TFE Difficultés PEC patients alcoolo-dépendan
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TFE Difficultés PEC patients alcoolo-dépendan
Bonjour à toutes et à tous, je suis étudiante infirmière et en ce moment je fais une recherche sur les difficultés de prise en charge des patients alcoolo-dépendants en psychiatrie.
Si vous êtes infirmier(e)s en psychiatrie, j'aurais voulu savoir si vous rencontriez des difficultés avec ces patients? Et si oui, lesquelles sont-elles?
De plus, par rapport à ça, j'aurais voulu savoir qu'est qui pourrait être amélioré, à tout point de vue, pour permettre une meilleure prise en charge de ces patients en psychiatrie?
Je vous remercie pour les réponses que vous m'apporterez
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Si vous êtes infirmier(e)s en psychiatrie, j'aurais voulu savoir si vous rencontriez des difficultés avec ces patients? Et si oui, lesquelles sont-elles?
De plus, par rapport à ça, j'aurais voulu savoir qu'est qui pourrait être amélioré, à tout point de vue, pour permettre une meilleure prise en charge de ces patients en psychiatrie?
Je vous remercie pour les réponses que vous m'apporterez

Re: Difficultés de prise en charge des patients alcoolo-dépe
la prise en charge de patients alcoolique est térs compliquer de même que pour toute autre dependance (celle ci en particulier peut entrainer la mort durand le seuvrage DT)
ce qui est compliquer c'est que peut de patient son réélement motiver soi il vienne pour faire plaisir a leur entourage soi par contrainte HO SDT.
de plus certain pavillon son un peut comme des prison on y fait rentrer tout est n importe quoi certaine toxique arrive a passer outre notre vigilance du coup la tentation est grande et al rechute garantie.
lorsque tu travail en psychiatrie tu voi revenir sans cesse les même patients pour les même problémes tu met des choses en place et sa se casse la figure encore et encore.
du coup sa moisi les prise en charge cette année par exemple c'est a dire depuis janvier j'ai un patient qui a passé 4mois et demi chez nous sur multiple hospi.
tu ne sais plus car quel bout y prendre au final tu te dit que le tps qu il est hospitalisé il en boi un peut moins.
aprés tu en a qui s en sorte bien evidement mais je suis en pavillon d entrée depuis 7ans et je peut les compter sur les doigts de la main.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ce qui est compliquer c'est que peut de patient son réélement motiver soi il vienne pour faire plaisir a leur entourage soi par contrainte HO SDT.
de plus certain pavillon son un peut comme des prison on y fait rentrer tout est n importe quoi certaine toxique arrive a passer outre notre vigilance du coup la tentation est grande et al rechute garantie.
lorsque tu travail en psychiatrie tu voi revenir sans cesse les même patients pour les même problémes tu met des choses en place et sa se casse la figure encore et encore.
du coup sa moisi les prise en charge cette année par exemple c'est a dire depuis janvier j'ai un patient qui a passé 4mois et demi chez nous sur multiple hospi.
tu ne sais plus car quel bout y prendre au final tu te dit que le tps qu il est hospitalisé il en boi un peut moins.
aprés tu en a qui s en sorte bien evidement mais je suis en pavillon d entrée depuis 7ans et je peut les compter sur les doigts de la main.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Inscription : 03 août 2012 11:10
Re: Difficultés de prise en charge des patients alcoolo-dépe
bonjour,
j'ai travaillé en service accueillant des patients dépendants et, effectivement, c'est très difficile.
déjà , la motivation est l'élément primordial qui fera que son sevrage réussiera ou non.
ensuite, il faut que le patient et,surtout, l'équipe se mette bien en tête qu'une rechute n'est pas un échec et qu'il faut parfois en passer par là pour mieux réussir. un collègue m'avait dit un jour, "chaque hospitalisation est une petite graine qu'on plante, et un jour un arbre en surgira"....
il faut que le patient ai confiance ds le programme de soins que tu lui proposera.
j'avais mis en place un groupe de parole , c'était très important et bénéfique. les patients n'étaient pas obligés de parler, mais ainsi ils pouvaient voir qu'ils n'étaient pas seuls et cela arrivaient à créer un réseau d'entraide.
il faut ensuite proposer au patient toutes les aides possibles et inimaginables à l'extérieur car c'est là, le véritable danger. si on voudrait être parfait, il faudrait que le patient change de vie, afin de ne pas retomber ds les tentations. mais on sait tous que c'est impossible.
je travaillais également avec des carnets de bords fournis par un labo, une sorte de journal intime où le patient notait quotidiennement ses ressentis, ce qu'il avait fait pour pas boire etc etc....
ca marchait bien selon la motivation...
n'hésites pas si tu as besoin !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
j'ai travaillé en service accueillant des patients dépendants et, effectivement, c'est très difficile.
déjà , la motivation est l'élément primordial qui fera que son sevrage réussiera ou non.
ensuite, il faut que le patient et,surtout, l'équipe se mette bien en tête qu'une rechute n'est pas un échec et qu'il faut parfois en passer par là pour mieux réussir. un collègue m'avait dit un jour, "chaque hospitalisation est une petite graine qu'on plante, et un jour un arbre en surgira"....
il faut que le patient ai confiance ds le programme de soins que tu lui proposera.
j'avais mis en place un groupe de parole , c'était très important et bénéfique. les patients n'étaient pas obligés de parler, mais ainsi ils pouvaient voir qu'ils n'étaient pas seuls et cela arrivaient à créer un réseau d'entraide.
il faut ensuite proposer au patient toutes les aides possibles et inimaginables à l'extérieur car c'est là, le véritable danger. si on voudrait être parfait, il faudrait que le patient change de vie, afin de ne pas retomber ds les tentations. mais on sait tous que c'est impossible.
je travaillais également avec des carnets de bords fournis par un labo, une sorte de journal intime où le patient notait quotidiennement ses ressentis, ce qu'il avait fait pour pas boire etc etc....
ca marchait bien selon la motivation...
n'hésites pas si tu as besoin !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- Hippocampette68
- Messages : 21
- Inscription : 26 août 2012 13:22
- Localisation : Alsace
Re: TFE Difficultés PEC patients alcoolo-dépendan
L'outil de la thérapie cognitivo comportementale est également une piste intéressante à exploiter ;oDÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A la recherche d'une formation sur les Théapies Cognitivo - Comportementales , si possible diplômante. Quelqu'un a un tuyau ??
- augusta
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Re: TFE Difficultés PEC patients alcoolo-dépendan
ça dépend pour qui.Hippocampette68 a écrit :L'outil de la thérapie cognitivo comportementale est également une piste intéressante à exploiter ;oD
Tu ne soignes que le symptome dans les TCC, pas la cause.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
- Hippocampette68
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- Localisation : Alsace
Re: TFE Difficultés PEC patients alcoolo-dépendan
Cela dépend pour qui je suis entièrement d'accord. En revanche tu ne soignes pas que le symptôme, mais aussi la cause. Par l'analyse diachronique et synchronique tu peux remonter jusqu'à la causeaugusta a écrit :ça dépend pour qui.Hippocampette68 a écrit :L'outil de la thérapie cognitivo comportementale est également une piste intéressante à exploiter ;oD
Tu ne soignes que le symptome dans les TCC, pas la cause.

A la recherche d'une formation sur les Théapies Cognitivo - Comportementales , si possible diplômante. Quelqu'un a un tuyau ??