ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
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Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
L'ordre infirmier a été supprimé en avril 2015 par les Députés et rétabli en novembre grâce aux voix de 9 Députés (dont certains étaient médecins) contre 8.
Le mystère demeure toujours sur l'état des finances car aucun compte digne de ce nom n'est publié (jamais n'apparaissent le montant des recettes exclusivement obtenues, parait-il, par les cotisations des inscrits).
La présidence est le fait d'un infirmier sexagénaire à la retraite.
La direction est tenue par une personne non élue et non infirmière.
Le verdict des élections n'est pas respecté (les élections départementales qui ont laissées plus de la moitié des départements sans conseil ont été recommencées en créant des inter-départements).
Les actions sont pauvres ou vouées à l'échec et sans commune mesure avec les ambitions prétendues.
Au moins 75 % de la population n'est pas inscrite et l'ordre espère son salut via une inscription automatique qui serait décrétée par le gouvernement (la demande de rentrer dans les ordres n'est-elle pas une démarche volontaire ?).
Cela fera bientôt 10 ans que ce truc existe et le mieux à faire est de l'ignorer : sans argent, sans appui et sans intérêt, il disparaitra.
Le mystère demeure toujours sur l'état des finances car aucun compte digne de ce nom n'est publié (jamais n'apparaissent le montant des recettes exclusivement obtenues, parait-il, par les cotisations des inscrits).
La présidence est le fait d'un infirmier sexagénaire à la retraite.
La direction est tenue par une personne non élue et non infirmière.
Le verdict des élections n'est pas respecté (les élections départementales qui ont laissées plus de la moitié des départements sans conseil ont été recommencées en créant des inter-départements).
Les actions sont pauvres ou vouées à l'échec et sans commune mesure avec les ambitions prétendues.
Au moins 75 % de la population n'est pas inscrite et l'ordre espère son salut via une inscription automatique qui serait décrétée par le gouvernement (la demande de rentrer dans les ordres n'est-elle pas une démarche volontaire ?).
Cela fera bientôt 10 ans que ce truc existe et le mieux à faire est de l'ignorer : sans argent, sans appui et sans intérêt, il disparaitra.
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Et le plus tôt sera le mieux.eusèbe a écrit :Cela fera bientôt 10 ans que ce truc existe et le mieux à faire est de l'ignorer : sans argent, sans appui et sans intérêt, il disparaitra.
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
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Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
En tout cas, ça ne suscite pas les inscriptions : à peine 1000 de plus en 1 mois (d'après les chiffres ordinaux donc certainement surévalués) ; quant aux cotisations, c'est l'omerta, mais on peut penser que beaucoup rechignent à payer pour agrémenter le temps libre des apparatchiks ou bien pour lire leurs avis sur des sujets auxquels ces derniers ne sont pas ou plus concernés (la souffrance au travail par exemple).
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
eusèbe a écrit :En tout cas, ça ne suscite pas les inscriptions : à peine 1000 de plus en 1 mois (d'après les chiffres ordinaux donc certainement surévalués) ; quant aux cotisations, c'est l'omerta, mais on peut penser que beaucoup rechignent à payer pour agrémenter le temps libre des apparatchiks ou bien pour lire leurs avis sur des sujets auxquels ces derniers ne sont pas ou plus concernés (la souffrance au travail par exemple).
Les chiffres diffusés sur le site ordinal (non vérifiables) :
3 septembre 2016 - 193 178 infirmier(e)s inscrit(e)s au tableau,
2 août 2016 - 192 318 infirmier(e)s inscrit(e)s au tableau),
15 juin 2016 - 188 691 infirmier(e)s inscrit(e)s au tableau),
4 avril 2016 - 185 307 infirmier(e)s inscrit(e)s au tableau),
Effectivement avec près de 25 000 diplômées début juillet 2016 et moins de 1 000 nouvelles inscrites en deux mois ça interroge ?
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Malgré la propagande ordinale distillée tout au long de la formation, il faut croire que les nouveaux diplômés ont quelques doutes sur l'intérêt de cet ordre, et on ne peut que saluer leur lucidité et leur perspicacité.
Malgré la remise gracieuse de la cotisation pour 2016, il faut croire que les nouveaux diplômés n'ont pas envie de devenir des cotisants ordinaux dès 2017 et ce, ad vitam æternam, et on ne peut qu'approuver leur souhait.
Rappelons que l'ordre infirmier, après de nombreuses péripéties, s'apprête à pondre un code de déontologie archaïque et liberticide, et que les non-inscrits n'auront pas à s'y soumettre.
Rappelons aussi que les infirmiers de la Fonction Publique ne sont pas concernés par la justice ordinale d'exception, y compris celles et ceux qui sont inscrits, et qu'ils ne peuvent pas être traduits dans les chambres disciplinaires peuplées de justiciers amateurs.
On devrait bientôt prendre connaissance de la publication des comptes 2015, qui, de toutes façons, seront, comme les années précédentes, honteusement amputés de la partie la plus intéressante, à savoir le montant des recettes, donc des cotisations versées.
Il est bon de savoir que malgré les menaces et les fanfaronnades ordinales aperçues ici ou là, cette organisation est toujours aussi peu désirée et soutenue : que cela perdure !!
Malgré la remise gracieuse de la cotisation pour 2016, il faut croire que les nouveaux diplômés n'ont pas envie de devenir des cotisants ordinaux dès 2017 et ce, ad vitam æternam, et on ne peut qu'approuver leur souhait.
Rappelons que l'ordre infirmier, après de nombreuses péripéties, s'apprête à pondre un code de déontologie archaïque et liberticide, et que les non-inscrits n'auront pas à s'y soumettre.
Rappelons aussi que les infirmiers de la Fonction Publique ne sont pas concernés par la justice ordinale d'exception, y compris celles et ceux qui sont inscrits, et qu'ils ne peuvent pas être traduits dans les chambres disciplinaires peuplées de justiciers amateurs.
On devrait bientôt prendre connaissance de la publication des comptes 2015, qui, de toutes façons, seront, comme les années précédentes, honteusement amputés de la partie la plus intéressante, à savoir le montant des recettes, donc des cotisations versées.
Il est bon de savoir que malgré les menaces et les fanfaronnades ordinales aperçues ici ou là, cette organisation est toujours aussi peu désirée et soutenue : que cela perdure !!
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Les dernières infos financières de l'Ordre infirmier semblent plutôt mauvaises. Mais comme les infos officielles sont partielles, ça laisse planer le doute.eusèbe a écrit :Malgré la propagande ordinale distillée tout au long de la formation, il faut croire que les nouveaux diplômés ont quelques doutes sur l'intérêt de cet ordre, et on ne peut que saluer leur lucidité et leur perspicacité.
Malgré la remise gracieuse de la cotisation pour 2016, il faut croire que les nouveaux diplômés n'ont pas envie de devenir des cotisants ordinaux dès 2017 et ce, ad vitam æternam, et on ne peut qu'approuver leur souhait.
Rappelons que l'ordre infirmier, après de nombreuses péripéties, s'apprête à pondre un code de déontologie archaïque et liberticide, et que les non-inscrits n'auront pas à s'y soumettre.
Rappelons aussi que les infirmiers de la Fonction Publique ne sont pas concernés par la justice ordinale d'exception, y compris celles et ceux qui sont inscrits, et qu'ils ne peuvent pas être traduits dans les chambres disciplinaires peuplées de justiciers amateurs.
On devrait bientôt prendre connaissance de la publication des comptes 2015, qui, de toutes façons, seront, comme les années précédentes, honteusement amputés de la partie la plus intéressante, à savoir le montant des recettes, donc des cotisations versées.
Il est bon de savoir que malgré les menaces et les fanfaronnades ordinales aperçues ici ou là, cette organisation est toujours aussi peu désirée et soutenue : que cela perdure !!
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
La "gratuité" ne peut-être que temporaire sinon, les salariés de l'ordre iront tout droit à Pôle Emploi !eusèbe a écrit :Malgré la remise gracieuse de la cotisation pour 2016, il faut croire que les nouveaux diplômés n'ont pas envie de devenir des cotisants ordinaux dès 2017 et ce, ad vitam æternam, et on ne peut qu'approuver leur souhait.
D'autre part, en admettant que ça vienne sur le tapis, les employeurs ne prendront jamais en charge cette cotisation.
Les salariés du privé non plus : il existe déjà des instances disciplinaires et le tribunal des Prud'hommes !!eusèbe a écrit :Rappelons aussi que les infirmiers de la Fonction Publique ne sont pas concernés par la justice ordinale d'exception, y compris celles et ceux qui sont inscrits, et qu'ils ne peuvent pas être traduits dans les chambres disciplinaires peuplées de justiciers amateurs.
Oui, j'ai lu ça sur un lien de ce forum.eusèbe a écrit :Rappelons que l'ordre infirmier, après de nombreuses péripéties, s'apprête à pondre un code de déontologie archaïque et liberticide, et que les non-inscrits n'auront pas à s'y soumettre.
Un copier/collé de je ne sais quel torchon....quelle misère !
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Stephen HAWKING
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Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Méfiance, j'ai lu ça sur le site officiel :
Commission de Conciliation
La commission de conciliation du conseil de l'ordre départemental infirmier est régie par l'article L.4123-2 du code de la santé publique.
Missions :
La commission de conciliation est une instance fonctionnelle du conseil de l'ordre départemental infirmier.
Elle effectue un travail de médiation entre deux professionnels en conflit ainsi qu'entre un professionnel et un bénéficiaire de soins.
En cas d'échec de la conciliation, une plainte pourra être instruite par la chambre disciplinaire du conseil régional de l'ordre infirmier.
Important à noter : cette procédure ne concerne que les infirmiers exerçant à titre libéral et les infirmiers salariés du secteur privé. Pour les infirmiers exerçant en secteur public, l'autorité hiérarchique reste dépositaire par le biais des commissions administratives paritaires des sanctions qu'elle serait amenée à prononcer contre un infirmier dont elle informera par la suite le président du conseil régional de l'ordre infirmier.
Pour les infirmiers du secteur public, c'est certain, l'ordre ne peut pas réprimer.
Pour les salariés du secteur privé, les ordinaux s'en octroient le pouvoir, encore une bonne raison de s'en débarrasser.
Commission de Conciliation
La commission de conciliation du conseil de l'ordre départemental infirmier est régie par l'article L.4123-2 du code de la santé publique.
Missions :
La commission de conciliation est une instance fonctionnelle du conseil de l'ordre départemental infirmier.
Elle effectue un travail de médiation entre deux professionnels en conflit ainsi qu'entre un professionnel et un bénéficiaire de soins.
En cas d'échec de la conciliation, une plainte pourra être instruite par la chambre disciplinaire du conseil régional de l'ordre infirmier.
Important à noter : cette procédure ne concerne que les infirmiers exerçant à titre libéral et les infirmiers salariés du secteur privé. Pour les infirmiers exerçant en secteur public, l'autorité hiérarchique reste dépositaire par le biais des commissions administratives paritaires des sanctions qu'elle serait amenée à prononcer contre un infirmier dont elle informera par la suite le président du conseil régional de l'ordre infirmier.
Pour les infirmiers du secteur public, c'est certain, l'ordre ne peut pas réprimer.
Pour les salariés du secteur privé, les ordinaux s'en octroient le pouvoir, encore une bonne raison de s'en débarrasser.
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Et le truc ne peut réprimer qu'un IDE(inscrit). Dont acte...
.
.
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Mais que se passe-t-il donc ?
http://37-41.cidoi.fr/votre-conseil/les ... -cdoi.html
La paroisse ordinale composée des départements 37 et 41 a désormais des conseillers sous administration ARS (5 au total), ce qui laisse supposer que la congrégation élue en octobre 2014 (il est vrai qu'ils n'étaient que 7) a connu quelques déserteurs. Ces 2 départements ne sont pourtant pas sous-peuplés d'infirmières et d'infirmiers.
Certains désignés semblent fuir...
Les prochaines élections, c'est pour quand, qu'on se marre un peu ?
http://37-41.cidoi.fr/votre-conseil/les ... -cdoi.html
La paroisse ordinale composée des départements 37 et 41 a désormais des conseillers sous administration ARS (5 au total), ce qui laisse supposer que la congrégation élue en octobre 2014 (il est vrai qu'ils n'étaient que 7) a connu quelques déserteurs. Ces 2 départements ne sont pourtant pas sous-peuplés d'infirmières et d'infirmiers.
Certains désignés semblent fuir...
Les prochaines élections, c'est pour quand, qu'on se marre un peu ?
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Lu sur @ :
Tombée au champ d’honneur ordinal ? Aux élections départementales puis interdépartementales de 2014, le département de l’Indre fut sinistré avec une seule élue à chaque fois, une infirmière du CH de Châteauroux. L’Indre fut donc joint au département du Cher pour former un conseil interdépartemental berrichon. Et pour valoriser cette unique élue "indrienne", celle-ci fut désignée vice-présidente du cidoi 18/36, ceci afin de lui éviter de grands moments de solitude. Confortée dans sa foi ordinale, la dame "castelroussine" se présenta aux élections régionales de début 2015 où elle fut aisément élue tant les candidatures étaient peu nombreuses ; mes souvenirs ne me permettent pas de dire si elle fut aussi désignée vice-présidente de ce conseil. Au hasard d’une visite sur le site officiel ordinal, je découvre avec effroi que l’élue (et l’espoir ?) de tout un département n'apparaît plus dans la liste des conseillers que ce soit au niveau du Berry qu’à celui de la Région Centre. De fait, le cidoi 18/36 n’abrite que des représentants du 18, ils sont 7 au total, le minimum vital car bien sûr il n’y avait aucun suppléant. Toute la profession infirmière de l’Indre est en droit de pleurer la disparition de son unique représentante, mais il est plus probable que ces pleurs se transforment en joie d’être indemnes de toute contamination ordinale au sein de leur département. Il ne devait pas y avoir de territoire vierge, en voilà déjà un, en espérant que d’autres suivent l’exemple en poussant à l’écœurement celles et ceux qui avaient la prétention de représenter la profession. On note que l’élue disparue apparaît encore sur le site officiel comme membre de la commission de conciliation 18/36, comme quoi, rien n’est tout à fait à jour dans le fatras ordinal. On note avec joie que le conseil 37/41 n’est plus qu’une épave sous administration ARS, faute d’élus encore en poste (démissions en cascade ?). Question : les démissions sont-elles monnaie courante au sein des mystérieuses congrégations ordinales ? Moralité : mieux vaut venir travailler dans le Berry, et plus particulièrement dans l’Indre, qu’en Normandie, on a moins de risques de faire de mauvaises rencontres professionnelles. La Région Centre Val de Loire semble aussi une terre où règne un doux et sympathique désintérêt de la chose ordinale qui ne demande qu’à définitivement disparaître. La lutte continue !!
Tombée au champ d’honneur ordinal ? Aux élections départementales puis interdépartementales de 2014, le département de l’Indre fut sinistré avec une seule élue à chaque fois, une infirmière du CH de Châteauroux. L’Indre fut donc joint au département du Cher pour former un conseil interdépartemental berrichon. Et pour valoriser cette unique élue "indrienne", celle-ci fut désignée vice-présidente du cidoi 18/36, ceci afin de lui éviter de grands moments de solitude. Confortée dans sa foi ordinale, la dame "castelroussine" se présenta aux élections régionales de début 2015 où elle fut aisément élue tant les candidatures étaient peu nombreuses ; mes souvenirs ne me permettent pas de dire si elle fut aussi désignée vice-présidente de ce conseil. Au hasard d’une visite sur le site officiel ordinal, je découvre avec effroi que l’élue (et l’espoir ?) de tout un département n'apparaît plus dans la liste des conseillers que ce soit au niveau du Berry qu’à celui de la Région Centre. De fait, le cidoi 18/36 n’abrite que des représentants du 18, ils sont 7 au total, le minimum vital car bien sûr il n’y avait aucun suppléant. Toute la profession infirmière de l’Indre est en droit de pleurer la disparition de son unique représentante, mais il est plus probable que ces pleurs se transforment en joie d’être indemnes de toute contamination ordinale au sein de leur département. Il ne devait pas y avoir de territoire vierge, en voilà déjà un, en espérant que d’autres suivent l’exemple en poussant à l’écœurement celles et ceux qui avaient la prétention de représenter la profession. On note que l’élue disparue apparaît encore sur le site officiel comme membre de la commission de conciliation 18/36, comme quoi, rien n’est tout à fait à jour dans le fatras ordinal. On note avec joie que le conseil 37/41 n’est plus qu’une épave sous administration ARS, faute d’élus encore en poste (démissions en cascade ?). Question : les démissions sont-elles monnaie courante au sein des mystérieuses congrégations ordinales ? Moralité : mieux vaut venir travailler dans le Berry, et plus particulièrement dans l’Indre, qu’en Normandie, on a moins de risques de faire de mauvaises rencontres professionnelles. La Région Centre Val de Loire semble aussi une terre où règne un doux et sympathique désintérêt de la chose ordinale qui ne demande qu’à définitivement disparaître. La lutte continue !!
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
En fait depuis 7 ans et le premier appel à cotisations, rien n'a changé :
- Mêmes dirigeants.
- Même inaction.
- Même opacité.
- Mêmes mensonges.
Et tout le monde soignant ou presque est d'accord pour dire que la Ministre de la Santé n'aime pas les infirmières et les infirmiers, alors, comment expliquer qu'elle soit directement intervenue pour sauver leur ordre de la disparition : elle a voulu les châtier !
Soutenons les actions visant à se débarrasser de tout ce qui est nuisible à la profession infirmière !
- Mêmes dirigeants.
- Même inaction.
- Même opacité.
- Mêmes mensonges.
Et tout le monde soignant ou presque est d'accord pour dire que la Ministre de la Santé n'aime pas les infirmières et les infirmiers, alors, comment expliquer qu'elle soit directement intervenue pour sauver leur ordre de la disparition : elle a voulu les châtier !
Soutenons les actions visant à se débarrasser de tout ce qui est nuisible à la profession infirmière !
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
J'espère qu'il vont foutre la paix au salariés du secteur privé, nous n'avons pas besoin d'eux, on se débrouille très bien sans...merci.eusèbe a écrit :"Important à noter : cette procédure ne concerne que les infirmiers exerçant à titre libéral et les infirmiers salariés du secteur privé."
Oui, dans le privé, il existe aussi une autorité hiérarchique.eusèbe a écrit :Pour les infirmiers exerçant en secteur public, l'autorité hiérarchique reste dépositaire par le biais des commissions administratives paritaires des sanctions qu'elle serait amenée à prononcer contre un infirmier dont elle informera par la suite le président du conseil régional de l'ordre infirmier.
ksssss.....ksssssssssss....vade retro Satanas !!!!


"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
Stephen HAWKING
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Après avoir tenté de racoler les nouvelles et nouveaux diplômés, en leur offrant même le prorata de cotisation (qui n'existe même pas...) pour 2016, et cela en prenant un râteau du plus bel effet, il parait que la nouvelle campagne des relances et menaces pour récupérer de la thune est commencée.
La chose est récurrente, l'argent ne rentre pas, les gros salaires doivent être versés, les factures doivent être payées, les créanciers réclament, et l'existence de l'ordre, rappelons-le ressuscité par la ministre, est toujours en suspens.
Ce que les politiques n'ont pas fait, la résistance silencieuse par le refus d'obtempérer y parviendra.
Ce n'est pas à la fin de l'année que le conclave ordinal désignera son nouveau pape ? Quel nom illustre suivra l'émission de la fumée blanche qui sortira de la rue du Faubourg Saint-Martin ?
Le processus électoral à l'envers se poursuivra-t-il en 2017 pour remplacer tous les démissionnaires de ces 3 dernières années ?
Et enfin, y aura-t-il assez d'argent pour financer ce nouveau scrutin ?
La chose est récurrente, l'argent ne rentre pas, les gros salaires doivent être versés, les factures doivent être payées, les créanciers réclament, et l'existence de l'ordre, rappelons-le ressuscité par la ministre, est toujours en suspens.
Ce que les politiques n'ont pas fait, la résistance silencieuse par le refus d'obtempérer y parviendra.
Ce n'est pas à la fin de l'année que le conclave ordinal désignera son nouveau pape ? Quel nom illustre suivra l'émission de la fumée blanche qui sortira de la rue du Faubourg Saint-Martin ?
Le processus électoral à l'envers se poursuivra-t-il en 2017 pour remplacer tous les démissionnaires de ces 3 dernières années ?
Et enfin, y aura-t-il assez d'argent pour financer ce nouveau scrutin ?
Re: ORDRE INFIRMIER : QUE SE PASSE T-IL ?
Il faudra espérer que non! Parce qu'à part faire des élections entre eux, bien planqués pour justifier d'une pseudo organisation, il se passe pas grand chose. En plus, des élections pour élire des représentants d'un corps de métier sans faire participer les membres du dit corps de métier c'est fort!