Debriefing, névrose traumatique et soins IDE
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- Anoukaelle
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Debriefing, névrose traumatique et soins IDE
Bonjour,
J'aimerais discuter avec un(e) IDE qui participe à des debriefing et/ou qui aurait déjà accompagné des personnes souffrant de névrose traumatique.
En effet, je dois fournir un travail qui se base (en partie) sur les soins infirmiers auprès de ces personnes.
Pendant le debriefing, j'imagine que le rôle de l'infirmier (ou du psy ou de toute autre personne présente) est de permettre à chacun de s'exprimer, écouter, relancer, reformuler, repérer les pesonnes à risque et les orienter. Peut-on considérer ce rôle comme un soin à proprement parlé? L'IDE peut-il mener seul le débat? Y a-t-il des choses auxquelles je n'aurais pas pensé?
De plus, pour les personnes qui, malgré tout développent une névrose, quel rôle peut jouer l'IDE? Quel soin peut-il leur apporter?
J'ai lu dans un livre que l'IDE n'avait pas grand-chose à faire...
Sinon, toutes les infos sur le sujet, de près ou de loin m'intéressent (pour moi, perso, ma culture G, tout ça quoi!:D )
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Anoukaëlle
J'aimerais discuter avec un(e) IDE qui participe à des debriefing et/ou qui aurait déjà accompagné des personnes souffrant de névrose traumatique.
En effet, je dois fournir un travail qui se base (en partie) sur les soins infirmiers auprès de ces personnes.
Pendant le debriefing, j'imagine que le rôle de l'infirmier (ou du psy ou de toute autre personne présente) est de permettre à chacun de s'exprimer, écouter, relancer, reformuler, repérer les pesonnes à risque et les orienter. Peut-on considérer ce rôle comme un soin à proprement parlé? L'IDE peut-il mener seul le débat? Y a-t-il des choses auxquelles je n'aurais pas pensé?
De plus, pour les personnes qui, malgré tout développent une névrose, quel rôle peut jouer l'IDE? Quel soin peut-il leur apporter?
J'ai lu dans un livre que l'IDE n'avait pas grand-chose à faire...
Sinon, toutes les infos sur le sujet, de près ou de loin m'intéressent (pour moi, perso, ma culture G, tout ça quoi!:D )
Je vous remercie pour votre aide précieuse.
Anoukaëlle
- boup
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j'aime bien le 'l'ide n'a pas grand chose à faire".
je l'adore ce passage!!
je rapelle juste comme ca que les entretiens d'aide font partie du role propre de l'ide.ne passant hein!!
je suppose que la tu parle des debrieffing qui existent quand une cellule de crise est declenché et donc menés par des inf qui bossent en psy.
le boulot est simple en fait.quand tout va a peu pres bien,c'est un debrieing immediat c'est à dire en gros dedramatiser l'evenement et permettre aux personnes de verbaliser leur ressenti.
on le propose egalement aux intervenants (flics,pompiers,gendarmes,samu voir armée).avec eux on a toujours du mal à les faire adhérer.
le role sur place à chaud est aussi d'evalur la necessité d'un suivi immediat avec possibilité d'hospit si necesaire, la necessité d'un suivi ou non et si ce suivi sera fait par l'equipe de debrief ou par un liberal.
si tu veux des renseignements precis sois demandes sois si tu as des urgences psy sur ton coin prends contact avec eux.les equipes d'urgences psy sont d'office sur la liste de la cellule et pourront t'aider.
je l'adore ce passage!!
je rapelle juste comme ca que les entretiens d'aide font partie du role propre de l'ide.ne passant hein!!
je suppose que la tu parle des debrieffing qui existent quand une cellule de crise est declenché et donc menés par des inf qui bossent en psy.
le boulot est simple en fait.quand tout va a peu pres bien,c'est un debrieing immediat c'est à dire en gros dedramatiser l'evenement et permettre aux personnes de verbaliser leur ressenti.
on le propose egalement aux intervenants (flics,pompiers,gendarmes,samu voir armée).avec eux on a toujours du mal à les faire adhérer.
le role sur place à chaud est aussi d'evalur la necessité d'un suivi immediat avec possibilité d'hospit si necesaire, la necessité d'un suivi ou non et si ce suivi sera fait par l'equipe de debrief ou par un liberal.
si tu veux des renseignements precis sois demandes sois si tu as des urgences psy sur ton coin prends contact avec eux.les equipes d'urgences psy sont d'office sur la liste de la cellule et pourront t'aider.
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Re: Debriefing, névrose traumatique et soins IDE
Anoukaelle a écrit :Pendant le debriefing, j'imagine que le rôle de l'infirmier (ou du psy ou de toute autre personne présente) est de permettre à chacun de s'exprimer, écouter, relancer, reformuler, repérer les pesonnes à risque et les orienter. Peut-on considérer ce rôle comme un soin à proprement parlé?
Oui. Le soin a une définition large. Soigner, c'est "prendre soin de...", c'est pas seulement administrer des médicaments.
Comme le dit très justement Boup, l'entretien fait partie du rôle propre infirmier, càd que c'est un soin qu'elle peut décider et organiser de sa propre initiative.
Anoukaelle a écrit :L'IDE peut-il mener seul le débat?
àmha oui, si elle y a été formée, et si "il y a maman derrière" (comprenez : si elle peut faire appel à un médecin en cas de besoin).
c'est un debrieing immediat c'est à dire en gros dedramatiser l'evenement et permettre aux personnes de verbaliser leur ressenti.
Pour compléter un peu, les objectifs :
-diagnostic précoce des désordres sévères
-prévention des problèmes secondaires
-information écrite à tous les patients.
Les techniques mises en place :
-l'abréaction, faire raocnter le vécu, le ressenti, et parfois le "ressenti du ressenti" ; exemple : le caissier a été braqué à la banque ; le vécu "il est entré avec une arme qu'il a braqué sur moi, je lui ai ouvert le coffre et je lui ai remis le contenu et il est parti". Le ressenti "j'ai eu peur, j'ai pensé à mes enfants, j'ai cru qu'il allait tirer j'ai cru que c'était mon dernier jour". Ressenti du ressenti "je m'en suis voulu de perdre mes moyens, de ne pas avoir déclenché l'alarme plus tôt".
-ressituer le patient dans le temps et dans l'espace ;
-relativiser l'événement ;
-clore définitivement l'événement et réorienter positivement vers l'avenir.
Le debriefing de groupe (par petits groupes de préférence) permet en plus d'aténuer le sentiment de culpabilité, d'impuissance, et de faire prendre conscience de la normalité des réactions et du ressenti.
Pour que les patients puissent parler librement, il faut les assurer de la confidentialité des entretiens.
De nombreux travaux existent sur ce sujet, en particulier un numéro entier de "Soins psychiatrie" dans les années 1996, 1997 ou 1998 (ça ne vous fait que trois sommaires à fouiller ;-). Lire les écrits de Patrice Louvillen, Didier Cremniter, Nathalie Borgne (infirmière)...
- boup
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en effet maman est toujours derriere!
ca va lui plaire au boss quand j'vais l'appeler maman tiens!!
je sais pas comment les autres fonctionnent mais nous la repartition est tres simple.
le doc prend peu de gens en charge de suite.il chapotte les prises en charge et s'ccupe des cas les plus lourds. ensuite,selon l'experience et le niveau de formation on a different groupes.
les moins experimentés ont les groupes les plus legers.
un ti oubli juste.en fin de debrieffing à chaud,les gens sont orientés.soit vers un privé soit vers un cmp soit vers un groupe de parole qui aura lieu si mes souvenirs sont bons dans les 2 semaines.il et possible aussi qu'ils aient plusieurs options de proposées selon l'atteinte.
on leur fournit toujours les adreses etnumero de telephone utiles.
pour ce qui est de la formation,idem je sais pas chez les autres mais nous on a une formation de relation d'aide approfondie et notre experience au quotidien dans le boulot.
ca va lui plaire au boss quand j'vais l'appeler maman tiens!!

je sais pas comment les autres fonctionnent mais nous la repartition est tres simple.
le doc prend peu de gens en charge de suite.il chapotte les prises en charge et s'ccupe des cas les plus lourds. ensuite,selon l'experience et le niveau de formation on a different groupes.
les moins experimentés ont les groupes les plus legers.
un ti oubli juste.en fin de debrieffing à chaud,les gens sont orientés.soit vers un privé soit vers un cmp soit vers un groupe de parole qui aura lieu si mes souvenirs sont bons dans les 2 semaines.il et possible aussi qu'ils aient plusieurs options de proposées selon l'atteinte.
on leur fournit toujours les adreses etnumero de telephone utiles.
pour ce qui est de la formation,idem je sais pas chez les autres mais nous on a une formation de relation d'aide approfondie et notre experience au quotidien dans le boulot.
- Anoukaelle
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Je vous remercie pour vos réponses et les références de doc.
Pour répondre à Boup par rapport à l'IDE qui n'a pas grand-chose à faire, voilà ce que j'ai trouvé dans mon bouquin "psychiatrie et soins infirmiers" => " L'infirmier n'intervient pas ou très peu dans la prise en charge des névroses traumatiques. Il peut toutefois participer à des groupes de parole, sous réserve d'une formation spécifique, et intervient dans les cellules d'intervention d'urgence."
D'où ma remarque et ma question...
Si vous avez d'autre chose, n'hésitez pas!
Pour répondre à Boup par rapport à l'IDE qui n'a pas grand-chose à faire, voilà ce que j'ai trouvé dans mon bouquin "psychiatrie et soins infirmiers" => " L'infirmier n'intervient pas ou très peu dans la prise en charge des névroses traumatiques. Il peut toutefois participer à des groupes de parole, sous réserve d'une formation spécifique, et intervient dans les cellules d'intervention d'urgence."
D'où ma remarque et ma question...
Si vous avez d'autre chose, n'hésitez pas!
salut,
je rebondis sur les propos de boup, oui il est difficile de faire adhérer les intervenants sur des inters traumatisantes, c'est un monde d'"hommes" qui ne veulent pas montrer qu'il ont mal au moral...
pourtant, au sein des sp nombreux sont les sapeurs qui ont exprimé le besoin de verbaliser leur ressenti après inter. une esi qui était venue dans différents centres de secours faisait ressortir que 60% d'entre eux souhaitaient que les infirmiers sapeurs pompiers s'investissent les techniques de débriefing pour un soutien psy auprès des sp.
nous avons la demande à nous de proposer l'offre mais pas n'importe comment, pour ma part je n'ai pas de formation spécifique, la gestion se passe encore en interne avec nos médecins sp. il y a n'en pas douter du boulot à faire dans ce sens. notre disponibilité, l'écoute que nous proposons sont appréciées et les sapeurs font plus facilement appel à nous car nous "sommes de la maison" comme il m'a déjà été dit. quid des autres intervenants (police, ambulanciers, smur...)
nous souhaiterions développer des liens avec le cmp par exemple, nous former auprès de professionnels, certains sdis ont intégré ce fait et ont des psychologues sp (bourg en bresse pour ce que j'en sais, +d'autres centres de secours?)
je rebondis sur les propos de boup, oui il est difficile de faire adhérer les intervenants sur des inters traumatisantes, c'est un monde d'"hommes" qui ne veulent pas montrer qu'il ont mal au moral...
pourtant, au sein des sp nombreux sont les sapeurs qui ont exprimé le besoin de verbaliser leur ressenti après inter. une esi qui était venue dans différents centres de secours faisait ressortir que 60% d'entre eux souhaitaient que les infirmiers sapeurs pompiers s'investissent les techniques de débriefing pour un soutien psy auprès des sp.
nous avons la demande à nous de proposer l'offre mais pas n'importe comment, pour ma part je n'ai pas de formation spécifique, la gestion se passe encore en interne avec nos médecins sp. il y a n'en pas douter du boulot à faire dans ce sens. notre disponibilité, l'écoute que nous proposons sont appréciées et les sapeurs font plus facilement appel à nous car nous "sommes de la maison" comme il m'a déjà été dit. quid des autres intervenants (police, ambulanciers, smur...)
nous souhaiterions développer des liens avec le cmp par exemple, nous former auprès de professionnels, certains sdis ont intégré ce fait et ont des psychologues sp (bourg en bresse pour ce que j'en sais, +d'autres centres de secours?)
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Kermit a écrit :je rebondis sur les propos de boup, oui il est difficile de faire adhérer les intervenants sur des inters traumatisantes, c'est un monde d'"hommes" qui ne veulent pas montrer qu'il ont mal au moral...
pourtant, au sein des sp nombreux sont les sapeurs qui ont exprimé le besoin de verbaliser leur ressenti après inter. une esi qui était venue dans différents centres de secours faisait ressortir que 60% d'entre eux souhaitaient que les infirmiers sapeurs pompiers s'investissent les techniques de débriefing pour un soutien psy auprès des sp.
Pendant très longtemps, les cadres sp ont considéré que l'esprit de corps faisait office de debriefing. ça a un peu changé et tout le monde maintenant reconnait l'intérêt du debriefing précoce et d'une information/formation à ce sujet pour les interventions difficiles.
Des problèmes subsistes :
-oui, une cellule d'urgence médico-psychologique (cump) a un intérêt, mais il reste à définir les indications, à qui, comment et ans quelles circonstances le proposer ;
-étant donné que la cump ne va pas être employée à plein temps, que faire d'elle en dehors des urgences médico-psychologiques ?
-ce nouveau moyen ne doit pas faire oublier l'intérêt du debriefing "autour de la machine à café" entre collègues, donc l'intérêt d'en parler quand on a été victime, et l'intérêt de proposer aux collègues de parler quand ils ont été victimes ;
-une formation à ce sujet permet de repérer ceux qui en ont pris plein la g...
-ne pas oublier que c'est une réaction normale de souffrir psychologiquement après un événement traumatisant.
- boup
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- Localisation : ou que j'veux d'abord!
alors au niveau de la cump de metz, les membres sont comme ailleurs des infirmiers de psy.
ont a une formation de relation d'aide et pour le moment que celle la. "maman" dirait que la formation on la fait au boulot.et chuis assez d'accord avec. on nous demande de faire notre boulot en urgence.
en cas d'inter on est detachés de nos services (desolée pour les collegues qui doivent reprnedre nos postes en urgence) le reste du temps on est dans nos services
au niveau des equipes psy,y a un truc qui devrait se rependre.c'est la supervision qui nous permet 1 journée 5/6x par mois de reprendre les situations difficiles du boulot avec une therapeute confirmée et les collegues VOLONTAIRES.
pour la celule idem,on a notre debrieffing à nous.normal!!!
je repense aux sp. j'me suis renseignée recement pour etre ispv aupres de la caserne de chez moi.etrangement le commandant m'a dit etre tres interressé quand je lui ai dit que je bossai sur l'hopital pys.idem pour le medecin chef...permettre aux sp de profiter de ma tite experience,ma foi pourquoi pas!!en sachant qu'ils ont tenté la psycho ce fut un fiasco complet!!
pour ce qui est du travail avec les cmp,ma foi faut deja en trouver des qui sont pas surbookés et qui pourront intervenir dans moins de 6 mois!
ont a une formation de relation d'aide et pour le moment que celle la. "maman" dirait que la formation on la fait au boulot.et chuis assez d'accord avec. on nous demande de faire notre boulot en urgence.
en cas d'inter on est detachés de nos services (desolée pour les collegues qui doivent reprnedre nos postes en urgence) le reste du temps on est dans nos services
au niveau des equipes psy,y a un truc qui devrait se rependre.c'est la supervision qui nous permet 1 journée 5/6x par mois de reprendre les situations difficiles du boulot avec une therapeute confirmée et les collegues VOLONTAIRES.
pour la celule idem,on a notre debrieffing à nous.normal!!!
je repense aux sp. j'me suis renseignée recement pour etre ispv aupres de la caserne de chez moi.etrangement le commandant m'a dit etre tres interressé quand je lui ai dit que je bossai sur l'hopital pys.idem pour le medecin chef...permettre aux sp de profiter de ma tite experience,ma foi pourquoi pas!!en sachant qu'ils ont tenté la psycho ce fut un fiasco complet!!
pour ce qui est du travail avec les cmp,ma foi faut deja en trouver des qui sont pas surbookés et qui pourront intervenir dans moins de 6 mois!
Léopold Anasthase a écrit :
-ce nouveau moyen ne doit pas faire oublier l'intérêt du debriefing "autour de la machine à café" entre collègues, donc l'intérêt d'en parler quand on a été victime, et l'intérêt de proposer aux collègues de parler quand ils ont été victimes ;
-une formation à ce sujet permet de repérer ceux qui en ont pris plein la g...
-ne pas oublier que c'est une réaction normale de souffrir psychologiquement après un événement traumatisant.
tout à fait d'accord,
nous pratiquons aussi le débriefing "machine à café",(lorsque j'étais ambulancier privé affecté au smur du CHR de Metz, j'ai apprécié la présence des ide psy et leur disponibilté au service des urgences. nous parlions autour d'une bonne tasse de café de certaines inters marquantes)
le cadre informel crée beaucoup moins de réticences à la verbalisation chez des sp avec qui nous avons eu le temps d'établir une relation de confiance mais aussi des liens de cammaraderie étroits. nous pouvons ainsi repérer des changements de comportements à distance de l'évènement (changement de piquet, refus de faire du vsav ou espacement des prises de gardes)
celà reste pour moi insuffisant et j'espère pouvoir approfondir mes connaissances dans ce domaine prochainement. j'ai pour l'instant l'impression de bricoler.
sinon boup bienvenue chez les sp,



@+
Lao Tseu a dit "il faut trouver la voie"
- boup
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- Localisation : ou que j'veux d'abord!
niveau ispv j'ai mes sources!!!!
mais j'va en causer à papa schultz j'l'avai zappé lui!!!
j'pense surtout que le boulot est meconnu.quand j'en ai causé aux collegues premiere reaction mais tu va quand meme pas partir en inter sur feu!!
ah ben nan loin de la!!
afin,si ca peut aider
pis t'inquiete kermit je sens que prochainement tu va etre envahi de mp de ma part!!
mais j'va en causer à papa schultz j'l'avai zappé lui!!!
j'pense surtout que le boulot est meconnu.quand j'en ai causé aux collegues premiere reaction mais tu va quand meme pas partir en inter sur feu!!

ah ben nan loin de la!!
afin,si ca peut aider
pis t'inquiete kermit je sens que prochainement tu va etre envahi de mp de ma part!!

pas de souci pour les mp boup ça me fera plaisir de papoter avec une messine
pis tu sais tu peut partir sur feu quand même!!! non? si si, chez nous les isp décalent pour faire du soutien sanitaire lorsqu'il y a plus de 25 sp sur un feu, en Moselle je ne sais pas. (j'ai fait un feu d'usine il y a 1 mois 60sp attaque de plus de 3heures, c'était mon premier gros feu, impressionnant
)
@ bientôt

pis tu sais tu peut partir sur feu quand même!!! non? si si, chez nous les isp décalent pour faire du soutien sanitaire lorsqu'il y a plus de 25 sp sur un feu, en Moselle je ne sais pas. (j'ai fait un feu d'usine il y a 1 mois 60sp attaque de plus de 3heures, c'était mon premier gros feu, impressionnant

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