TFE : bienveillance lors d'un soin technique invasif

[Galatae34]

Bonjour à toutes et à tous,

j'ai besoin d'aide pour mon TFE s'il vous plait.
Le sujet traite de "bienveillance lors d'un soin technique invasif".
En effet, lors de mes stages j'ai observé quelques situations où les infirmiers et/ou étudiants infirmiers prodiguent des soins techniques invasifs sans prêter attention à la personne soignée (ils n'agissent pas par intérêt de celle-ci, non respect de sa dignité). Ma question de départ qui en ressort est : Lors de la réalisation d'un acte technique invasif, qu'est-ce qui conduit certains infirmiers à ne pas dispenser le soin avec bienveillance à l'égard des personnes soignées ?
Cette dernière est t-elle pertinente ?
Si oui, quels concepts devrais-je mettre en avant ? Je veux traiter les concepts de bienveillance, de technicité et de relation soignant/soigné.

Merci d'avance.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[execho]

si tu parles de bienveillance,tu supposes que la malveillance est possible,tu vas rentrer dans le jugement moral.Faire un sujet en partant d'une observation de "malveillance" (,d'abord c'est ton ressenti),est casse gueule à mon avis.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Galatae34]

si tu parles de bienveillance,tu supposes que la malveillance est possible,tu vas rentrer dans le jugement moral.Faire un sujet en partant d'une observation de "malveillance" (,d'abord c'est ton ressenti),est casse gueule à mon avis.

Je te remercie pour ta réponse et pour ta franchise. Alors malheureusement il est trop tard pour que je change de situation... Cette situation m'a interpellé , je ne l'ai pas ressenti mais je l'ai vu, la patiente a pleuré lors du soin à cause de la douleur induite, l'IDE n'y a pas prêté attention et une fois le soin fini il est sorti de la chambre sans dire un mot. Peut être devrais je tourner ma question autrement et ne pas parler de "bienveillance" mais plus me focaliser sur la technicité, bref si certains ont des idées merci de m'en faire part car je rame pas mal Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[execho]

la brutalité du silence?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[augusta]

Ton thème est fort intéressant (il se rapproche de celui que j'avais traité), mais l'angle d'approche n'est pas le bon pour les raisons expliquées par execho.

Donc garde ta situation, en reformulant ta problématique.

La mienne était: En quoi l'information donnée au patient peut-elle limitée la douleur lors d'un soin invasif.

Si tu as besoin d'en discuter, on peut le faire en mp.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[loulic]

Y a un gros problème de jugement dans ta problématique.

Je reprends la situation :

le soignant (peut importe son corps de métier) doit faire bénéficier au patient un soin technique, invasif et douloureux.

Il n'est pas question de bienveillance ou de malveillance.

Par contre la maitrise technique du soin, la maitrise du relationnel, le rapport avec la douleur provoqué par le soin (c'est jamais plaisant de faire mal à un patient pour lui faire un soin) … vont influer sur la capacité du soignant à réaliser ce soin dans les meilleures conditions pour le patient.

Si le soignant doit se concentrer pour faire le soin, il risque de s'enfermer dans le soin en perdant le contact avec le patient.

Le fait que le soignant ne parle pas au patient pendant le soin ne signifie pas qu'il n'en a rien à foutre, et certainement pas qu'il est malveillant.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[myloma]

bonjour Galatae

oui, je partage l'analyse de loulic

parfois, la concentration est nécessaire pour réaliser le geste technique
parfois, la situation d'urgence est telle que tu dois te concentrer pour parvenir à perfuser une personne en collpasus
cela m'est arrivée dans ce cas, de m'y reprendre à plusieurs fois pour perfuser une patiente entrain de se noyer littéralement car faisant un OAP

ma "personne humaine" souffrait de ce je faisais, piquer et repiquer,
ma "professionnalité" (heu, pas très français je l'avoue )m'a permise de garder en apparence mon calme et de perfuser pour avoir une voie d'abord, en vue lui administrer (sur prescription) les diurétiques et autres prescriptions, mais l'interne de garde n'était pas encore sur place
je parlais peu, tellement la concentration était axée sur le geste et surveillance de son état, attendant le médecin pour avoir les prescriptions adaptées
la priorité pour cette dame ETAIT l'ADMINISTRATION des thérapeutiques
urgence vitale

peut être aurais-tu été choquée de me voir auprès d'elle?
mais parfois, la rapidité du geste prime
et, dès que j ai terminé, j'ai repris "mon humanité" et suis restée la rassurer, en plus de la surveillance requise, je suis passée la voir fréquemment (seule IDE de nuit avec une AS )

par contre, je suis ok avec toi pour certaines situations

toute jeune infirmière, j ai vu un interne s'acharner à poser un KT en sous clavière , aujourd'hui, j'aurais poussé ma gueulante, mais à 20 ans, on ose moins
là, il n y avait aucun critère d'urgence, cela aurait pu être soit différé, soit repris par qq d'autre

alors, je pense que cela dépend de la situation de départ
urgence vitale OU geste technique pouvant être programméÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[documentaliste]

Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour, voici une définition de la bienveillance:
Disposition favorable de la volonté d’une personne envers une autre, ou un groupe. Cette attitude se manifeste par une écoute active et demande une tolérance, un réel intérêt de la personne et la capacité de non-jugement. Elle s’exprime par une communication verbale et non verbale pour instaurer un climat de confiance, faciliter le soin (PAILLARD. Christine. Dictionnaire humaniste infirmier. Noisy-le-grand: Setes éditions. 2013.)
n'hésitez pas à consulter la BDSP super base de données et aussi : http://www.bdsp.ehesp.fr/Base/
si vous avez accès à EMPREMIUM
n'hésitez pas à rechercher des livres sur la relation soignant-soigné: http://www.pearltrees.com/docifsi/4-2-s ... /id4935546

Bonne chance
SIDOC

n'oubliez pas de regarder les livres à la BU: http://www.sudoc.abes.fr/?COOKIE=U10178 ... 7.62.46,FN


j'ai besoin d'aide pour mon TFE s'il vous plait.
Le sujet traite de "bienveillance lors d'un soin technique invasif".
En effet, lors de mes stages j'ai observé quelques situations où les infirmiers et/ou étudiants infirmiers prodiguent des soins techniques invasifs sans prêter attention à la personne soignée (ils n'agissent pas par intérêt de celle-ci, non respect de sa dignité). Ma question de départ qui en ressort est : Lors de la réalisation d'un acte technique invasif, qu'est-ce qui conduit certains infirmiers à ne pas dispenser le soin avec bienveillance à l'égard des personnes soignées ?
Cette dernière est t-elle pertinente ?
Si oui, quels concepts devrais-je mettre en avant ? Je veux traiter les concepts de bienveillance, de technicité et de relation soignant/soigné.

Merci d'avance.

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