Nurofen, entre 3 et 4,50 €.
Exigez les tarifs des médecins et des hôpitaux
Quelques clics suffisent. Depuis juillet, le site de la Sécurité sociale, ameli-direct. fr, propose un comparatif des tarifs des actes médicaux des généralistes, des spécialistes, des hôpitaux et des cliniques. Plus d’une centaine de prestations sont répertoriées. Les médecins sont indiqués en secteur 1 (conventionné) ou 2 (conventionné à honoraires libres), avec leurs coordonnées et leurs prix. Le site s’étoffe de jour en jour.
Demandez un devis
On ne le sait pas assez : quand le total honoraire + soins dépasse les 70 €, les professionnels de santé qui dépassent le tarif fixé par la Sécu ont obligation depuis le 1er février 2009 de produire un devis écrit. Tout comme le médecin de secteur 2 qui prévoit une deuxième consultation. Fini les mauvaises surprises !
Quant à vos lunettes, sachez que les écarts de prix sur les verres peuvent atteindre 80 pour cent d’une boutique à l’autre. Et bien sûr, ces commerçants auront tendance à vous conseiller leurs verres les plus chers. Car, vous l’ignoriez peut-être, ils en ont plusieurs : vous n’avez qu’à comparer vos lunettes habituelles avec votre deuxième paire à un euro, vous vous en rendrez compte. Les opticiens aussi sont tenus de vous fournir gratuitement un devis écrit, contenant le prix de la monture, celui de l’offre personnalisée et, à votre demande, celui de l’offre la plus économique respectant la prescription. Comparez ensuite les enseignes.
Comparez
Un devis d’accord, mais comment savoir s’il est trop élevé ? La plupart des sites Internet des mutuelles proposent déjà depuis longtemps d’analyser les devis des dentistes et des opticiens en les comparant avec les offres les moins chères de leur réseau. Libre à vous, ensuite, de changer ou non de praticien. De son côté, la plate-forme Santéclair, qui regroupe de nombreux assureurs (MMA, AGF, Maaf…), propose depuis 2009 de confronter les tarifs de vos devis de chirurgie et d’obstétrique avec ceux de la Sécu, et la moyenne de ceux de votre région.
Négociez
Cela fait un peu marchand de tapis et pourtant… même en chirurgie, ça marche. Selon une étude de la MAAF auprès de 1.000 assurés qui ont demandé un devis chirurgical, les deux tiers ont marchandé et, trois fois sur quatre, ont obtenu gain de cause. Une fois votre devis analysé, rien de plus simple que d’aller gentiment demander des comptes au chirurgien qui vous facture un dépassement excessif. Les ristournes peuvent aller jusqu’à 500 ou 1.000 € !
Utilisez les services des facultés
Cela a l’air d’une blague, mais ça ne l’est pas. Dans les facultés de chirurgie dentaire, les étudiants en 4e ou 5e année se font la main sur de vrais patients, encadrés par leurs professeurs. Les prix sont cassés, de 40 à 50 % moins cher et vous n’avancez pas le tiers payant. En revanche, les soins n’ont lieu que dans les créneaux horaires scolaires et l’attente est longue. Même combine chez les apprentis opticiens.
Le boom des mutuelles santé low cost
Amaguiz (Groupama), Direct-assurance (Axa), IdMacif (Macif)… De plus en plus de Français n’hésitent plus à se tourner vers les complémentaires santé « discount ». Certes, à moindre coût, ces mutuelles couvrent également moins de risques et ne prennent pas en charge les frais dits « de confort » comme la chambre particulière ou les lentilles de contact. En dix ans, le prix des complémentaires santé a bondi de 50 %., atteignant en moyenne 600 € par an. « A garantie égale, on peut espérer économiser 15 % en souscrivant à une couverture santé low cost mieux adaptée », considère Stanislas Di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.
Selon lui, la meilleure mutuelle n’est pas celle qui rembourse le plus, mais celle qui répond le mieux au consommateur. « Avant même de comparer, il faut savoir ce dont on a besoin et éviter les prestations superflues. Si l’on ne porte pas de lunettes, il est inutile de souscrire à un contrat qui couvre l’optique au maximum, par exemple. Ensuite, il n’y a pas de secret, il faut éplucher et comparer les offres. »
Mais attention aux pièges : toujours demander le montant d’un remboursement, plutôt que le pourcentage. Sur les frais dentaires tellement mal couverts par la Sécu, par exemple, 400 pour cent de pas grand-chose, ça reste… pas grand-chose. Le site communautaire Opinion-assurances.fr permet aux assurés de partager leurs expériences, et ainsi d’éviter les arnaques
France soir
Questions :
1) Expliquez les expressions suivantes :
a)"Un système de santé à deux vitesses"
b) "quand la santé va, tout va !"
2)Commentez les chiffres suivants :
a) "Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français"
3)Enfin vous commenterez 5 conseils de l'article les plus pertinents dans une même rédaction.
CONSIGNES :
-Vos rédactions à la question 1 ne dépasseront pas 5 lignes pour chaque expression.
-Votre commentaire à la question 2 devra contenir une explication et ne pas dépasser 15 lignes au grand maximum. Soyez synthétiques.
-Les conseils que vous pouvez commenter pour la question 3 sont colorés en rouge dans le texte.Attention à vous de trier les plus pertinents.
L'article ne doit pas être paraphrasé.
La rédaction à la question 3 serra structurée introduction, développement et conclusion, votre développement comportera un paragraphe par type de conseil et enfin votre rédaction se limitera à 25 lignes maximum.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Santé : Soignez-vous moins cher !
Faute de moyens, un Français sur trois renonce à se soigner. Des solutions existent pourtant, permettant de payer moins cher, mais elles sont souvent méconnues ou négligées
Un système de santé à deux vitesses. Voilà vers quoi se dirige la France. Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français. Mais à côté de ces prestations, connues pour être onéreuses et très mal remboursées, plus d’une personne sur dix abandonnent les « soins courants », et ils sont 6 % à ne même plus acheter de médicaments. Sans parler de ceux, 5 %, qui laissent de côté hospitalisation, examens ou traitements coûteux, alors qu’ils sont souvent réservés aux maladies les plus graves. Le constat est alarmant, et l’avenir plutôt noir.
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. La vignette bleue passera prochainement de 35 % à 30 % de remboursement ; la consultation chez le généraliste coûte depuis quelques mois 23 € au lieu de 22, et les mutuelles augmentent en conséquence.
Les Français ne s’y trompent pas : plus de la moitié d’entre eux estime que notre système de santé ne garantit plus l’égalité face aux soins. D’autant moins que les plafonds de revenus qui donnent droit aux aides de l’Etat (CMU, Chèque santé…) restent très bas : de 7.771 € pour une personne seule à 16.320 pour une famille de 4 personnes. Même avec la revalorisation prévue dans le cadre du budget 2012 de la Sécurité sociale, il faudra toujours gagner moins d’un SMIC pour en bénéficier.
Afin d’aider ceux qui ne réussissent plus à se soigner correctement, voici quelques conseils simples pour préserver, à moindre coût, l’un des biens les plus essentiels de notre vie. Comme le martelaient nos grands-mères avec raison : quand la santé va, tout va !
Faites de la prévention
La Sécu vous l’offre, profitez-en ! Tous les cinq ans, n’importe quel assuré social peut bénéficier d’un bilan gratuit. Analyses (sang, urine…), tests de vision, d’audition, de capacité respiratoire, examen dentaire, radio des poumons et électrocardiogramme, dépistages de l’hépatite B et du sida sur demande, plus examen clinique par un médecin. Selon les besoins, il peut être complété par des recherches plus poussées (gynécologiques, cardiovasculaires…). Les frais de transport sont remboursés et, éventuellement, la perte de salaire s’il y a lieu. Le bilan est destiné à dépister les premiers signes d’une affection et à prévenir les maladies les plus graves.
Pour les enfants
Les PMI (protection maternelle et infantile) sont gratuites et accessibles à tous, sans conditions de revenus et même sans couverture sociale. Elles assurent le suivi des femmes enceintes et des enfants jusqu’à l’âge de six ans. Seul inconvénient, elles ne proposent pas de service de consultation urgente et, selon les régions, il faut parfois attendre un mois pour un rendez-vous.
Et n’oubliez pas non plus le programme de l’assurance maladie « M’Tdents ». Un mois avant leur anniversaire (6, 9, 12, 15 et 18 ans), vos enfants reçoivent une invitation à prendre rendez-vous chez le dentiste de votre choix. Consultation et soins sont pris en charge à 100 pour cent. Il serait dommage de s’en priver.
Passez par un réseau
Le principe est simple : de nombreuses mutuelles (Groupama, GAN, MAAF, AGF, MMA…) orientent leurs clients vers des professionnels qui s’engagent à pratiquer des prix au plus proche des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Pour ce faire, elles font appel à des sociétés qui connaissent parfaitement le marché, possèdent des réseaux de professionnels (chirurgiens, opticiens, dentistes, audio-prothésistes…) par secteur géographique et passent leur temps à comparer les prix. On les appelle les « cost killers », les « tueurs de coût ». En aidant les assurés à réduire leurs frais, elles réduisent également la part de remboursement de la mutuelle. C’est gagnant-gagnant.
Ciblez la bonne pharmacie
On a du mal à le croire : certains médicaments en vente libre peuvent aller du simple au triple selon les officines. Selon une étude BIPE-Leclerc de 2010, qui a comparé les tarifs de trente produits dans quatre régions de France choisies au hasard, de simples comprimés contre les nausées sont vendus entre 2,93 € et… 10,20 € ! Dans une même ville, le prix du paracétamol varie de 1,64 à 4,50 € et celui d’un sirop contre la toux de 2,50 à 3,87. Autant dire que, même si vous adorez votre pharmacien qui vous conseille depuis vingt ans, cela vaut peut-être la peine d’aller explorer les rayonnages voisins. Les prix, libres pour les médicaments non remboursés, sont le plus souvent modulés en fonction de l’offre et de la demande. Une officine peut très bien pratiquer des tarifs prohibitifs sur les collyres et s’avérer compétitive sur les sachets contre les maux d’estomac.
Demandez le remède remboursé
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. Peut-être est-ce le cas pour l’un des vôtres. Demandez à votre médecin traitant de vous prescrire un équivalent remboursé. Presque tous les traitements en ont un. Et si vous n’avez pas d’ordonnance, il vaut mieux choisir quand même la version remboursable d’une même molécule. Un exemple ? Pour deux Ibuprofène, le Nureflex avec sa vignette, et son prix fixe, vous reviendra à 2,28 €, le Nurofen, entre 3 et 4,50 €.
Exigez les tarifs des médecins et des hôpitaux
Quelques clics suffisent. Depuis juillet, le site de la Sécurité sociale, ameli-direct. fr, propose un comparatif des tarifs des actes médicaux des généralistes, des spécialistes, des hôpitaux et des cliniques. Plus d’une centaine de prestations sont répertoriées. Les médecins sont indiqués en secteur 1 (conventionné) ou 2 (conventionné à honoraires libres), avec leurs coordonnées et leurs prix. Le site s’étoffe de jour en jour.
Demandez un devis
On ne le sait pas assez : quand le total honoraire + soins dépasse les 70 €, les professionnels de santé qui dépassent le tarif fixé par la Sécu ont obligation depuis le 1er février 2009 de produire un devis écrit. Tout comme le médecin de secteur 2 qui prévoit une deuxième consultation. Fini les mauvaises surprises !
Quant à vos lunettes, sachez que les écarts de prix sur les verres peuvent atteindre 80 pour cent d’une boutique à l’autre. Et bien sûr, ces commerçants auront tendance à vous conseiller leurs verres les plus chers. Car, vous l’ignoriez peut-être, ils en ont plusieurs : vous n’avez qu’à comparer vos lunettes habituelles avec votre deuxième paire à un euro, vous vous en rendrez compte. Les opticiens aussi sont tenus de vous fournir gratuitement un devis écrit, contenant le prix de la monture, celui de l’offre personnalisée et, à votre demande, celui de l’offre la plus économique respectant la prescription. Comparez ensuite les enseignes.
Comparez
Un devis d’accord, mais comment savoir s’il est trop élevé ? La plupart des sites Internet des mutuelles proposent déjà depuis longtemps d’analyser les devis des dentistes et des opticiens en les comparant avec les offres les moins chères de leur réseau. Libre à vous, ensuite, de changer ou non de praticien. De son côté, la plate-forme Santéclair, qui regroupe de nombreux assureurs (MMA, AGF, Maaf…), propose depuis 2009 de confronter les tarifs de vos devis de chirurgie et d’obstétrique avec ceux de la Sécu, et la moyenne de ceux de votre région.
Négociez
Cela fait un peu marchand de tapis et pourtant… même en chirurgie, ça marche. Selon une étude de la MAAF auprès de 1.000 assurés qui ont demandé un devis chirurgical, les deux tiers ont marchandé et, trois fois sur quatre, ont obtenu gain de cause. Une fois votre devis analysé, rien de plus simple que d’aller gentiment demander des comptes au chirurgien qui vous facture un dépassement excessif. Les ristournes peuvent aller jusqu’à 500 ou 1.000 € !
Utilisez les services des facultés
Cela a l’air d’une blague, mais ça ne l’est pas. Dans les facultés de chirurgie dentaire, les étudiants en 4e ou 5e année se font la main sur de vrais patients, encadrés par leurs professeurs. Les prix sont cassés, de 40 à 50 % moins cher et vous n’avancez pas le tiers payant. En revanche, les soins n’ont lieu que dans les créneaux horaires scolaires et l’attente est longue. Même combine chez les apprentis opticiens.
Le boom des mutuelles santé low cost
Amaguiz (Groupama), Direct-assurance (Axa), IdMacif (Macif)… De plus en plus de Français n’hésitent plus à se tourner vers les complémentaires santé « discount ». Certes, à moindre coût, ces mutuelles couvrent également moins de risques et ne prennent pas en charge les frais dits « de confort » comme la chambre particulière ou les lentilles de contact. En dix ans, le prix des complémentaires santé a bondi de 50 %., atteignant en moyenne 600 € par an. « A garantie égale, on peut espérer économiser 15 % en souscrivant à une couverture santé low cost mieux adaptée », considère Stanislas Di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.
Selon lui, la meilleure mutuelle n’est pas celle qui rembourse le plus, mais celle qui répond le mieux au consommateur. « Avant même de comparer, il faut savoir ce dont on a besoin et éviter les prestations superflues. Si l’on ne porte pas de lunettes, il est inutile de souscrire à un contrat qui couvre l’optique au maximum, par exemple. Ensuite, il n’y a pas de secret, il faut éplucher et comparer les offres. »
Mais attention aux pièges : toujours demander le montant d’un remboursement, plutôt que le pourcentage. Sur les frais dentaires tellement mal couverts par la Sécu, par exemple, 400 pour cent de pas grand-chose, ça reste… pas grand-chose. Le site communautaire Opinion-assurances.fr permet aux assurés de partager leurs expériences, et ainsi d’éviter les arnaques
France soir
Questions :
1) Expliquez les expressions suivantes :
a)"Un système de santé à deux vitesses"
b) "quand la santé va, tout va !"
2)Commentez les chiffres suivants :
a) "Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français"
3)Enfin vous commenterez 5 conseils de l'article les plus pertinents dans une même rédaction.
CONSIGNES :
-Vos rédactions à la question 1 ne dépasseront pas 5 lignes pour chaque expression.
-Votre commentaire à la question 2 devra contenir une explication et ne pas dépasser 15 lignes au grand maximum. Soyez synthétiques.
-Les conseils que vous pouvez commenter pour la question 3 sont colorés en rouge dans le texte.Attention à vous de trier les plus pertinents.
L'article ne doit pas être paraphrasé.
La rédaction à la question 3 serra structurée introduction, développement et conclusion, votre développement comportera un paragraphe par type de conseil et enfin votre rédaction se limitera à 25 lignes maximum.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Voilà je vous mettrai le dernier exercice de la semaine type concours Mercredi !
Travaillez bien
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Travaillez bien

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique