contrat nouvelle embauche
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- tito
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Argrath le Troll a écrit :Non un CDI on te vire pas comme ca Tito.Quand aux revendications des lycéens je te rappele qu'on t'a encore récemment nié le droit à participer à une discussion sur l'ordre car tu n'étais pas encore diplomé, était ce juste pour autant? Tu vas etre dipplomé ds très peu de temps. Certains lycéens vont etre majeurs ds très peu de temps et certains ont déja la majorité.
La majorité ne le sont pas ...
La difference entre la discussion sur l'ordre et les ESI entre autre et le CPE et les lycéens, c'est que en etant ESI, nous avons deja une certaine connaissance du terrain (certes pas forcemment en première année), et le diplome est assez proche. Certains feraient peut etre mieux de commencer à reviser leurs epreuves du bac (dans 3 mois le bac en passant) pour s'assurer un avenir que de descendre dans la rue...
Mais comme je l'ai dit, ce n'est que mon avis...
Ensuite il est vrai qu'ils ont raison peut etre d'avoir peur, mais il faudra m'expliquer l'interet qu'a un patron a degager un employé après 2 ans de "formation" sachant que former une autre personne peut s'averer plus chiant qu'autre chose... Et puis on entend parler que des points negatifs du CPE, mais parle-t-on des points positifs? (un salaire au pire pendant 2 ans à la place d'un chomage avec une experience professionnelle en plus sur le CV...)
Bref, avis mitigé sur la question quand même...
PS: Non un CDI on vire pas comme ça, mais virer quelqu'un comme ça, je pense que c'est contraire au code du travail non? surtout au bout de 2 ans...

L'ONI, Une grande fumisterie

- mononoke
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je ne partage pas ton avis tito, moi je trouve que les lyceens ont raison de manifester, car celà peu changer les choses à savoir la dissolution de cette lois, comme le fut celle de baladur!
j'encourage les jeunes à manifester car il s'gait de leur avenir!
et pour le patron, cette lois et totalement patronale! le patron a tous les droit, tu imagines on te dis voilà tu bosses à l'hopital mais sous reserve de deux ans on peux te renvoyer quand on veux?
je totalement contre cette lois, et ce n'est pas la solution pour diminuer le chomage, bien au contraire, c'est une lois, pour encourager la discrimination social

j'encourage les jeunes à manifester car il s'gait de leur avenir!
et pour le patron, cette lois et totalement patronale! le patron a tous les droit, tu imagines on te dis voilà tu bosses à l'hopital mais sous reserve de deux ans on peux te renvoyer quand on veux?
je totalement contre cette lois, et ce n'est pas la solution pour diminuer le chomage, bien au contraire, c'est une lois, pour encourager la discrimination social


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- tito
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mononoke a écrit :je ne partage pas ton avis tito, moi je trouve que les lyceens ont raison de manifester, car celà peu changer les choses à savoir la dissolution de cette lois, comme le fut celle de baladur!
j'encourage les jeunes à manifester car il s'gait de leur avenir!
et pour le patron, cette lois et totalement patronale! le patron a tous les droit, tu imagines on te dis voilà tu bosses à l'hopital mais sous reserve de deux ans on peux te renvoyer quand on veux!
Non à l'hopital on va me faire signer des CDD de 3 mois pendant 2 ans voire plus et là, personne va manifester...


L'ONI, Une grande fumisterie

- mononoke
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tito a écrit :
Non à l'hopital on va me faire signer des CDD de 3 mois pendant 2 ans voire plus et là, personne va manifester...
dans notre metier il y a le choix entre CDI, CDD apres l'interim et tous ce qui va avec..., donc ce n'est pas pareil

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mononoke a écrit :tito a écrit :
Non à l'hopital on va me faire signer des CDD de 3 mois pendant 2 ans voire plus et là, personne va manifester...
dans notre metier il y a le choix entre CDI, CDD apres l'interim et tous ce qui va avec..., donc ce n'est pas pareil
Pas dans le public...

L'ONI, Une grande fumisterie

Argrath le Troll a écrit :Et si on brulait les patrons en place de grèvec'est assez anti conformiste ca?
Je plaisante au cas ou qq n'aurais pas compris
quoique
C'est pas autorisé dans le code civil ça

Les psychiatres, c'est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j'avais honte. Je suis allée voir un psychiatre, je suis guérie. Maintenant, je pisse au lit, mais j'en suis fière.
La parodie de démocratie qui s'est jouée au Parlement me navre, et pour cette raison je descendrai râler demain dans la rue. Les députés sont plus préoccupés par leur investiture que par notre avenir. L'Assemblée Nationale n'est rien d'autre qu'une chambre d'enregistrement a la botte d'une minorité au pouvoir et au garde a vous de l'économie et de sa croissance. (je maudis le croissance qui va a l'encontre de tout développement durable
à Miss Purple et Mimil)
Je vais vous empêcher de circuler, je vais vous retarder, vous emmerder, vous casser les oreilles je m'en fout ! ma colère est plus importante que vos motivation individuelles. Je n'admets pas qu'on fragilise encore un peu plus les travailleuses et les travailleurs pour sécuriser davantages ceux qui déja se bâffraient amplement et qui veulent continuer a s'empiffrer en me tondant ce qui me reste de laine sur le dos.
Comme beaucoup je suis inquiet pour l'avenir de la jeunesse de ce pays a laquelle j'appartiens, inquiet de ne pas avoir de projets d'avenir, inquiet du devenir de la société et du fossé qui se creuse entre les catégories sociales, entre les générations.
Je descendrai dans la rue demain car je travaillais cette semaine, mais j'attends la grève générale, le Big One qui fera trembler le CAC 40 l'économie française, le grand tremblement qui vous invitera a descendre avec nous dans la rue faute de pouvoir aller travailler puisque tout sera paralysé.
Je n'ai pas peur de perdre un mois de salaire, j'ai déja vécu sans, plus longtemps. la précarité je la vis au quotidien, je ne m'en plains pas trop, je suis encore privilégié par rapport à d'autres. Mais avoir institutionnalisé la précarité des jeunes dans le droit du travail c'est tout simplement du mépris pour la génération qui vient et qui paie deja assez les dettes de ses ainés. Je trouve que ce mépris mérite qu'on s'arrête un instant et qu'on revoie entierement et collectivement la copie du gouvernement. Ils y a des façon plus humaines de traiter les salariés, il y a des façons plus sociales, moins individualistes d'envisager le monde du travail. Sauf que les partenaire sauciaux, on s'est bien gardé de leur demander leurs avis et pour cause. je serai avec eux demain dans la rue.

Je vais vous empêcher de circuler, je vais vous retarder, vous emmerder, vous casser les oreilles je m'en fout ! ma colère est plus importante que vos motivation individuelles. Je n'admets pas qu'on fragilise encore un peu plus les travailleuses et les travailleurs pour sécuriser davantages ceux qui déja se bâffraient amplement et qui veulent continuer a s'empiffrer en me tondant ce qui me reste de laine sur le dos.
Comme beaucoup je suis inquiet pour l'avenir de la jeunesse de ce pays a laquelle j'appartiens, inquiet de ne pas avoir de projets d'avenir, inquiet du devenir de la société et du fossé qui se creuse entre les catégories sociales, entre les générations.
Je descendrai dans la rue demain car je travaillais cette semaine, mais j'attends la grève générale, le Big One qui fera trembler le CAC 40 l'économie française, le grand tremblement qui vous invitera a descendre avec nous dans la rue faute de pouvoir aller travailler puisque tout sera paralysé.
Je n'ai pas peur de perdre un mois de salaire, j'ai déja vécu sans, plus longtemps. la précarité je la vis au quotidien, je ne m'en plains pas trop, je suis encore privilégié par rapport à d'autres. Mais avoir institutionnalisé la précarité des jeunes dans le droit du travail c'est tout simplement du mépris pour la génération qui vient et qui paie deja assez les dettes de ses ainés. Je trouve que ce mépris mérite qu'on s'arrête un instant et qu'on revoie entierement et collectivement la copie du gouvernement. Ils y a des façon plus humaines de traiter les salariés, il y a des façons plus sociales, moins individualistes d'envisager le monde du travail. Sauf que les partenaire sauciaux, on s'est bien gardé de leur demander leurs avis et pour cause. je serai avec eux demain dans la rue.
Fridhu