Entraînement exposé CG Oral

[angelito94]

Bonjour,

Les oraux arrivent à grand pas, je propose de s'entraîner à l'éxecution d'un plan en 10 minutes.

Pour base je propose qu'on prenne les annales d'oraux mis à disposition par infirmiers.com

Lien : http://www.infirmiers.com/concours-ifsi ... nales.html

Si vous en avez d'autres plus originaux (texte ou image) merci des les partager ici avec nous, mais pour les sujets "normaux" je propose qu'on suive les 500 annales proposés par le cite dans l'ordre croissant.

Donc voici le premier :

"Santé, maladie, où est la frontière ?"

Rédigez votre propre plan avant de lire les réponses des autres!

Bonnes révisions à tous Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[angelito94]

"Santé, maladie, où est la frontière ?"

Introduction :

L'oms définit la santé comme un complet état de bien être physique, psychologique et sociale. Alors que dans un contexte plus large celle-ci se définit par une absence d'anomalie physique ou morale. La part entre santé selon l'oms et l'utopie du bonheur pour tous est dure à faire et s'éloigne de son antonyme qui devrait être la maladie.
Dans un premier temps nous verrons en quoi la définition de la santé pour l'oms s'éloigne de l'absence de maladie, et dans un deuxième temps l'explication de la maladie et sa définition.

Partie 1 : La santé = bonheur = plus que l'absence de maladie

- Complet etat de bien être physique : absence de maladie, d'handicap, amour de son corps, harmonie avec son corps, massage, coiffure esthétisme, sport ( elle inclue donc la notion de superflu et de plaisir supposant également un bon état social pour se le permettre)
-Complet etat de bien etre social : Argent pour payer les superflus, travail épanouissant, le grand amour pour ceux qui le désire, bonne entente familliale, cohésion sociale, des supers amis, un lieux de vie agréable en accord avec ses rêve (la encore loin d'une réalité essentielle la notion de plaisir de surplus d'idéale fait son apparition)
-Complet etat de bien être moral: Absence de pathologie neurologique ou psychique, optimisme à 100%, pensées positives, joie de vivre constante, pas stressé, pas d'aléa de la vie, pas de deuil (la encore la notion idéale et de plaisir est prise en compte un surplu qui retirerait les aléas de la vie de la notion de santé)

Partie 2 : La maladie définition puis les dangers d'une définition de la santé utopique.

- Maladie physique : Concrètement elle se caractérise par l'apparition de symptomes (douleur, fievre, courbatures, hémoragie ...) du à un accident, un handicap ou a une infection virale ou bactérienne. L'absence de ses facteurs et symptômes notifie l'absence de maladie mais pas de santé si on en croit l'oms.
- Maladie psychologique : Apparition de symp^tôme du à une cause anatomique (malformation cerbrale ,) handicap (trizomie) ou des symptomes psychique (boulimie, dépression) provoquant des comportement anormaux mettant la personne en souffrance ou en danger (suicide). La encore l'absence de tout cela signifie absence de maladie mental mais pas de bonne santé si on s en tient à l'oms.

- Dangers et paradoxe de la santé selon l'oms.

-Celle ci engendre à classer les aléas de la vie comme maladie et certains spécialiste ne se gènent pas pour noter tout et n'importe quoi comme "maladie" c'est d'ailleurs ce qui vaut la controverse du DSM (listing des symptomes et des maladies en psychatrie) qui ne cesse de s'allonger et de définir comme maladie psychique des états faisant partie de la vie.

- La vision de la santé selon l'oms conduit donc à classé chaque malheur faisant parti de la vie comme une absence de bonne santé mais pas comme une absence de maladie car celle ci renvoit à l'essentiel .

Conclusion:
La frontiere entre santé et maladie est grande l'une suppose l'essentielle tandis que l'autre suppose à l'utopie. Si on s'en tient à ses définitions il faudrait alors faire une échelle comportant trois termes. La maladie, la mauvaise santé prenant en compte le manque de superflus et de plaisir et ensuite la bonne santé devant l'utopie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[NKA]

Santé, maladie, où est la frontière ?


Intro : Déf santé : état de bien-être physique, psychologique et social.
Déf de maladie : manque de santé.

I. Etre malade c'est principalement être physiquement affaiblit :
On ne se sent pas en forme. Traduit un état psychologique faible. On perçoit les limites de notre corps, donc nos propres limites. Sentiment d'être amoindris. Se répercute sur nos contacts avec les autres.

II. Cependant il y a un équilibre entre santé et maladie.
On PEUT donc compenser la maladie par un combat psychologique et social. SI on fait le maximum pour se soigner, conserver notre autonomie, alors on peut considérer que le déséquilibre n'est pas suffisamment important pour nous retirer la santé.

Conclusion : La frontière est mince entre la santé et la maladie : Elle peut se traduire par un amoindrissement partiel ou total de notre bien-être.
Le rôle de l'infirmière est de rétablir, améliorer la santé du malade. De lui redonner un maximum d'autonomie afin qu'il se sente mieux.


Voilà ce que j'aurais fait... J'ai un peu dépassé les 10 min et je ne sais pas si c'est satisfaisant mais j'aimerais vos critiques.


Prochain sujet :

"Les valeurs familiales peuvent-elles être un médiateur à la violence sociale ?"Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[angelito94]

Santé, maladie, où est la frontière ?


Intro : Déf santé : état de bien-être physique, psychologique et social.
Déf de maladie : manque de santé.

I. Etre malade c'est principalement être physiquement affaiblit :
On ne se sent pas en forme. Traduit un état psychologique faible. On perçoit les limites de notre corps, donc nos propres limites. Sentiment d'être amoindris. Se répercute sur nos contacts avec les autres.

II. Cependant il y a un équilibre entre santé et maladie.
On PEUT donc compenser la maladie par un combat psychologique et social. SI on fait le maximum pour se soigner, conserver notre autonomie, alors on peut considérer que le déséquilibre n'est pas suffisamment important pour nous retirer la santé.

Conclusion : La frontière est mince entre la santé et la maladie : Elle peut se traduire par un amoindrissement partiel ou total de notre bien-être.
Le rôle de l'infirmière est de rétablir, améliorer la santé du malade. De lui redonner un maximum d'autonomie afin qu'il se sente mieux.


Voilà ce que j'aurais fait... J'ai un peu dépassé les 10 min et je ne sais pas si c'est satisfaisant mais j'aimerais vos critiques.


Prochain sujet :

"Les valeurs familiales peuvent-elles être un médiateur à la violence sociale ?"

C'est très enrichissant, pour un même sujet on a attaqué le problème de deux manières différentes.

Moi aussi j'ai mis 12minutes pour mon plan (toujours du mal avec le timing)

Mon avis c'est pas mal de présente les 3 facteurs physique psychologique et social comme des curseurs qu'on peut renforcé lors de la baisse de l'un d'entre eux.
Original Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[angelito94]

"Les valeurs familiales peuvent-elles être un médiateur à la violence sociale ?"

De nos jours la famille différe selon la forme, mais identique selon e fond. On sait que la famille est l'unité de base de la société, donc à grand échelle celle ci influe sur la bonne cohésion sociale. Dans un premier temps on présentera les valeurs familiales et dans un second temps son application dans la société.

I) Valeurs familliales
* Respect de soit : Apprendre à dire non, apprendre à s'aimer soit même et à choisir ses amis ou encore à décider de l'affection que l'on souhaite porter aux autres. C'est aussi respecter son corps et sa propre intégrité (convictions). Cela passe par le respect du "non" de l'enfant, les parents doivent accepter sa singularité.

*Respect des autres: C'est apprendre à accepter le "non" des autres, leurs différences, leurs corps mais aussi leurs idées. Cela s'apprend par les parents qui remettent l'enfant à sa place lors d'irrespect par rapport à eux ou a ses frère et soeurs.

*La politesse : La courtoisie et la bienséance s'inscrivant dans le respect de chacun, permettant d'éviter toute provocation ou interprétation. Par exemple à travers le merci et le s'il vous plait.

*La responsabilité: En leur confiant des tâches dont ils sont les seuls responsables (renger sa chambre, son bordel ) mais aussi en apprenant à les responsabiliser en faisant des tâches pour aider les autres.

*Honneteté et la confiance: Permet l'apprentissage de l'empathie, d'apprendre à se mettre à la place des autres et par là même devenir quelqu'un d'intègre et non hypocrite.

II) Leurs conséquences dans leur application dans la société.

*Le respect de soit et des autres : Permet d'accepter la différence de ses camarades et de ne pas se faire "manipuler", le respect de l'autre passant par le respect par soit permet un équilibre de positionnement sans relation "dominant dominé" pouvant conduire à des conflits.

*La politesse: Permet d'être dans le respect de l'autre de conserver cet équilibre de positionnement. C'est aussi souvent un acte qui fait plaisir à l'autre et permet d'apprécier la personne à sa juste valeur. Permettant une relation apaisé.

*Les responsabilité: Permet d'avoir un rôle actif dans la société, même d'aider les plus en difficultés, tout en respectant le rôle des autres par exemple au travail cela permet un meilleur travail d'équipe.

*Honnêteté et confiance : ce sont deux qualités indispensable pour la construction d'un relationnel sociale, permettant d'éviter les conflits mais aussi d'avoir un rôle constructif au sein d'un groupe ou d'un travail.

Conclusion : Il en va de soit que les valeurs familiales bien inculqués tendent vers une vie sociale de non violence et donc de cohésion sociale.Cependant la réalité n'est pas cela souvent seulement une partie de celles ci sont réellement transmises et parfois les parents peuvent aussi transmettent l'envers de ces valeurs (intolérance, soumission..) conduisant l'enfant en grandissant à être sujet aux différentes violences sociales. La réflexion serrait donc de savoir si il ne faudrait pas créer une école des parents afin que l'unité de base de la société soit parte sur de meilleurs bases ?

Temps : 14 minutes (je vais jamais y arriver en 10 minutes lol)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[angelito94]

"L'hôpital: reflet des maux de notre société?"


L'hôpital avec son service d'urgence permet d'accueillir en quasi totalité chaque classe sociale. Mais il est aussi dépendant des legislations et budgets en vigueur. Dans un premier temps nous verrons les maux de la société au point de vue humain, et ensuite au point de vue économique et législatif.

I) Les maux humains.

*Accueil des classes modestes : SDF, Sans papiers, les pauvres.
*Accueil des classes à risque : Psychiatrie, Personnes violentes, drogués, alcoolique.
*Accueil des classes aisés : riches, bien portant pour un suivi ou prévention.
*Accueil de la jeunesse : Enfant, bébé, adolescent en difficulté.
*Accueil d'individus relevant du pénal : violences conjugale, viole, maltraitance permettant un lien avec le système judiciaire.

II) Les maux économiques, législatif.

*Economique : Baisse des effectifs, dégradation des conditions de travail, manque de matériel ou materiel dégradé, Budget réduit.

*Législatif en lien ou non avec l'économie : fermeture de maternité, de service d'urgence, T2A.

Conclusion : A travers les populations prises en charge dans un hôpital en particulier aux urgences on peut voir les différents souffrances physique et psychique et même sociale, tandis que les réglementations economiques et législatif réduise et dégrade le système hospitalier. On peut donc conclure que l'hôpital est un certain reflet des maux de la société et un très bonne indicateur de l'état des choses. Cependant il est aussi le reflet de bonnes choses de soignants agréable, mais aussi témoin de guérison et de beaux moments comme la naissance. IL est ausis le reflet de l'inauguration matériel scanner et recherches scientifiques.

Temps: 10 minutes pile ENFIN lolÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[amandine_83136]

je me joins à vous cette apres midi et pour les jours avenir. je trouve votre travail tres bien !! Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[NKA]

C'est très enrichissant, pour un même sujet on a attaqué le problème de deux manières différentes.

Moi aussi j'ai mis 12minutes pour mon plan (toujours du mal avec le timing)

Mon avis c'est pas mal de présente les 3 facteurs physique psychologique et social comme des curseurs qu'on peut renforcé lors de la baisse de l'un d'entre eux.
Original

Merci angel' mais mon plan me paraît un peu basique face au tiens ^^. Tu as le contenu pour tenir devant les juris, moi j'ai à peine de quoi tenir deux minutes :X. J'ai déjà passé (et raté) l'oral l'année dernière et les 10 minutes de prépa m'avaient semblé en être que deux ...
Je passe le mon oral le 14, j'espère que ça se déroulera mieux que il y a un an.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[b-ulle]

Il faut 2 ans pour apprendre à parler, et toute une vie pour apprendre à se taire. Commentez.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[tilily81]

"Santé, maladie, où est la frontière ?"

Introduction :

L'oms définit la santé comme un complet état de bien être physique, psychologique et sociale. Alors que dans un contexte plus large celle-ci se définit par une absence d'anomalie physique ou morale. La part entre santé selon l'oms et l'utopie du bonheur pour tous est dure à faire et s'éloigne de son antonyme qui devrait être la maladie.
Dans un premier temps nous verrons en quoi la définition de la santé pour l'oms s'éloigne de l'absence de maladie, et dans un deuxième temps l'explication de la maladie et sa définition.

Partie 1 : La santé = bonheur = plus que l'absence de maladie

- Complet etat de bien être physique : absence de maladie, d'handicap, amour de son corps, harmonie avec son corps, massage, coiffure esthétisme, sport ( elle inclue donc la notion de superflu et de plaisir supposant également un bon état social pour se le permettre)
-Complet etat de bien etre social : Argent pour payer les superflus, travail épanouissant, le grand amour pour ceux qui le désire, bonne entente familliale, cohésion sociale, des supers amis, un lieux de vie agréable en accord avec ses rêve (la encore loin d'une réalité essentielle la notion de plaisir de surplus d'idéale fait son apparition)
-Complet etat de bien être moral: Absence de pathologie neurologique ou psychique, optimisme à 100%, pensées positives, joie de vivre constante, pas stressé, pas d'aléa de la vie, pas de deuil (la encore la notion idéale et de plaisir est prise en compte un surplu qui retirerait les aléas de la vie de la notion de santé)

Partie 2 : La maladie définition puis les dangers d'une définition de la santé utopique.

- Maladie physique : Concrètement elle se caractérise par l'apparition de symptomes (douleur, fievre, courbatures, hémoragie ...) du à un accident, un handicap ou a une infection virale ou bactérienne. L'absence de ses facteurs et symptômes notifie l'absence de maladie mais pas de santé si on en croit l'oms.
- Maladie psychologique : Apparition de symp^tôme du à une cause anatomique (malformation cerbrale ,) handicap (trizomie) ou des symptomes psychique (boulimie, dépression) provoquant des comportement anormaux mettant la personne en souffrance ou en danger (suicide). La encore l'absence de tout cela signifie absence de maladie mental mais pas de bonne santé si on s en tient à l'oms.

- Dangers et paradoxe de la santé selon l'oms.

-Celle ci engendre à classer les aléas de la vie comme maladie et certains spécialiste ne se gènent pas pour noter tout et n'importe quoi comme "maladie" c'est d'ailleurs ce qui vaut la controverse du DSM (listing des symptomes et des maladies en psychatrie) qui ne cesse de s'allonger et de définir comme maladie psychique des états faisant partie de la vie.

- La vision de la santé selon l'oms conduit donc à classé chaque malheur faisant parti de la vie comme une absence de bonne santé mais pas comme une absence de maladie car celle ci renvoit à l'essentiel .

Conclusion:
La frontiere entre santé et maladie est grande l'une suppose l'essentielle tandis que l'autre suppose à l'utopie. Si on s'en tient à ses définitions il faudrait alors faire une échelle comportant trois termes. La maladie, la mauvaise santé prenant en compte le manque de superflus et de plaisir et ensuite la bonne santé devant l'utopie.

tu as fait ça sans aide en 10 minutes ??Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Mr.Aka]

Jolie dernier plan angelito néanmoins moi j'aurai rajouter la misère social et la difficultés d'accès au soins des classes moyenneÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.