Elève en burnout?
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Elève en burnout?
Bonsoir,
Après avoir donné à plusieurs reprises des conseils, je me trouve à mon tour dans une situation difficile:
Ma 1ère année c'est très bien passée, à la rentrée de septembre (2ème année) nous avons enchaîné 9 semaines de cours de malade clôturées par une semaine de partiels, à la fin j'étais crevée, le moral un peu en berne. puis enchainement du stage 4 dès la semaine suivante, et là affectation de stage : HAD, avec beaucoup de palliatif, grosse appréhension et effectivement au bout de 2 semaines je craque, je commence à avoir des attaques de panique, un matin, jeudi la semaine dernière, sous la douche je suis bloquée, je pleurs , je ne peux pas y aller, je cours chez le médecin (le collègue de la mienne) il me dit que je suis normale (je précise que je suis quelqu'un de sensible et émotif malgrè mes 38 ans et suis très emphatique avec les patients) que le service dans lequel je suis est difficile etc... il ne me prescrit rien d'autre qu'un arrêt de 2 jours.
le lendemain soir (vendredi) c'est pire, je continue à très peu dormir, donc je reconsulte le samedi matin cette fois ma médecin qui me prescrit de l'alprazolam 0,25 avec un programme sur 30 jours dégressif, je bute sur ça, des benzo pas trop envie de tomber dedans, donc j'en prend à la crise en fait.
Sur une semaine maintenant, je n'en ai pris que 4 fois en tout, j'en ai pas pris depuis 3 jours. j'ai vu la psychologue lundi soir du service de HAD qui a mit à jour un deuil non fait et me conseille de voir un psychologue analyste, de faire une analyse en fait compte tenu de ma sensibilité etc... Je dois la revoir cette semaine, je termine mon stage vendredi prochain.
J'ai vu ma formatrice référente de l'ifsi hier AM, elle me dit que je suis en burnout, que je me met la barre trop haute, que je suis intrensigente avec moi-même, que je dois réussir à prendre mes distances avec les patients et que oui effectivement je ne suis pas faite pour le palliatif.
Le palliatif a réveillé des peurs en moi (la mort), j'avais l'impression de boire leurs maladies, le domicile est trop imprégné pour moi.
J'ai l'impression d'avoir changé, je me pose des questions, j'adorais ce que je faisait et du jour au lendemain, être mal à l'aise avec les gens malades serait possible? à votre avis ?
Je ne sais plus quoi penser, je me demande si je suis vraiment faite pour être IDE en fait, je comprends pas. j'ai peur de déclencher une dépression en fait.
Mon parcours de stage jusqu'à maintenant est : cancéro, EHPAD, médecine gériatrique aiguë
Merci de votre avis et de vos conseils
HELP!!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Après avoir donné à plusieurs reprises des conseils, je me trouve à mon tour dans une situation difficile:
Ma 1ère année c'est très bien passée, à la rentrée de septembre (2ème année) nous avons enchaîné 9 semaines de cours de malade clôturées par une semaine de partiels, à la fin j'étais crevée, le moral un peu en berne. puis enchainement du stage 4 dès la semaine suivante, et là affectation de stage : HAD, avec beaucoup de palliatif, grosse appréhension et effectivement au bout de 2 semaines je craque, je commence à avoir des attaques de panique, un matin, jeudi la semaine dernière, sous la douche je suis bloquée, je pleurs , je ne peux pas y aller, je cours chez le médecin (le collègue de la mienne) il me dit que je suis normale (je précise que je suis quelqu'un de sensible et émotif malgrè mes 38 ans et suis très emphatique avec les patients) que le service dans lequel je suis est difficile etc... il ne me prescrit rien d'autre qu'un arrêt de 2 jours.
le lendemain soir (vendredi) c'est pire, je continue à très peu dormir, donc je reconsulte le samedi matin cette fois ma médecin qui me prescrit de l'alprazolam 0,25 avec un programme sur 30 jours dégressif, je bute sur ça, des benzo pas trop envie de tomber dedans, donc j'en prend à la crise en fait.
Sur une semaine maintenant, je n'en ai pris que 4 fois en tout, j'en ai pas pris depuis 3 jours. j'ai vu la psychologue lundi soir du service de HAD qui a mit à jour un deuil non fait et me conseille de voir un psychologue analyste, de faire une analyse en fait compte tenu de ma sensibilité etc... Je dois la revoir cette semaine, je termine mon stage vendredi prochain.
J'ai vu ma formatrice référente de l'ifsi hier AM, elle me dit que je suis en burnout, que je me met la barre trop haute, que je suis intrensigente avec moi-même, que je dois réussir à prendre mes distances avec les patients et que oui effectivement je ne suis pas faite pour le palliatif.
Le palliatif a réveillé des peurs en moi (la mort), j'avais l'impression de boire leurs maladies, le domicile est trop imprégné pour moi.
J'ai l'impression d'avoir changé, je me pose des questions, j'adorais ce que je faisait et du jour au lendemain, être mal à l'aise avec les gens malades serait possible? à votre avis ?
Je ne sais plus quoi penser, je me demande si je suis vraiment faite pour être IDE en fait, je comprends pas. j'ai peur de déclencher une dépression en fait.
Mon parcours de stage jusqu'à maintenant est : cancéro, EHPAD, médecine gériatrique aiguë
Merci de votre avis et de vos conseils
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infirmière-promo 2010-2013
- augusta
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Re: Elève en burnout?
Juste un petit mot pour te dire que tout le monde a peur de la mort...
Ensuite on peut très bien avoir envie d'exercer cette profession mais ne pas être faite pour tel ou tel service. Et alors?
Personnellement je ne me verrais pas en réa, en chir, en soins palliatifs (pourquoi?)....pourtant je suis IDE et j'adore ce que je peux faire en service psy!
La formation est bousculante sur le plan psychologique...il faut donc accepter d'être bousculée (= de cogiter sur la mort, la maladie, la vieillesse, la dépendance, la peur de l'échec, la peur de réussir etc etc)...et trouver le service dans lequel on peut s'épanouir
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Ensuite on peut très bien avoir envie d'exercer cette profession mais ne pas être faite pour tel ou tel service. Et alors?
Personnellement je ne me verrais pas en réa, en chir, en soins palliatifs (pourquoi?)....pourtant je suis IDE et j'adore ce que je peux faire en service psy!
La formation est bousculante sur le plan psychologique...il faut donc accepter d'être bousculée (= de cogiter sur la mort, la maladie, la vieillesse, la dépendance, la peur de l'échec, la peur de réussir etc etc)...et trouver le service dans lequel on peut s'épanouir

"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: Elève en burnout?
Je rebondis sur ce qu'a dis ma collègue en voyant ton parcours de stage. Il me semble assez difficile en effet. Il existe beaucoup plus de facettes au travail de l'IDE, la pédiatrie, la chirurgie, l'urgence, la néonat, la maternité, la médecine de prévention, la médecine scolaire etc...Vivi50 a écrit : cancéro, EHPAD, médecine gériatrique aiguë
Merci de votre avis et de vos conseils
HELP!!!!
Tu as eu, il me semble, un parcours de stage qui tourne pas mal autour de la mort et de la gériatrie je ne pense pas qui tu ais vu beaucoup de patient jeune à part lors de ton premier stage. Je pense également que tu as vu des patients avec des pathologies très lourde.
Je pense qu'il faut que tu prennes du recule et que tu te dises qu'il y a plus au métier que ce que tu as vu. Si ce que tu as vécu t'es insupportable alors il faudra une fois ton DE en poche que tu choisisse un service qui te corresponde.
Mais je pense en effet que tu devrais écouter les conseils et peut être voir un professionnel pour comprendre si ton mal être est passager, si c'est vraiment un burnout, car il est très difficile de d’auto-diagnostiquer, et encore plus de se faire diagnostiquer ici.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Elève en burnout?
Merci pour vos réponses,
En effet j'ai vu des pathologies assez lourdes et oui j'ai vu beaucoup de personnes âgées, et en fait dans mes stages je n'ai vu que la fin de la vie, pas de guérison donc ça plombe le moral, je suis assez fatiguée psychologiquement, nerveusement, aujourd'hui ce dimanche, je me sens vidée d'émotions, je me sens molle, éteinte, moi qui suis un clown d'habitude, je n'ai pas réussi à ne pas penser au stage durant le week-end, j'arrête pas d'y penser.
Vivement les vacances de noël.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
En effet j'ai vu des pathologies assez lourdes et oui j'ai vu beaucoup de personnes âgées, et en fait dans mes stages je n'ai vu que la fin de la vie, pas de guérison donc ça plombe le moral, je suis assez fatiguée psychologiquement, nerveusement, aujourd'hui ce dimanche, je me sens vidée d'émotions, je me sens molle, éteinte, moi qui suis un clown d'habitude, je n'ai pas réussi à ne pas penser au stage durant le week-end, j'arrête pas d'y penser.
Vivement les vacances de noël.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
infirmière-promo 2010-2013
Re: Elève en burnout?
Prends du temps pour toi je sais les études n'y aident pas mais demande à ton entourage de te sortir de tes livres et tu répondras à coup sur j'ai pas le temps mais si tu l'as tu dois le prendre sort toi vis toi tu peux tu es en bonne santé vie ta vie hors IFSI!
Tu vis un moment difficile de la formation on en a tous eu c'est très dur je sais de quoi tu parles je te comprends très bien...
Tu as sans doute des passions des hobbies et ben continue les...
Et surtout si tu as besoin d'aide n'hésite pas ce n'est pas une honte de voir un psychologue psychiatre psychanaliste and co et ai confiance si ton médecin te prescrit de l'alprazolam écoute ses arguments tu es libre de faire ce que tu veux certes mais si il te l'a prescrit il sait de quoi il parle...
Difficile de t'aider plus par le biais d'un forum mais n'hesite pas à te faire aider trouves toi des personnes de confiance professionnelle en plus de ton entourage qui seront à meme de t aider
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Tu vis un moment difficile de la formation on en a tous eu c'est très dur je sais de quoi tu parles je te comprends très bien...
Tu as sans doute des passions des hobbies et ben continue les...
Et surtout si tu as besoin d'aide n'hésite pas ce n'est pas une honte de voir un psychologue psychiatre psychanaliste and co et ai confiance si ton médecin te prescrit de l'alprazolam écoute ses arguments tu es libre de faire ce que tu veux certes mais si il te l'a prescrit il sait de quoi il parle...
Difficile de t'aider plus par le biais d'un forum mais n'hesite pas à te faire aider trouves toi des personnes de confiance professionnelle en plus de ton entourage qui seront à meme de t aider

Infirmier Diplômé d'Etat, Formateur de professionnels de santé
"On ne répond pas à une demande, on la traite"
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- Habitué
- Messages : 73
- Inscription : 30 nov. 2011 17:16
Re: Elève en burnout?
Bonjour,
la peur de la mort est humain et je comprends votre empathie.
c'est un des aspects du métier de l'infirmière de cotoyer la mort.
c'est dur, mais il faut accepter qu'on ne peut pas sauver tout le monde, les médecins doivent vivre également avec ce sentiment frustrant.
Les soins palliatifs est un service où les gens meurent, c'est un fait.
La mission de l'infirmière est d'aider les patients à partir avec un minimum de confort, de soins, de souffrances...
on peut avoir du mal effectivement à voir les gens mourir, mais notre métier est de posséder suffisamment de recul pour que rentrer à la maison, nous ne soyons pas " bouffé(e)s" par cette expérience...
c'est temporaire, c'est un stage, il va se terminer et vous pourrez ensuite en faire d'autres en vous disant " les soins palliatifs, ce n'est pas pour moi".
je suis moi même en cours d'analyse ( cela fait quelques années, cela marche très bien), moment très bon pour moi, cela me renforce et me permet de voir les choses avec le recul nécessaire.
cela ne m'empêche pas d'envisager de travailler un temps en psychiatrie ( domaine qui me fait un peu peur mais je suis attirée par ce que je crains pour mieux connaitre et moins craindre) également en soins palliatifs car je pense que cette expérience doit sacrément donner envie de vivre et faire ce que l'on craint...
allez courage, tout n'est pas beau, reposez vous, voyez vos amis, cessez de vouloir être la meilleure, franchement ca ne va pas vous apporter beaucoup de choses en plus et ayez du recul!!!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
la peur de la mort est humain et je comprends votre empathie.
c'est un des aspects du métier de l'infirmière de cotoyer la mort.
c'est dur, mais il faut accepter qu'on ne peut pas sauver tout le monde, les médecins doivent vivre également avec ce sentiment frustrant.
Les soins palliatifs est un service où les gens meurent, c'est un fait.
La mission de l'infirmière est d'aider les patients à partir avec un minimum de confort, de soins, de souffrances...
on peut avoir du mal effectivement à voir les gens mourir, mais notre métier est de posséder suffisamment de recul pour que rentrer à la maison, nous ne soyons pas " bouffé(e)s" par cette expérience...
c'est temporaire, c'est un stage, il va se terminer et vous pourrez ensuite en faire d'autres en vous disant " les soins palliatifs, ce n'est pas pour moi".
je suis moi même en cours d'analyse ( cela fait quelques années, cela marche très bien), moment très bon pour moi, cela me renforce et me permet de voir les choses avec le recul nécessaire.
cela ne m'empêche pas d'envisager de travailler un temps en psychiatrie ( domaine qui me fait un peu peur mais je suis attirée par ce que je crains pour mieux connaitre et moins craindre) également en soins palliatifs car je pense que cette expérience doit sacrément donner envie de vivre et faire ce que l'on craint...
allez courage, tout n'est pas beau, reposez vous, voyez vos amis, cessez de vouloir être la meilleure, franchement ca ne va pas vous apporter beaucoup de choses en plus et ayez du recul!!!!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"ton avenir dépend de tes rêves. ne perds pas de temps, va te coucher" Coluche
Re: Elève en burnout?
[quote="Vivi50"]
J'ai vu ma formatrice référente de l'ifsi hier AM, elle me dit que je suis en burnout, que je me met la barre trop haute, que je suis intransigeante avec moi-même,[/quote]
C'est classique arrivée en 2ème année
Faut relativiser mais c'est plus facile à dire qu'à faire (je connais le blème) mais faut essayer car la 3ème année arrive et la pression aussi.
Maintenant l' HAD, j'y suis passé et c'est vrai que les cas sont pas évidents d'autant que tu rentres dans "l'intimité du domicile" et que tu prends ça aussi sur toi.
(maladie grave + misère socio-économique + l'entourage aidant-soignant à soutenir) Dur dur bien souvent......t'inquiète t'es pas toute seule mais le seul conseil que je puisse te donner c'est "de remonter à cheval" sans trop trop attendre car tu vas te poser trop trop de questions à la longue et cogiter
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J'ai vu ma formatrice référente de l'ifsi hier AM, elle me dit que je suis en burnout, que je me met la barre trop haute, que je suis intransigeante avec moi-même,[/quote]
C'est classique arrivée en 2ème année

Faut relativiser mais c'est plus facile à dire qu'à faire (je connais le blème) mais faut essayer car la 3ème année arrive et la pression aussi.
Maintenant l' HAD, j'y suis passé et c'est vrai que les cas sont pas évidents d'autant que tu rentres dans "l'intimité du domicile" et que tu prends ça aussi sur toi.
(maladie grave + misère socio-économique + l'entourage aidant-soignant à soutenir) Dur dur bien souvent......t'inquiète t'es pas toute seule mais le seul conseil que je puisse te donner c'est "de remonter à cheval" sans trop trop attendre car tu vas te poser trop trop de questions à la longue et cogiter

DEI 2009/2012
Re: Elève en burnout?
Merci pour votre soutien et vos conseils, je me sens bien mieux depuis hier, depuis hier, je fais les soins avec plaisir à nouveau, je me sens revenir à la "normale", je n'ai pas eu de nouvelles crises de panique avec cette sensation horrible imminente de devenir folle et d'être étrangère au monde extérieur, c'est un truc très bizarre on croit devenir dingue, enfin bref, le cerveau et sa chimie : une grande complexité!!!
pourvu que cela ne se reproduise jamais!!
J'ai fait des pansements d'escarres aujourd'hui, je n'en avais pas encore fait (d'escarres) et j'adore les pansements en général, donc c'était une bonne journée.
Je sais aussi que mon moral va mieux parce que je sais que le stage prend fin ce vendredi
!!!
merci encore à vous tous et toutes, c'est important de se soutenir, je l'ai fait aussi sur ce forum quand j'ai eu l'occasion,
a+Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pourvu que cela ne se reproduise jamais!!
J'ai fait des pansements d'escarres aujourd'hui, je n'en avais pas encore fait (d'escarres) et j'adore les pansements en général, donc c'était une bonne journée.
Je sais aussi que mon moral va mieux parce que je sais que le stage prend fin ce vendredi

merci encore à vous tous et toutes, c'est important de se soutenir, je l'ai fait aussi sur ce forum quand j'ai eu l'occasion,

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infirmière-promo 2010-2013
Re: Elève en burnout?
Excellent conseil que je t'invite à suivre si tu as un réel désir d'entreprendre une psychanalyse. Et ce, même si tu vas mieux... tu ne peux qu'y gagner.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Vivi50 a écrit :j'ai vu la psychologue lundi soir du service de HAD qui a mit à jour un deuil non fait et me conseille de voir un psychologue analyste, de faire une analyse en fait compte tenu de ma sensibilité etc...
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
J. Oury