Entraînement culture générale 2013
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amandine_83136
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Re: Entraînement culture générale 2013
je poste un nouveau texte... concours Saint-Égrève, mars 201
Les « enfants sauvages » font partie de notre mythologie. On les imagine abandonnés au fond d’une lointaine forêt, ayant réussi à survivre seuls, ou parfois accompagnés de loups ou de singes.
Mais les enfants sauvages existent-ils réellement ? Le plus célèbre d’entre eux fut Victor de l’Aveyron. La nouvelle de sa capture en 1800 avait mis en émoi toute l’Europe. On en a tiré des histoires, des films et des essais. Tout laisse à penser aujourd’hui que Victor était un « autiste » comme on dirait aujourd’hui. Il fut sans doute abandonné par ses parents et a erré quelque temps avant d’être recueilli. Ses signes de « sauvagerie » (repli sur soi, absence de langage, crises de colère, arriération mentale) indiquent qu’il n’était nullement un enfant élevé seul dans la nature. Comme l’avait déjà supposé Philippe Pinel, Victor souffrait d’un grave trouble psychiatrique qui l’avait exclu de la société.
Le plus célèbre cas « d’enfants-loups » remonte aux années 1920. Il s’agit de Kamala et Amala, deux petites sœurs trouvées dans une tanière et recueillies par le révérend Singh. Il a fallu attendre 2007 pour découvrir qu’il s’agissait en fait d’une énorme supercherie. Aucun des cas probables d’enfants sauvages n’a pu être confirmé. Il s’agit d’une mythologie moderne que les sciences humaines ont complaisamment admise parce qu’elle semblait confirmer l’une de ses idées fondatrices : les humains n’ont pas de nature et seule la culture modèle leur conduite.
Les enfants-placards
Si les enfants-loups sont des mythes, il existe pourtant de vrais enfants sauvages. Ils vivent seuls, enfermés dans une pièce par des parents bourreaux : ce sont les « enfants-placards ». Ce fut le cas de Genie, petite martyre retrouvée à l’âge de treize ans, qui vivait depuis l’âge de deux ans dans une chambre. Ce fut le cas de ces milliers d’enfants roumains qui ont croupi dans des orphelinats insalubres, avec pour seul horizon les barreaux de leur lit.
Ces enfants souffrent d’un mal que le psychologue René Spitz avait appelé « l’hospitalisme ». Privés de contacts, d’échanges, de caresses, de regards, de mots, de sourires, ces enfants subissent de graves troubles de développement à la fois intellectuel, affectif et physique. Ces enfants martyrs nous apprennent une chose essentielle sur les humains. Elevé hors de tout échange avec ses semblables, l’enfant ne révèle pas une « nature humaine » à l’état vierge. Il subit de graves séquelles qui en font un être mutilé. Il en va de même pour tous les mammifères sociaux : la chaleur des contacts est une condition essentielle de leur développement.
Faut-il en conclure pour autant que c’est la société – socialisation, éducation, culture – qui « fabrique » l’être humain ? Ce n’est pas ce que nous enseignent ces autres enfants sauvages que sont les autistes.
Les autistes
Les autistes souffrent de graves déficits dans la communication, le langage et l’adaptation sociale. Ils vivent repliés sur eux-mêmes, comme enfermés dans leur bulle. Les causes de ce trouble n’ont pas encore été élucidées. Une chose est certaine : très tôt dans leur développement s’est déréglé un dispositif neuropsychologique qui affecte profondément la relation à autrui.
Pour tenter de soigner l’autisme, de nombreuses méthodes ont été expérimentées. Certaines reposent sur une stimulation intensive. Des équipes se relaient plusieurs par jours, parfois sept jours sur sept pour tenter de les éduquer et les socialiser. Les défenseurs de ces méthodes – fortement discutées – se prévalent de réels progrès. Mais une chose est sûre : même ses promoteurs ne prétendent pas guérir les autistes.
Les contacts sociaux, même répétés de façon intensive, ne suffisent pas pour fabriquer « un humain normal » si un dispositif neurodéveloppemental a été altéré au départ. Toute l’attention bienveillante des éducateurs et tout l’amour des parents auront le plus grand mal à tracer leur chemin dans des circuits neurologiques défectueux. Si le cerveau n’est pas équipé correctement pour capter les informations, les mots, les regards, les caresses qui s’adressent a lui, même une sollicitation intensive ne parviendra pas à combler totalement ce déficit.
D’un côté, les enfants-placards, qui ne se développent pas en l’absence de contacts sociaux, nous suggèrent que la société est indispensable pour fabriquer des humains ; de l’autre côté, les enfants autistes, bien que surstimulés, ne parviennent pas à se développer normalement. La société est donc une condition nécessaire mais non suffisante pour fabriquer un humain. Il faut aussi que le cerveau soit capable d’aller puiser dans son environnement les éléments nutritifs dont il a besoin pour s’épanouir.
Tout cela suggère l’existence d’un processus de coproduction entre le cerveau et son milieu. Elle pourrait être le produit d’une coévolution comme on en trouve fréquemment dans la nature.
Prenons un exemple simple : celui d’une plante. Tout végétal – une rose, un saule pleureur ou une fougère – a besoin de lumière pour croître. C’est grâce aux photons de lumière que s’effectue la photosynthèse qui permet la construction du végétal. Ses feuilles vertes ne sont rien d’autres que des capteurs de lumière qui se déploient dans l’air à la recherche de photons lumineux. Si la lumière vient à manquer, alors la plante va dépérir et subir de graves dommages. Ce n’est pas le soleil qui fabrique la plante, mais il est un ingrédient essentiel à son développement. Il faut également que la graine fécondée possède en elle un « plan de développement » qui la pousse à aller chercher dans son environnement les éléments dont elle a besoin pour croître : les racines vont chercher l’eau, les feuilles la lumière.
Le développement du cerveau semble guidé par un processus équivalent. Le cerveau humain doit déployer ses capteurs pour aller chercher dans l’environnement social les éléments dont il a besoin pour survivre. Pour cela, le bébé est équipé de tout un arsenal d’émotions sociales (attachement, empathie) et de modules cognitifs tournés vers la connaissance d’autrui (reconnaissance des visages, détection des intentions). Toutes ces motivations et aptitudes humaines ont fait l’objet de très nombreuses études ces dernières années.
Si l’environnement vient à manquer, de graves perturbations se produisent : c’est l’enfant-placard. Inversement, si un dispositif de capture des informations sociales est défaillant, la socialisation ne peut se faire. C’est l’enfant autiste.
Le cerveau et son milieu interagissent dans un processus de construction réciproque. Voilà la leçon des enfants sauvages.
Question n°1
Résumez le texte en une dizaine de lignes.
Question n°2
Selon vous, la « stimulation intensive » des enfants autistes est-elle une bonne méthode ?
Question n°3
La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile. A la lumière du texte et de vos connaissances, indiquez si c'est aux enfants handicapés de s'adapter à l'école ou si c'est à l'école de s'adapter aux handicaps de chacun.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les « enfants sauvages » font partie de notre mythologie. On les imagine abandonnés au fond d’une lointaine forêt, ayant réussi à survivre seuls, ou parfois accompagnés de loups ou de singes.
Mais les enfants sauvages existent-ils réellement ? Le plus célèbre d’entre eux fut Victor de l’Aveyron. La nouvelle de sa capture en 1800 avait mis en émoi toute l’Europe. On en a tiré des histoires, des films et des essais. Tout laisse à penser aujourd’hui que Victor était un « autiste » comme on dirait aujourd’hui. Il fut sans doute abandonné par ses parents et a erré quelque temps avant d’être recueilli. Ses signes de « sauvagerie » (repli sur soi, absence de langage, crises de colère, arriération mentale) indiquent qu’il n’était nullement un enfant élevé seul dans la nature. Comme l’avait déjà supposé Philippe Pinel, Victor souffrait d’un grave trouble psychiatrique qui l’avait exclu de la société.
Le plus célèbre cas « d’enfants-loups » remonte aux années 1920. Il s’agit de Kamala et Amala, deux petites sœurs trouvées dans une tanière et recueillies par le révérend Singh. Il a fallu attendre 2007 pour découvrir qu’il s’agissait en fait d’une énorme supercherie. Aucun des cas probables d’enfants sauvages n’a pu être confirmé. Il s’agit d’une mythologie moderne que les sciences humaines ont complaisamment admise parce qu’elle semblait confirmer l’une de ses idées fondatrices : les humains n’ont pas de nature et seule la culture modèle leur conduite.
Les enfants-placards
Si les enfants-loups sont des mythes, il existe pourtant de vrais enfants sauvages. Ils vivent seuls, enfermés dans une pièce par des parents bourreaux : ce sont les « enfants-placards ». Ce fut le cas de Genie, petite martyre retrouvée à l’âge de treize ans, qui vivait depuis l’âge de deux ans dans une chambre. Ce fut le cas de ces milliers d’enfants roumains qui ont croupi dans des orphelinats insalubres, avec pour seul horizon les barreaux de leur lit.
Ces enfants souffrent d’un mal que le psychologue René Spitz avait appelé « l’hospitalisme ». Privés de contacts, d’échanges, de caresses, de regards, de mots, de sourires, ces enfants subissent de graves troubles de développement à la fois intellectuel, affectif et physique. Ces enfants martyrs nous apprennent une chose essentielle sur les humains. Elevé hors de tout échange avec ses semblables, l’enfant ne révèle pas une « nature humaine » à l’état vierge. Il subit de graves séquelles qui en font un être mutilé. Il en va de même pour tous les mammifères sociaux : la chaleur des contacts est une condition essentielle de leur développement.
Faut-il en conclure pour autant que c’est la société – socialisation, éducation, culture – qui « fabrique » l’être humain ? Ce n’est pas ce que nous enseignent ces autres enfants sauvages que sont les autistes.
Les autistes
Les autistes souffrent de graves déficits dans la communication, le langage et l’adaptation sociale. Ils vivent repliés sur eux-mêmes, comme enfermés dans leur bulle. Les causes de ce trouble n’ont pas encore été élucidées. Une chose est certaine : très tôt dans leur développement s’est déréglé un dispositif neuropsychologique qui affecte profondément la relation à autrui.
Pour tenter de soigner l’autisme, de nombreuses méthodes ont été expérimentées. Certaines reposent sur une stimulation intensive. Des équipes se relaient plusieurs par jours, parfois sept jours sur sept pour tenter de les éduquer et les socialiser. Les défenseurs de ces méthodes – fortement discutées – se prévalent de réels progrès. Mais une chose est sûre : même ses promoteurs ne prétendent pas guérir les autistes.
Les contacts sociaux, même répétés de façon intensive, ne suffisent pas pour fabriquer « un humain normal » si un dispositif neurodéveloppemental a été altéré au départ. Toute l’attention bienveillante des éducateurs et tout l’amour des parents auront le plus grand mal à tracer leur chemin dans des circuits neurologiques défectueux. Si le cerveau n’est pas équipé correctement pour capter les informations, les mots, les regards, les caresses qui s’adressent a lui, même une sollicitation intensive ne parviendra pas à combler totalement ce déficit.
D’un côté, les enfants-placards, qui ne se développent pas en l’absence de contacts sociaux, nous suggèrent que la société est indispensable pour fabriquer des humains ; de l’autre côté, les enfants autistes, bien que surstimulés, ne parviennent pas à se développer normalement. La société est donc une condition nécessaire mais non suffisante pour fabriquer un humain. Il faut aussi que le cerveau soit capable d’aller puiser dans son environnement les éléments nutritifs dont il a besoin pour s’épanouir.
Tout cela suggère l’existence d’un processus de coproduction entre le cerveau et son milieu. Elle pourrait être le produit d’une coévolution comme on en trouve fréquemment dans la nature.
Prenons un exemple simple : celui d’une plante. Tout végétal – une rose, un saule pleureur ou une fougère – a besoin de lumière pour croître. C’est grâce aux photons de lumière que s’effectue la photosynthèse qui permet la construction du végétal. Ses feuilles vertes ne sont rien d’autres que des capteurs de lumière qui se déploient dans l’air à la recherche de photons lumineux. Si la lumière vient à manquer, alors la plante va dépérir et subir de graves dommages. Ce n’est pas le soleil qui fabrique la plante, mais il est un ingrédient essentiel à son développement. Il faut également que la graine fécondée possède en elle un « plan de développement » qui la pousse à aller chercher dans son environnement les éléments dont elle a besoin pour croître : les racines vont chercher l’eau, les feuilles la lumière.
Le développement du cerveau semble guidé par un processus équivalent. Le cerveau humain doit déployer ses capteurs pour aller chercher dans l’environnement social les éléments dont il a besoin pour survivre. Pour cela, le bébé est équipé de tout un arsenal d’émotions sociales (attachement, empathie) et de modules cognitifs tournés vers la connaissance d’autrui (reconnaissance des visages, détection des intentions). Toutes ces motivations et aptitudes humaines ont fait l’objet de très nombreuses études ces dernières années.
Si l’environnement vient à manquer, de graves perturbations se produisent : c’est l’enfant-placard. Inversement, si un dispositif de capture des informations sociales est défaillant, la socialisation ne peut se faire. C’est l’enfant autiste.
Le cerveau et son milieu interagissent dans un processus de construction réciproque. Voilà la leçon des enfants sauvages.
Question n°1
Résumez le texte en une dizaine de lignes.
Question n°2
Selon vous, la « stimulation intensive » des enfants autistes est-elle une bonne méthode ?
Question n°3
La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile. A la lumière du texte et de vos connaissances, indiquez si c'est aux enfants handicapés de s'adapter à l'école ou si c'est à l'école de s'adapter aux handicaps de chacun.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2014-2017
Tres contente est fiere d'être prise...
Report de l'annee 2013..
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Re: Entraînement culture générale 2013
je poste mon devoir ce soir , bisous. 
Pour ton devoir je l'ai trouvé pas si mal que ça maintenant je vais pas m'avancer je suis très pro
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Pour ton devoir je l'ai trouvé pas si mal que ça maintenant je vais pas m'avancer je suis très pro
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.ESI 2013-2016 Ave Maria
Re: Entraînement culture générale 2013
Cc! tous le monde!
Bin oui j'espère aussi qu'on est sur la bonne voie!
Au moins on peut comparer nos devoirs c'est déja bien et surtout si il y a quelque chose qui vraiment ne va pas on peut se le signaler entre nous!
Bisous à vous!!!!!!!!!
PS:Mon point faible:la grammaire et l'orthographe =(Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Bin oui j'espère aussi qu'on est sur la bonne voie!
Au moins on peut comparer nos devoirs c'est déja bien et surtout si il y a quelque chose qui vraiment ne va pas on peut se le signaler entre nous!
Bisous à vous!!!!!!!!!
PS:Mon point faible:la grammaire et l'orthographe =(Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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amandine_83136
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Re: Entraînement culture générale 2013
ci-joint mon devoir. Il ya que la question 1 et 2 car la 3 je sèche, cela fait 1h15 que je suis dessus et je ne suis pas inspiré du tout peut-être par manque de connaissance sur le sujet, donc je vais prendre mon livre, prendre le chapitre handicap et l'apprendre peut -être que je serais plus inspirer ensuite.
bonne soirée...
Question n°1
Résumez le texte en une dizaine de lignes.
Le texte mets en évidence les différences et l'origine des enfants sauvages, des enfants placards et des enfants autistes.
Tout d'abord, l'enfant sauvage relève d'un mythe qui donnerait à l'homme la capacité de vivre dans un milieu autre que la civilisation. Aucun enfant sauvage n'a vraiment existé.
Par ailleurs, les enfants placards sont réels, bouc émissaire de leur entourage certain se voient coupés du monde dès leurs plus jeune âge comme Génie retrouvée à l'âge de 13 ans.
Privée de tout contact affectif, et sociale, les séquelles psychologiques, physiques et intellectuelles sont importante.
L'enfant autiste, lui victime d'une dégénérescence neuropsychologique, qui entraîne une difficulté à percevoir les gestes affectifs, les émotions, se voit stimuler à longueur de journées par les médecins, les éducateurs et les parents mais cela ne suffit pas à palier aux difficultés psychologiques et à entamer un développement normale.
Pour conclure, le relationnelle est essentielle pour le bon développement physique et psychologique
de l'homme à partir du moment où aucun dérèglement cérébrale n'est détecté.
Question n°2
Selon vous, la « stimulation intensive » des enfants autistes est-elle une bonne méthode ?
On appelle « stimulation intensive » l'action de capter l'attention d'une personnes de façon répétitives.
L'enfant autiste victime d'une dégénérescence neuropsychologique, qui entraîne la non perception des attentions à son égard, demande une stimulation permanente pour son bon développement. Trouble du langage,problème de communication font partie des nombreux symptômes de l'autisme. Nous verrons dans un premier temps les points positifs de cette stimulation intensive puis les mis en garde face à cette pratique pour le développement de l'enfant.
En effet, à travers la stimulation intensive essentiellement faite par le jeu, de réel progrès peuvent être constatés sur le comportement de l'enfant. Plus serein et plus facile manipuler, l'apprentissage ne sera que mieux.
De plus, l'enfant autiste demande un encadrement perpétuelle dans sa vie, la stimulation lui permettra d'être entourer de professionnelles qui auront pour but de le faire progresser jour après jour.
Cependant, l'enfant autiste a aussi besoin de s'évader et de ne pas sentir en évaluation permanente. Il est donc nécessaire de dissocier la stimulation et le loisir, en partageant avec lui des activités ludiques où il pourra s'évader ce qui reste le rôle de ses parents.
Enfin, la stimulation intensive reste une bonne pratique d'encadrement et d'apprentissage, mais faut il encore que celle-ci ne deviennent pas permanente et que l'enfant reste un enfant malgré ses difficultés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
bonne soirée...
Question n°1
Résumez le texte en une dizaine de lignes.
Le texte mets en évidence les différences et l'origine des enfants sauvages, des enfants placards et des enfants autistes.
Tout d'abord, l'enfant sauvage relève d'un mythe qui donnerait à l'homme la capacité de vivre dans un milieu autre que la civilisation. Aucun enfant sauvage n'a vraiment existé.
Par ailleurs, les enfants placards sont réels, bouc émissaire de leur entourage certain se voient coupés du monde dès leurs plus jeune âge comme Génie retrouvée à l'âge de 13 ans.
Privée de tout contact affectif, et sociale, les séquelles psychologiques, physiques et intellectuelles sont importante.
L'enfant autiste, lui victime d'une dégénérescence neuropsychologique, qui entraîne une difficulté à percevoir les gestes affectifs, les émotions, se voit stimuler à longueur de journées par les médecins, les éducateurs et les parents mais cela ne suffit pas à palier aux difficultés psychologiques et à entamer un développement normale.
Pour conclure, le relationnelle est essentielle pour le bon développement physique et psychologique
de l'homme à partir du moment où aucun dérèglement cérébrale n'est détecté.
Question n°2
Selon vous, la « stimulation intensive » des enfants autistes est-elle une bonne méthode ?
On appelle « stimulation intensive » l'action de capter l'attention d'une personnes de façon répétitives.
L'enfant autiste victime d'une dégénérescence neuropsychologique, qui entraîne la non perception des attentions à son égard, demande une stimulation permanente pour son bon développement. Trouble du langage,problème de communication font partie des nombreux symptômes de l'autisme. Nous verrons dans un premier temps les points positifs de cette stimulation intensive puis les mis en garde face à cette pratique pour le développement de l'enfant.
En effet, à travers la stimulation intensive essentiellement faite par le jeu, de réel progrès peuvent être constatés sur le comportement de l'enfant. Plus serein et plus facile manipuler, l'apprentissage ne sera que mieux.
De plus, l'enfant autiste demande un encadrement perpétuelle dans sa vie, la stimulation lui permettra d'être entourer de professionnelles qui auront pour but de le faire progresser jour après jour.
Cependant, l'enfant autiste a aussi besoin de s'évader et de ne pas sentir en évaluation permanente. Il est donc nécessaire de dissocier la stimulation et le loisir, en partageant avec lui des activités ludiques où il pourra s'évader ce qui reste le rôle de ses parents.
Enfin, la stimulation intensive reste une bonne pratique d'encadrement et d'apprentissage, mais faut il encore que celle-ci ne deviennent pas permanente et que l'enfant reste un enfant malgré ses difficultés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2013
aggacée par le fait de ne pas savoir quoi écrire a la question 3, j'ai fini par faire qq chose.. soyez indugent il est 1h du matin !!
Question n°3
La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile. A la lumière du texte et de vos connaissances, indiquez si c'est aux enfants handicapés de s'adapter à l'école ou si c'est à l'école de s'adapter aux handicaps de chacun.
La situation de handicap se résume à une limitation des possibilités d'interaction d'un individu avec son environnement, causée par une déficience provoquant une incapacité, permanente ou non, menant à un stress et à des difficultés morales, intellectuelles, sociales et/ou physiques.
Le handicap peut être la cause d' un accident de la vie, de la route, être la suite de violences subites ou encore d'un problème congénitale.
Particulier à chacun et de degrés aléatoire le handicap, est un facteur d'exclusion sociale et ce dès le plus jeune âge.
L'éducation, et la socialisation étant un facteur important au développement personnel, est ce à l'enfant de s'adapter à l'école ou le contraire ?
En effet, à travers le système éducatif, l'enfant en situation de handicap se verra plus important, et inconsciemment poussé à la volonté de réussir par ses camarades.
Le contact humain permet d'oublier les differences et les handicaps de chacun,
Cependant, les souffrances et les difficultés restent présente malgré tout, il est donc important que celui-ci est une aide ou un soutien personnalisé par les enseignants, les auxiliaires de vies scolaire et ses parents.
De plus, certains handicaps sont plus important que d'autre et nécessite d'être pris en charge par un centre spécialisé comme les non-voyants où l'apprentissage de la lecture est différente que dans le cursus scolaire habituel.
Le programme scolaire étant le même pour tout l'enceinte de l'établissement, l' handicap n' est plus perçu comme une différence.
Enfin, la loi du 11 février 2005 obligeant la scolarisation de tous les enfants en situation de handicap, se doit de mettre en place des dispositifs pour les accueillir notamment au niveau encadrement pour leur sécurité et celle des autres ainsi qu'au niveau éducatif, un enfant handicapé demandera plus d'attention, plus de temps pour l'apprentissage.
Pour conclure, l'éducation nationale mets en place au fur et à mesure différents dispositifs pour palier à l'accueil de ses enfants, ,ce qui a permis la scolarisation de 25 000 enfants handicapés cette année.
Par ailleurs, l'éducation et la socialisation d'un enfant ne s’arrête pas à l'école, reste au parents le soin de leur donner toute affection et l'amour dont ils ont besoin afin de contribuer au développement de leur progéniture.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Question n°3
La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile. A la lumière du texte et de vos connaissances, indiquez si c'est aux enfants handicapés de s'adapter à l'école ou si c'est à l'école de s'adapter aux handicaps de chacun.
La situation de handicap se résume à une limitation des possibilités d'interaction d'un individu avec son environnement, causée par une déficience provoquant une incapacité, permanente ou non, menant à un stress et à des difficultés morales, intellectuelles, sociales et/ou physiques.
Le handicap peut être la cause d' un accident de la vie, de la route, être la suite de violences subites ou encore d'un problème congénitale.
Particulier à chacun et de degrés aléatoire le handicap, est un facteur d'exclusion sociale et ce dès le plus jeune âge.
L'éducation, et la socialisation étant un facteur important au développement personnel, est ce à l'enfant de s'adapter à l'école ou le contraire ?
En effet, à travers le système éducatif, l'enfant en situation de handicap se verra plus important, et inconsciemment poussé à la volonté de réussir par ses camarades.
Le contact humain permet d'oublier les differences et les handicaps de chacun,
Cependant, les souffrances et les difficultés restent présente malgré tout, il est donc important que celui-ci est une aide ou un soutien personnalisé par les enseignants, les auxiliaires de vies scolaire et ses parents.
De plus, certains handicaps sont plus important que d'autre et nécessite d'être pris en charge par un centre spécialisé comme les non-voyants où l'apprentissage de la lecture est différente que dans le cursus scolaire habituel.
Le programme scolaire étant le même pour tout l'enceinte de l'établissement, l' handicap n' est plus perçu comme une différence.
Enfin, la loi du 11 février 2005 obligeant la scolarisation de tous les enfants en situation de handicap, se doit de mettre en place des dispositifs pour les accueillir notamment au niveau encadrement pour leur sécurité et celle des autres ainsi qu'au niveau éducatif, un enfant handicapé demandera plus d'attention, plus de temps pour l'apprentissage.
Pour conclure, l'éducation nationale mets en place au fur et à mesure différents dispositifs pour palier à l'accueil de ses enfants, ,ce qui a permis la scolarisation de 25 000 enfants handicapés cette année.
Par ailleurs, l'éducation et la socialisation d'un enfant ne s’arrête pas à l'école, reste au parents le soin de leur donner toute affection et l'amour dont ils ont besoin afin de contribuer au développement de leur progéniture.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2013
Q1
A l'époque les enfants sauvages étaient une mythologie qui animait les esprits. Ces enfants dont le comportement ne s'accordaient pas à la société sont maintenant perçu comme malade, atteint d'autisme. Néanmoins, malgré la connaissance de la maladie, il existe toujours des rejets.
Cependant une distinction est faite entre un autiste et un enfant placard. En effet l'enfant placard, autrement dit l'enfant enfermer et coupé du monde et privé de connaissance n'aura aucun mal a s' intégré par la suite, il suffit d'un apprentissage et d'une volonté. Contrairement à l'autisme ,il sera difficile de s'intégrer car l'autisme est une maladie neurologique. Toute fois des structures d'aide ont trouvé une méthode qui atténue les effets des troubles de la maladie , la sur-stimulation.
Q2
L'autisme est une maladie neurologique. Les personnes atteintes d'autisme sont pour la plupart rejeter de la société . Toutes fois, ces malades sont pris en charge par des structures de soins qui les aides à améliorer leur intégration. Être autiste c'est le reste. En effet il n'y a pas remède qui permettrait la guérison du patient. Cependant les professionnels de santé ont trouvés grâce à diverses méthodes un moyen d'atténué les troubles liés à la maladie.
Cette méthode est la sur-stimulation. Ce projet nécessite la mobilisation de plusieurs personnels spécialisés, ils doivent fournir un travail complet toutes les semaines.Ces exercices répétés aides à combattre les troubles liés à la maladie. L'enfant vient moins agressif et peu ainsi essayer de se contrôler.
En conclusion,il est donc indispensable qu'un suivi se fasse , la stimulation intensif est une bonne chose. Elle permet à l'autiste de vivre en communauté. Néanmoins le travail doit s'adapter au rythme du patient , trop peu peut être accentuer ses troubles.
Q3
L'égalité des droits et des chances est une loi qui permet aux personnes handicapées d'intégrer la société. Leur intégration se situe surtout sois sur le lieux du travail ,pour un adulte ou au milieux scolaire pour un enfant.
Deux axes seront abordés, tout d'abord il y l évolution des aides ensuite les aides proposé et les problèmes qui se poses.
Anciennement les enfants atteints d' handicaps ne disposaient pas de droit qui favorisait leur inscription dans une école. La principale cause de ce refus été dû a un manque de personnel, donc plus de charge pour le professeur . L'autre motif été la peur que l'enfant sois rejeté par d'autre élèves et qu'ils subissent des moqueries. Ce refus été perçu comme une discrimination. Parallèlement des associations militaient qu'une loi voit le jour.
Les années ont passé et une loi a été voté. Depuis 8 ans , cette loi donne droit a légalité des chance pour tous. Autrement dit , la législation facilite l'inscription en milieux scolaire, impose des changements de la structure de l'école (ascenseur, locaux adéquates) . Des professionnels , telle que les auxiliaires d' aide sont proposés pour un meilleur suivie et garantissent une certaine confiance pour l'élève.Les mentalités ont changé.
Dans de nombreuse écoles, ont aperçoit beaucoup plus d'enfants handicapés qu' auparavant.Toute fois ont dénombre des soucis du système, certaine écoles accueillent encore ces élèves dans des conditions de travail difficile. Les locaux ne sont pas adapté ou trop petit, manque de matériel. Les classes, comme les CLIS ne sont pas adapté selon l' handicap.
En somme, se n'est pas à l'enfant des s'adapter à la société mais à la société de s'adapter à l'enfant. C'est pour cela que la société doit fournir un maximum de structure pour que tout le monde puissent trouver son compte. Tout le monde à droit a une bonne scolarisationÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A l'époque les enfants sauvages étaient une mythologie qui animait les esprits. Ces enfants dont le comportement ne s'accordaient pas à la société sont maintenant perçu comme malade, atteint d'autisme. Néanmoins, malgré la connaissance de la maladie, il existe toujours des rejets.
Cependant une distinction est faite entre un autiste et un enfant placard. En effet l'enfant placard, autrement dit l'enfant enfermer et coupé du monde et privé de connaissance n'aura aucun mal a s' intégré par la suite, il suffit d'un apprentissage et d'une volonté. Contrairement à l'autisme ,il sera difficile de s'intégrer car l'autisme est une maladie neurologique. Toute fois des structures d'aide ont trouvé une méthode qui atténue les effets des troubles de la maladie , la sur-stimulation.
Q2
L'autisme est une maladie neurologique. Les personnes atteintes d'autisme sont pour la plupart rejeter de la société . Toutes fois, ces malades sont pris en charge par des structures de soins qui les aides à améliorer leur intégration. Être autiste c'est le reste. En effet il n'y a pas remède qui permettrait la guérison du patient. Cependant les professionnels de santé ont trouvés grâce à diverses méthodes un moyen d'atténué les troubles liés à la maladie.
Cette méthode est la sur-stimulation. Ce projet nécessite la mobilisation de plusieurs personnels spécialisés, ils doivent fournir un travail complet toutes les semaines.Ces exercices répétés aides à combattre les troubles liés à la maladie. L'enfant vient moins agressif et peu ainsi essayer de se contrôler.
En conclusion,il est donc indispensable qu'un suivi se fasse , la stimulation intensif est une bonne chose. Elle permet à l'autiste de vivre en communauté. Néanmoins le travail doit s'adapter au rythme du patient , trop peu peut être accentuer ses troubles.
Q3
L'égalité des droits et des chances est une loi qui permet aux personnes handicapées d'intégrer la société. Leur intégration se situe surtout sois sur le lieux du travail ,pour un adulte ou au milieux scolaire pour un enfant.
Deux axes seront abordés, tout d'abord il y l évolution des aides ensuite les aides proposé et les problèmes qui se poses.
Anciennement les enfants atteints d' handicaps ne disposaient pas de droit qui favorisait leur inscription dans une école. La principale cause de ce refus été dû a un manque de personnel, donc plus de charge pour le professeur . L'autre motif été la peur que l'enfant sois rejeté par d'autre élèves et qu'ils subissent des moqueries. Ce refus été perçu comme une discrimination. Parallèlement des associations militaient qu'une loi voit le jour.
Les années ont passé et une loi a été voté. Depuis 8 ans , cette loi donne droit a légalité des chance pour tous. Autrement dit , la législation facilite l'inscription en milieux scolaire, impose des changements de la structure de l'école (ascenseur, locaux adéquates) . Des professionnels , telle que les auxiliaires d' aide sont proposés pour un meilleur suivie et garantissent une certaine confiance pour l'élève.Les mentalités ont changé.
Dans de nombreuse écoles, ont aperçoit beaucoup plus d'enfants handicapés qu' auparavant.Toute fois ont dénombre des soucis du système, certaine écoles accueillent encore ces élèves dans des conditions de travail difficile. Les locaux ne sont pas adapté ou trop petit, manque de matériel. Les classes, comme les CLIS ne sont pas adapté selon l' handicap.
En somme, se n'est pas à l'enfant des s'adapter à la société mais à la société de s'adapter à l'enfant. C'est pour cela que la société doit fournir un maximum de structure pour que tout le monde puissent trouver son compte. Tout le monde à droit a une bonne scolarisationÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 Ave Maria
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amandine_83136
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Re: Entraînement culture générale 2013
bon.... heuuuu.. je sais ce que vous en pensez mais y a du boulot !!! pour ma part en tout cas !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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amandine_83136
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Re: Entraînement culture générale 2013
en faite, la j en pleurerai tellement j'ai l'impression de faire de la M.... et de pas avancer...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2013
J'ai pas encore lu ton boulot.. mais on va progresser t'inquiète pas =)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 Ave Maria
Re: Entraînement culture générale 2013
Pour le résumé je pense qu'il se préférable de ne pas mettre ce texte traite ou parle etc mais plutot de fait directement ta phrase d'accroche comme un résumé au dos d'un livre en fin c'est ce que je pense.
pour la Q2 je trouve que tu la bien traité .Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour la Q2 je trouve que tu la bien traité .
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Re: Entraînement culture générale 2013
Pour la Q3 Tu es sure de l'avoir fait seul? c'est bien rechercher en faite Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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amandine_83136
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Re: Entraînement culture générale 2013
merci du conseil pr la Q1, je tacherai de le suivre...
pour la 3 j ai passé environ 1h30 pour la faire !!! merci pour les compliments, ca motive... c'est dure quand on a pas d avis exterieur !! merci encore...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour la 3 j ai passé environ 1h30 pour la faire !!! merci pour les compliments, ca motive... c'est dure quand on a pas d avis exterieur !! merci encore...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2013
tu passes quand tes écrits??
moi a la Réunion c'est ce 27 fev.
je me suis inscrite pour Toulouse et Bordeaux
Tu pourrais m'aider a juger mon boulot?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
moi a la Réunion c'est ce 27 fev.
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Re: Entraînement culture générale 2013
NOUVEAU SUJET
Sujet d’annale IFSI 2012 :
Concours Ile-de-France
Texte :
Colocation, nécessité ou art de vivre?
La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné. Si l'aspect financier est souvent prépondérant, les adeptes de la cohabitation recherchent aussi plus de confort et une vie sociale enrichissante.
Un phénomène aujourd'hui loin d'être marginal, puisque 20 % des Français, et même jusqu'à 28 des 25-34 ans, ont déjà essayé ce mode de vie1. Plusieurs sites Internet lui sont d'ailleurs consacrés.
Face à la hausse du coût de la vie, des loyers, et à la pénurie de logements dans certaines agglomérations, la colocation a de l'avenir. « C'est une nécessité financière avant tout », confirme Jeremy, 27 ans, qui habite à La Rochelle. « J'avais besoin d'indépendance, mais vu le prix des loyers et les cautions demandées ... », 71 % des 16-25 ans considèrent la colocation avant tout comme une nécessité économique2.
Cette difficulté à joindre les deux: bouts amène de nouveaux publics vers ce mode d'hébergement alternatif: jeunes actifs, salariée au pouvoir d'achat rogné, retraités et adeptes de la vie en communauté.
55 % des colocataires sont des jeunes salariés âgés de 20 à 35 ans, tandis que 40 % sont des étudiants3.
Il faut aussi compter avec les accidents de la vie (séparation, chômage ... ), qui conduisent à la colocation pour des raisons économiques ... Etudiants ou travailleurs saisonniers peuvent ainsi s'installer chez des personnes âgées, en contrepartie d'un loyer modique et de quelques services rendus, Ces initiatives permettent de développer une réelle solidarité et un dialogue entre générations.
Dépenser moins pour être mieux logé.
Outre l'aspect économique, de nombreuses raisons permettent d'expliquer le choix de ce mode de vie. L'union faisant la force, la colocation permet d'accéder à un confort qu'on ne pourrait pas envisager en solitaire. 68 % des personnes interrogées (sur un échantillon de 809 jeunes de 16 à 25 ans) estiment ainsi que c'est un moyen de dépenser moins pour être mieux logé.
Oublié le studio minuscule, place aux grand espaces ! C'est aussi l'occasion de mener une vie sociale riche ... Enfin, vivre à plusieurs, c'est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même.
De nombreux sites Internet proposent des petites annonces dans ce domaine. Un nouveau concept vient également de naître: les rencontres express entre colocataires potentiels ... Il s'agit là de mettre en relation ceux qui cherchent à partager leur future habitation et ceux qui souhaitent trouver le colocataire idéal. Pour l'instant, ce concept n'existe toutefois que dans les grandes agglomérations. Comme le déclare Jean-Michel Thomas fondateur du site coloc-senior.fr, « La majorité des personnes qui postent des annonces ont entre 50 et 60 ans. Ce sont surtout des femmes, souvent divorcées. Pour une personne ayant longtemps vécu seule ou en couple, ce n'est pas facile de passer à la colocation. Dans les grandes villes la motivation première est de payer un loyer moins élevé. A la campagne, c'est surtout pour éviter la solitude. Par le biais de la colocation, certaines personnes recherchent sans doute aussi l'âme sœur. .. ».
Pour une colocation réussie, mieux vaut bien se renseigner. .. D'abord, il faut trouver un bailleur qui accepte de loger plusieurs personnes sous le même toit. .. 62 % des colocations se font entre amis, 26 % entre inconnus et 12 % entre membres d'une même famille.4
Une colocation n'est viable à long terme que si l'on a un minimum d'affinités et des styles de vie assez proches ... Étudiants studieux et fêtards invétérés font rarement bon ménage ... Une fois installé, il est préférable de fixer quelques règles de vie. Assurez-vous également que votre acolyte a les moyens de régler son loyer. .. Chacun doit avoir signé le contrat de bail et se retrouve donc considéré de fait comme co-titulaire du bail. De cette signature découlent plusieurs obligations juridiques: paiement du loyer et des charges, entretien des lieux. [ ... ]
Enfin il convient que tous les résidents soient assurés au titre de leur responsabilité civile locative. Si ces formalités administratives ne vous font pas peur, sachez que 76 % des actuels ou ex-colocataires estiment que la colocation réserve « beaucoup de bons moments» au final.
Olivier Duffour-Houisse, Dossier « Spécial coloc »,
MAIF magazine 157, octobre 2011.
1. Source: colocation.fr.
2. Étude TNS-Sofres publiée en juin 2010.
3. Source: étude du site www.appartager.com.[
4. Source: TNS-Sofres
Questions :
5 points pour la forme: syntaxe, orthographe, présentation de la copie, langage adapté, vocabulaire, respect des consignes.
Question 1 : (5 points)
Dégagez dans le texte, en les reformulant, trois idées qui plaident en faveur de la colocation et deux qui la présentent de façon moins favorable.
Consigne: rédigez votre réponse en 20 lignes.
Question 2 : (5 points)
« La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné ».
En vous appuyant sur les éléments du texte (dont les données chiffrées) et sur vos connaissances, présentez la population qui pratique la cohabitation en France.
Consigne: rédigez votre réponse en 15 à 20 lignes.
Question 3 : (5 points)
« Enfin, vivre à plusieurs, c'est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même ».
Que pensez-vous de cette affirmation?
Consigne : rédigez votre réponse en 25 à 30 lignes qui devra comporter une introduction, un développement et une conclusion.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Sujet d’annale IFSI 2012 :
Concours Ile-de-France
Texte :
Colocation, nécessité ou art de vivre?
La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné. Si l'aspect financier est souvent prépondérant, les adeptes de la cohabitation recherchent aussi plus de confort et une vie sociale enrichissante.
Un phénomène aujourd'hui loin d'être marginal, puisque 20 % des Français, et même jusqu'à 28 des 25-34 ans, ont déjà essayé ce mode de vie1. Plusieurs sites Internet lui sont d'ailleurs consacrés.
Face à la hausse du coût de la vie, des loyers, et à la pénurie de logements dans certaines agglomérations, la colocation a de l'avenir. « C'est une nécessité financière avant tout », confirme Jeremy, 27 ans, qui habite à La Rochelle. « J'avais besoin d'indépendance, mais vu le prix des loyers et les cautions demandées ... », 71 % des 16-25 ans considèrent la colocation avant tout comme une nécessité économique2.
Cette difficulté à joindre les deux: bouts amène de nouveaux publics vers ce mode d'hébergement alternatif: jeunes actifs, salariée au pouvoir d'achat rogné, retraités et adeptes de la vie en communauté.
55 % des colocataires sont des jeunes salariés âgés de 20 à 35 ans, tandis que 40 % sont des étudiants3.
Il faut aussi compter avec les accidents de la vie (séparation, chômage ... ), qui conduisent à la colocation pour des raisons économiques ... Etudiants ou travailleurs saisonniers peuvent ainsi s'installer chez des personnes âgées, en contrepartie d'un loyer modique et de quelques services rendus, Ces initiatives permettent de développer une réelle solidarité et un dialogue entre générations.
Dépenser moins pour être mieux logé.
Outre l'aspect économique, de nombreuses raisons permettent d'expliquer le choix de ce mode de vie. L'union faisant la force, la colocation permet d'accéder à un confort qu'on ne pourrait pas envisager en solitaire. 68 % des personnes interrogées (sur un échantillon de 809 jeunes de 16 à 25 ans) estiment ainsi que c'est un moyen de dépenser moins pour être mieux logé.
Oublié le studio minuscule, place aux grand espaces ! C'est aussi l'occasion de mener une vie sociale riche ... Enfin, vivre à plusieurs, c'est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même.
De nombreux sites Internet proposent des petites annonces dans ce domaine. Un nouveau concept vient également de naître: les rencontres express entre colocataires potentiels ... Il s'agit là de mettre en relation ceux qui cherchent à partager leur future habitation et ceux qui souhaitent trouver le colocataire idéal. Pour l'instant, ce concept n'existe toutefois que dans les grandes agglomérations. Comme le déclare Jean-Michel Thomas fondateur du site coloc-senior.fr, « La majorité des personnes qui postent des annonces ont entre 50 et 60 ans. Ce sont surtout des femmes, souvent divorcées. Pour une personne ayant longtemps vécu seule ou en couple, ce n'est pas facile de passer à la colocation. Dans les grandes villes la motivation première est de payer un loyer moins élevé. A la campagne, c'est surtout pour éviter la solitude. Par le biais de la colocation, certaines personnes recherchent sans doute aussi l'âme sœur. .. ».
Pour une colocation réussie, mieux vaut bien se renseigner. .. D'abord, il faut trouver un bailleur qui accepte de loger plusieurs personnes sous le même toit. .. 62 % des colocations se font entre amis, 26 % entre inconnus et 12 % entre membres d'une même famille.4
Une colocation n'est viable à long terme que si l'on a un minimum d'affinités et des styles de vie assez proches ... Étudiants studieux et fêtards invétérés font rarement bon ménage ... Une fois installé, il est préférable de fixer quelques règles de vie. Assurez-vous également que votre acolyte a les moyens de régler son loyer. .. Chacun doit avoir signé le contrat de bail et se retrouve donc considéré de fait comme co-titulaire du bail. De cette signature découlent plusieurs obligations juridiques: paiement du loyer et des charges, entretien des lieux. [ ... ]
Enfin il convient que tous les résidents soient assurés au titre de leur responsabilité civile locative. Si ces formalités administratives ne vous font pas peur, sachez que 76 % des actuels ou ex-colocataires estiment que la colocation réserve « beaucoup de bons moments» au final.
Olivier Duffour-Houisse, Dossier « Spécial coloc »,
MAIF magazine 157, octobre 2011.
1. Source: colocation.fr.
2. Étude TNS-Sofres publiée en juin 2010.
3. Source: étude du site www.appartager.com.[
4. Source: TNS-Sofres
Questions :
5 points pour la forme: syntaxe, orthographe, présentation de la copie, langage adapté, vocabulaire, respect des consignes.
Question 1 : (5 points)
Dégagez dans le texte, en les reformulant, trois idées qui plaident en faveur de la colocation et deux qui la présentent de façon moins favorable.
Consigne: rédigez votre réponse en 20 lignes.
Question 2 : (5 points)
« La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné ».
En vous appuyant sur les éléments du texte (dont les données chiffrées) et sur vos connaissances, présentez la population qui pratique la cohabitation en France.
Consigne: rédigez votre réponse en 15 à 20 lignes.
Question 3 : (5 points)
« Enfin, vivre à plusieurs, c'est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même ».
Que pensez-vous de cette affirmation?
Consigne : rédigez votre réponse en 25 à 30 lignes qui devra comporter une introduction, un développement et une conclusion.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entraînement culture générale 2013
je passe le 1 er concours à marseille blancarde le 16/03 et ensuite toulon la garde le 23/03 et enfin CRF ollioules le 06/04.
je REjète un oeil à ton travail et je te dis ce que jen pense..Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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