Boulot étudiant quand on est ESI

[alex38100]

Petite aparté personnel .
J'avais trouver un job de garde de nuit dans une résidence pour personnes âgées.

J'ai probablement eu beaucoup de chance mais a part donner une dizaine de traitements à des personnes ayant leur tête. Je passais des nuit très calme. (A dormir)

Petit appartement fourni les jour travaillés. Avec télé kitchenette.

Salaire supérieur au SMIC si je le souviens bien.

En tout cas, très facile a marier avec l'ifsi et les stages

[Finzi76]

Salut

Tu peux éventuellement travailler comme aide-soignant en clinique psy le weekend. Au niveau du dos c'est plutôt light. Après tu auras plus de chances si tu vis dans une grande ville.

Sinon une copine en fac de bio bossent le week-end dans une escape game. C'est plutôt chouette aussi comme boulot. Il y a l'animation en garderie avec les enfants.

Pour les commentaires par rapport au boulot d'IDE, je suis atteinte d'un lupus et d'une polyarthrite rhumatoïde (donc mes articulations sont bousillées), je travaille justement en psychiatrie. Déjà par choix (car mes maladies se sont déclarées après mon diplôme).

Il y a pas mal de boulots d'IDE qui permettent de pas forcer. Après le labo c'est pas vraimenr le cas car généralement tu te baisses assez souvent. Mais des services comme la médecine du travail sont accessibles (après perso je galère à me faire recruter car ils demandent un DU ou un master en santé publique et aussi beaucoup d'expériences).
Malheureusement tous les IDE sont pas valides, la vie fait que la maladie peut surgir à n'importe quel moment. Même si c'est plus galère, je pense qu'une personne atteinte de handicap peut quand même faire ce travail. J'ai bien vu un médecin oncologue avec une canne et parfois un fauteuil car il avait eu la polio jeune.
Je trouve ça dommage que mes pairs jugent parfois qu'on ne peut plus travailler. On y a autant droit que le reste de la population. Il faut juste des postes adaptés et ça existent.

Salut

Tu décris très bien la réalité du terrain et la diversité des parcours possibles, même avec des douleurs ou une pathologie chronique. Et tu as complètement raison : la clé, c’est d’adapter le poste, pas d’exclure les gens.

D’ailleurs, le médecin dont tu parles avec sa canne m’a fait penser à un sujet que j’ai creusé récemment : il existe aujourd’hui des aides à la marche élégantes et fonctionnelles, qui offrent à la fois du soutien et un certain confort au quotidien, surtout quand on doit rester actif malgré tout. C’est loin de l’image vieillotte qu’on s’en fait parfois.

En tout cas, ton parcours donne de l’espoir. Merci pour le partage, vraiment.