Menaces de l'ordre !!!
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - ONI
Re: Menaces de l'ordre !!!
Si les infirmiers inscrits ne peuvent pas quitter l'ordre, faisons en sorte que l'ordre quitte les infirmiers : ne cotisons pas et l'ordre disparaitra !
Re: Menaces de l'ordre !!!
un changement à prendre en compte:"procédure simplifiée de recouvrement des petites créances" décret 9 mars 2016.
Re: Menaces de l'ordre !!!
Lu sur Résilience (Facebook) :
Communiqué RESILIENCE - ordre infirmier: harcèlement/menaces/intimidations et rappels à la cotisation.
En bientôt 10 années d’existence, l’ordre infirmier n’a rien prouvé, rien montré, a failli disparaître plusieurs fois, mais demeure toujours là par la seule volonté des politiques qui ont trahi leurs engagements, contre la volonté de plus de 80% d’infirmières toujours non inscrites depuis 2006.
Etant donné qu’il ne vit pas de l’air du temps, il a besoin de l’argent de ses inscrits, contraints ou pas, pour subsister et poursuivre son (in)action, bien que la procédure enclenchée et visant à calquer le découpage régional sur la nouvelle carte administrative devrait logiquement réduire ses frais de fonctionnement.
Le caractère hyper-procédurier des dirigeants de cette organisation (après avoir raté à deux reprises en 2015 de faire interdire notre site @ puis de faire dissoudre le syndicat) oblige à être prudents dans nos déclarations, mais il est bon de rappeler que l’opposition à l’ordre infirmier ne date pas d’hier mais qu’elle a souvent été regardée, certes avec sympathie, la plupart du temps.
On peut néanmoins toujours résister, notamment en se rapprochant des syndicats qui n’ont pas prêté allégeance, tout en gardant bien à l’esprit qu’il fut un temps où les actions auraient pu (et dû) être beaucoup plus efficaces, voire létales pour l'ordre infirmier.
En tout état de cause, le fait de n’être pas inscrite reste, à ce jour, la meilleure protection contre les menaces directes de l’ordre.
Communiqué RESILIENCE - ordre infirmier: harcèlement/menaces/intimidations et rappels à la cotisation.
En bientôt 10 années d’existence, l’ordre infirmier n’a rien prouvé, rien montré, a failli disparaître plusieurs fois, mais demeure toujours là par la seule volonté des politiques qui ont trahi leurs engagements, contre la volonté de plus de 80% d’infirmières toujours non inscrites depuis 2006.
Etant donné qu’il ne vit pas de l’air du temps, il a besoin de l’argent de ses inscrits, contraints ou pas, pour subsister et poursuivre son (in)action, bien que la procédure enclenchée et visant à calquer le découpage régional sur la nouvelle carte administrative devrait logiquement réduire ses frais de fonctionnement.
Le caractère hyper-procédurier des dirigeants de cette organisation (après avoir raté à deux reprises en 2015 de faire interdire notre site @ puis de faire dissoudre le syndicat) oblige à être prudents dans nos déclarations, mais il est bon de rappeler que l’opposition à l’ordre infirmier ne date pas d’hier mais qu’elle a souvent été regardée, certes avec sympathie, la plupart du temps.
On peut néanmoins toujours résister, notamment en se rapprochant des syndicats qui n’ont pas prêté allégeance, tout en gardant bien à l’esprit qu’il fut un temps où les actions auraient pu (et dû) être beaucoup plus efficaces, voire létales pour l'ordre infirmier.
En tout état de cause, le fait de n’être pas inscrite reste, à ce jour, la meilleure protection contre les menaces directes de l’ordre.
Re: Menaces de l'ordre !!!
Il faut bien dire que les dirigeants ordinaux infirmiers ont multiplié les procès contre les opposants, aux grands frais des inscrits, dans le but de faire taire ce qui n'est pas de la pensée unique ordino-correcte.
Il faut bien dire que le président actuel, auto-proclamé en 2011, s'est différencié de celle qui l'avait précédé, elle-même qui a toujours dit qu'elle ne poursuivrait personne : elle a tenu parole !
Il faut bien dire que jamais le président ne s'est jamais déplacé lors d'une audience pour argumenter, préférant laisser œuvrer ses avocats qui ont fait plus que de l'alimentaire.
Il faut bien dire que toutes ces procédures ont bien dû avoir un bilan financier négatif tant ce qui a été accordé à l'organisation était loin des sommes demandées (et de là à penser que cela aurait pu être une source de financement...).
Que de pleurnicheries...!
Il faut bien dire que le président actuel, auto-proclamé en 2011, s'est différencié de celle qui l'avait précédé, elle-même qui a toujours dit qu'elle ne poursuivrait personne : elle a tenu parole !
Il faut bien dire que jamais le président ne s'est jamais déplacé lors d'une audience pour argumenter, préférant laisser œuvrer ses avocats qui ont fait plus que de l'alimentaire.
Il faut bien dire que toutes ces procédures ont bien dû avoir un bilan financier négatif tant ce qui a été accordé à l'organisation était loin des sommes demandées (et de là à penser que cela aurait pu être une source de financement...).
Que de pleurnicheries...!