Entrainement Culture générale 2014
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Re: Entrainement Culture générale 2014
L'autre jour Fides abordait la question des handicapés et de leurs sexaulité. Et bien un film traitant le sujet : "Gabrielle" sortira le 16 octobre.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2014 - 2017
Re: Entrainement Culture générale 2014
Bonjour,
je suis nouvelle sur le forum; J'ai 25 ans et je souhaite passer le concours au printemps pour la 1ére fois. Suite à quelques soucis de santé je suis en quelques sortes coincé chez moi pour un peu de temps. je devrait reprendre le travail début décembre, je veux donc en profiter pour m’entraîner un maximum pour le concours. Seulement faire tout toute seule n'est pas facile quand on a pas fait d'études depuis 5 ans...et j'avoue être perdu dans tous ça. J'ai acheté plusieurs livres pour la préparation m'est s'auto évaluer sur la culture générale est assez difficile. Je voudrais donc me joindre à vous pour m’entraîner
Voici un sujet que j'ai essayer de résumer, c'est mon premier !
Les clés pour prévenir et réduire l'obésité chez l'enfant
Mots clés : obésité, surpoids, pédiatrie, enfants, Infographie
Par figaro iconMartine Lochouarnfigaro iconService infographie du Figaro - le 04/10/2013
INFOGRAPHIE - Maladie multifactorielle, l'obésité des plus jeunes nécessite une prévention plus ciblée et une prise en charge multidisciplinaire.
Une récente étude française a évalué le devenir d'enfants en surpoids ou obèses accueillis en consultation spécialisée à l'hôpital du Pays de Gier (Loire). En 2001, 85 enfants âgés de 2 à 17 ans y ont été pris en charge, en moyenne durant trente-deux mois. L'évolution de leur poids a été réévaluée dix ans après, en 2012. Résultat: en 2001, la prise en charge avait été efficace pour 77 % des enfants, avec un bénéfice directement lié à sa durée. Mais le poids de la moitié des enfants a recommencé à augmenter dès son arrêt. Dix ans plus tard, l'évolution favorable du poids durant la prise en charge s'était poursuivie chez 30 % des enfants mais, malgré le succès initial, chez 43 % le poids avait ensuite évolué défavorablement. Pour 11 % des enfants, malgré l'insuccès de la première prise en charge, le poids dix ans plus tard s'était amélioré.
Il reste donc difficile de prévoir l'évolution pondérale à long terme d'un enfant en surpoids ou obèse, même avec une prise en charge efficace pendant un temps. Pour le Pr Patrick Tounian, pédiatre-nutritionniste (hôpital Armand-Trousseau, Paris), «l'obésitéest une maladie qu'on garde à vie: les modifications alimentaires ne sont efficaces que tant qu'elles sont poursuivies».
La proportion d'enfants en surpoids tend depuis peu à se stabiliser en France autour de 18 %, dont 4 % d'obésité. À la fois multifactorielle et individuelle, cette maladie chronique implique de nombreux facteurs: génétiques, périnataux, environnementaux et psychologiques. Une obésité parentale, un surpoids ou un diabète de la mère pendant la grossesse, un poids de naissance petit, trop élevé ou un gain de poids trop rapide ensuite, un milieu socio-économique défavorisé, un style éducatif trop rigide ou trop souple pour l'alimentation, le manque d'activité physique, le manque de sommeil, une dépression… sont aussi associés chez l'enfant au risque de surpoids ou d'obésité. Cependant, «s'il est justifié de promouvoir l'activité physique et un bon équilibre alimentaire chez tous les enfants, ces conseils de santé ne devraient pas être associés à la prévention de l'obésité», estime le Pr Tounian, pour qui «ils ont conduit à augmenter la stigmatisation des enfants en surpoids ou obèses, en laissant croire qu'on devient gros parce qu'on mange trop, alors qu'en réalité on mange trop parce qu'on est obèse».
L'évolution du poids chez l'enfant n'est pas linéaire, mais varie selon l'âge et le sexe et ne peut être évaluée indépendamment de ceux-ci. «Le médecin doit vérifier et noter le poids et la taille de l'enfant sur la courbe de corpulence du carnet de santé tous les six mois, tous les trois ou quatre mois en cas de facteurs de risque, afin de pouvoir conseiller des mesures de prévention s'il repère une montée anormale de celle-ci», explique le Dr Hélène Thibault, pédiatre-endocrinologue (CHU Bordeaux).
Le critère le plus prédictif du risque d'obésité chez l'enfant est la survenue précoce du rebond d'adiposité. La première année, la croissance rapide de l'enfant s'accompagne d'une augmentation de masse grasse qui atteint un maximum vers 1 an. Puis l'enfant s'affine, son IMC* diminue et passe vers 6 ans par un minimum, le rebond d'adiposité, avant de croître à nouveau. Parfois, ce rebond d'adiposité survient plus tôt: plus il est précoce, plus le risque d'obésité ultérieure est élevé.
Le surpoids et l'obésité présentent beaucoup moins de complications médicales graves chez l'enfant que chez l'adulte, sauf chez les grands obèses. «La plupart du temps, la principale complication est psychosociale: c'est la souffrance liée au regard péjoratif des autres», indique le Pr Tounian. En revanche, l'obésité infantile est très prédictive de l'obésité à l'âge adulte, qui, elle, est plus dangereuse: en l'absence de prise en charge, 75 % des enfants en surpoids deviennent des adultes en surpoids. «Dépister un enfant obèse n'a de sens que si on met en place une prise en charge. Il ne s'agit pas d'inculquer de bonnes habitudes alimentaires: l'obèse est programmé pour manger plus. Ce qu'on va lui apprendre, c'est à aller contre nature, contre une faim permanente programmée par le cerveau.»
La prise en charge de l'enfant obèse, souvent multidisciplinaire, repose d'abord sur des changements diététiques. Le but est de diminuer l'apport en calories. «On essaie donc de réduire les quantités avec les mêmes aliments, de garder le même volume en réduisant leur densité énergétique, de combattre le grignotage lié au fait que les enfants ont encore faim en sortant de table et d'augmenter un peu la ration protéique pour son effet rassasiant, explique le pédiatre. Le sport peut aider, mais n'a pas d'effet seul.»
* L'indice de masse corporelle (IMC), reflète la corpulence, l'adiposité d'un sujet. Sa valeur est donnée par la formule IMC = le poids (kg) divisé par la taille (cm) au carré.
Et voici mon résumé :
En 2001, une étude sur des enfants en surpoids a démontré qu’après plus de deux ans de prise en charge, le résultat était positif pour 77% d'entre eux. Cependant, après l'arrêt de la prise en charge, le poids de la moitié d'entre eux avait ré-augmenter. Dix ans plus tard, seulement 30% des enfants avaient une évolution favorable de leurs poids.
L'obésité est une maladie difficile a prévoir et a traiter puisqu'elle est trouve son origine dans de nombreux facteurs (génétique, environnementaux, psychologiques...)
Le simples conseils de santé, tel qu'avoir une activité physique régulière et une alimentation équilibrée ne sont pas une solution suffisante pour lutter contre le surpoids infantile.
L'une des clés de la lutte contre l'obésité est la prise en charge précoce des malades, puisque 75% des enfants en surpoids le seront à l'âge adulte. Une fois dépisté, une prise en charge est nécessaire, diététique, mais pas seulement. Ils leurs faut apprendre à lutter contre leurs cerveaux qui leurs envoient un message de faim perpétuelle.
Voilà, j'en suis pas vraiment contente mais je ne sais vraiment pas comment faire ça....
Merci d'avance pour votre réponse et chapeaux à tous ceux qui bossent ici si bien !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Voici un sujet que j'ai essayer de résumer, c'est mon premier !
Les clés pour prévenir et réduire l'obésité chez l'enfant
Mots clés : obésité, surpoids, pédiatrie, enfants, Infographie
Par figaro iconMartine Lochouarnfigaro iconService infographie du Figaro - le 04/10/2013
INFOGRAPHIE - Maladie multifactorielle, l'obésité des plus jeunes nécessite une prévention plus ciblée et une prise en charge multidisciplinaire.
Une récente étude française a évalué le devenir d'enfants en surpoids ou obèses accueillis en consultation spécialisée à l'hôpital du Pays de Gier (Loire). En 2001, 85 enfants âgés de 2 à 17 ans y ont été pris en charge, en moyenne durant trente-deux mois. L'évolution de leur poids a été réévaluée dix ans après, en 2012. Résultat: en 2001, la prise en charge avait été efficace pour 77 % des enfants, avec un bénéfice directement lié à sa durée. Mais le poids de la moitié des enfants a recommencé à augmenter dès son arrêt. Dix ans plus tard, l'évolution favorable du poids durant la prise en charge s'était poursuivie chez 30 % des enfants mais, malgré le succès initial, chez 43 % le poids avait ensuite évolué défavorablement. Pour 11 % des enfants, malgré l'insuccès de la première prise en charge, le poids dix ans plus tard s'était amélioré.
Il reste donc difficile de prévoir l'évolution pondérale à long terme d'un enfant en surpoids ou obèse, même avec une prise en charge efficace pendant un temps. Pour le Pr Patrick Tounian, pédiatre-nutritionniste (hôpital Armand-Trousseau, Paris), «l'obésitéest une maladie qu'on garde à vie: les modifications alimentaires ne sont efficaces que tant qu'elles sont poursuivies».
La proportion d'enfants en surpoids tend depuis peu à se stabiliser en France autour de 18 %, dont 4 % d'obésité. À la fois multifactorielle et individuelle, cette maladie chronique implique de nombreux facteurs: génétiques, périnataux, environnementaux et psychologiques. Une obésité parentale, un surpoids ou un diabète de la mère pendant la grossesse, un poids de naissance petit, trop élevé ou un gain de poids trop rapide ensuite, un milieu socio-économique défavorisé, un style éducatif trop rigide ou trop souple pour l'alimentation, le manque d'activité physique, le manque de sommeil, une dépression… sont aussi associés chez l'enfant au risque de surpoids ou d'obésité. Cependant, «s'il est justifié de promouvoir l'activité physique et un bon équilibre alimentaire chez tous les enfants, ces conseils de santé ne devraient pas être associés à la prévention de l'obésité», estime le Pr Tounian, pour qui «ils ont conduit à augmenter la stigmatisation des enfants en surpoids ou obèses, en laissant croire qu'on devient gros parce qu'on mange trop, alors qu'en réalité on mange trop parce qu'on est obèse».
L'évolution du poids chez l'enfant n'est pas linéaire, mais varie selon l'âge et le sexe et ne peut être évaluée indépendamment de ceux-ci. «Le médecin doit vérifier et noter le poids et la taille de l'enfant sur la courbe de corpulence du carnet de santé tous les six mois, tous les trois ou quatre mois en cas de facteurs de risque, afin de pouvoir conseiller des mesures de prévention s'il repère une montée anormale de celle-ci», explique le Dr Hélène Thibault, pédiatre-endocrinologue (CHU Bordeaux).
Le critère le plus prédictif du risque d'obésité chez l'enfant est la survenue précoce du rebond d'adiposité. La première année, la croissance rapide de l'enfant s'accompagne d'une augmentation de masse grasse qui atteint un maximum vers 1 an. Puis l'enfant s'affine, son IMC* diminue et passe vers 6 ans par un minimum, le rebond d'adiposité, avant de croître à nouveau. Parfois, ce rebond d'adiposité survient plus tôt: plus il est précoce, plus le risque d'obésité ultérieure est élevé.
Le surpoids et l'obésité présentent beaucoup moins de complications médicales graves chez l'enfant que chez l'adulte, sauf chez les grands obèses. «La plupart du temps, la principale complication est psychosociale: c'est la souffrance liée au regard péjoratif des autres», indique le Pr Tounian. En revanche, l'obésité infantile est très prédictive de l'obésité à l'âge adulte, qui, elle, est plus dangereuse: en l'absence de prise en charge, 75 % des enfants en surpoids deviennent des adultes en surpoids. «Dépister un enfant obèse n'a de sens que si on met en place une prise en charge. Il ne s'agit pas d'inculquer de bonnes habitudes alimentaires: l'obèse est programmé pour manger plus. Ce qu'on va lui apprendre, c'est à aller contre nature, contre une faim permanente programmée par le cerveau.»
La prise en charge de l'enfant obèse, souvent multidisciplinaire, repose d'abord sur des changements diététiques. Le but est de diminuer l'apport en calories. «On essaie donc de réduire les quantités avec les mêmes aliments, de garder le même volume en réduisant leur densité énergétique, de combattre le grignotage lié au fait que les enfants ont encore faim en sortant de table et d'augmenter un peu la ration protéique pour son effet rassasiant, explique le pédiatre. Le sport peut aider, mais n'a pas d'effet seul.»
* L'indice de masse corporelle (IMC), reflète la corpulence, l'adiposité d'un sujet. Sa valeur est donnée par la formule IMC = le poids (kg) divisé par la taille (cm) au carré.
Et voici mon résumé :
En 2001, une étude sur des enfants en surpoids a démontré qu’après plus de deux ans de prise en charge, le résultat était positif pour 77% d'entre eux. Cependant, après l'arrêt de la prise en charge, le poids de la moitié d'entre eux avait ré-augmenter. Dix ans plus tard, seulement 30% des enfants avaient une évolution favorable de leurs poids.
L'obésité est une maladie difficile a prévoir et a traiter puisqu'elle est trouve son origine dans de nombreux facteurs (génétique, environnementaux, psychologiques...)
Le simples conseils de santé, tel qu'avoir une activité physique régulière et une alimentation équilibrée ne sont pas une solution suffisante pour lutter contre le surpoids infantile.
L'une des clés de la lutte contre l'obésité est la prise en charge précoce des malades, puisque 75% des enfants en surpoids le seront à l'âge adulte. Une fois dépisté, une prise en charge est nécessaire, diététique, mais pas seulement. Ils leurs faut apprendre à lutter contre leurs cerveaux qui leurs envoient un message de faim perpétuelle.
Voilà, j'en suis pas vraiment contente mais je ne sais vraiment pas comment faire ça....

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Re: Entrainement Culture générale 2014
Et voici mon résumé pour le sujet n°4 sur les enfants handicapés.
Pendant que certains font leur rentrée, ce sont des milliers d'enfants handicapés qui sont privés d'école, dû à un manque de place dans es établissements spécialisés. Une situation difficile pour les familles qui doivent seul faire face à cette situation et qui risque de les dé-sociabiliser.
Entre 5000 et 15000 enfants sont entièrement ou partiellement exclus du système éducatif.
Les solutions d'accueil sont parfois inadaptés pour l'enfant ou bien les familles doivent patienté longtemps pour avoir une place en IME.
L'amendement Creton, permettant aux jeunes de rester dans les établissements (parfois jusqu'à 25 ans) empêche les plus jeunes d'y faire leur entrée.
Face à cela, l'Etat prévoit d'augmenter les places en établissements spécialisés et de continuer à développer l'accompagnement des enfants par des AVS. IL espère une augmentation de 3400 places d'ici 2017 pour les enfants autiste.
Aujourd'hui ce sont presque 300 000 enfants handicapés qui sont scolarisés.
Voila, vous en pensez quoi ? J'ai l'impression de trop paraphrasé le texte ?
Merci et bonne révision à tous !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Pendant que certains font leur rentrée, ce sont des milliers d'enfants handicapés qui sont privés d'école, dû à un manque de place dans es établissements spécialisés. Une situation difficile pour les familles qui doivent seul faire face à cette situation et qui risque de les dé-sociabiliser.
Entre 5000 et 15000 enfants sont entièrement ou partiellement exclus du système éducatif.
Les solutions d'accueil sont parfois inadaptés pour l'enfant ou bien les familles doivent patienté longtemps pour avoir une place en IME.
L'amendement Creton, permettant aux jeunes de rester dans les établissements (parfois jusqu'à 25 ans) empêche les plus jeunes d'y faire leur entrée.
Face à cela, l'Etat prévoit d'augmenter les places en établissements spécialisés et de continuer à développer l'accompagnement des enfants par des AVS. IL espère une augmentation de 3400 places d'ici 2017 pour les enfants autiste.
Aujourd'hui ce sont presque 300 000 enfants handicapés qui sont scolarisés.
Voila, vous en pensez quoi ? J'ai l'impression de trop paraphrasé le texte ?
Merci et bonne révision à tous !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Entrainement Culture générale 2014
Attention les critiques que je vais faire ne sont pas une attaque personnel, ou une quelconque arogance de ma part (pour tout te dire, je suis moi-même un novice dans le domaine
). Elles représentent seulement les enseignements que j'ai pu tirer de mes livres.
Je trouve que parfois tu es maladroite dans l'utilisation de tes mots de liaison.
"Pendant que certains font leur rentrée, ce sont des milliers d'enfants handicapés qui sont privés d'école. En cause, le manque de place dans les établissements spécialisés."
Sinon, ton résumé est vraiment génial, il ne paraphrase absolument pas et tu arrives tres bien à extraire les idées principales du texte !
Je sais pas si j'en aurait fait autant...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Je trouve que parfois tu es maladroite dans l'utilisation de tes mots de liaison.
Par exemple, ici, je trouve le "dû" un peu lourd, tu aurais éventuellement pu utilisermelie8704 a écrit :Pendant que certains font leur rentrée, ce sont des milliers d'enfants handicapés qui sont privés d'école, dû à un manque de place dans es établissements spécialisés
"Pendant que certains font leur rentrée, ce sont des milliers d'enfants handicapés qui sont privés d'école. En cause, le manque de place dans les établissements spécialisés."
Sinon, ton résumé est vraiment génial, il ne paraphrase absolument pas et tu arrives tres bien à extraire les idées principales du texte !
Je sais pas si j'en aurait fait autant...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2014 - 2017
Re: Entrainement Culture générale 2014
Merci !
Et pour les critiques c'est ce que je viens chercher donc il n'y a aucun problème !
J'ai tout le temps peur de paraphrasé et j'ai tendance à faire plus long que ce qu'on peut demander.
Merci de ta réponse !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Et pour les critiques c'est ce que je viens chercher donc il n'y a aucun problème !
J'ai tout le temps peur de paraphrasé et j'ai tendance à faire plus long que ce qu'on peut demander.
Merci de ta réponse !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Entrainement Culture générale 2014
Voici un sujet, si tu veux bosser dessus :
Le difficile aveu de son homosexualité à ses parents
Révéler son homosexualité à ses parents est une épreuve difficile pour un adolescent. L'accepter est souvent vécu douloureusement par la famille. Mathilde Besson, 20 ans, étudiante en deuxième année de médecine, estime avoir eu beaucoup de chance. "Mes parents me soutiennent, et c'est très important pour moi." Vers 12-13 ans, le jeune fille interpellait souvent ses parents sur le sujet. Connaissaient-ils des homosexuels ? Comment réagiraient-ils si un de leurs enfant l'était ? "Ma mère était gay friendly, mon père moins conciliant, mais ça ne le gênait pas fondamentalemnt."
Ce n'est que vers 15 ans qu'elle a pris conscience de sa différence. "Je suis sortie en seconde avec un garçon dont j'étais très amoureuse, mais pour qui je n'éprouvais pas de désir physique." Cette attirance troublante, elle l'a ressentie en prenant une amie dans ses bras. "D'un seul coup, je me suis dit que j'en avais marre de me mentir. Personne n'a été vraiment surpris." L'annonce à sa mère s'est faite plus tard, en première année de fac. "J'aimais une fille et je me confiais à ma mère en la faisant passer pour un garçon. Quand j'ai rompu, ma mère m'a dit, pour me consoler, que les garçons étaient immatures. Alors je lui ai répondu que ce n'était pas "il", mais "elle"." Il a fallu deus semaines à la mère de Mathilde pour accepter la nouvelle. Elle s'est sentie coupable, s'est inquitée pour sa fille avant de l'accepter pleinement. Mathilde n'a pas osé en parler à son père. Ce dernier, informer par son épouse, est allé vers sa fille, six mois plus tard, et lui en a parlé de lui-même, très naturellement.
Pour Félix, 20 ans, qui préfère ne donner que son prénom, l'annonce à ses parents a pris la tournure "d'un drame antique". Ils étaient attabmés tous les trois à l'occasion de l'anniversaire de sa mère - son frère était absent. "Mon aveu a eu un effet dévastateur. Il y a eu un silence de mort. Le ciel s'est écroulé sur leur tête." Sa mère l'a questionné d'un ton agressif, s'est mise à pleurer, lui a même proposé les services d'un psychiatre mettant son homosexualité sur le compte des troubles de l'adolescence.
Trois ans plus tard, Félix a toujours le sentiment que ses parents espèrent qu'il changera. "J'ai compris que je pouvais pas m'appuyer sur eux et cela a creuser un fossé." Ses parents ont tendance à occulter le sujet, ce qui est insupportable pour le jeune homme. "Ma mère a un cortège de représentations très négatives sur les homosexuels. Elle pense que je risque d'avoir le sida, que je vais peut-être changer de sexe, elle associe homosexualité et pédophilie, craint que je me prostitue auprès de vieillard. " Pour tenir, Félix est passé dans une "logique guerrière" et est devenu "férocement antihomophobe".
Difficile, l'aveu de son homosexualité s'accompagne souvent d'un vif soulagement quand l'entourage est bienveillant. Romain, 22 ans, qui requiert aussi l'anonymatn a pensé, dans ses périodes les plus noires, à mettre fin à ses jours. "J'ai fait une bonne dépression à 17 ans, se souvient-il. J'ai vu un psy pendant plusieurs mois mais je n'ai pas osé lui parler de mon homosexualité." L'annonce de son orientation sexuelle à ses parents lui a ôté un poids énorme. "J'ai de la reconnaissance pour eux de m'avoie accepté comme je suis. Ç'a été un immense coup de pouce. Je sais qu'ils me défendront toujours."
Selon l'étude du Dr Marc Shelly (Aremedia-Inserm), les jeunes homosexuels ont treize fois plus de risques de faire une tentative de sucide que les jeunes hétéros. L'isolement, le sentiment de solitide, la peur d'être rejeté du fait des stéréotypes négatifs associés à l'homosexualité, notamment à l'école, expliquent en partie cette fragilité. Á l'inverse, le soutien des camarades et de la famille constitue une aide précieuse.
Selon une étude menée par Caitlin Ryan, de l'Université de San Francisco, publiée dans la revue américaine Pediatrics en janvier 2009, les jeunes gays et lesbiennes qui subissent, adolescent, des comportments de rejet de la part de leur famile auraient 8,4 fois plus de risques de faire une tentative de suicide, 6 fois plus de risques de faire une dépression et 3,4 fois plus de risques de se droguer, comparés aux homosexuels dont les parents sont plus compréhensifs.
Jean-Claude Pinchon préside pour l'Île de France l'association de Contact. Avec des groupes de parole, cette union d'associations départementales aide les familles et amis à accepter l'orientation sexuelle de leurs proches et les jeunes homosexuels à communiquer avec leurs parents.
De l'acceptation à la tolérance, en passant par la condamnation ou le dégoût, les réactions des familles sont multiples. "Souvent, le père et la mère ne réagissent pas de la même façon. L'un peut éprouver un sentiment de rejet, d'incompréhension", explique-t-il. Qu'ai-je fait pour avoir un enfant homosexuel ? L'ai-je trop protégé ou pas assez ? Est-ce ma faute ? "Pour certains, il faut des mois, voire des années pour accepter l'orientation sexuelle de leur enfant. D'autres n'y parviendront jamais", analuse M.Pinchon. Aux jeunes qui veulent le dire à leurs parents, il conseille d'abord de préparer le terrain en ayant une discussion sur le thème de l'homosexualité pour voir quelles réactions le sujet suscite. "Si le,milieu familial est franchement homophobe, je leur conseil de ne pas en parler" explique-t-il.
Même les parents les plus ouverts peuvent éprouver de la tristesse : tristesse d'imaginer qu'ils ne seront pas grands-parents - même si cela peut être faux -, tristesse pour la vie de leur enfant dont ils craignent qu'elle soit difficile. "En discutant avec les familles, j'ai compris qu'avant d'accepter pleinement l'homosexualité de leur enfant, nombreux parents devraient faire le deuil de leurs projections parentales et que ce deuil était marqué par toute une série d'étapes", analyse Élisabeth Thorens-Gaud, auteur du livre remarquable Adolescents homosexuels. Des préjugés à l'acceptation (Favre, 2009). Et mieux les parents les soutiendront, plus leurs enfants auront de chances d'être heureux.
Martine Laronche, Le Monde, 15 mai 2010Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le difficile aveu de son homosexualité à ses parents
Révéler son homosexualité à ses parents est une épreuve difficile pour un adolescent. L'accepter est souvent vécu douloureusement par la famille. Mathilde Besson, 20 ans, étudiante en deuxième année de médecine, estime avoir eu beaucoup de chance. "Mes parents me soutiennent, et c'est très important pour moi." Vers 12-13 ans, le jeune fille interpellait souvent ses parents sur le sujet. Connaissaient-ils des homosexuels ? Comment réagiraient-ils si un de leurs enfant l'était ? "Ma mère était gay friendly, mon père moins conciliant, mais ça ne le gênait pas fondamentalemnt."
Ce n'est que vers 15 ans qu'elle a pris conscience de sa différence. "Je suis sortie en seconde avec un garçon dont j'étais très amoureuse, mais pour qui je n'éprouvais pas de désir physique." Cette attirance troublante, elle l'a ressentie en prenant une amie dans ses bras. "D'un seul coup, je me suis dit que j'en avais marre de me mentir. Personne n'a été vraiment surpris." L'annonce à sa mère s'est faite plus tard, en première année de fac. "J'aimais une fille et je me confiais à ma mère en la faisant passer pour un garçon. Quand j'ai rompu, ma mère m'a dit, pour me consoler, que les garçons étaient immatures. Alors je lui ai répondu que ce n'était pas "il", mais "elle"." Il a fallu deus semaines à la mère de Mathilde pour accepter la nouvelle. Elle s'est sentie coupable, s'est inquitée pour sa fille avant de l'accepter pleinement. Mathilde n'a pas osé en parler à son père. Ce dernier, informer par son épouse, est allé vers sa fille, six mois plus tard, et lui en a parlé de lui-même, très naturellement.
Pour Félix, 20 ans, qui préfère ne donner que son prénom, l'annonce à ses parents a pris la tournure "d'un drame antique". Ils étaient attabmés tous les trois à l'occasion de l'anniversaire de sa mère - son frère était absent. "Mon aveu a eu un effet dévastateur. Il y a eu un silence de mort. Le ciel s'est écroulé sur leur tête." Sa mère l'a questionné d'un ton agressif, s'est mise à pleurer, lui a même proposé les services d'un psychiatre mettant son homosexualité sur le compte des troubles de l'adolescence.
Trois ans plus tard, Félix a toujours le sentiment que ses parents espèrent qu'il changera. "J'ai compris que je pouvais pas m'appuyer sur eux et cela a creuser un fossé." Ses parents ont tendance à occulter le sujet, ce qui est insupportable pour le jeune homme. "Ma mère a un cortège de représentations très négatives sur les homosexuels. Elle pense que je risque d'avoir le sida, que je vais peut-être changer de sexe, elle associe homosexualité et pédophilie, craint que je me prostitue auprès de vieillard. " Pour tenir, Félix est passé dans une "logique guerrière" et est devenu "férocement antihomophobe".
Difficile, l'aveu de son homosexualité s'accompagne souvent d'un vif soulagement quand l'entourage est bienveillant. Romain, 22 ans, qui requiert aussi l'anonymatn a pensé, dans ses périodes les plus noires, à mettre fin à ses jours. "J'ai fait une bonne dépression à 17 ans, se souvient-il. J'ai vu un psy pendant plusieurs mois mais je n'ai pas osé lui parler de mon homosexualité." L'annonce de son orientation sexuelle à ses parents lui a ôté un poids énorme. "J'ai de la reconnaissance pour eux de m'avoie accepté comme je suis. Ç'a été un immense coup de pouce. Je sais qu'ils me défendront toujours."
Selon l'étude du Dr Marc Shelly (Aremedia-Inserm), les jeunes homosexuels ont treize fois plus de risques de faire une tentative de sucide que les jeunes hétéros. L'isolement, le sentiment de solitide, la peur d'être rejeté du fait des stéréotypes négatifs associés à l'homosexualité, notamment à l'école, expliquent en partie cette fragilité. Á l'inverse, le soutien des camarades et de la famille constitue une aide précieuse.
Selon une étude menée par Caitlin Ryan, de l'Université de San Francisco, publiée dans la revue américaine Pediatrics en janvier 2009, les jeunes gays et lesbiennes qui subissent, adolescent, des comportments de rejet de la part de leur famile auraient 8,4 fois plus de risques de faire une tentative de suicide, 6 fois plus de risques de faire une dépression et 3,4 fois plus de risques de se droguer, comparés aux homosexuels dont les parents sont plus compréhensifs.
Jean-Claude Pinchon préside pour l'Île de France l'association de Contact. Avec des groupes de parole, cette union d'associations départementales aide les familles et amis à accepter l'orientation sexuelle de leurs proches et les jeunes homosexuels à communiquer avec leurs parents.
De l'acceptation à la tolérance, en passant par la condamnation ou le dégoût, les réactions des familles sont multiples. "Souvent, le père et la mère ne réagissent pas de la même façon. L'un peut éprouver un sentiment de rejet, d'incompréhension", explique-t-il. Qu'ai-je fait pour avoir un enfant homosexuel ? L'ai-je trop protégé ou pas assez ? Est-ce ma faute ? "Pour certains, il faut des mois, voire des années pour accepter l'orientation sexuelle de leur enfant. D'autres n'y parviendront jamais", analuse M.Pinchon. Aux jeunes qui veulent le dire à leurs parents, il conseille d'abord de préparer le terrain en ayant une discussion sur le thème de l'homosexualité pour voir quelles réactions le sujet suscite. "Si le,milieu familial est franchement homophobe, je leur conseil de ne pas en parler" explique-t-il.
Même les parents les plus ouverts peuvent éprouver de la tristesse : tristesse d'imaginer qu'ils ne seront pas grands-parents - même si cela peut être faux -, tristesse pour la vie de leur enfant dont ils craignent qu'elle soit difficile. "En discutant avec les familles, j'ai compris qu'avant d'accepter pleinement l'homosexualité de leur enfant, nombreux parents devraient faire le deuil de leurs projections parentales et que ce deuil était marqué par toute une série d'étapes", analyse Élisabeth Thorens-Gaud, auteur du livre remarquable Adolescents homosexuels. Des préjugés à l'acceptation (Favre, 2009). Et mieux les parents les soutiendront, plus leurs enfants auront de chances d'être heureux.
Martine Laronche, Le Monde, 15 mai 2010Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Entrainement Culture générale 2014
coucou ,
alors tout d'abord bonjour à vous tous je viens tous juste de tomber sur ce fabuleux topique que je trouve extrêmement génial , c'est une excellente idée cette année je suis enfin prête a passer le concours IFSI j'ai pris du temps (3 ans) pour pouvoir me lancer mais je suis enfin prête j'espère être admise du premier coup car je commence a vieillir un peu. bref je souhaiterais éventuellement vous rejoindre sur ce topique j’espère être la bienvenue. actuellement je suis en deuxième année de BTS sanitaire et social donc je pourrais vous donner les sujets sanitaire et sociaux que mes formateurs me transmettent .
mes révisons commence aujourdh'hui
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
alors tout d'abord bonjour à vous tous je viens tous juste de tomber sur ce fabuleux topique que je trouve extrêmement génial , c'est une excellente idée cette année je suis enfin prête a passer le concours IFSI j'ai pris du temps (3 ans) pour pouvoir me lancer mais je suis enfin prête j'espère être admise du premier coup car je commence a vieillir un peu. bref je souhaiterais éventuellement vous rejoindre sur ce topique j’espère être la bienvenue. actuellement je suis en deuxième année de BTS sanitaire et social donc je pourrais vous donner les sujets sanitaire et sociaux que mes formateurs me transmettent .


J' y compte bien y arriver un jour !!!!
Re: Entrainement Culture générale 2014
La question ne se pose pas, bienvenue !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.Mathilde 03 a écrit : j’espère être la bienvenue
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Re: Entrainement Culture générale 2014
Me revoilà les mais avec un petit sujet pour mon retour !
1. ………………………
Pour ceux et celles qui n'auraient pas suivi, le docteur Dukan propose, entre autres, l'instauration d'une option « poids d'équilibre» au bac, Le principe est simple, il s'agit d'accorder des points aux élèves ayant un IMC (indice de masse corporelle) compris entre 18 et 25, soit la majorité des élèves, sur toute la durée du lycée. Pour cela, les élèves seront pesés deux fois par an durant trois ans (imaginez les élèves se rendant à l'infirmerie pour leur pesée bisannuelle ... quelle horreur !),
Mais ne nous trompons pas, « pour éviter toute discrimination, et même avantager ceux qui se trouvent en dehors de ces limites, une simple progression constante vers le poids d'équilibre (100 g par trimestre) » suffirait à faire gagner des points. Nous voilà rassurés, cette mesure n'est donc pas discriminatoire !
2. ………………………
Ce qui me surprend le plus, c'est comment un homme intelligent et d'une telle réputation puisse proposer une mesure aussi aberrante et discriminatoire. Ça m'a aussitôt fait penser au film Bienvenue à Gattaca où seuls ceux qui ont un patrimoine génétique impeccable peuvent réussir professionnellement et personnellement. Certes la comparaison est un peu poussée puisque nous n'avons pas de prise sur nos gènes tandis que nous en avons (du moins pour la plupart des gens) sur notre poids, mais le principe de récompenser un poids corporel sain est le même. Bien que la génétique ne soit pas le principal facteur de l'obésité, il existe cependant, pour certains cas, un lien avéré entre hérédité et obésité. Des gênes favorisant l'obésité ont été mises en évidence.
Certes nos génomes n'ont pas changé au cours des dernières années, donc l'augmentation constante de l'obésité et du surpoids est en grande partie due à nos changements d'habitude de vie (alimentation et sédentarité). Ce problème de santé publique doit donc encore plus être pris à bras-le-corps par les pouvoirs publics.
L'objectif du docteur Dukan est d'éduquer les jeunes à la nutrition (il propose également six modules d'une heure de formation à la nutrition opérationnelle, la cuisine et l'activité physique).
En soit cette idée est louable mais est-ce là vraiment l'éducation nutritionnelle que l'on veut leur donner? Il faut avoir un IMC compris entre 18 et 25 pour avoir un corps mince et en bonne santé. Le risque de réduire la nutrition à une notion de poids « correct» est de favoriser les troubles des comportements alimentaires, à un âge particulièrement sensible pour le développement de ces troubles.
D'après un rapport de l'Académie nationale de médecine, l'anorexie « est en augmentation dans nos pays où le corps est affiché partout et où la minceur fait figure d'idéal ». Dans son rapport, datant de 2002 (il y a 10 ans, on peut donc imaginer que les chiffres ont augmenté depuis), l’Académie souligne que l'anorexie touche 1 % des adolescents avec une forte prédominance féminine (6 à 10 filles pour 1 garçon) et la boulimie 1,1 % des filles et 0,2 % des garçons. Bien que ces chiffres puissent paraître faibles par rapport à ceux de l'obésité - 31,9 % des Français de 18 ans et plus sont en surpoids (25 ≤ IMC < 30 kg/m²) et 14,5 % sont obèses (IMC ≥ 30 kg/m²) (enquête Obépi-Roche 2009) - il ne faut cependant pas les négliger.
L'Académie de médecine rapporte également une fréquence élevée et en augmentation d'anomalies du comportement alimentaire, autres que l'anorexie et la boulimie. Aux États-Unis, 40 à 60 % des filles de 17-18 ans suivraient un régime et 13 % se font vomir ou prennent des laxatifs, diurétiques ou coupe-faims pour perdre du poids. La tendance est la même pour la France.
3. ………………………
Personnellement, ces tendances au développement des troubles alimentaires m'inquiètent tout autant que l'augmentation du surpoids, et sont à prendre en compte également par les pouvoirs publics. Enfin après les inquiétudes éthiques, discriminatoires et comportementales soulevées par cette proposition, j'en viens à une considération purement scientifique.
Cette option « poids d'équilibre» serait basée sur le calcul de l'IMC, indice de masse corporelle. Pour rappel, l'IMC est le rapport de la masse totale (en kg) sur la taille (en m'), C'est un standard
défini par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) pour évaluer les risques liés au surpoids et à l'obésité. Cependant, depuis quelques années déjà, l'association entre IMC, surpoids/obésité et mortalité est controversée.
Le calcul de l'IMC considère la masse totale d'un individu sans différencier la masse musculaire de la masse graisseuse, ni la masse osseuse. Il n'est donc pas adapté à tous les individus, les muscles pesant plus lourds que la graisse, des sportifs peuvent donc être considérés comme en surpoids alors qu'ils sont en meilleure condition physique que la population générale. Le taux d'erreur de classification des personnes par l'IMC n'est donc pas négligeable.
4. ………………………
L'association entre le surpoids/obésité et la mortalité dépend de plusieurs autres facteurs qui ne sont pas non plus pris en compte par le calcul de l'IMC : le sexe, l'âge, l'appartenance ethnique, la distribution de la masse graisseuse etc. Un article publié en 2009 dans la revue Circulation fait le point sur les imprécisions du calcul de l'IMC et le risque de continuer à l'utiliser seul dans les études épidémiologiques.
D'après l'ouvrage de Pierre Dukan, Lettre ouverte au futur président de la République
Questions :
1. Reformulez la phrase en gras sans faire de paraphrase. (2 points)
2. Donnez un titre aux quatre parties et justifiez-les en 3 lignes. (6 points)
3. D'après votre opinion, résumez en 70 lignes les causes de ce culte de la minceur. (12 points)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1. ………………………
Pour ceux et celles qui n'auraient pas suivi, le docteur Dukan propose, entre autres, l'instauration d'une option « poids d'équilibre» au bac, Le principe est simple, il s'agit d'accorder des points aux élèves ayant un IMC (indice de masse corporelle) compris entre 18 et 25, soit la majorité des élèves, sur toute la durée du lycée. Pour cela, les élèves seront pesés deux fois par an durant trois ans (imaginez les élèves se rendant à l'infirmerie pour leur pesée bisannuelle ... quelle horreur !),
Mais ne nous trompons pas, « pour éviter toute discrimination, et même avantager ceux qui se trouvent en dehors de ces limites, une simple progression constante vers le poids d'équilibre (100 g par trimestre) » suffirait à faire gagner des points. Nous voilà rassurés, cette mesure n'est donc pas discriminatoire !
2. ………………………
Ce qui me surprend le plus, c'est comment un homme intelligent et d'une telle réputation puisse proposer une mesure aussi aberrante et discriminatoire. Ça m'a aussitôt fait penser au film Bienvenue à Gattaca où seuls ceux qui ont un patrimoine génétique impeccable peuvent réussir professionnellement et personnellement. Certes la comparaison est un peu poussée puisque nous n'avons pas de prise sur nos gènes tandis que nous en avons (du moins pour la plupart des gens) sur notre poids, mais le principe de récompenser un poids corporel sain est le même. Bien que la génétique ne soit pas le principal facteur de l'obésité, il existe cependant, pour certains cas, un lien avéré entre hérédité et obésité. Des gênes favorisant l'obésité ont été mises en évidence.
Certes nos génomes n'ont pas changé au cours des dernières années, donc l'augmentation constante de l'obésité et du surpoids est en grande partie due à nos changements d'habitude de vie (alimentation et sédentarité). Ce problème de santé publique doit donc encore plus être pris à bras-le-corps par les pouvoirs publics.
L'objectif du docteur Dukan est d'éduquer les jeunes à la nutrition (il propose également six modules d'une heure de formation à la nutrition opérationnelle, la cuisine et l'activité physique).
En soit cette idée est louable mais est-ce là vraiment l'éducation nutritionnelle que l'on veut leur donner? Il faut avoir un IMC compris entre 18 et 25 pour avoir un corps mince et en bonne santé. Le risque de réduire la nutrition à une notion de poids « correct» est de favoriser les troubles des comportements alimentaires, à un âge particulièrement sensible pour le développement de ces troubles.
D'après un rapport de l'Académie nationale de médecine, l'anorexie « est en augmentation dans nos pays où le corps est affiché partout et où la minceur fait figure d'idéal ». Dans son rapport, datant de 2002 (il y a 10 ans, on peut donc imaginer que les chiffres ont augmenté depuis), l’Académie souligne que l'anorexie touche 1 % des adolescents avec une forte prédominance féminine (6 à 10 filles pour 1 garçon) et la boulimie 1,1 % des filles et 0,2 % des garçons. Bien que ces chiffres puissent paraître faibles par rapport à ceux de l'obésité - 31,9 % des Français de 18 ans et plus sont en surpoids (25 ≤ IMC < 30 kg/m²) et 14,5 % sont obèses (IMC ≥ 30 kg/m²) (enquête Obépi-Roche 2009) - il ne faut cependant pas les négliger.
L'Académie de médecine rapporte également une fréquence élevée et en augmentation d'anomalies du comportement alimentaire, autres que l'anorexie et la boulimie. Aux États-Unis, 40 à 60 % des filles de 17-18 ans suivraient un régime et 13 % se font vomir ou prennent des laxatifs, diurétiques ou coupe-faims pour perdre du poids. La tendance est la même pour la France.
3. ………………………
Personnellement, ces tendances au développement des troubles alimentaires m'inquiètent tout autant que l'augmentation du surpoids, et sont à prendre en compte également par les pouvoirs publics. Enfin après les inquiétudes éthiques, discriminatoires et comportementales soulevées par cette proposition, j'en viens à une considération purement scientifique.
Cette option « poids d'équilibre» serait basée sur le calcul de l'IMC, indice de masse corporelle. Pour rappel, l'IMC est le rapport de la masse totale (en kg) sur la taille (en m'), C'est un standard
défini par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) pour évaluer les risques liés au surpoids et à l'obésité. Cependant, depuis quelques années déjà, l'association entre IMC, surpoids/obésité et mortalité est controversée.
Le calcul de l'IMC considère la masse totale d'un individu sans différencier la masse musculaire de la masse graisseuse, ni la masse osseuse. Il n'est donc pas adapté à tous les individus, les muscles pesant plus lourds que la graisse, des sportifs peuvent donc être considérés comme en surpoids alors qu'ils sont en meilleure condition physique que la population générale. Le taux d'erreur de classification des personnes par l'IMC n'est donc pas négligeable.
4. ………………………
L'association entre le surpoids/obésité et la mortalité dépend de plusieurs autres facteurs qui ne sont pas non plus pris en compte par le calcul de l'IMC : le sexe, l'âge, l'appartenance ethnique, la distribution de la masse graisseuse etc. Un article publié en 2009 dans la revue Circulation fait le point sur les imprécisions du calcul de l'IMC et le risque de continuer à l'utiliser seul dans les études épidémiologiques.
D'après l'ouvrage de Pierre Dukan, Lettre ouverte au futur président de la République
Questions :
1. Reformulez la phrase en gras sans faire de paraphrase. (2 points)
2. Donnez un titre aux quatre parties et justifiez-les en 3 lignes. (6 points)
3. D'après votre opinion, résumez en 70 lignes les causes de ce culte de la minceur. (12 points)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IFSI C'est reparti pour année ! Concours 2015 j'arrive, et plus motivée que jamais !
Re: Entrainement Culture générale 2014
Salut ! Alors voici mon travail sur le sujet de ophel-hihi. Je n'en suis pas spécialement fièr, la question 3 est sans doute hors sujet et elle ne fait que 39 lignes sur les 70 demandées
.
1- Reformulez la phrase en gras sans faire de paraphrase. (2 points)
Selon un rapport de l'Accadémie paru en 2002, l'anorexie toucherait 1% des adolescent, dont la majorité serait des filles. Il en est de même pour la boulimie. Bien que le pourcentage d'adolescents touchés par l'anorexie/boulimie soit considérablement moindre, il reste néanmoins inquiétant puisque la tendance n'est pas à la baisse.
2-Donnez un titre aux quatre parties et justifiez-les en 3 lignes. (6 points)
1) "La pesée pour tous"
L'idée d'instaurer une pesée obligatoire est tout simplement scandaleuse. Les adolescents seraient à un diktat de la minceur récompensé par l'éducation nationale. Un comble lorsque l'on connait les ravage dde ce culte de la minceur.
2) "Un eugénisme"
Eduquer les jeunes à la nutrition n'est pas nécessairement une mauvaise initiative, cependant, la manière dont elle est mise en place modelerait d'une certaine façon les futurs adultes créant ainsi un modèle standard d'adolescent.
3) "Un outil non-fiable"
Dans l'optique de cette mesure, l'IMC serait le baromètre de la notation. Cependant, cet IMC n'est pas un outil couvrant la totalité des paramètres influant sur l'équilibre du poids. Il est en quelque sorte une formule imparfaite.
4) "De nombreuses failles"
En plus de ne pas couvrir toutes les différentes causes, l'IMC tente de faire un lien avec la mortalité. Ceci est préjudiciable pour ses partisant maus aussi et surtout pour les personnes jugés à travers celui-ci.
3-D'après votre opinion, résumez en 70 lignes les causes de ce culte de la minceur. (12 points)
Dans la socièté actuelle, les personnes sont de plus en plus soumises au diktat de la minceur. Cela est plus particulièrement vrai pour les adolescentes et les femmes. Les hommes ne sont pas en reste puisqu'ils sont eux aussi affectés par ce phénomène.
L'une des causes de ce culte de la minceur est l'image véhiculée par les médias ,le cinéma et les publicitaires. Ceci est particulièrement vrai pour les magazines de mode. Ils nous présentent des mannequins avec una plastique toujours plus mince et proche de cet idéal de minceur. Mais cette image est trompeuse puisque ces mannequins sont souvent retouchés à l'aide de l'informatique. Là est toute l'ironie de la situation : dans notre exemple des magazines de mode, les lecteurs et lectrices cherchent à ressembler à ces models qu'ils perçoivent, souvent, comme un idéal masculin ou féminin. Or, comment ressembler à un model qui n'existe pas ? C'est une quête sans fin nourrit pas un insatiable désir de perfection. Le ressenti des gens varie selon certains paramètres sociaux-professionnels. Les personnes travaillant dans le milieu de la mode, où les mannequins sont incités à être de plus en plus mince, subissent une pression professionnelle considérable. Quant aux victimes de la mode, elles ont tendance à adopter des comportements à risques, autodestructeurs, les affectant aussi bien physiquement que mentalement. Ces comportement viennent généralement en réponse à une pression sociale toujours plus pesante.
Depuis quelques années, ce culte de la minceur affecte également les populations plus jeunes. Des adolescents toujours plus précoces, voulant impérativement ressembler à leurs idoles, quitte à nuire à leur propre santé. En France, toute catégories d'âges confondues, on dénombre 220 000 boulimiques. Cette boulimie concerne majoritairement le sexe féminin mais également, dans des cas plus rares, le sexe masculin. La boulimie est l'absorption de quantités conséquentes de nourriture pour ensuite les faire sortir en se faisant vomir. Elle se manifeste pas des crises épisodiques avec une fréquence plus ou moins régulière. Cette pathologie est indissociable de l'anorexie. Selon le rapport de l'Accademie, l'anorexie touche 1% des adolescents en France. Aux Etats-Unis, 40 à 60% des filles de 17-18ans suivraient un régime. Cette triste situation atteint son paroxysme lorsque l'on peut voir dans les journaux la mort d'adolescents des suites d'une anorexie. L'instauration de cette option au bac accentuerait la pression qui pèse sur les jeunes, aggraverait un éventuel mal-être déja présent et instaurerait une discrimination au poids. Je peux donc affirmer que ce culte de la minceur est un enjeux majeur de la santé.
Pour aider les personnes atteintes de boulimie et/ou d'anorexie, le rôle des soignants consiste en un accompagnement psychologique et comportementale. Ils participent également au rééquilibrage de l'alimentation des patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

1- Reformulez la phrase en gras sans faire de paraphrase. (2 points)
Selon un rapport de l'Accadémie paru en 2002, l'anorexie toucherait 1% des adolescent, dont la majorité serait des filles. Il en est de même pour la boulimie. Bien que le pourcentage d'adolescents touchés par l'anorexie/boulimie soit considérablement moindre, il reste néanmoins inquiétant puisque la tendance n'est pas à la baisse.
2-Donnez un titre aux quatre parties et justifiez-les en 3 lignes. (6 points)
1) "La pesée pour tous"
L'idée d'instaurer une pesée obligatoire est tout simplement scandaleuse. Les adolescents seraient à un diktat de la minceur récompensé par l'éducation nationale. Un comble lorsque l'on connait les ravage dde ce culte de la minceur.
2) "Un eugénisme"
Eduquer les jeunes à la nutrition n'est pas nécessairement une mauvaise initiative, cependant, la manière dont elle est mise en place modelerait d'une certaine façon les futurs adultes créant ainsi un modèle standard d'adolescent.
3) "Un outil non-fiable"
Dans l'optique de cette mesure, l'IMC serait le baromètre de la notation. Cependant, cet IMC n'est pas un outil couvrant la totalité des paramètres influant sur l'équilibre du poids. Il est en quelque sorte une formule imparfaite.
4) "De nombreuses failles"
En plus de ne pas couvrir toutes les différentes causes, l'IMC tente de faire un lien avec la mortalité. Ceci est préjudiciable pour ses partisant maus aussi et surtout pour les personnes jugés à travers celui-ci.
3-D'après votre opinion, résumez en 70 lignes les causes de ce culte de la minceur. (12 points)
Dans la socièté actuelle, les personnes sont de plus en plus soumises au diktat de la minceur. Cela est plus particulièrement vrai pour les adolescentes et les femmes. Les hommes ne sont pas en reste puisqu'ils sont eux aussi affectés par ce phénomène.
L'une des causes de ce culte de la minceur est l'image véhiculée par les médias ,le cinéma et les publicitaires. Ceci est particulièrement vrai pour les magazines de mode. Ils nous présentent des mannequins avec una plastique toujours plus mince et proche de cet idéal de minceur. Mais cette image est trompeuse puisque ces mannequins sont souvent retouchés à l'aide de l'informatique. Là est toute l'ironie de la situation : dans notre exemple des magazines de mode, les lecteurs et lectrices cherchent à ressembler à ces models qu'ils perçoivent, souvent, comme un idéal masculin ou féminin. Or, comment ressembler à un model qui n'existe pas ? C'est une quête sans fin nourrit pas un insatiable désir de perfection. Le ressenti des gens varie selon certains paramètres sociaux-professionnels. Les personnes travaillant dans le milieu de la mode, où les mannequins sont incités à être de plus en plus mince, subissent une pression professionnelle considérable. Quant aux victimes de la mode, elles ont tendance à adopter des comportements à risques, autodestructeurs, les affectant aussi bien physiquement que mentalement. Ces comportement viennent généralement en réponse à une pression sociale toujours plus pesante.
Depuis quelques années, ce culte de la minceur affecte également les populations plus jeunes. Des adolescents toujours plus précoces, voulant impérativement ressembler à leurs idoles, quitte à nuire à leur propre santé. En France, toute catégories d'âges confondues, on dénombre 220 000 boulimiques. Cette boulimie concerne majoritairement le sexe féminin mais également, dans des cas plus rares, le sexe masculin. La boulimie est l'absorption de quantités conséquentes de nourriture pour ensuite les faire sortir en se faisant vomir. Elle se manifeste pas des crises épisodiques avec une fréquence plus ou moins régulière. Cette pathologie est indissociable de l'anorexie. Selon le rapport de l'Accademie, l'anorexie touche 1% des adolescents en France. Aux Etats-Unis, 40 à 60% des filles de 17-18ans suivraient un régime. Cette triste situation atteint son paroxysme lorsque l'on peut voir dans les journaux la mort d'adolescents des suites d'une anorexie. L'instauration de cette option au bac accentuerait la pression qui pèse sur les jeunes, aggraverait un éventuel mal-être déja présent et instaurerait une discrimination au poids. Je peux donc affirmer que ce culte de la minceur est un enjeux majeur de la santé.
Pour aider les personnes atteintes de boulimie et/ou d'anorexie, le rôle des soignants consiste en un accompagnement psychologique et comportementale. Ils participent également au rééquilibrage de l'alimentation des patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2014 - 2017
Re: Entrainement Culture générale 2014
Coucou les ifsinautes
Je vais commencer demain à m'atteler à la préparation du concours de 2014 (mars).
Je ne sais pas par où commencer car je n'ai pas de notions en BIO, très peu de culture générale en santé, je suis nulle en maths et en tests psycho. Pour couronner le tout, je m'y prends à peine maintenant, mais pas de panique!
Je peux participer à votre fil de discussion et tenter de faire vos exos??? Cela permet de s'entrainer pour l'oral ou pour l'écrit???Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Je vais commencer demain à m'atteler à la préparation du concours de 2014 (mars).
Je ne sais pas par où commencer car je n'ai pas de notions en BIO, très peu de culture générale en santé, je suis nulle en maths et en tests psycho. Pour couronner le tout, je m'y prends à peine maintenant, mais pas de panique!

Je peux participer à votre fil de discussion et tenter de faire vos exos??? Cela permet de s'entrainer pour l'oral ou pour l'écrit???Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Quand on veut, on peut ?!
Re: Entrainement Culture générale 2014
Bon, grâce à vous, j'ai décidé de me lancer avant même de recevoir une autorisation!
J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop.
Je viens de lire le sujet 1 et j'ai fait un résumé. J'ai respecté le timing.
Le voici:
Alzheimer, une charte pour encadrer la géolocalisation des patients.
Les troubles de la mémoire chez les personnes âgées et plus particulièrement Alzheimer touchent de plus en plus de personnes dans notre société, c'est pourquoi la prise en charge reste une question fondamentale. Pour favoriser l'autonomie des personnes âgées ayant un trouble de mémorisation, la géolocalisation semble une bonne alternative. Les personnes âgées seraient alors surveillées à distance et si elles s'égarent, il seraient très simple de les retrouver et de ne pas les laisser en situation de potentiel danger.
Encore faut-il encadrer ces pratiques. C'est le projet de la ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l'autonomie. Ce projet est né suite à de longs échanges entre le ministère et le personnel soignant, les associations de patients et les fabricants de matériel. Des points essentiels ont donc été soulevés.
Le premier concerne l'attribution de ce matériel d'encadrement. Il ne peut pas être proposé automatiquement, ni remplacer le personnel médical et les auxiliaires de vie. Un médecin traitant, ainsi qu'un spécialiste seront là pour poser le diagnostic et les besoins précis du patient. Un agrément serait ensuite délivré par le Centre National de Référence Santé.
Le second directement relié concerne le Droit des patients, le droit de refus du matériel d'encadrement. Étant donné que les patients seraient inconstants, là aussi, il conviendrait de se référer aux médecins et au Centre National.
Le troisième concerne les libertés de l'individu. En effet, le matériel s'oppose au Droit de chacun de circuler librement. Comment faire en sorte que la liberté et la sécurité de l'individu soient toutes les deux assurées? Une période d'essai permettraient de constater si les deux aspects sont compatibles. Un centre s'est d'ailleurs proposer d'expérimenter la géolocalisation sur ces patients.
Le dernier point concerne l'achat et les modalités de remboursement. En effet, le matériel coûte cher. Un système de location serait à envisager.
Pour l'instant, aucune charte n'a été mise en place. Le ministère doit terminer éclairer tous ces aspects à l'aide de partenaires extérieurs.
BON mon résumé est long, mais je ne sais pas si le jour de l'écrit ou l'oral, c'est un résumé ou une synthèse qu'il faut faire. Merci pour vos réponses. Et merci d'avoir créer ce post GÉNIAL et motivant!
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Je viens de lire le sujet 1 et j'ai fait un résumé. J'ai respecté le timing.
Le voici:
Alzheimer, une charte pour encadrer la géolocalisation des patients.
Les troubles de la mémoire chez les personnes âgées et plus particulièrement Alzheimer touchent de plus en plus de personnes dans notre société, c'est pourquoi la prise en charge reste une question fondamentale. Pour favoriser l'autonomie des personnes âgées ayant un trouble de mémorisation, la géolocalisation semble une bonne alternative. Les personnes âgées seraient alors surveillées à distance et si elles s'égarent, il seraient très simple de les retrouver et de ne pas les laisser en situation de potentiel danger.
Encore faut-il encadrer ces pratiques. C'est le projet de la ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l'autonomie. Ce projet est né suite à de longs échanges entre le ministère et le personnel soignant, les associations de patients et les fabricants de matériel. Des points essentiels ont donc été soulevés.
Le premier concerne l'attribution de ce matériel d'encadrement. Il ne peut pas être proposé automatiquement, ni remplacer le personnel médical et les auxiliaires de vie. Un médecin traitant, ainsi qu'un spécialiste seront là pour poser le diagnostic et les besoins précis du patient. Un agrément serait ensuite délivré par le Centre National de Référence Santé.
Le second directement relié concerne le Droit des patients, le droit de refus du matériel d'encadrement. Étant donné que les patients seraient inconstants, là aussi, il conviendrait de se référer aux médecins et au Centre National.
Le troisième concerne les libertés de l'individu. En effet, le matériel s'oppose au Droit de chacun de circuler librement. Comment faire en sorte que la liberté et la sécurité de l'individu soient toutes les deux assurées? Une période d'essai permettraient de constater si les deux aspects sont compatibles. Un centre s'est d'ailleurs proposer d'expérimenter la géolocalisation sur ces patients.
Le dernier point concerne l'achat et les modalités de remboursement. En effet, le matériel coûte cher. Un système de location serait à envisager.
Pour l'instant, aucune charte n'a été mise en place. Le ministère doit terminer éclairer tous ces aspects à l'aide de partenaires extérieurs.
BON mon résumé est long, mais je ne sais pas si le jour de l'écrit ou l'oral, c'est un résumé ou une synthèse qu'il faut faire. Merci pour vos réponses. Et merci d'avoir créer ce post GÉNIAL et motivant!

Quand on veut, on peut ?!
Re: Entrainement Culture générale 2014
Salut !
Je vais moi même passer mon 1er concours au printemps prochain donc je suis pas trop sûr de moi mais bon je pense qu'à l'écrit on tombera sur un résumé.
Après pour l'oral il me semble que c'est une synthèse avec une argumentation basée sur nos connaissance et un texte donné, ensuite le jury nous interroge sur notre motivation.
Ca reste à confirmer !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je vais moi même passer mon 1er concours au printemps prochain donc je suis pas trop sûr de moi mais bon je pense qu'à l'écrit on tombera sur un résumé.
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ESI 2014 - 2017
Re: Entrainement Culture générale 2014
Merci pour ta réponse!
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Quand on veut, on peut ?!
Re: Entrainement Culture générale 2014
Me revoici, après une longue absence! C'est partie!!! et Bienvenue aux nouveaux ^^
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