Reconnaissance au travail des soignants
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Reconnaissance au travail des soignants
Bonjour,
Dans le cadre de mon mémoire de master 1 en psychologie du travail et des organisations, je fais passer un questionnaire en ligne qui porte sur la reconnaissance au travail et l’implication organisationnelle dans les équipes soignantes. Ce questionnaire dure à peu près 15 minutes.
De ce fait, si vous êtes infirmier(e), aide-soignant(e) ou agent des services hospitaliers, j'aurais besoins de votre participation.
Voici le lien pour participer au questionnaire :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIp ... gxids=7628
En vous remerciant d'avance pour votre participation.
Jeanne
Dans le cadre de mon mémoire de master 1 en psychologie du travail et des organisations, je fais passer un questionnaire en ligne qui porte sur la reconnaissance au travail et l’implication organisationnelle dans les équipes soignantes. Ce questionnaire dure à peu près 15 minutes.
De ce fait, si vous êtes infirmier(e), aide-soignant(e) ou agent des services hospitaliers, j'aurais besoins de votre participation.
Voici le lien pour participer au questionnaire :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIp ... gxids=7628
En vous remerciant d'avance pour votre participation.
Jeanne
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Re: Reconnaissance au travail des soignants
Bonjour,Jeanne29 a écrit :Bonjour,
Dans le cadre de mon mémoire de master 1 en psychologie du travail et des organisations, je fais passer un questionnaire en ligne qui porte sur la reconnaissance au travail et l’implication organisationnelle dans les équipes soignantes.
Au fil de l'eau…
Cette phrase n'est pas très claire. Peut-être en remplaçant les « : » par une virgule…Cette étude porte sur la perception de reconnaissance au travail à différents niveaux : individuel et collectif, ainsi que sur l'implication organisationnelle dans les équipes soignantes.
En fait, ce qui me gêne le plus, ce sont les mots « reconnaissance au travail ». Jamais vu, jamais entendu parler, jamais constaté…
À mon travail (accentuer les majuscules, c'est capital)A mon travail, je perçois qu’en cas de besoin, mes collègues sont disponibles pour me prêter main forte.
plusieurs occurrences
Je trouve curieuse l'échelle à cinq niveaux : le risque est de favoriser le niveau du milieu.
Toutes les questions sont obligatoires. Je ne souhaite pas répondre à cette question, n'étant pas concerné. Je n'ai vu qu'une cérémonie de reconnaissance en plus de trente ans de carrière.A mon travail, je perçois que des cérémonies de reconnaissance pour le travail d'équipe peuvent avoir lieu au sein de l'entreprise.
Pareil. Je ne comprends pas la question. C'est quoi, un prix de pratique professionnelle ?A mon travail, je perçois qu’il existe des prix de pratiques professionnelles mis à disposition de ceux qui fournissent un travail conséquent.
PareilA mon travail, je perçois qu’il y a la possibilité d'avoir des primes de motivation versées lorsqu'un objectif précis est atteint.
virgule après « sourire »(dire merci, sourire etc.)
etc.cérémonies, réunions, etc…
ou « … »
mais pas les deux
À discuter, mais je verrais bien « et leurs familles »je perçois que les patients et leur famille
Il serait plus logique d'utiliser le conditionnel, « Je serais »Je serai très heureux de finir ma carrière dans cette entreprise.
Lire ceciUne des rares préoccupations avec mon départ serait le peu d'alternatives possibles.
J'ai arrêté à la deuxième page…
Re: Reconnaissance au travail des soignants
Bonjour.Jeanne29 a écrit :Bonjour,
Dans le cadre de mon mémoire de master 1 en psychologie du travail et des organisations, je fais passer un questionnaire en ligne qui porte sur la reconnaissance au travail et l’implication organisationnelle dans les équipes soignantes. ....
En vous remerciant d'avance pour votre participation.
Jeanne
Une des erreurs quand on fait une étude auprès de professionnels qui ne sont pas forcément de notre monde professionnel est que nos expressions, qui nous paraissent si évidentes, ne sont pas forcément compréhensibles pour l'autre.
Il est assez peu probable que l'on étudie les modèles d'Allen et Meyer ou même ceux de Vandenberge (de tête) concernant l'implication organisationnelle.
Ce terme est donc à définir pour une meilleur compréhension du public cible.
Deuxièmement vous ciblez la dimension affective, normative et continue au nveau de l'entreprise. Ce qui est tout à fait normal, c'est l'essence même de cet étude.
Or, il faut comprendre que notre implication, pour nous soignants, est totalement focus sur la personne pris en charge.
Notre employeur, notre structure est par nature limitante dans notre prise en charge (pas assez de lits, pas assez de matériel, pas assez de personnel)
Nous sommes donc dans la vision plus réaliste de l’implication organisationnelle puisqu'elle augmente la vulnérabilité des salariés aux effets négatifs des stresseurs, non seulement parce que souvent les salariés sont insuffisamment détachés et très souvent fortement impliqués.
Et bien entendue ce n'est pas la structure et encore moins l'employeur qui saluera l’importance de leur investissement ni les nombreuses heures supp qu'on nous force à prendre sans jamais les récupérer.
Ainsi, on ne reste pas pour la structure et encore moins pour son modèle GRH mais uniquement pour le patient.
Votre questionnaire :
D'un point de vue managériale, il est impossible dans une structure de soins ou un lieu de vie de fournir de quelques manières que ce soit un retour positif sur le travail fourni à l'exception d'un "bravo".A mon travail, je perçois qu’au niveau hiérarchique il y a un retour réel sur le travail fourni.
Il n'existe aucun levier législatif pour permettre une augmentation de salaire, une meilleure notation ...
Jamais vue et pas le temps pour ça.A mon travail, je perçois que des cérémonies de reconnaissance pour le travail d'équipe peuvent avoir lieu au sein de l'entreprise.
Comme dit plus haut, d'un point de vue conventionnel, législatif et managérial, il n'existe aucun levier autre que "bravo" pour féliciter un salarié.A mon travail, je perçois que ma hiérarchie me fait savoir lorsque j'ai fait preuve d'efforts dans mon travail. *
Nous avons des protocoles.A mon travail, je perçois qu’il existe des prix de pratiques professionnelles mis à disposition de ceux qui fournissent un travail conséquent.
Je ne comprends pas cette question également.
Légalement mon supérieur ne peut que gérer sa structure et éviter les procès.A mon travail, je me sens soutenu(e) par les actes de mes supérieurs hiérarchiques. *
Il fait de l'administration du personnel, de la paie et du social (droit social), des réunions tri partite et ... c'est tout. Il n'a pas le droit de faire autre chose.
Eventuellement par le biais de la formation professionnel, il peut permettre à une agent d'être aide soignant, mais pas plus.
qui ?A mon travail, je perçois que mes collègues ont du respect pour les personnes.
Cf réponse sur la législationA mon travail, je perçois qu’il y a la possibilité d'avoir des primes de motivation versées lorsqu'un objectif précis est atteint. *
Si je m'absente il faut me remplacer par un intérimaire.A mon travail, je perçois qu’il y a des rencontres (cérémonies, réunions, etc…) mises en place par l'entreprise pour valoriser les réalisations personnelles. *
PAs de cérémonies, pas de réunions. Enfin pas pour le personnel soignant ....
Ce n'est pas une pratique professionnelle en cours dans le monde de la santé.A mon travail, je perçois que des cérémonies soulignant une réussite particulière sont mises en place par l'entreprise. *
Nos métiers sont soumis à une réglementation très stricte. Je peux par des cours du soir passer d'aide soignant à comptable, mais pas de comptable à aide soignant sans quitter définitivement ou temporairement mon entreprise pour me former en institut.A mon travail, je perçois que j'ai la possibilité d'accéder à des programmes d'évolution de carrière au sein de l'entreprise. *
Je ne serai pas payé pendant ce temps là sauf accord avec l'employeur.
Voilà.
Si vous avez des questions n'hésitez pas.
Recruteur et expert en paie et droit social.