Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
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- brice69100
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Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Salut à tous
Voila le 15 janvier j'ai enfin passé ma validation des acquis il s'agissait de rédiger un résumer de texte entre 120 et 140 mots.
En attendant les résultats prévus le 28 janvier 2013 à 14 h.
Je vous communique le sujet et mon résumé que vous pourrez vous amusez à noter !
Bonnes chances à tous et toutes pour vos révisions
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Voila le 15 janvier j'ai enfin passé ma validation des acquis il s'agissait de rédiger un résumer de texte entre 120 et 140 mots.
En attendant les résultats prévus le 28 janvier 2013 à 14 h.
Je vous communique le sujet et mon résumé que vous pourrez vous amusez à noter !


- brice69100
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Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
La génération Y va-t-elle réinventer le monde ?
Y (prononcer why), genY, Yers… C’est ainsi que les ont baptisés les Anglo-Saxons. Ou encore digital natives, car l’une des particularités de la génération des 18-30 ans est d’avoir grandi avec Internet.
Avant eux, il y a eu la génération X – les quarantenaires actuels – appelée aussi « bof génération », atteinte de plein fouet par le chômage et le sida, décrite comme la « génération aux ambitions sacrifiées », celle des illusions perdues. Les X sont arrivés « après la bataille » de leurs bouillonnants aînés soixante-huitards, ces baby-boomers à qui ils reprochent d’ailleurs de ne pas leur avoir laissé la place et d’être toujours aux commandes.
Alors, les Y vont-ils réinventer la vie, comme le suggèrent Myriam Levain et Julia Tissier ? Ces journalistes (toutes deux Y bien entendu) publient un portrait impertinent mais non moins empreint de sérieuses analyses, en forme de réponse à toutes les inquiétudes et reproches adressés à cette génération qui déstabilise bien des adultes, rend perplexes les sociologues et inquiète souvent le monde du travail. « Il fallait bien que quelqu’un se charge de clouer le bec aigri de tous ceux qui reprochent aux jeunes d’être des boulets, individualistes, désabusés, indécis, insolents et dépendants des autres. »
Individualistes, certes, mais les Y ne sont-ils pas nés dans une société où s’est généralisée l’injonction à « devenir soi-même » ? Face aux incertitudes qui caractérisent l’époque, ils ont décidé, pour avancer, de se préoccuper d’abord de soi.
C’est pourquoi d’ailleurs les Y agacent leurs employeurs, dont certains les perçoivent instables et rétifs à la hiérarchie. Lorsque les portes ont du mal à s’ouvrir au travail, et qu’ils ont le sentiment d’être les derniers servis, la loyauté professionnelle en prend un coup. L’insolence perçue par les aînés est pour eux une forme de combativité. Car pour ces « enfants-rois » éduqués dans l’ambiance post-soixante-huitarde, la quête de plénitude et l’épanouissement personnel sont prioritaires.
M. Levain et J. Tissier, cependant, n’oublient pas de préciser que, comme pour toutes les générations, il n’existe pas une jeunesse mais des jeunesses. Elles veulent simplement dégager quelques traits communs à ces « enfants du millénaire ».
Ainsi, par exemple, leur formidable capacité d’adaptation. Ces enfants des divorces, des familles recomposées, de l’entrée dans la vie par le chapelet des stages et des contrats précaires, mais aussi de l’ère numérique et de ses innovations permanentes ont été élevés à l’école de la flexibilité.
On les voit souvent comme des « geeks autistes scotchés à leur écran de smartphone » qui chattent et twittent à longueur de journée. « Pas un Y sans sa page Facebook ! » La sociologue Monique Dagnaud, qui a étudié leurs pratiques sur les réseaux sociaux, les décrit d’ailleurs davantage comme les hérauts de la dérision que de l’engagement. Mais, répondent les Y, ces activités sont leur manière à eux de développer les relations amicales et amoureuses ; de se repasser des bons plans (appartement, boulot…) ; de faire de la politique aussi comme on l’a vu lors des révolutions arabes. Les réseaux sociaux constituent le support principal d’une nouvelle solidarité générationnelle, dans laquelle l’entraide est devenue centrale pour déjouer les obstacles et inventer un système D dans un monde qui ne leur fait pas de cadeau.
Les Y ont décidé de privilégier l’indépendance et la débrouille, de cultiver l’humour comme le montrent leurs activités sur le Net et de se dessiner un avenir optimiste. Ils savent qu’ils seront bientôt aux commandes de la société, et inventent, avec les nouvelles formes de communication, un nouveau rapport au monde.
Myriam Levain et Julia Tissier, Bourin, à paraître en janvier 2012.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Y (prononcer why), genY, Yers… C’est ainsi que les ont baptisés les Anglo-Saxons. Ou encore digital natives, car l’une des particularités de la génération des 18-30 ans est d’avoir grandi avec Internet.
Avant eux, il y a eu la génération X – les quarantenaires actuels – appelée aussi « bof génération », atteinte de plein fouet par le chômage et le sida, décrite comme la « génération aux ambitions sacrifiées », celle des illusions perdues. Les X sont arrivés « après la bataille » de leurs bouillonnants aînés soixante-huitards, ces baby-boomers à qui ils reprochent d’ailleurs de ne pas leur avoir laissé la place et d’être toujours aux commandes.
Alors, les Y vont-ils réinventer la vie, comme le suggèrent Myriam Levain et Julia Tissier ? Ces journalistes (toutes deux Y bien entendu) publient un portrait impertinent mais non moins empreint de sérieuses analyses, en forme de réponse à toutes les inquiétudes et reproches adressés à cette génération qui déstabilise bien des adultes, rend perplexes les sociologues et inquiète souvent le monde du travail. « Il fallait bien que quelqu’un se charge de clouer le bec aigri de tous ceux qui reprochent aux jeunes d’être des boulets, individualistes, désabusés, indécis, insolents et dépendants des autres. »
Individualistes, certes, mais les Y ne sont-ils pas nés dans une société où s’est généralisée l’injonction à « devenir soi-même » ? Face aux incertitudes qui caractérisent l’époque, ils ont décidé, pour avancer, de se préoccuper d’abord de soi.
C’est pourquoi d’ailleurs les Y agacent leurs employeurs, dont certains les perçoivent instables et rétifs à la hiérarchie. Lorsque les portes ont du mal à s’ouvrir au travail, et qu’ils ont le sentiment d’être les derniers servis, la loyauté professionnelle en prend un coup. L’insolence perçue par les aînés est pour eux une forme de combativité. Car pour ces « enfants-rois » éduqués dans l’ambiance post-soixante-huitarde, la quête de plénitude et l’épanouissement personnel sont prioritaires.
M. Levain et J. Tissier, cependant, n’oublient pas de préciser que, comme pour toutes les générations, il n’existe pas une jeunesse mais des jeunesses. Elles veulent simplement dégager quelques traits communs à ces « enfants du millénaire ».
Ainsi, par exemple, leur formidable capacité d’adaptation. Ces enfants des divorces, des familles recomposées, de l’entrée dans la vie par le chapelet des stages et des contrats précaires, mais aussi de l’ère numérique et de ses innovations permanentes ont été élevés à l’école de la flexibilité.
On les voit souvent comme des « geeks autistes scotchés à leur écran de smartphone » qui chattent et twittent à longueur de journée. « Pas un Y sans sa page Facebook ! » La sociologue Monique Dagnaud, qui a étudié leurs pratiques sur les réseaux sociaux, les décrit d’ailleurs davantage comme les hérauts de la dérision que de l’engagement. Mais, répondent les Y, ces activités sont leur manière à eux de développer les relations amicales et amoureuses ; de se repasser des bons plans (appartement, boulot…) ; de faire de la politique aussi comme on l’a vu lors des révolutions arabes. Les réseaux sociaux constituent le support principal d’une nouvelle solidarité générationnelle, dans laquelle l’entraide est devenue centrale pour déjouer les obstacles et inventer un système D dans un monde qui ne leur fait pas de cadeau.
Les Y ont décidé de privilégier l’indépendance et la débrouille, de cultiver l’humour comme le montrent leurs activités sur le Net et de se dessiner un avenir optimiste. Ils savent qu’ils seront bientôt aux commandes de la société, et inventent, avec les nouvelles formes de communication, un nouveau rapport au monde.
Myriam Levain et Julia Tissier, Bourin, à paraître en janvier 2012.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- brice69100
- Messages : 20
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Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Et voici mon résumé ...
On les appelles les Y, surnom donné par les Britanniques aux 18-30 ans nés avec un téléphone connecté entre les mains.
Ils précèdent les quarantenaires actuel touché au coeur par le chômage et le sida et accablent leur aînés de ne pas leurs avoir fait place neuve.
Pour les Y la quête du bonheur passe au 1er plan, ceux qui leurs vaux certains aprioris de la part de leurs aînés qui les accuses parfois de ne pas les comprendre.
Cependant pour tirer leurs épingle du jeu, les Y ont développer leur propres codes et ceux servent des nouveaux moyens de communications pour construire leur vie affectif, mais également pour entretenir un nouveau mode de société basé sur l'entraide générationnel, car il savent qu'un jour se seront eux qui seront à la tête du monde.
Martine Fournier. Sciences Humaines n° 234 de février 2012.
La génération Y va-t-elle réinventer le monde ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
On les appelles les Y, surnom donné par les Britanniques aux 18-30 ans nés avec un téléphone connecté entre les mains.
Ils précèdent les quarantenaires actuel touché au coeur par le chômage et le sida et accablent leur aînés de ne pas leurs avoir fait place neuve.
Pour les Y la quête du bonheur passe au 1er plan, ceux qui leurs vaux certains aprioris de la part de leurs aînés qui les accuses parfois de ne pas les comprendre.
Cependant pour tirer leurs épingle du jeu, les Y ont développer leur propres codes et ceux servent des nouveaux moyens de communications pour construire leur vie affectif, mais également pour entretenir un nouveau mode de société basé sur l'entraide générationnel, car il savent qu'un jour se seront eux qui seront à la tête du monde.
Martine Fournier. Sciences Humaines n° 234 de février 2012.
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- Steak-Frites67
- Fidèle
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- Localisation : Elsass
Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
C'est faux de dire que les quarantenaire sont plus touché par le chômage que les jeunes. C'est l'inverse.
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ESI 2013-2016 IFSI de l'EPSAN (Brumath) ~
~

- brice69100
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Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Pourtant c'est écrit dans le texte ... tu est sur ?
Avant eux, il y a eu la génération X – les quarantenaires actuels – appelée aussi « bof génération », atteinte de plein fouet par le chômage et le sidaÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Steak-Frites67
- Fidèle
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Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Regarde les chiffres de l'INSEE, c'est écrit noir sur blanc.
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- brice69100
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- Inscription : 08 sept. 2012 06:54
Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Il me semble que le principe d'un résumé c'est d'aller d'en le sens de l'auteur et du texte.
Si l'auteur affirme que la terre est plate je ne dois pas le contredire et mettre de coté mes idées personnelles.
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Si l'auteur affirme que la terre est plate je ne dois pas le contredire et mettre de coté mes idées personnelles.

- Steak-Frites67
- Fidèle
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- Inscription : 13 nov. 2012 17:57
- Localisation : Elsass
Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Faire un résumé n’empêche pas d'avoir l'esprit critique et de noter que l'auteur se plante.
Ca peut éventuellement montrer que tu ne "gobes" pas bêtement toutes les infos
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Ca peut éventuellement montrer que tu ne "gobes" pas bêtement toutes les infos

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- brice69100
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Re: Épreuve de présélection IFSI 2013 LYON
Désolé mais je persiste ... En tous cas merci d'avoir donné ton avis.
Objectivité et neutralité : le résumé de texte n’est ni une analyse, ni un commentaire. Il ne doit comprendre ni critiques, ni approbations. Et, bien entendu, aucune digression.
Le rédacteur du résumé a une mission essentielle, mais unique : il doit se contenter de refléter avec précision et fidélité la pensée de l’auteur. Il s’agit d’une exigence importante, qu’il est parfois difficile de respecter en raison du caractère subjectif de la lecture d’un texte. Le candidat devra se garder d’une tendance inconsciente consistant à projeter dans un texte ses propres conceptions .
Sources : http://www.studyrama.com/formations/spe ... htmlÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Objectivité et neutralité : le résumé de texte n’est ni une analyse, ni un commentaire. Il ne doit comprendre ni critiques, ni approbations. Et, bien entendu, aucune digression.
Le rédacteur du résumé a une mission essentielle, mais unique : il doit se contenter de refléter avec précision et fidélité la pensée de l’auteur. Il s’agit d’une exigence importante, qu’il est parfois difficile de respecter en raison du caractère subjectif de la lecture d’un texte. Le candidat devra se garder d’une tendance inconsciente consistant à projeter dans un texte ses propres conceptions .

Sources : http://www.studyrama.com/formations/spe ... htmlÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.