catastrophe annoncée
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catastrophe annoncée
Bonjour,
Ma fille effectuait des remplacements en libéral. Gros accident de voiture et responsable. Elle a eu une suspension de permis de conduire d'un an.
Aucune couverture par assurance du fait d'un changement d'assureur juste avant (on lui a opposé des délais de carence).
Des arriérés phénoménaux en împôts, Urssaff et Carpimko. Plus de ressources du tout.
Elle navigue entre clinique et chez moi car en plus elle fait une énorme déprime.
Je ne sais pas comment faire. Je l'ai aidée en partie pour ses dettes mais c'est un puits sans fond et je suis limité.
Elle ne possède rien et vend sa voiture pour laquelle elle a un prêt.
Je pense qu'elle ne reprendra jamais en libéral. Elle peut peut-être trouver autre chose en milieu hospitalier. Ou faire d'autres choix, mais avec la situation de l'emploi ...
Tout cela me paraît insurmontable.
Questions :
Est-ce possible de ne pas payer la Carpimko ? Si elle ne le fait pas risque-t-elle des poursuites ?
Même question pour l'Ursaff ou les impôts.
Des étalements sont possibles pour de longues, très longues durées ?
Une faillite est possible ? Dans ce cas, peut-elle exercer à nouveau son métier en hôpital ? Comme libérale dans quelques années si elle s'en sort ?
Pouvez-vous m'aider, nous aider à voir un peu plus clair ? On est perdus.
Merci
Ma fille effectuait des remplacements en libéral. Gros accident de voiture et responsable. Elle a eu une suspension de permis de conduire d'un an.
Aucune couverture par assurance du fait d'un changement d'assureur juste avant (on lui a opposé des délais de carence).
Des arriérés phénoménaux en împôts, Urssaff et Carpimko. Plus de ressources du tout.
Elle navigue entre clinique et chez moi car en plus elle fait une énorme déprime.
Je ne sais pas comment faire. Je l'ai aidée en partie pour ses dettes mais c'est un puits sans fond et je suis limité.
Elle ne possède rien et vend sa voiture pour laquelle elle a un prêt.
Je pense qu'elle ne reprendra jamais en libéral. Elle peut peut-être trouver autre chose en milieu hospitalier. Ou faire d'autres choix, mais avec la situation de l'emploi ...
Tout cela me paraît insurmontable.
Questions :
Est-ce possible de ne pas payer la Carpimko ? Si elle ne le fait pas risque-t-elle des poursuites ?
Même question pour l'Ursaff ou les impôts.
Des étalements sont possibles pour de longues, très longues durées ?
Une faillite est possible ? Dans ce cas, peut-elle exercer à nouveau son métier en hôpital ? Comme libérale dans quelques années si elle s'en sort ?
Pouvez-vous m'aider, nous aider à voir un peu plus clair ? On est perdus.
Merci
Re: catastrophe annoncée
Bonjour,
Si je comprend bien, votre fille n'avait pas mis de côté 50% de son revenu brut afin de payer ses cotisations URSSAF et CARPINKO.
Car malgré son accident, et son inactivité, elle devrait avoir la trésorerie nécessaire pour payer cela. Elle a donc dépensé de l'argent qui ne lui appartenait pas vraiment. (je veux pas faire le rabat-joie, mais juste mettre les chose au clair).
Je voie plusieurs solution :
- elle achète une voiture sans permis ou, si elle travaille en ville, fait ses tournées en vélo. Elle gagne ainsi suffisamment pour se renflouer.
- Si le problème est son syndrome dépressif, et qu'elle est dans l'incapacité de travailler, c'est plus compliqué :
il devient de plus en plus difficile de se faire exonérer de la CARPIMKO, mais il est important de les informer de la cessation de son activité.
Ensuite, je pense qu'il est possible (et que ça ne coute rien) de demander un délais pour payer impots/URSSAF/CARPIMKO. Mais pour l'URSSAF et les impôts, elle devra payer, ou bien elle paiera des indemnités de retard.
Pour payer, hélas, il y a la solution d'emprunter, mais c'est souvent le cercle vicieux car les taux des prêts conso sont élevés.
Elle peut essayer de se mettre en "endettement banque de France", mais j'ai peur qu'elle ne soit pas assez endettée....
Je pense qu'il faut prendre contacte avec tout les organismes qui lui réclame de l'argent, et leur expliquer la situation au plus vite.
Ensuite, prendre contacte avec l'Ordre National des Infirmiers qui peut être pourra la conseiller.
voir avec son assurance maladie aussi pour voir si elle peut toucher quelques chose pour son arrêt de travaille pour syndrome dépressif. Peut etre est il possible de faire passer son syndrome dépressif en accident du travail ... (c'est un peu tiré par les cheveux mais bon ....)
Et bien sûr qu'elle peut travailler en clinique, en hopital, ou en libérale si elle le souhaite. Elle ne fait l'objet d'aucune sanction disciplinaire, donc pas de soucis à ce niveau là.
voilà, j'ai essayé de vous aider à ma manière.
Je pense que d'autres pourront vous apporter des informations supplémentaire.
Si je comprend bien, votre fille n'avait pas mis de côté 50% de son revenu brut afin de payer ses cotisations URSSAF et CARPINKO.
Car malgré son accident, et son inactivité, elle devrait avoir la trésorerie nécessaire pour payer cela. Elle a donc dépensé de l'argent qui ne lui appartenait pas vraiment. (je veux pas faire le rabat-joie, mais juste mettre les chose au clair).
Je voie plusieurs solution :
- elle achète une voiture sans permis ou, si elle travaille en ville, fait ses tournées en vélo. Elle gagne ainsi suffisamment pour se renflouer.
- Si le problème est son syndrome dépressif, et qu'elle est dans l'incapacité de travailler, c'est plus compliqué :
il devient de plus en plus difficile de se faire exonérer de la CARPIMKO, mais il est important de les informer de la cessation de son activité.
Ensuite, je pense qu'il est possible (et que ça ne coute rien) de demander un délais pour payer impots/URSSAF/CARPIMKO. Mais pour l'URSSAF et les impôts, elle devra payer, ou bien elle paiera des indemnités de retard.
Pour payer, hélas, il y a la solution d'emprunter, mais c'est souvent le cercle vicieux car les taux des prêts conso sont élevés.
Elle peut essayer de se mettre en "endettement banque de France", mais j'ai peur qu'elle ne soit pas assez endettée....
Je pense qu'il faut prendre contacte avec tout les organismes qui lui réclame de l'argent, et leur expliquer la situation au plus vite.
Ensuite, prendre contacte avec l'Ordre National des Infirmiers qui peut être pourra la conseiller.
voir avec son assurance maladie aussi pour voir si elle peut toucher quelques chose pour son arrêt de travaille pour syndrome dépressif. Peut etre est il possible de faire passer son syndrome dépressif en accident du travail ... (c'est un peu tiré par les cheveux mais bon ....)
Et bien sûr qu'elle peut travailler en clinique, en hopital, ou en libérale si elle le souhaite. Elle ne fait l'objet d'aucune sanction disciplinaire, donc pas de soucis à ce niveau là.
voilà, j'ai essayé de vous aider à ma manière.
Je pense que d'autres pourront vous apporter des informations supplémentaire.
Re: catastrophe annoncée
Bonjour, elle n'avait pas de comptable qui pourrait vous renseigner ?
Re: catastrophe annoncée
Bonjour
Elle a changé de comptable a un moment. La première étant une comptable en ligne.
Je vais essayer d'en savoir plus, car de plus elle ne veut pas trop me dire les choses.
Merci à vous pour votre aide
Elle a changé de comptable a un moment. La première étant une comptable en ligne.
Je vais essayer d'en savoir plus, car de plus elle ne veut pas trop me dire les choses.
Merci à vous pour votre aide
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