Tout plaquer et se lancer
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Re: Tout plaquer et se lancer
Encore heureux !
En tout cas merci pour vos messages, je suis plus motivée que jamais pour décrocher le concours en 2013. Je me dis qu'il n'y a pas de raison que je n'y arrive pas surtout en ayant été sur LA la première fois sans trop bosser mais j'ai entendu parler d'une réforme des tests en 2009?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
En tout cas merci pour vos messages, je suis plus motivée que jamais pour décrocher le concours en 2013. Je me dis qu'il n'y a pas de raison que je n'y arrive pas surtout en ayant été sur LA la première fois sans trop bosser mais j'ai entendu parler d'une réforme des tests en 2009?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IFSI Capelette 2014 > Admissible sur LP avec 20/20 à l'oral
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Re: Tout plaquer et se lancer
Le concours a changé effectivement. Les épreuves sont sensiblement différentes même si tu retrouves des similitudes. En gros, pour être sélectionnée sur la liste des admissibles, tu as :
- Une épreuve écrite de 4 heures avec respectivement 2 heures consacrées aux tests psychotechniques puis 2 heures consacrés à un travail sur un sujet de culture générale en lien avec la santé (document + questions à traiter).
Si d'aventure tu parviens à avoir les notes requises pour passer cette étape (moyenne 10/20 avec note en dessous de 8/20 éliminatoire), tu accèdes à l'épreuve suivante :
- Un oral devant un jury de 3 personnes (typiquement cadre de l'IFSI, cadre en exercice dans service, psychologue) où on te demandera de traiter un sujet de culture générale dans le domaine de la santé (10 minutes de lecture/préparation avant l'oral) puis il te faudra converser avec le jury sur ta candidature, ton parcours, tes motivations ...
Cette 3ème note te permet d'obtenir une note finale qui te placera sur LP ou sur LC en définissant ton classement.
De mon côté j'ai préparé le concours avec 2 manuels que tu trouves aisément sur des sites web de librairie ou dans le commerce. Ils ont été amplement suffisants pour travailler les différentes épreuves. Même si j'avoue que l'essentiel de mes révisions se sont concentrées sur les tests psychotechniques. J'ai pas mal de facilités de rédaction donc pour la culture générale je me suis contenté de m'imprégner des vastes sujets potentiels et pour l'oral j'ai travaillé mes motivations. Les ouvrages qui sont actuellement en vente tiennent tous compte de la nouvelle réforme normalement. Si tu pars sur un achat d'occasion vérifie tout de même qu'il n'est pas antérieur à 2009. Il n'est pas impossible de préparer le concours avec mais je trouve que ça perturbe et ça reste moins cohérent.
Après les goûts et les couleurs
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- Une épreuve écrite de 4 heures avec respectivement 2 heures consacrées aux tests psychotechniques puis 2 heures consacrés à un travail sur un sujet de culture générale en lien avec la santé (document + questions à traiter).
Si d'aventure tu parviens à avoir les notes requises pour passer cette étape (moyenne 10/20 avec note en dessous de 8/20 éliminatoire), tu accèdes à l'épreuve suivante :
- Un oral devant un jury de 3 personnes (typiquement cadre de l'IFSI, cadre en exercice dans service, psychologue) où on te demandera de traiter un sujet de culture générale dans le domaine de la santé (10 minutes de lecture/préparation avant l'oral) puis il te faudra converser avec le jury sur ta candidature, ton parcours, tes motivations ...
Cette 3ème note te permet d'obtenir une note finale qui te placera sur LP ou sur LC en définissant ton classement.
De mon côté j'ai préparé le concours avec 2 manuels que tu trouves aisément sur des sites web de librairie ou dans le commerce. Ils ont été amplement suffisants pour travailler les différentes épreuves. Même si j'avoue que l'essentiel de mes révisions se sont concentrées sur les tests psychotechniques. J'ai pas mal de facilités de rédaction donc pour la culture générale je me suis contenté de m'imprégner des vastes sujets potentiels et pour l'oral j'ai travaillé mes motivations. Les ouvrages qui sont actuellement en vente tiennent tous compte de la nouvelle réforme normalement. Si tu pars sur un achat d'occasion vérifie tout de même qu'il n'est pas antérieur à 2009. Il n'est pas impossible de préparer le concours avec mais je trouve que ça perturbe et ça reste moins cohérent.
Après les goûts et les couleurs

єѕι 2o12/2o15
"gυéяιя ραяƒσιѕ, ѕσυℓαgєя ѕσυνєηт, é¢συтєя тσυנσυяѕ." ℓ.ρ.
"gυéяιя ραяƒσιѕ, ѕσυℓαgєя ѕσυνєηт, é¢συтєя тσυנσυяѕ." ℓ.ρ.
Re: Tout plaquer et se lancer
merci 
Bon pour l'avoir passé une fois, comme toi, no panic pour la rédaction. Je ne fais pas beaucoup de fautes, et pour être chargée de com, il vaut mieux avoir un bon côté rédactionnel. Après pour la culture, ça demande un minimum mais je lirais pas mal avant le jour J
Par contre pour les tests, je me souviens de minis tests plus ou moins "farfelus", des simples, des moins simples. J'ai entendu (ou lu) qu'ils étaient remplacés par des épreuves de calcul, logique...
Je vais m'acheter des livres de révision, c'est aussi bien et si je m'y prend 6 mois à l'avance avec un peu chaque jour, ça devrait le faire.
Pour l'oral, je me souviens, j'avais eu comme sujet "les enfants pauvres et les écoles privées" (je m'en souviens encore pour vous dire) et comme question personnelle "comment annoncer à un patient qu'il est mourant" (question piège évidement) et "quel est le contenu du programme IDE".
J'avais eu 12 aux tests psycho, 14 à l'écrit, 10 à l'oral.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Bon pour l'avoir passé une fois, comme toi, no panic pour la rédaction. Je ne fais pas beaucoup de fautes, et pour être chargée de com, il vaut mieux avoir un bon côté rédactionnel. Après pour la culture, ça demande un minimum mais je lirais pas mal avant le jour J

Par contre pour les tests, je me souviens de minis tests plus ou moins "farfelus", des simples, des moins simples. J'ai entendu (ou lu) qu'ils étaient remplacés par des épreuves de calcul, logique...

Je vais m'acheter des livres de révision, c'est aussi bien et si je m'y prend 6 mois à l'avance avec un peu chaque jour, ça devrait le faire.
Pour l'oral, je me souviens, j'avais eu comme sujet "les enfants pauvres et les écoles privées" (je m'en souviens encore pour vous dire) et comme question personnelle "comment annoncer à un patient qu'il est mourant" (question piège évidement) et "quel est le contenu du programme IDE".
J'avais eu 12 aux tests psycho, 14 à l'écrit, 10 à l'oral.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Forcené
- Messages : 262
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Re: Tout plaquer et se lancer
La reconversion professionnelle, ce n'est jamais un choix facile. C'est accepter de faire une sorte de "deuil" de son passé, des études entreprises, des efforts consentis, repartir de zéro, quelque part. Pour moi le choix n'a pas été facile car moi aussi à l'époque j'étais (attention ce n'est pas péjoratif du tout !!!!) une vraie "bête à concours" qui visait l'excellence et réussissait pas mal de choses. Ce sont les échecs de la vie qui m'on fait me recentrer sur moi, sur mes valeurs et sur mes véritables envies. Moi aussi je subissais littéralement mon travail, je recherchais une voie où la curiosité intellectuelle, apprendre tout le temps et s'enrichir au contact de l'autre et des connaissances étaient au coeur du métier. Il ne m'a pas été possible de faire de stage d'observation, à cause de mon travail que je ne pouvais quitter que si mon concours était obtenu (besoin de sous-sous ^^). J'ai beaucoup réfléchi, me suis beaucoup documentée, ai rencontré pas mal de gens du milieu. Ce métier, qui me faisait il y a des années si peur, c'était au final ce que je recherchais. Puis j'ai décidé de me lancer, après avoir exposé mon projet à ma famille. Ils ont vite vu que ce n'était pas une lubie, car j'avais un gros handicap dans ce concours : les maths. Je voulais tellement ce concours que je travaillais tous les soirs au moins une à deux heures, après le boulot. Là, ils ont compris et m'ont suivie.
Toi tu as un avantage, c'est que tu es secondée par ton compagnon qui est prêt à compenser ton "déficit salarial", mettre certains projets entre parenthèses. Tu peux bénéficier du CIF, de Pôle Emploi. Moi je n'avais droit à rien et j'y arrive, car je vis encore chez mes parents, qui m'aident un peu, et je travaille à côté. Donc no stress, c'est largement faisable
Côté motivations, ton parcours ressemble assez au mien...C'est pourquoi je te conseillerai de soulever les points suivants, ne serais-ce que pour ton oral :
* "Qu'est-ce qui hors de la richesse intellectuelle et des connaissances m'attire dans ce métier et me donne envie?"
* Tu dis que tu as accompagné un proche vers le décès et que de ce fait tu te sens capable d'assumer la souffrance d'autrui. Pour avoir eu ce même type d'expérience, et avoir ensuite effectué des stages en chirurgie et en soins palliatifs, j'ai vite vu que l'expérience personnelle peut s'avérer très différente et que cela peut déstabiliser...Car tu te retrouves face à une personne dont tu ignores tout, avec un vécu parfois extrêmement lourd, mais aussi face aux proches, qui sont très très présents (quelle que soit la manière), et qui eux aussi nécessitent une prise en charge, parfois autant voire plus que le patient lui-même. C'est une chose à ne pas perdre de vue pour faire le distingo entre ton vécu en tant que personne lambda et tes attentes/comportements en tant que soignant - certains jurys risquent de soulever ce point...Etre au quotidien face à la mort et à la souffrance, ça te renvoie aussi à ce que tu es, et parfois tes propres faiblesses peuvent te déstabiliser. Mais quand tu sors de cela tu es grandi.
* L'argent est partout...SURTOUT à l'hôpital, dans les cliniques, les MDR...quand tu épluches les bons de commande de la pharmacie, tu tombes de haut
En deux ans j'ai vite compris que même si on fait ce métier (normalement) par vocation, il ne faut pas avoir peur d'être confrontée à des comportements mercantiles de certaines "instances" et faire abstraction...car on va de plus en plus nous agiter de façon plus ou moins évidente la facette "monétaire" du patient à qui on est en train de tenir la main.
* "Comment argumenter auprès du jury que c'est un métier que je choisis par Envie, et non pas un métier que je choisis pour fuir mon emploi actuel? Que je ne fais pas ça simplement par défi intellectuel? Que je suis prête à me retrouver face à des gens qui n'auront pas forcément la même curiosité, le même raisonnement, la même culture du travail, la même "envie" que moi? (Et ça...du côté patients comme du côté soignant, ça peut parfois être assez frustrant....mais bon il faut aussi s'y attendre.)
Tout ça, ce sont des questions que je me suis moi-même posées, ou auxquelles je me suis au fur et à mesure de la formation confrontées. C'est pour cela que je me permets de t'en faire part
.....Et sinon, je rejoins de nombreux forumeurs...se lever le matin et se dire "je vais apprendre à faire le métier que j'aime"...ne plus avoir cette boule au ventre...se dire qu'on intègre une filière où on a quand même le choix pour beaucoup de choses...être face aux gens et non plus aux écrans...c'est un privilège que savoure chaque jour. Je ne regrette pas mon choix et je n'ai jamais été aussi épanouie que maintenant. Je souhaite ça à tout le monde
Bon courage à toi, et surtout ne lâche rien ! Montre-leur que tu en veux !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Toi tu as un avantage, c'est que tu es secondée par ton compagnon qui est prêt à compenser ton "déficit salarial", mettre certains projets entre parenthèses. Tu peux bénéficier du CIF, de Pôle Emploi. Moi je n'avais droit à rien et j'y arrive, car je vis encore chez mes parents, qui m'aident un peu, et je travaille à côté. Donc no stress, c'est largement faisable

Côté motivations, ton parcours ressemble assez au mien...C'est pourquoi je te conseillerai de soulever les points suivants, ne serais-ce que pour ton oral :
* "Qu'est-ce qui hors de la richesse intellectuelle et des connaissances m'attire dans ce métier et me donne envie?"
* Tu dis que tu as accompagné un proche vers le décès et que de ce fait tu te sens capable d'assumer la souffrance d'autrui. Pour avoir eu ce même type d'expérience, et avoir ensuite effectué des stages en chirurgie et en soins palliatifs, j'ai vite vu que l'expérience personnelle peut s'avérer très différente et que cela peut déstabiliser...Car tu te retrouves face à une personne dont tu ignores tout, avec un vécu parfois extrêmement lourd, mais aussi face aux proches, qui sont très très présents (quelle que soit la manière), et qui eux aussi nécessitent une prise en charge, parfois autant voire plus que le patient lui-même. C'est une chose à ne pas perdre de vue pour faire le distingo entre ton vécu en tant que personne lambda et tes attentes/comportements en tant que soignant - certains jurys risquent de soulever ce point...Etre au quotidien face à la mort et à la souffrance, ça te renvoie aussi à ce que tu es, et parfois tes propres faiblesses peuvent te déstabiliser. Mais quand tu sors de cela tu es grandi.
* L'argent est partout...SURTOUT à l'hôpital, dans les cliniques, les MDR...quand tu épluches les bons de commande de la pharmacie, tu tombes de haut

* "Comment argumenter auprès du jury que c'est un métier que je choisis par Envie, et non pas un métier que je choisis pour fuir mon emploi actuel? Que je ne fais pas ça simplement par défi intellectuel? Que je suis prête à me retrouver face à des gens qui n'auront pas forcément la même curiosité, le même raisonnement, la même culture du travail, la même "envie" que moi? (Et ça...du côté patients comme du côté soignant, ça peut parfois être assez frustrant....mais bon il faut aussi s'y attendre.)
Tout ça, ce sont des questions que je me suis moi-même posées, ou auxquelles je me suis au fur et à mesure de la formation confrontées. C'est pour cela que je me permets de t'en faire part

.....Et sinon, je rejoins de nombreux forumeurs...se lever le matin et se dire "je vais apprendre à faire le métier que j'aime"...ne plus avoir cette boule au ventre...se dire qu'on intègre une filière où on a quand même le choix pour beaucoup de choses...être face aux gens et non plus aux écrans...c'est un privilège que savoure chaque jour. Je ne regrette pas mon choix et je n'ai jamais été aussi épanouie que maintenant. Je souhaite ça à tout le monde

Bon courage à toi, et surtout ne lâche rien ! Montre-leur que tu en veux !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Sois le changement que tu veux voir en ce monde.
Gandhi. Ou Luther King. Je sais plus trop.
Gandhi. Ou Luther King. Je sais plus trop.
Re: Tout plaquer et se lancer
Waouh Sushinette25 ca c’est du post ! Lol
Ce qui est dur pour moi, c’est d’être arrivée jusque la, d’être en poste, pour me dire, « mais merde, ce n’est pas ce que je veux faire de ma vie ».
Je n’ai jamais eu de mal à faire ce que je voulais, et ma propre mère me dit toujours que j’arrive à atteindre mes objectifs. Du coup, dur de tout remettre en cause 2 ans après son diplôme et de se dire qu’on recommence à zéro…dur.
Aujourd’hui en effet, mon ami me soutien, et avec le pole emploi, je peux « subsister » plus ou moins correctement, mais le CIF, je n’y pense pas. Mon poste actuel est assez dur à gérer vu mon employeur qui cherche à me virer. Lui dire que je veux devenir infirmière sera LE moyen pour lui de me pousser à la démission et / ou à la faute. Je ne cherche pas à « fuir » de mon poste, mais à me retrouver justement dans un emploi, et je ne peux malheureusement pas compter sur le fongecif d'autant plus étant en CDI.
Ce métier m’attire pour la richesse du poste, le renouveau constant, le contact humain, et surtout la multitude de pratique différente du poste (différents services, techniques etc).
J’ai vu un proche décéder, mais je me doute que c’est différent pour autrui car même si je pense avoir les épaules solides « un minimum », je sais qu’il me faudra du temps pour prendre suffisamment de recul et de distance pour rendre vivable le quotidien.
Ce forum m’a ouvert les yeux sur le coté « fric » de l’hôpital, c’est un point que je ne connaissais pas assez et qui m’évitera de me planter en sortant cette boulette à l’oral !
Après, honnêtement, je ne pense pas que ce métier est une « vocation », car on n’a pas vocation à nettoyer la merde et à se faire insulter (j'exagère mais je sais qu'on y a également droit). Je pense qu’on choisi ce métier par amour de l’humain (c’est beau lol) pour ses bons et ses moins bons cotés.
Merci beaucoup pour ton message
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ce qui est dur pour moi, c’est d’être arrivée jusque la, d’être en poste, pour me dire, « mais merde, ce n’est pas ce que je veux faire de ma vie ».
Je n’ai jamais eu de mal à faire ce que je voulais, et ma propre mère me dit toujours que j’arrive à atteindre mes objectifs. Du coup, dur de tout remettre en cause 2 ans après son diplôme et de se dire qu’on recommence à zéro…dur.
Aujourd’hui en effet, mon ami me soutien, et avec le pole emploi, je peux « subsister » plus ou moins correctement, mais le CIF, je n’y pense pas. Mon poste actuel est assez dur à gérer vu mon employeur qui cherche à me virer. Lui dire que je veux devenir infirmière sera LE moyen pour lui de me pousser à la démission et / ou à la faute. Je ne cherche pas à « fuir » de mon poste, mais à me retrouver justement dans un emploi, et je ne peux malheureusement pas compter sur le fongecif d'autant plus étant en CDI.
Ce métier m’attire pour la richesse du poste, le renouveau constant, le contact humain, et surtout la multitude de pratique différente du poste (différents services, techniques etc).
J’ai vu un proche décéder, mais je me doute que c’est différent pour autrui car même si je pense avoir les épaules solides « un minimum », je sais qu’il me faudra du temps pour prendre suffisamment de recul et de distance pour rendre vivable le quotidien.
Ce forum m’a ouvert les yeux sur le coté « fric » de l’hôpital, c’est un point que je ne connaissais pas assez et qui m’évitera de me planter en sortant cette boulette à l’oral !
Après, honnêtement, je ne pense pas que ce métier est une « vocation », car on n’a pas vocation à nettoyer la merde et à se faire insulter (j'exagère mais je sais qu'on y a également droit). Je pense qu’on choisi ce métier par amour de l’humain (c’est beau lol) pour ses bons et ses moins bons cotés.
Merci beaucoup pour ton message

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Re: Tout plaquer et se lancer
Hello
Moi aussi j'ai tout plaquer pour faire ide. Bac +3 avec 2 ans de spécialisation en biochimie, 15ans dans un boite , 2 enfants en bas âge, 1 mari, je plaque tout (lol sauf les enfants et le mari) pour reprendre le chemin de l'école avec le soutien de mon mari.
J'ai un conseil à avoir c'est de ne pas avoir d'illusion, ni de certitude.
Les illusions face à la réalité, cela fait mal. Comme dis précédemment l'argent est le nerf de la guerre. Il manque d'argent donc on fait avec moins, et surtout moins de personnel. Alors ce qu'il manque le plus c'est le temps. Le temps de prodiguer les soins qu'on veux, le temps d'écouter les personnes. On cours après le temps écraser par la charge administratif. C'est cette nouvelle réalité des soins qui écrase et dégoute les soignant. Avec le temps qui passe cette réalité épuise, écœure.
J'ai de la famille très proche soignant et cette réalité je l'a connaissait bien et cela ne m'a pas empêcher de tout plaquer. Mais même en sachant, y être confronté ça fait ouch mais au moins c'est une illusion que j'ai pas perdu.
Pour les certitudes, il vaut mieux pas en avoir car être certain fait manquer de remise en cause, de curiosité. J'ai des fois des petites certitudes et elles sont toutes tomber pour me rappeler qu'on ne sait pas avant d'avoir appris, qu'on ne sait pas avant d'y avoir été confronté. (une vie ne suffirais pas pour être confronté à tous).
Pour moi les études serait facile ou tout de moins ne me faisait vraiment pas peur au vu de mon cursus. Lol je l'ai même dit à l'oral que la théorie serait "facile" mais la réalité fait qu'il faut bcp travailler (ça pas de prb) mais qu'il y a surtout le stress des partiel, de rater, de pas savoir. Avec des enfants à charges, un financement limité qui donne pas droit à l'erreur, au redoublement, chaque partiel c'est un peu ma famille que je met en jeu. Dur dur pour moi à gérer car j'ai découvert un nouveau stress même si au final j'ai eu tous mes partiels de l'année avec d’excellente note (lol moi qui est eu avant tous mes exam en mode glandeuse)
Mais ce qui est vraiment difficile c'est pas la théorie, faut juste travailler. Ces études sont difficiles à cause des stages et de certains professionnels qui ne sont pas sympa, n'ont pas envie d'encadrer, les injustices,... être confronté à certaine situation, ne pas savoir réagir, le doute, la responsabilité de ce qu'on fait, ne fait pas et aussi la course au validation, portefolio (haï de tous) à la main.
Au final on se découvre,Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Moi aussi j'ai tout plaquer pour faire ide. Bac +3 avec 2 ans de spécialisation en biochimie, 15ans dans un boite , 2 enfants en bas âge, 1 mari, je plaque tout (lol sauf les enfants et le mari) pour reprendre le chemin de l'école avec le soutien de mon mari.
J'ai un conseil à avoir c'est de ne pas avoir d'illusion, ni de certitude.
Les illusions face à la réalité, cela fait mal. Comme dis précédemment l'argent est le nerf de la guerre. Il manque d'argent donc on fait avec moins, et surtout moins de personnel. Alors ce qu'il manque le plus c'est le temps. Le temps de prodiguer les soins qu'on veux, le temps d'écouter les personnes. On cours après le temps écraser par la charge administratif. C'est cette nouvelle réalité des soins qui écrase et dégoute les soignant. Avec le temps qui passe cette réalité épuise, écœure.
J'ai de la famille très proche soignant et cette réalité je l'a connaissait bien et cela ne m'a pas empêcher de tout plaquer. Mais même en sachant, y être confronté ça fait ouch mais au moins c'est une illusion que j'ai pas perdu.
Pour les certitudes, il vaut mieux pas en avoir car être certain fait manquer de remise en cause, de curiosité. J'ai des fois des petites certitudes et elles sont toutes tomber pour me rappeler qu'on ne sait pas avant d'avoir appris, qu'on ne sait pas avant d'y avoir été confronté. (une vie ne suffirais pas pour être confronté à tous).
Pour moi les études serait facile ou tout de moins ne me faisait vraiment pas peur au vu de mon cursus. Lol je l'ai même dit à l'oral que la théorie serait "facile" mais la réalité fait qu'il faut bcp travailler (ça pas de prb) mais qu'il y a surtout le stress des partiel, de rater, de pas savoir. Avec des enfants à charges, un financement limité qui donne pas droit à l'erreur, au redoublement, chaque partiel c'est un peu ma famille que je met en jeu. Dur dur pour moi à gérer car j'ai découvert un nouveau stress même si au final j'ai eu tous mes partiels de l'année avec d’excellente note (lol moi qui est eu avant tous mes exam en mode glandeuse)
Mais ce qui est vraiment difficile c'est pas la théorie, faut juste travailler. Ces études sont difficiles à cause des stages et de certains professionnels qui ne sont pas sympa, n'ont pas envie d'encadrer, les injustices,... être confronté à certaine situation, ne pas savoir réagir, le doute, la responsabilité de ce qu'on fait, ne fait pas et aussi la course au validation, portefolio (haï de tous) à la main.
Au final on se découvre,Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Parfois il vaut mieux ne rien dire et passer pour un crétin, plutôt que de l'ouvrir et ne plus laisser aucun doute à ce sujet.
Re: Tout plaquer et se lancer
C'est un beau parcours, et j'en profite justement de ne pas avoir encore d'enfants à charge pour me lancer ce défi (même si de nombreux parents réussissent avec succès !).
Ça semble évident pour les illusions et les certitudes et pourtant c'est tellement vrai. Discuter sur ce forum m'a ouvert les yeux sur le rapport avec l'argent/temps dans l’hôpital. C'est différent de ce que je connais "profit/CA/Objectif" mais en même temps pas si éloigné.
Je pense qu'il sera très pertinent de présenter cette vision sur les certitudes au jury lors de l'oral, car quand on est jeune, on est parfois tenté de se dire que ça sera facile, mais c'est bien loin de la réalité.
Les études ne me font pas peur, idem, 5 ans après le BAC, major de prom (sans trop en faire cela étant). Les modules abordés sont des nouveautés pour moi et j'aurais beaucoup à apprendre, mais ce n'est je pense qu'une "formalité" si on se donne suffisamment à fond.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Ça semble évident pour les illusions et les certitudes et pourtant c'est tellement vrai. Discuter sur ce forum m'a ouvert les yeux sur le rapport avec l'argent/temps dans l’hôpital. C'est différent de ce que je connais "profit/CA/Objectif" mais en même temps pas si éloigné.
Je pense qu'il sera très pertinent de présenter cette vision sur les certitudes au jury lors de l'oral, car quand on est jeune, on est parfois tenté de se dire que ça sera facile, mais c'est bien loin de la réalité.
Les études ne me font pas peur, idem, 5 ans après le BAC, major de prom (sans trop en faire cela étant). Les modules abordés sont des nouveautés pour moi et j'aurais beaucoup à apprendre, mais ce n'est je pense qu'une "formalité" si on se donne suffisamment à fond.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Tout plaquer et se lancer
je pense qu à l'avenir tu devrais être plus modérée dans tes propos car cela risque de t'attirer les foudres de personnes qui t'entoure car n'oublions pas que les partiels sont rarement validés par 100 % de la promo et dans ta façon de s'exprimer on pourrait croire qu'ils ne se sont pas donnés à fondLes modules abordés sont des nouveautés pour moi et j'aurais beaucoup à apprendre, mais ce n'est je pense qu'une "formalité" si on se donne suffisamment à fond.
en sachant que ce genre de discours le jour de l'oral peut être préjudiciable
mais bon tu as le temps de voir d'ici làÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Tout plaquer et se lancer
Désolée si je me suis mal exprimée, mon but n'est pas de froisser qui que ce soit
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Re: Tout plaquer et se lancer
Hello,Sushinette25 a écrit :Moi je n'avais droit à rien et j'y arrive, car je vis encore chez mes parents, qui m'aident un peu, et je travaille à côté. Donc no stress, c'est largement faisable
Question peut-être déplacée et un peu parallèle au propos de base mais tu avais été contrainte de démissionner pour ne rien toucher financièrement ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
єѕι 2o12/2o15
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Re: Tout plaquer et se lancer
je me suis permise de te dire cela pour justement qu à l'avenir on ne te reprenne pas la dessus ( surtout à l'oral )pooky1987 a écrit :Désolée si je me suis mal exprimée, mon but n'est pas de froisser qui que ce soit

IDE 2014
Re: Tout plaquer et se lancer
Pas de souci je préfère qu'on me le fasse remarquer maintenant que devant le jury ! C'est vrai que pour moi, c'est une formalité dans la mesure ou j'ai toujours passé haut la main mes examens mais ce n'est pas le cas pour tous et je comprends que cela puisse être mal interprété. Donc pas de souci
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Re: Tout plaquer et se lancer
coucou pooky1987,
alors deja je voulais te dire de ne surtout pas demissionner car sinon tu n'aura pas accés au chomage et donc pas accés aux aides de PE.
ensuite effectivement tu montres trop dans tes posts que tu as toujours tout réussi que pour toi c'est une formalité le concours comme peut-etre certains UE le seront poour toi.
cela dit attention!!! les partiels sont des moments difficiles pour tout le monde et avec le stress une phrase dite par l'un ou l'autre peut prendre des tournures difficiles a gerer...
je prefere t'avertir pour la suite de ton projet...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
alors deja je voulais te dire de ne surtout pas demissionner car sinon tu n'aura pas accés au chomage et donc pas accés aux aides de PE.
ensuite effectivement tu montres trop dans tes posts que tu as toujours tout réussi que pour toi c'est une formalité le concours comme peut-etre certains UE le seront poour toi.
cela dit attention!!! les partiels sont des moments difficiles pour tout le monde et avec le stress une phrase dite par l'un ou l'autre peut prendre des tournures difficiles a gerer...
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ESI 2011-2014 Fontainebleau!!!
Re: Tout plaquer et se lancer
Bonjour a-l S,
N'ayez pas d'inquiétude, il est clair que je ne donnerais pas ce plaisir à mon chef !
Pour le moment, c'est vrai que les études ont été mon fort, mais il n'empêche que c'est un domaine tout nouveau pour moi, à des années lumières du métier que j'ai pu faire jusque la, et d'ou je devrais repartir "à zéro".
Je ne dis pas que ça sera simple quand je parle de formalité (j'ai vraiment l'impression de mal m'exprimer et je m'en excuse si je froisse quelqu'un car ce n'est pas du tout mon intention) seulement que le concours me fait beaucoup plus peur car moins "rationnel".
Le concours c'est ma bête noire, car ça dépend non seulement du sujet pour la culture G mais aussi du jury, des tests psycho... Alors qu'un partiel, c'est basé sur des cours qu'on peut apprendre et restituer (sauf Mise en situation bien sur). C'est vraiment en ce sens que je parle de formalité. On n'est à l'abri de rien !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
N'ayez pas d'inquiétude, il est clair que je ne donnerais pas ce plaisir à mon chef !

Pour le moment, c'est vrai que les études ont été mon fort, mais il n'empêche que c'est un domaine tout nouveau pour moi, à des années lumières du métier que j'ai pu faire jusque la, et d'ou je devrais repartir "à zéro".
Je ne dis pas que ça sera simple quand je parle de formalité (j'ai vraiment l'impression de mal m'exprimer et je m'en excuse si je froisse quelqu'un car ce n'est pas du tout mon intention) seulement que le concours me fait beaucoup plus peur car moins "rationnel".
Le concours c'est ma bête noire, car ça dépend non seulement du sujet pour la culture G mais aussi du jury, des tests psycho... Alors qu'un partiel, c'est basé sur des cours qu'on peut apprendre et restituer (sauf Mise en situation bien sur). C'est vraiment en ce sens que je parle de formalité. On n'est à l'abri de rien !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IFSI Capelette 2014 > Admissible sur LP avec 20/20 à l'oral
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Re: Tout plaquer et se lancer
C'est sur qu'avoir confiance en soi est un plus mais attention que cela paraisse pas trop.
Mais la partie théorie n'est pas le plus dur, faut juste travailler. Je comprends que pour toi que tu le sens bien même "facile". Tu as tjrs eu des facilité, tu as une bonne raison et t'es sérieuse donc pas de soucis pour toi j'en suis sure.
MAIS c'est pas ça la difficulté des études c'est les stages. Certain lieu de stage peuvent être très difficile tant par les patho rencontré par les personnes rencontrées. Il faut se remettre en question, avaler des couleuvres. Perso je me suis retrouver avec une équipe soignante, certain presque maltraitant. Au final cette fois je m'en suis bien sortie, j'ai verser quelques larmes le soirs mais j'ai eu un bon bilan. Il m'a fallu m'accrocher et être diplomate à l'extrème, ménager les sensibilités pour pouvoir faire des soins, pour pas être juste le larbin. Ces stages là ne sont pas une majorité, même une minorité mais ils existent et il faut le savoir. Pour arriver au bout, être accès sur son but final.
Mais ce qui me fait peur c'est de voir un jour une femme sur un lit, malade peut être handicapé et me dire que cela pourrait être moi ou pire voir un patient qui ressemblerait à un de mes enfants. Comment rester professionnel ? ne pas s'effrondrer?
On a tous nos fêlures, être confronté à une réalité brutes, diverses c'est ça le plus durÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mais la partie théorie n'est pas le plus dur, faut juste travailler. Je comprends que pour toi que tu le sens bien même "facile". Tu as tjrs eu des facilité, tu as une bonne raison et t'es sérieuse donc pas de soucis pour toi j'en suis sure.
MAIS c'est pas ça la difficulté des études c'est les stages. Certain lieu de stage peuvent être très difficile tant par les patho rencontré par les personnes rencontrées. Il faut se remettre en question, avaler des couleuvres. Perso je me suis retrouver avec une équipe soignante, certain presque maltraitant. Au final cette fois je m'en suis bien sortie, j'ai verser quelques larmes le soirs mais j'ai eu un bon bilan. Il m'a fallu m'accrocher et être diplomate à l'extrème, ménager les sensibilités pour pouvoir faire des soins, pour pas être juste le larbin. Ces stages là ne sont pas une majorité, même une minorité mais ils existent et il faut le savoir. Pour arriver au bout, être accès sur son but final.
Mais ce qui me fait peur c'est de voir un jour une femme sur un lit, malade peut être handicapé et me dire que cela pourrait être moi ou pire voir un patient qui ressemblerait à un de mes enfants. Comment rester professionnel ? ne pas s'effrondrer?
On a tous nos fêlures, être confronté à une réalité brutes, diverses c'est ça le plus durÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Parfois il vaut mieux ne rien dire et passer pour un crétin, plutôt que de l'ouvrir et ne plus laisser aucun doute à ce sujet.