Validation des aides opératoires / IBODEs 65% d'échecs

Le métier d'IBODE dans sa globalité, posez vos questions et distillez vos conseils à ceux qui se préparent à cet exercice.

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Dop@mine
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Validation des aides opératoires / IBODEs 65% d'échecs

Message par Dop@mine »

Je me permet de faire un rappel ici sur une info que je viens de découvrir (tout arrive).

Etrangement je n'y ai trouvé qu'un echo très relatif dans les médias. Les français ne seraient-ils pas contents de savoir qu'au moins 65% des aides opératoires qui sévissent dans les blocs n'ont pas le strict minimum requis pour y mettre les pieds ?

Le 28 Octobre 2005 - (Infirmiers.com) : Communiqué de presse - Les associations et la CNI s’interrogent sur le sérieux de la formation délivrée par les chirurgiens libéraux à leurs aides opératoires, qui ont toutes au moins 12 ans de pratique ! Le 13 octobre 2005, 65% d’échec aux épreuves d’autorisation d’exercice des aides opératoires bénévoles.

Sur 585 candidats, 383 ont été ajournés !!!

Dès que le niveau des questions a été légèrement relevé (sans qu’il soit nécessaire d’avoir plus de 4 bonnes réponses par discipline chirurgicale) le taux de réussite chute de 99 % à 35 % !

A la lumière des résultats de 2005, 1750 personnes autorisées en 2002, soit 2/3 des personnes, n’ont pas les connaissances requises pour garantir la sécurité des patients dans les blocs opératoires des cliniques privés. Ces chiffres ne prennent pas en compte les personnes exerçant sans aucune autorisation…

L’AEEIBO, le GIPSI, l’UNAIBODE et la CNI sont très inquiets d’une telle proportion de personnes incompétentes, et rappellent que le syndicat des médecins libéraux se portait garant du « savoir faire indéniable » de ces aides opératoires.

Les associations et la CNI s’interrogent sur le sérieux de la formation délivrée par les chirurgiens libéraux à leurs aides opératoires, qui ont toutes au moins 12 ans de pratique !

Afin de rétablir la sécurité des soins dans les cliniques privées, les associations et la CNI exigent l’application de la loi. C’est à dire le retrait immédiat des blocs opératoires des personnes non infirmiers et non autorisées.

Les associations et la CNI attirent l’attention des usagers sur le fait que la formation des personnes autorisées restera succincte, et non assortie d’un contrôle des connaissances. Elles se sentent néanmoins satisfaites d’avoir pu obtenir le caractère obligatoire de cette formation face à un puissant lobbying des chirurgiens libéraux qui ont tout fait pour obtenir le caractère facultatif de la formation de leur aide opératoire….
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revenge of anesthesith
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Message par revenge of anesthesith »

j'avais posté quelque chose la veille Dopamine.
http://www.infirmiers.com/frm/viewtopic ... 8&start=20
:clin:
des cathlons, à fond la forme !
la santé est un état précaire qui ne laisse augurer rien de bon.
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