TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
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TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Bonjour à tous,
Je viens vers vous pour avoir un échange et profiter de votre expérience et votre recul professionnel dans votre pratique. Et aussi avoir des conseils quant à l'articulation logique.
Ma question de départ est la suivante: "Le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"
Le champ étant large, j'ai décidé de rétrécir aux relations sexuelles entre patients, et de ne prendre en focale que les services fermés de psychiatrie.
Je pars sur le cadre théorique: législation et état des lieux de la pratique en cours. J'ai une première dualité, en effet depuis la jurisprudence de Cadillac, la porte est ouverte à ce que les patients puissent avoir des relations sexuelles, cependant la plupart des services actuellement continuent de l'interdire. Bien évidemment, la jurisprudence s'est bien gardé de jalonner les conditions à l'accès à la sexualité pour les patients.
Je pars ensuite sur le cadre conceptuel, et la je fais intervenir la notion d'éthique, en replaçant l'objectif de soin, puis le devoir de protection des patients vulnérable et de sauvegarde pour ceux dont le jugement est obscurcit par la pathologie. Notre rôle propre et le care.
En transition, je parle du tabou et du passé infirmier ancré dans la pratique religieuse et de la différence entre sexualité (action, pulsion, besoin) et sentiment (affection, réflexion, intellectualisation).
Et là je pêches un peu pour ordonner ces différentes notions que sont: l'autonomie sexuelle, le discernement, l'intimité, la justice/équité, l'éducation à la sexualité.
Bref, j'ai choisi ce sujet, parce que je me projette demain en tant que futur infirmier, et je serais bien embêté face à cela, partagé entre:
-Respect de la charte du patient, intimité, Loi, et le principe et devoir de protection.
-Comment distinguer le patient apte de celui qui ne l'est pas.
-Interdire et provoquer des relations clandestines à risque pour les patients.
-Mettre à disposition des moyens de protection et susciter l'envie, et ne pas en mettre et faciliter des risques d'infections, de contaminations, ou de grossesse.
Je vous présente également mes questions pour l'entretien, je serais également intéressé d'avoir vos apports pour qu'elle soient plus pertinentes:
1. A quelles difficultés êtes-vous le plus souvent confronté avec les patients du service en regard de leur intimité ?
2. Comment l’intimité des patients dans le service est-elle préservée?
3. Quel est le cadre légal concernant la possibilité, pour les patients, d’avoir des relations sexuelles dans le service ?
4. Quelle est la politique du service en regard des relations sexuelles des patients, dans le service? Relance pourquoi ? Et envers les manifestations amoureuses ?
5. Quelles sont, selon vous, les problématiques liées aux relations sexuelles entre patients en service?
6. Pourquoi est-ce que l’on entend souvent que la sexualité des patients en psychiatrie est un sujet tabou ?
7. Que faites-vous et que mettez-vous en place après avoir constaté un rapport sexuel entre patients ?
8. Quels moyens utilisez-vous pour faire de l’éducation à la sexualité avec les patients ?
9. En tenant compte du rôle propre infirmier, comment vous sentez-vous en tant que soignant face à la sexualité des patients ?
10. Aujourd’hui de quoi auriez-vous besoin pour vous sentir plus à l’aise avec la sexualité des patients ?
11. Pourquoi n’existe-t-il pas d’équité entre des prisonniers condamnés à qui on permet d’avoir des relations sexuelles dans le cadre de leur incarcération, et les patients en psychiatrie qui n’ont d’autres torts que d’être malade ?
12. Quelles seraient les conditions qui permettraient aux patients d’avoir des relations sexuelles en service ?
A ce jour, de l'avancée de mon travail, je me rends compte que le Care est finalement une notion d'une parfaite injustice, car nous ne sommes pas dans de l'éthique (une règle applicable à tous), mais dans la casuistique (du cas par cas) et il n'y a rien de plus injuste.
Merci d'avance pour les discussions qui vont s'en suivre, vos éclairages et vos apports.
Je viens vers vous pour avoir un échange et profiter de votre expérience et votre recul professionnel dans votre pratique. Et aussi avoir des conseils quant à l'articulation logique.
Ma question de départ est la suivante: "Le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"
Le champ étant large, j'ai décidé de rétrécir aux relations sexuelles entre patients, et de ne prendre en focale que les services fermés de psychiatrie.
Je pars sur le cadre théorique: législation et état des lieux de la pratique en cours. J'ai une première dualité, en effet depuis la jurisprudence de Cadillac, la porte est ouverte à ce que les patients puissent avoir des relations sexuelles, cependant la plupart des services actuellement continuent de l'interdire. Bien évidemment, la jurisprudence s'est bien gardé de jalonner les conditions à l'accès à la sexualité pour les patients.
Je pars ensuite sur le cadre conceptuel, et la je fais intervenir la notion d'éthique, en replaçant l'objectif de soin, puis le devoir de protection des patients vulnérable et de sauvegarde pour ceux dont le jugement est obscurcit par la pathologie. Notre rôle propre et le care.
En transition, je parle du tabou et du passé infirmier ancré dans la pratique religieuse et de la différence entre sexualité (action, pulsion, besoin) et sentiment (affection, réflexion, intellectualisation).
Et là je pêches un peu pour ordonner ces différentes notions que sont: l'autonomie sexuelle, le discernement, l'intimité, la justice/équité, l'éducation à la sexualité.
Bref, j'ai choisi ce sujet, parce que je me projette demain en tant que futur infirmier, et je serais bien embêté face à cela, partagé entre:
-Respect de la charte du patient, intimité, Loi, et le principe et devoir de protection.
-Comment distinguer le patient apte de celui qui ne l'est pas.
-Interdire et provoquer des relations clandestines à risque pour les patients.
-Mettre à disposition des moyens de protection et susciter l'envie, et ne pas en mettre et faciliter des risques d'infections, de contaminations, ou de grossesse.
Je vous présente également mes questions pour l'entretien, je serais également intéressé d'avoir vos apports pour qu'elle soient plus pertinentes:
1. A quelles difficultés êtes-vous le plus souvent confronté avec les patients du service en regard de leur intimité ?
2. Comment l’intimité des patients dans le service est-elle préservée?
3. Quel est le cadre légal concernant la possibilité, pour les patients, d’avoir des relations sexuelles dans le service ?
4. Quelle est la politique du service en regard des relations sexuelles des patients, dans le service? Relance pourquoi ? Et envers les manifestations amoureuses ?
5. Quelles sont, selon vous, les problématiques liées aux relations sexuelles entre patients en service?
6. Pourquoi est-ce que l’on entend souvent que la sexualité des patients en psychiatrie est un sujet tabou ?
7. Que faites-vous et que mettez-vous en place après avoir constaté un rapport sexuel entre patients ?
8. Quels moyens utilisez-vous pour faire de l’éducation à la sexualité avec les patients ?
9. En tenant compte du rôle propre infirmier, comment vous sentez-vous en tant que soignant face à la sexualité des patients ?
10. Aujourd’hui de quoi auriez-vous besoin pour vous sentir plus à l’aise avec la sexualité des patients ?
11. Pourquoi n’existe-t-il pas d’équité entre des prisonniers condamnés à qui on permet d’avoir des relations sexuelles dans le cadre de leur incarcération, et les patients en psychiatrie qui n’ont d’autres torts que d’être malade ?
12. Quelles seraient les conditions qui permettraient aux patients d’avoir des relations sexuelles en service ?
A ce jour, de l'avancée de mon travail, je me rends compte que le Care est finalement une notion d'une parfaite injustice, car nous ne sommes pas dans de l'éthique (une règle applicable à tous), mais dans la casuistique (du cas par cas) et il n'y a rien de plus injuste.
Merci d'avance pour les discussions qui vont s'en suivre, vos éclairages et vos apports.
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
l'idée de justice veut assurer une cohésion d'ensemble(charte du patient),la différenciation veut assurer la protection des plus faibles dans cet ensemble(le care),?
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Bonsoir
à vous lire comme ça, la première impression c'est qu'il manquerait un questionnement qui s'origine dans une situation rencontrée. Qu'est ce qui vous a amené à vouloir travailler ce sujet ? Quel est votre situation de départ et comment a t elle été gérée ? Quelles sont les questions qui vous sont venues ?
Si vous me permettez, d'où tirez vous également une telle définition de l'éthique ? Quant au Care, ça ne me parle pas vraiment. Qu'est ce que c'est pour vous ?
à vous lire comme ça, la première impression c'est qu'il manquerait un questionnement qui s'origine dans une situation rencontrée. Qu'est ce qui vous a amené à vouloir travailler ce sujet ? Quel est votre situation de départ et comment a t elle été gérée ? Quelles sont les questions qui vous sont venues ?
Si vous me permettez, d'où tirez vous également une telle définition de l'éthique ? Quant au Care, ça ne me parle pas vraiment. Qu'est ce que c'est pour vous ?
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Et j'ai failli oublier la question 11, je vous rassure, d'une prison à une autre il n'y a pas d'équité non plus.
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
J'aime beaucoup cet axe de pensée, je ne l'avais jamais vu comme cela.execho a écrit :l'idée de justice veut assurer une cohésion d'ensemble(charte du patient),la différenciation veut assurer la protection des plus faibles dans cet ensemble(le care),?
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Bonjour Bruno, c'est vrai je n'en ai pas parlé de peur de faire un gros pavé et que les gens ne le lisent pas.brrruno a écrit :Bonsoir
à vous lire comme ça, la première impression c'est qu'il manquerait un questionnement qui s'origine dans une situation rencontrée. Qu'est ce qui vous a amené à vouloir travailler ce sujet ? Quel est votre situation de départ et comment a t elle été gérée ? Quelles sont les questions qui vous sont venues ?
Si vous me permettez, d'où tirez vous également une telle définition de l'éthique ? Quant au Care, ça ne me parle pas vraiment. Qu'est ce que c'est pour vous ?
Mais effectivement, je pars d'une situation d'appel.
Une femme mariée de 32 ans bipolaire arrivant en SPDTU dans le service pour décompensation psychotique sur fond de crise clastique avec polyconsommation de toxique, sur lequel s'ajoute une conjugopathie. une semaine plus tard, le juge leve le SPDTU, mais la patiente en accord avec le psychiatre reste dans l'unité fermée afin de poursuivre la prise en charge. A ce moment là, elle se rapproche d'un patient, aussi rentré en SPDTU pour décompensation psychotique avec polyconsommation de toxique. L'équipe conserve un oeil sur la patiente, mais lors des transmissions du midi, elle est introuvable et est retrouvée dans le lit du patient en question.
Les deux sont pris en entretiens individuels pour leur signifier qu'il ne faut plus recommencer, puis un bilan sang est réalisé avec recherche serologique (consentement a peine demandé).
Le questionnement de départ était, ou suis-je en tant qu'infirmier dans cette situation par rapport à notre rôle propre, je ne suis pas dans le curatif, ni dans le préventif, ni dans l'éducatif. Concrètement, cette patiente a consommé une relation suite à un défaut de vigilance, ou d'organisation, mais sommes nous des gardiens? En partie oui, lorsque cela est nécessaire pour protéger les plus fragiles, hors ici, cette patiente hormis une légère désinhibition était parfaitement consciente de ce qu'elle faisait, tout comme son partenaire. De plus, nous sommes censé respecter l'intimité du patient et notamment sa chambre (cf. charte du patient hospitalisé en psychiatrie), alors pourquoi avoir "violé" cette intimité? Alors certes, toujours ce devoir de protection, hors, je ne penses pas qu'il y avait lieu de les protéger l'un de l'autre. En revanche, il y aurait eu lieu de leur fournir une protection, le partenaire est un marginal et potentiellement vecteur d'infection sexuellement transmissible, et cela n'a pas été fait. Quelle serait notre responsabilité en cas d'infection? en cas de grossesse? Et plutôt que de faire un bilan sang en aval, ne serait ce pas mieux d'ouvrir un dialogue sur le sujet en amont?
Alors ce n'est pas une définition a proprement parlé, mais plutot un raccourci, mais dans les cours que nous avons reçu, c'est en effet l'idée de la définition, d'ailleurs ce site reprend l'idée dans sa définition http://www.soins-infirmiers.com/ethique.php
Et le care est un concept anglo saxon c'est le "prendre soin du" patient dans toutes ses dimensions, c'est le pendant du cure qui est le soin actif.
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
C'est pas fauxbrrruno a écrit :Et j'ai failli oublier la question 11, je vous rassure, d'une prison à une autre il n'y a pas d'équité non plus.

Mais ce serait rentrer dans un autre débat à savoir si les unités fermées ont vraiment rompu le lien avec leur passé asilaire. Bien évidemment, cela dépend des structures. Les 3 que je connais, ont encore un fort écho du passé.
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Cette question a-t-elle été validée par votre guidant?darkgreyfox a écrit : Ma question de départ est la suivante: "Le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"
Je suis surprise puisque cette question ne comporte pas de verbe.
Cela fait plus titre que question de départ.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Alors, un peu en vrac parce qu'il y a beaucoup de choses !
Pensez vous que la justice soit un élément qui s'applique à tous de manière univoque ? Et est-ce que "justice" et "juste" bien qu'ayant la même racine, porte le même sens ? S'il y a jurisprudence, c'est parce que la justice est rendu au cas par cas. Et comment quelque chose pourrait être juste, dans un protocole qui ne prendrait pas en compte l'humain, mais qui agirait comme une machine ?
Votre définition de l'éthique se confond avec la morale alors que ce sont deux éléments à la fois différents et complémentaires.
De même pour la définition de gardien, bien sûr que l'on est gardien, dans l'idée de préserver quelque chose, une parole, une écoute ... Alors peut on parler de défaut de vigilance ?
Avez vous pu discuter avec l'équipe autour de cette situation, des entretiens qui ont eu lieu dans les suites ? Du pourquoi de leur réaction ? L'évaluation de la désinhibition n'est pas évidente. Qu'est ce qui est lié au choix de la personne, à l'influence d'un autre dans un milieu de vie des plus déstabilisant ? Il me semble qu'en psychiatrie ce n'est pas du rôle propre qu'il s'agit, mais d'un travail issu d'une réflexion d'équipe. Non pas qu'il n'y ai pas une réflexion à avoir à un niveau personnel, mais il faut venir la confronter à celle des autres et en lien avec ce qui aura été échangé avec la patiente.
Pensez vous que la justice soit un élément qui s'applique à tous de manière univoque ? Et est-ce que "justice" et "juste" bien qu'ayant la même racine, porte le même sens ? S'il y a jurisprudence, c'est parce que la justice est rendu au cas par cas. Et comment quelque chose pourrait être juste, dans un protocole qui ne prendrait pas en compte l'humain, mais qui agirait comme une machine ?
Votre définition de l'éthique se confond avec la morale alors que ce sont deux éléments à la fois différents et complémentaires.
De même pour la définition de gardien, bien sûr que l'on est gardien, dans l'idée de préserver quelque chose, une parole, une écoute ... Alors peut on parler de défaut de vigilance ?
Avez vous pu discuter avec l'équipe autour de cette situation, des entretiens qui ont eu lieu dans les suites ? Du pourquoi de leur réaction ? L'évaluation de la désinhibition n'est pas évidente. Qu'est ce qui est lié au choix de la personne, à l'influence d'un autre dans un milieu de vie des plus déstabilisant ? Il me semble qu'en psychiatrie ce n'est pas du rôle propre qu'il s'agit, mais d'un travail issu d'une réflexion d'équipe. Non pas qu'il n'y ai pas une réflexion à avoir à un niveau personnel, mais il faut venir la confronter à celle des autres et en lien avec ce qui aura été échangé avec la patiente.
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Mais c'est vous qui amenez ces autres débats, au travers de questions trop disparates.darkgreyfox a écrit :C'est pas fauxbrrruno a écrit :Et j'ai failli oublier la question 11, je vous rassure, d'une prison à une autre il n'y a pas d'équité non plus.![]()
Mais ce serait rentrer dans un autre débat à savoir si les unités fermées ont vraiment rompu le lien avec leur passé asilaire. Bien évidemment, cela dépend des structures. Les 3 que je connais, ont encore un fort écho du passé.
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Entièrement d'accord avec vous. J'ai retravaillé cet après-midi, et cette question a été retirée, je l'avais posé vendredi, mais elle n'a pas sa place dans l'optique que je vais donner au mémoirebrrruno a écrit : Mais c'est vous qui amenez ces autres débats, au travers de questions trop disparates.
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Dans ce cas, "Quel est le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"augusta a écrit :Cette question a-t-elle été validée par votre guidant?darkgreyfox a écrit : Ma question de départ est la suivante: "Le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"
Je suis surprise puisque cette question ne comporte pas de verbe.
Cela fait plus titre que question de départ.
Qu'en pensez-vous?
- augusta
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Personnellement, je préfère puisque c'est une phrase!
Dans tous les cas vous devez suivre votre guidant.
Si celui-ci a validé votre 1ère question, gardez-la....
Dans tous les cas vous devez suivre votre guidant.
Si celui-ci a validé votre 1ère question, gardez-la....
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
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Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Mon directeur de mémoire s'est rangé de votre avis, question validée.augusta a écrit :Personnellement, je préfère puisque c'est une phrase!
Dans tous les cas vous devez suivre votre guidant.
Si celui-ci a validé votre 1ère question, gardez-la....
Merci Augusta
Re: TFE: Positonnement, sexualité, psychiatrie
Et bien ça dépend. Position debout ou allongée ?darkgreyfox a écrit :
Dans ce cas, "Quel est le positionnement infirmier en regard de la sexualité des patients en psychiatrie?"
Qu'en pensez-vous?
Rappelez-vous que nous ne sommes ni des flics, ni les parents des patients, notre seul devoir est de ne pas laisser les gens vulnérables se mettre en danger.
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
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