...ce strip tease endiablé commencé, les formateurs restent sous le choc de decouvrir ses dessous, legerement hanté d'une odeur de banane
Contre la vie qui va qui vient Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface Au derrière de soi
.....et que ses dessous fetiche ne sont autres qu'un string leopard....
Contre la vie qui va qui vient Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface Au derrière de soi
.....et la banane en question n'était autre qu'une prothèse défaillante faite par un pseudo chirurgien auquel mme ou plutôt mr le directeur avait fait un procé mais...
mais ce pauvre chirurgien avait succombé pour elle lors de l'operation et pour se venger lui avait fait un tout petit kiki qui fit rire tout le monde, formateurs comme esi
Contre la vie qui va qui vient Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface Au derrière de soi
tEt là, la pseudo directrice s'écria :"Oh, my god". N'ayant pas retrouvé sa pince à épiler depuis 1 semaine, ses molets ressemblaient à 2 hérissons en rut
et se mit a danser un madison toute seule pour se defouler, en criant "où sont les bananes "
Contre la vie qui va qui vient Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface Au derrière de soi
elle tortillait son pull que sa vieille tante lui avait tricoté, en prévision des longues soirées au fond de la salle de garde d'un hopital gris et mal chauffé. elle se souvient encore de ses paroles calines : prends-en soin , tu sais ,il faut trois gros moutons pour faire un tel pull! d'un mouvement sec et latéral de sa tête elle remis ses méches blondes en place, et réalisa qu'elle n'avait jamais vu de moutons tricoter des pulls ,
comme le disait si bien mon oncle : si tu veux avancer, évite d'avoir des idées fixes
adam de la mer a écrit :elle tortillait son pull que sa vieille tante lui avait tricoté, en prévision des longues soirées au fond de la salle de garde d'un hopital gris et mal chauffé. elle se souvient encore de ses paroles calines : prends-en soin , tu sais ,il faut trois gros moutons pour faire un tel pull! d'un mouvement sec et latéral de sa tête elle remis ses méches blondes en place, et réalisa qu'elle n'avait jamais vu de moutons tricoter des pulls ,
je reprends donc....
suzie arriva enfin aux portes de l'ifsi
sa tete ressemblait a ca ...la panique l'envahit....tous ces bouteilles qui trainaient, la dirlo moitié homme/moitié femme en train de se questionner sur les moutons et de se gratter le dos avec ses aiguilles a tricoter, les esi tous partis faire une manif et les formateurs en train de cuver elle se demanda alors si elle ne s'etait pas tromper d'endroit et chercha en vain le secretariat.....
Contre la vie qui va qui vient Puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient Mais qui tient pas
Contre la trace qui s'efface Au derrière de soi
elle croisa une aide soignante qui demandait ce que les infirmières pensaient d'elle. Ellle se dit que ça devait être une future étudiante qui cherchait à se positionner , vu le grand désordre qui semblait régner dans cet établissement,
comme le disait si bien mon oncle : si tu veux avancer, évite d'avoir des idées fixes