Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
- lapetitefermiere
- Messages : 1
- Inscription : 09 sept. 2016 08:08
Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Bonjour,
« Voilà, je suis pas du genre à raconter ma vie , surtout pas sur les réseaux sociaux . C 'est super intéressant.... parfois drôle mais voilà....... pas moi quoi …. C'est surement générationnel, en même temps on s'en fou c'est pas pour ça que j'écrit ce mot. C'est juste pour faire un témoignage, un de plus surement, mais nos conditions de travail se sont considérablement dégradés, et nos responsabilités sont exponentielles, un manque de reconnaissance et en ce qui me concerne une incompréhension totale du système de santé actuel et de ce qu'il devient,
Je suis infirmiére ….depuis 25 ans ….et aujourd'hui j'arrete .
Pleins de vie , pleins de morts aussi,
plein de services ….euh d'unité de soins...pardon...
pleins de rencontres... humaines... magnifiques, riches de partages, de paroles et de confidences...
Pleins de coléres , de frustrations ….. petites au début et de plus en plus envahissantes maintenant....
Pleins d'absences aussi.... aux fetes de famille , à Noël , les vacances décalées, ensemble une année sur deux....une vie de famille complétement dépendante de la profession d'une seule personne...
Puis, le temps passe, nos proches touchés par la maladie, leurs attentes, leurs interrogations.....
Nos parents vieillissants....
Aidants , parent, enfant , soignant.... ?
Je sais pas , je sais plus, je me perd.
Je n'y arrive pas, je n'y arrive plus....
Alors, voilà j'arrete.
Comme on arrete une addiction ,ou plutot comme on arrete une histoire d'amour. Je me sépare de toi, mon métier, que j'ai aimé avec passion et la passion en amour , c'est bien connu, ça ne dure pas.
On reste ami, métier, et depuis 25 ans je garderai ton nom quand meme comme les ex-épouse de star , parce qu' aprés mon bac , et l'école d'infirmiére,(on appelait pas ça IFSI à l'époque) je n'ai jamais rien fait d'autres !!
Une identité,en fait, alors je ne sais pas si je vais y arriver sans toi, mais je dois fuir avant de me perdre Moi
« Voilà, je suis pas du genre à raconter ma vie , surtout pas sur les réseaux sociaux . C 'est super intéressant.... parfois drôle mais voilà....... pas moi quoi …. C'est surement générationnel, en même temps on s'en fou c'est pas pour ça que j'écrit ce mot. C'est juste pour faire un témoignage, un de plus surement, mais nos conditions de travail se sont considérablement dégradés, et nos responsabilités sont exponentielles, un manque de reconnaissance et en ce qui me concerne une incompréhension totale du système de santé actuel et de ce qu'il devient,
Je suis infirmiére ….depuis 25 ans ….et aujourd'hui j'arrete .
Pleins de vie , pleins de morts aussi,
plein de services ….euh d'unité de soins...pardon...
pleins de rencontres... humaines... magnifiques, riches de partages, de paroles et de confidences...
Pleins de coléres , de frustrations ….. petites au début et de plus en plus envahissantes maintenant....
Pleins d'absences aussi.... aux fetes de famille , à Noël , les vacances décalées, ensemble une année sur deux....une vie de famille complétement dépendante de la profession d'une seule personne...
Puis, le temps passe, nos proches touchés par la maladie, leurs attentes, leurs interrogations.....
Nos parents vieillissants....
Aidants , parent, enfant , soignant.... ?
Je sais pas , je sais plus, je me perd.
Je n'y arrive pas, je n'y arrive plus....
Alors, voilà j'arrete.
Comme on arrete une addiction ,ou plutot comme on arrete une histoire d'amour. Je me sépare de toi, mon métier, que j'ai aimé avec passion et la passion en amour , c'est bien connu, ça ne dure pas.
On reste ami, métier, et depuis 25 ans je garderai ton nom quand meme comme les ex-épouse de star , parce qu' aprés mon bac , et l'école d'infirmiére,(on appelait pas ça IFSI à l'époque) je n'ai jamais rien fait d'autres !!
Une identité,en fait, alors je ne sais pas si je vais y arriver sans toi, mais je dois fuir avant de me perdre Moi
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Votre déclaration d'amour/rupture est très belle. Et malheureusement tellement représentative des sentiments de beaucoup d'infirmier(e)s.
Je n'ai pas votre expérience ni ancienneté dans le métier mais d'ores et déjà je vous comprends et le découragement, malgré la bonne volonté, pointe souvent sont nez.
Avez vous déjà une idée de "l'après" infirmière?
Je n'ai pas votre expérience ni ancienneté dans le métier mais d'ores et déjà je vous comprends et le découragement, malgré la bonne volonté, pointe souvent sont nez.
Avez vous déjà une idée de "l'après" infirmière?
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Une courte question : Pourquoi n êtes vous jamais venue sur ce forum avant ce message ?
La reconnaissance ? Il ne faut jamais l attendre...
La reconnaissance ? Il ne faut jamais l attendre...
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Peut-être parce que quand on a le nez dans le guidon...wyllette a écrit :Une courte question : Pourquoi n êtes vous jamais venue sur ce forum avant ce message ?
La reconnaissance ? Il ne faut jamais l attendre...
Et puis on pense toujours que ça va (ça peut) s'arranger...
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Et non, vous avez raison.wyllette a écrit :Une courte question : Pourquoi n êtes vous jamais venue sur ce forum avant ce message ?
La reconnaissance ? Il ne faut jamais l attendre...
Surtout ne pas faire ce métier pour la reconnaissance car nous ne l'aurons jamais.
Dommage que vous ayez tant attendu avant de venir nous voir !!
Bonne chance pour la suite.

"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
Stephen HAWKING
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
combien de fois avons entendu dire " vous êtes payés pour ça" ..... c est ainsi, il ne faut pas attendre de la reconnaissance
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
comme nous entendons souvent dire " vous êtes payes pour ça "
C EST VRAIMENT DIFFICILE LA SEPARATION MAIS FORCEMENT .
missbulle a écrit :Votre déclaration d'amour/rupture est très belle. Et malheureusement tellement représentative des sentiments de beaucoup d'infirmier(e)s.
Je n'ai pas votre expérience ni ancienneté dans le métier mais d'ores et déjà je vous comprends et le découragement, malgré la bonne volonté, pointe souvent sont nez.
Avez vous déjà une idée de "l'après" infirmière?
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
EPUISEMENT MORALE PHYSIQUE,avec des administrations non reconnaissable.les donnes ont changes les mentalites donc l infirmierr perd sa noblesse.
il travail beaucoups surtout comme nous en algerie c est de l enfer certaines actes medicaux sont pratiques par le paramedical et aujord hui ont n est confrontes a un problème immense.l absence de communication avec le medical d aujord hui niveau tres tres bas qui est du a la langue.de l arabismez jusqu a u BAC puis francophonie en universite.alors apres 33 ans de services j ai décidé d aller en retraite a l age de 50 ans.c est la fuite.le mètier d infirmier est dure la ligislation du travail n a pas en consédèration le metier surtout urgentistes et sage femmes.
il travail beaucoups surtout comme nous en algerie c est de l enfer certaines actes medicaux sont pratiques par le paramedical et aujord hui ont n est confrontes a un problème immense.l absence de communication avec le medical d aujord hui niveau tres tres bas qui est du a la langue.de l arabismez jusqu a u BAC puis francophonie en universite.alors apres 33 ans de services j ai décidé d aller en retraite a l age de 50 ans.c est la fuite.le mètier d infirmier est dure la ligislation du travail n a pas en consédèration le metier surtout urgentistes et sage femmes.
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Je suis d'accord, la reconnaissance faut pas l'attendre! Mais même en sachant cela, on ne peut s'empêcher d'être déçu face à ce constat. D'autant plus que non content de ne pas avoir de reconnaissance, on se fait enfoncer. Du coup, plus rien ne passe et voilà le résultat. Si le seul soucis était ce manque de reconnaissance, ça serait pénible mais jouable. Mais quand en prime on se fait casser et mettre à terre, c'est trop.
@ Carlosbas: merci de faire attention à votre syntaxe et orthographe, il est difficile de vous lire
@ Carlosbas: merci de faire attention à votre syntaxe et orthographe, il est difficile de vous lire
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
C est fou d entendre ça , mais elle a raisonlapetitefermiere a écrit :Bonjour,
« Voilà, je suis pas du genre à raconter ma vie , surtout pas sur les réseaux sociaux . C 'est super intéressant.... parfois drôle mais voilà....... pas moi quoi …. C'est surement générationnel, en même temps on s'en fou c'est pas pour ça que j'écrit ce mot. C'est juste pour faire un témoignage, un de plus surement, mais nos conditions de travail se sont considérablement dégradés, et nos responsabilités sont exponentielles, un manque de reconnaissance et en ce qui me concerne une incompréhension totale du système de santé actuel et de ce qu'il devient,
Je suis infirmiére ….depuis 25 ans ….et aujourd'hui j'arrete .
Pleins de vie , pleins de morts aussi,
plein de services ….euh d'unité de soins...pardon...
pleins de rencontres... humaines... magnifiques, riches de partages, de paroles et de confidences...
Pleins de coléres , de frustrations ….. petites au début et de plus en plus envahissantes maintenant....
Pleins d'absences aussi.... aux fetes de famille , à Noël , les vacances décalées, ensemble une année sur deux....une vie de famille complétement dépendante de la profession d'une seule personne...
Puis, le temps passe, nos proches touchés par la maladie, leurs attentes, leurs interrogations.....
Nos parents vieillissants....
Aidants , parent, enfant , soignant.... ?
Je sais pas , je sais plus, je me perd.
Je n'y arrive pas, je n'y arrive plus....
Alors, voilà j'arrete.
Comme on arrete une addiction ,ou plutot comme on arrete une histoire d'amour. Je me sépare de toi, mon métier, que j'ai aimé avec passion et la passion en amour , c'est bien connu, ça ne dure pas.
On reste ami, métier, et depuis 25 ans je garderai ton nom quand meme comme les ex-épouse de star , parce qu' aprés mon bac , et l'école d'infirmiére,(on appelait pas ça IFSI à l'époque) je n'ai jamais rien fait d'autres !!
Une identité,en fait, alors je ne sais pas si je vais y arriver sans toi, mais je dois fuir avant de me perdre Moi
Quand je vois que dans mon service on est 20 IDE pour 7 lits et 1 CIT et les consultations , soit 4 minimum le matin et 5 l après midi , que des jeunes DE , qui me disent en pleine figure ; ' pourquoi aller se lever le cul en somatique , alors que la paye est la meme ...'
De 6 a 9 ca fume , boit le café , vente privé sur internet .... , puis le ' staff' puis reclopes café , il est 10 hrs 30 on n a encore pas fait grand chose ( oui les 4 ou 5 traitements et 1 bilan a l occasion ) , puis on va avec le médecin dans la chambre pour l entretien , relève informatique ( c est très long ....) ,
Tiens :une consultation , mais il est déjà midi , bientôt la relève , donc elle sera vu a 14 hrs ....., puis c est l heure de manger a midi ( plateaux des patients of course ) ....
Bref dans ma longue carrière , je me dis que les jeunes qui viennent se planquer en psy , sous prétexte qu ils adorentttt ça , je n y crois pas , sur les 20 il y en a 2 ou 3 vraiment branché psy , les autres se sont de gros branlots qui n ont pas envie de faire des toilettes et des lits , des pansements , etc ....
Sans compter les horaires a la carte : c est dur de se lever a 5 hrs du matin , donc ça arrive au compte goutte , 6 hrs 3 , 5 , 15 , souvent 30 , régulièrement 7 hrs ...
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
J'ai travaillé en psy et je rejoins parfois votre sentiment Caqui13 et j'ai choisi une autre voie à cause de ça. J'ai connu des infirmiers motivés et investis mais ils étaient vite noyés dans le flots de profiteurs, qui n'étaient pas forcément des jeunes DE.
On avait justement une discussion ce soir avec des potes qui bossent toujours en psy : des faisant fonction de cadre qui volent l'argent des patients mais qui voient leur formation financée malgré tout ; la collègue qui, sur ses heures de boulot, va chercher son courrier ou ceux encore qui laissent les patients dans la voiture et qui vont boire un coup. On en parle en rigolant mais on s,'est dit : mais merde, c'est quoi ce bordel !!!
Je n'étais plus motivée de rien avec mes 2 ans de DE : j'allais au boulot pour gagner mes sous, j'étais contente, j'étais titulaire avec une paye correcte mais les patients me gonflaient, les embrouilles et la hiérarchie me gonflait mais surtout le "je m'en foutisme" qui régnait... Entre mon collègue qui arrivait bourré de sa soirée de la veille, ma collègue qui venait pas parce qu'elle avait mal à la tête puis la direction qui t'appelle pour que tu ailles dans une autre unité remplacer les arrêts maladies. "Ah vous aviez prévu une activité ? Vous annulez, besoin de service."
Je n'ai pas le recul nécessaire pour évaluer correctement la situation mais j'ai simplement compris que j,'étais en train de me planter et qu'en plus, je faisais du boulot de merde.
Je me suis spécialisée en tant que puer, je bosse en pédiatrie. La vie n'est pas devenue idyllique, mes horaires sont pourries et les problématiques différentes mais je me sens plus épanouie, pour l'instant, je m'y retrouve.
On voit de plus en plus d'articles concernant le suicide des IDE, le mal être de la profession. Un organisme privé va prendre en charge notre hôpital pour améliorer nos conditions de travail, pour limiter les arrêts maladie, la pénibilité des agents. Les réunions et groupe de travaux commencent...
On avait justement une discussion ce soir avec des potes qui bossent toujours en psy : des faisant fonction de cadre qui volent l'argent des patients mais qui voient leur formation financée malgré tout ; la collègue qui, sur ses heures de boulot, va chercher son courrier ou ceux encore qui laissent les patients dans la voiture et qui vont boire un coup. On en parle en rigolant mais on s,'est dit : mais merde, c'est quoi ce bordel !!!
Je n'étais plus motivée de rien avec mes 2 ans de DE : j'allais au boulot pour gagner mes sous, j'étais contente, j'étais titulaire avec une paye correcte mais les patients me gonflaient, les embrouilles et la hiérarchie me gonflait mais surtout le "je m'en foutisme" qui régnait... Entre mon collègue qui arrivait bourré de sa soirée de la veille, ma collègue qui venait pas parce qu'elle avait mal à la tête puis la direction qui t'appelle pour que tu ailles dans une autre unité remplacer les arrêts maladies. "Ah vous aviez prévu une activité ? Vous annulez, besoin de service."
Je n'ai pas le recul nécessaire pour évaluer correctement la situation mais j'ai simplement compris que j,'étais en train de me planter et qu'en plus, je faisais du boulot de merde.
Je me suis spécialisée en tant que puer, je bosse en pédiatrie. La vie n'est pas devenue idyllique, mes horaires sont pourries et les problématiques différentes mais je me sens plus épanouie, pour l'instant, je m'y retrouve.
On voit de plus en plus d'articles concernant le suicide des IDE, le mal être de la profession. Un organisme privé va prendre en charge notre hôpital pour améliorer nos conditions de travail, pour limiter les arrêts maladie, la pénibilité des agents. Les réunions et groupe de travaux commencent...
.-**-.__.-**-. Puéricultrice en pédia __.-**-.__.-**-.
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
diminuer la pénibilité des agents?l'enfer c'est les autres.
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Notre mépris pour Marisol Touraine n'a d'égal que son silence honteux sur les suicides et violences dont sont victimes les infirmières
Paris, le samedi 10 septembre 2016 - Plusieurs suicides ont endeuillé la communauté infirmière ces dernières semaines. Il aura fallu l’intervention de multiples représentants du monde infirmier et l’insistance de journalistes pour qu’enfin le ministre de la Santé sorte de son silence sur le sujet. Insuffisant pour une partie des infirmières dont la colère trouve son fondement dans une dégradation constante de leurs conditions de travail et le sentiment d’un abandon complet de la part des pouvoirs publics. Un abandon qui se doublerait d’une perte de confiance entière dans les organisations censées les représenter. Des « infirmières en colère » ont décrit pour nous, sans nuance et sans fards, avec parfois une impulsivité qui leur appartient (et dont témoigne leur titre), leurs souffrances et leur détermination. Sans prendre parti, nous publions ici leur tribune libre. La rédaction.
Par un collectif d’infirmières
http://www.jim.fr/medecin/pratique/rech ... dito.phtml
Paris, le samedi 10 septembre 2016 - Plusieurs suicides ont endeuillé la communauté infirmière ces dernières semaines. Il aura fallu l’intervention de multiples représentants du monde infirmier et l’insistance de journalistes pour qu’enfin le ministre de la Santé sorte de son silence sur le sujet. Insuffisant pour une partie des infirmières dont la colère trouve son fondement dans une dégradation constante de leurs conditions de travail et le sentiment d’un abandon complet de la part des pouvoirs publics. Un abandon qui se doublerait d’une perte de confiance entière dans les organisations censées les représenter. Des « infirmières en colère » ont décrit pour nous, sans nuance et sans fards, avec parfois une impulsivité qui leur appartient (et dont témoigne leur titre), leurs souffrances et leur détermination. Sans prendre parti, nous publions ici leur tribune libre. La rédaction.
Par un collectif d’infirmières
http://www.jim.fr/medecin/pratique/rech ... dito.phtml
Re: Épuisement professionnel:Moi j'abandonne et vous ?
Suite aux reactions sur les suicides des IDE au statut de fonctionnaire . Je trouve qu'elle devrait s' interesser au statut des toubibs de la fonction publique et voir s' ils peuvent en venir a ca en passant 2 heures a voir 20 patients, parfois elle peut etre faite par 2 medecins differents.
Et pourquoi nomme t'on un chef de service pour le voir une fois dans la semaine faire "le tour"!
Et pourquoi les Ide n'ont tjs pas le droit de denoncer les"medecins"non valables".
Cela fait suite a la fibro rate auquel j'ai pu assister dans les murs d'un etablissement public non renomme de la Picardie.
Cela en degouterait plus d'un sauf si tu n'es pas tres "....."et que ta paie continue de tomber tous les mois.....
Service public au rabais et poubelle ........
Et pourquoi nomme t'on un chef de service pour le voir une fois dans la semaine faire "le tour"!
Et pourquoi les Ide n'ont tjs pas le droit de denoncer les"medecins"non valables".
Cela fait suite a la fibro rate auquel j'ai pu assister dans les murs d'un etablissement public non renomme de la Picardie.
Cela en degouterait plus d'un sauf si tu n'es pas tres "....."et que ta paie continue de tomber tous les mois.....
Service public au rabais et poubelle ........