Votre type d'Homme ou de femme !
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Moi c'est pas trés grand, blond foncé, les yeux vert, musclé, le teint mat, et un sourire d'ange.
Je l'aime
ps : j'oubliais, des fesses a damner un ange
Je l'aime

ps : j'oubliais, des fesses a damner un ange
La panthére laisse toujours des traces de son passage
Elle èspére seulement que se seront des jolies traces!
Et depuis le 25 juillet j'ai un magnifique setter anglais qui répond au nom de bambou
Elle èspére seulement que se seront des jolies traces!
Et depuis le 25 juillet j'ai un magnifique setter anglais qui répond au nom de bambou
Brun de préférence, les yeux verts ou bleus océan, musclé mais pas trop. Pas trop poilu non plus, romantique(ca existe? rassurez-moi!!), aimant s'amuser (an tout bien tout honneur!!!), faire la fête, pas un pochard, non plus qui ne fume pas trop, ou pas du tout... Jcrois que je vais arrêter là , jdois faire la descrption de l'homme idéal!!!
C'est qu'apparemment je suis exigente!!!



C'est qu'apparemment je suis exigente!!!


IDE en chirurgie vasculaire, thoracique, ORL, oph, Ortho, dig... un peu tout quoi^^
Promo 2005-2008 au CH Le Mans
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Sucre d'Orge a écrit :Et bien moi j'aime les bruns, mat de peau, les yeux plutot clair mais en faite ca c'est pas trop important...
Enfin après faut voir ce que le mec à dans le cerveau aussi






T'as raison, Sucre d'orge, mais s'il a les deux (ce qu'il faut dans la tête et beau physique), tant mieux!!!






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mon style de mec
et bien moi, je préfère les grands maigres......
OK a 2 on ressemble à laurel et hardy
mais bon, les gouts et les couleurs ça se discute pas 

OK a 2 on ressemble à laurel et hardy


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Ca fait un peu lettre au père-noël tout ça…
Vous êtes marrantes… de réfléchir au mec idéal avec des références aussi nazes. J’avoue sur ce point la au moins ne pas vous comprendre. Mais qu’est ce que j’en sais moi de mon type de nana ? Je tombe amoureux une bonne dizaine de fois par jour. Votre style, votre démarche, le galbe d’un mollet, la plastique d’un sein, une main délicate, une nuque laissant entrevoir le début d’un dos, un regard furtif et qui se dérobe quand j’appuie le mien et que mon cœur explose. l’élue d’un instant n’accroche qu’une seconde a l’échelle du temps et me donne l’arrière goût d’une éternité mort-née. Vous dire pourquoi ?
Les posters qui ornaient les murs de la chambrée que j’occupais au service militaire montraient tous des nanas idéales, belles, carénées grand luxe, avec des options hypothétiques laissant sans nul doute la porte ouverte aux phantasmes les plus osés. Ces atouts ostentatoires majeurs, ne laissaient aucun mâle indifférent dans la chambrée. C’est paraît-il un rituel de passage pour le jeune bidasse boutonneux un peu nigaud que d’affirmer sa virilité devant ce genre de portrait en pieds. On entendait parfois de grand râles bien rauques d’ados en pleine mues. Ces bonnasses sans culottes leur faisaient un effet « brame du cerf en forêt de Chambord » assez affligeant. Je ne sais pas ce qui vous attire chez un mec, mais moi, ce spectacle ne me donnait vraiment pas envie de changer de bord. (un de nos compagnons de chambré si, mais je ne lui ai pas de mandé pourquoi…) Il étaient pour certains grands athlétiques, ou au contraire petits rond, blonds, roux, d’autres bruns, on voyait les os chez certains, d’autres avaient une petite bedaine, y’avait des bourrelets, des peaux grasses, des visages boutonneux, des pellicules, des pieds qui puent (une infection vraiment). Il y en avait de plutôt mignons qui se pomponnaient, d’autre carrément négligents, et tous avaient pour la plupart une nana qui les attendait chaque week-end. Le portrait que j’ai fais d’eux pourrait tout aussi bien s’appliquer à leur moitié.
Je ne crois pas qu’ils avaient le profile de l’homme idéale, façon James Dean ou Brad Pitt. Il n’étaient pas vraiment beau, ni brillants, ni intelligents, ni cultivé, le charme de certain était, je dirait même vraiment caché, et leur talent assez discutable. Mais que dire de leur nana ? Comment ces téméraires bécasses, gavées de contes pour enfants, avec des princes et des robes à paillettes, pouvaient-elles tomber dans le si médiocre ? Comment s’abaissaient elles a bannir leurs rêves d’enfants au profit de si pathétiques reproducteurs ? Elles aimaient ces types avec leurs défaut et devaient leurs trouver des qualités. elles cherchait pas spécialement un reproducteur : grand, beau (forcément beau) musclé genre barraky, avec juste ce qu’il faut de poils pour que ça fasse pas ours, ni tafiole. Chacun pensée, chaque instant de leur existence médiocre, était orientées vers ces future bêtes de guerres. Elles se seraient pendues à l’aubette, crucifiées au portes de la caserne pour une seconde de plus passée au cou de leur amant (Non mais faut voir la gueule de certains sur la photo des classes, je vous jure, c’étaient pas des tronches de jeunes premiers) Et qu’importe la gueule, de l’élu c’était lui l’unique le seul, et je n’y comprenais rien. Ils nourrissaient leur passion de baisers, de caresses et temps compté. Au delà des apparences auxquelles je m’arrêtais, s’affichait l’expression même d’une passion amoureuse. Un amour qui brûlait, irradiait les week-end de permission sans doute, et qui se consumait doucement en elles jusqu’au week end suivant. Eux, bien forcé de vivre avec, je subissais, obligé, les blagues douteuses de leur cher et tendre, leur glose immonde, l’esbrouf de pauvres type paumés, en manque de leur moitié.
La femme idéale me lasserait vite. Mon type de femme a moi pète au lit sous la couette, et ça la fait marrer. Mon type de femme rit, pleure, et ses larmes de peine ou de joie ne complètent aucune statistique, n’entrent dans aucun cadre, aucun standard. Je nourris ma passion amoureuse du degré de liberté que m’accorde ma partenaire. Ca n’est ni la couleur de ses yeux, de ses cheveux, de sa robe qui nourrirons cela. Je n’attends ni réciprocité, ni complémentarité, ni rien du tout d’ailleurs. Cela n’a aucun sens de baser la relation sur des sentiments par essence aléatoires (souvent femme varie… ceci cela, son mec pas mieux non plus) La femme que j’aime a les cheveux les plus beau de la terre, ses yeux son un océan de mystères dans le quel j’aime a me noyer, son corps est un paysage du monde dans lequel chaque voyage est un extase, etcetera. Tout cela est d’une platitude, d’un banal a dormir. On a chanté, écrit tout et son contraire sur l’amour, c’est beau, ça fait souffrir, il rends heureux, malheureux. Et mon couple à comme les vautres des hauts et des bas dont tout le monde se fou. Mon type de femme à, c’est bien heureux, les apparences de toutes les autres, Quant au fond des choses il ne regarde que nous. Notre amour est à inventer, il fait battre mon cœur, me rend nerveux, impatient, maladroit. Il me musèle, me nettoie la tête de tout mot inutiles, paroles et expressions vides de sens. Il m’oblige à sortir mes tripes, à m’exposer, à me révéler, à me mettre a nu. Chaque jour mon amour ré enchante mon univers et le rend plus beau que vos clichés de frileuses statues grecques et autres figures fatiguées du cinéma d’antan.
Vous êtes marrantes… de réfléchir au mec idéal avec des références aussi nazes. J’avoue sur ce point la au moins ne pas vous comprendre. Mais qu’est ce que j’en sais moi de mon type de nana ? Je tombe amoureux une bonne dizaine de fois par jour. Votre style, votre démarche, le galbe d’un mollet, la plastique d’un sein, une main délicate, une nuque laissant entrevoir le début d’un dos, un regard furtif et qui se dérobe quand j’appuie le mien et que mon cœur explose. l’élue d’un instant n’accroche qu’une seconde a l’échelle du temps et me donne l’arrière goût d’une éternité mort-née. Vous dire pourquoi ?
Les posters qui ornaient les murs de la chambrée que j’occupais au service militaire montraient tous des nanas idéales, belles, carénées grand luxe, avec des options hypothétiques laissant sans nul doute la porte ouverte aux phantasmes les plus osés. Ces atouts ostentatoires majeurs, ne laissaient aucun mâle indifférent dans la chambrée. C’est paraît-il un rituel de passage pour le jeune bidasse boutonneux un peu nigaud que d’affirmer sa virilité devant ce genre de portrait en pieds. On entendait parfois de grand râles bien rauques d’ados en pleine mues. Ces bonnasses sans culottes leur faisaient un effet « brame du cerf en forêt de Chambord » assez affligeant. Je ne sais pas ce qui vous attire chez un mec, mais moi, ce spectacle ne me donnait vraiment pas envie de changer de bord. (un de nos compagnons de chambré si, mais je ne lui ai pas de mandé pourquoi…) Il étaient pour certains grands athlétiques, ou au contraire petits rond, blonds, roux, d’autres bruns, on voyait les os chez certains, d’autres avaient une petite bedaine, y’avait des bourrelets, des peaux grasses, des visages boutonneux, des pellicules, des pieds qui puent (une infection vraiment). Il y en avait de plutôt mignons qui se pomponnaient, d’autre carrément négligents, et tous avaient pour la plupart une nana qui les attendait chaque week-end. Le portrait que j’ai fais d’eux pourrait tout aussi bien s’appliquer à leur moitié.
Je ne crois pas qu’ils avaient le profile de l’homme idéale, façon James Dean ou Brad Pitt. Il n’étaient pas vraiment beau, ni brillants, ni intelligents, ni cultivé, le charme de certain était, je dirait même vraiment caché, et leur talent assez discutable. Mais que dire de leur nana ? Comment ces téméraires bécasses, gavées de contes pour enfants, avec des princes et des robes à paillettes, pouvaient-elles tomber dans le si médiocre ? Comment s’abaissaient elles a bannir leurs rêves d’enfants au profit de si pathétiques reproducteurs ? Elles aimaient ces types avec leurs défaut et devaient leurs trouver des qualités. elles cherchait pas spécialement un reproducteur : grand, beau (forcément beau) musclé genre barraky, avec juste ce qu’il faut de poils pour que ça fasse pas ours, ni tafiole. Chacun pensée, chaque instant de leur existence médiocre, était orientées vers ces future bêtes de guerres. Elles se seraient pendues à l’aubette, crucifiées au portes de la caserne pour une seconde de plus passée au cou de leur amant (Non mais faut voir la gueule de certains sur la photo des classes, je vous jure, c’étaient pas des tronches de jeunes premiers) Et qu’importe la gueule, de l’élu c’était lui l’unique le seul, et je n’y comprenais rien. Ils nourrissaient leur passion de baisers, de caresses et temps compté. Au delà des apparences auxquelles je m’arrêtais, s’affichait l’expression même d’une passion amoureuse. Un amour qui brûlait, irradiait les week-end de permission sans doute, et qui se consumait doucement en elles jusqu’au week end suivant. Eux, bien forcé de vivre avec, je subissais, obligé, les blagues douteuses de leur cher et tendre, leur glose immonde, l’esbrouf de pauvres type paumés, en manque de leur moitié.
La femme idéale me lasserait vite. Mon type de femme a moi pète au lit sous la couette, et ça la fait marrer. Mon type de femme rit, pleure, et ses larmes de peine ou de joie ne complètent aucune statistique, n’entrent dans aucun cadre, aucun standard. Je nourris ma passion amoureuse du degré de liberté que m’accorde ma partenaire. Ca n’est ni la couleur de ses yeux, de ses cheveux, de sa robe qui nourrirons cela. Je n’attends ni réciprocité, ni complémentarité, ni rien du tout d’ailleurs. Cela n’a aucun sens de baser la relation sur des sentiments par essence aléatoires (souvent femme varie… ceci cela, son mec pas mieux non plus) La femme que j’aime a les cheveux les plus beau de la terre, ses yeux son un océan de mystères dans le quel j’aime a me noyer, son corps est un paysage du monde dans lequel chaque voyage est un extase, etcetera. Tout cela est d’une platitude, d’un banal a dormir. On a chanté, écrit tout et son contraire sur l’amour, c’est beau, ça fait souffrir, il rends heureux, malheureux. Et mon couple à comme les vautres des hauts et des bas dont tout le monde se fou. Mon type de femme à, c’est bien heureux, les apparences de toutes les autres, Quant au fond des choses il ne regarde que nous. Notre amour est à inventer, il fait battre mon cœur, me rend nerveux, impatient, maladroit. Il me musèle, me nettoie la tête de tout mot inutiles, paroles et expressions vides de sens. Il m’oblige à sortir mes tripes, à m’exposer, à me révéler, à me mettre a nu. Chaque jour mon amour ré enchante mon univers et le rend plus beau que vos clichés de frileuses statues grecques et autres figures fatiguées du cinéma d’antan.
Fridhu