aide soignant au quebec
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aide soignant au quebec
salut a tous.
je cherche des informations sur la profession d'aide soignant au quebec.est ce que quelqu'un a une experience de travail au quebec? savez vous si un aide soignant diplome en france peut etre reconnu au quebec?
merci pour votre aide.
je cherche des informations sur la profession d'aide soignant au quebec.est ce que quelqu'un a une experience de travail au quebec? savez vous si un aide soignant diplome en france peut etre reconnu au quebec?
merci pour votre aide.
Salut Mami
je peux pas te renseigner enormement sur le sujet mais je sais juste que deja pour les infirmieres le niveau et plus elever là bas que chez nous.
Parcontre moi je voudrais ecrire au luxembourg pour un boulot mais on me dis que le niveau et pas le meme que nous.
Alors si qq a des renseignement je serai interreser pour savoir si il est plus elever ou plus bas que le notre.Merci d'avance
je peux pas te renseigner enormement sur le sujet mais je sais juste que deja pour les infirmieres le niveau et plus elever là bas que chez nous.
Parcontre moi je voudrais ecrire au luxembourg pour un boulot mais on me dis que le niveau et pas le meme que nous.
Alors si qq a des renseignement je serai interreser pour savoir si il est plus elever ou plus bas que le notre.Merci d'avance
il faut profiter de la vie,a chaque instant....
Je ne sais pas où se fait exactement ce stage, voilà un texte concernant les AS dans le Grand Duché:
http://sante.contenu.monster.lu/6290_fr-LU_p1.asp
Aide-soignante
Parmi le personnel de santé, l'aide-soignante est certainement la personne la plus proche des malades. Dévouée, à l'écoute, elle n'en doit pas moins être efficace et dynamique. Plus de 1600 (situation en janvier 2004) à officier au Grand-duché, cette profession reste ouverte à qui aime travailler pour les autres.
Au quotidien, l'aide-soignante (ce métier est occupé à plus de 87% par les femmes, la galanterie exige donc l'emploi du féminin.toutes mes excuses aux hommes aides-soignants !) aide les patients à faire leur toilette, à s'habiller. Lorsque les personnes sont peu autonomes ou âgées, l'aide-soignante les accompagne dans leurs déplacements, les aide à s'asseoir, à se nourrir, etc. Son travail s'étend aux tâches d'entretien courantes, comme le nettoyage et le rangement des chambres, le changement de la literie et du linge. Contrairement à l'infirmière, l'aide-soignante ne peut pas donner de médicaments, ni procurer de soins médicaux (comme la prise de tension ou la pose d'une perfusion), mais elle participe à d'autres soins : prise de la température, surveillance de la courbe de poids, changement de certains pansements...
L'aide-soignante travaille toujours en collaboration et sous la responsabilité d'une infirmière. Elle fait par ailleurs partie d'une équipe médicale pluridisciplinaire, regroupant d'autres professionnels de santé. Le travail est organisé par rotation des équipes (une semaine de jour, une semaine de nuit), selon des horaires contraignants (nuit, week-end...). Lorsqu'elles sont salariées d'un centre d'action communal ou d'un centre de soins associatif, les aides-soignantes travaillent à domicile et effectuent de nombreux déplacements.
Ce métier requiert des qualités d'écoute, de patience et de disponibilité, mais aussi du dynamisme et des aptitudes au travail en équipe. Et seul un solide équilibre psychologique peut permettre de supporter la souffrance d'autrui.
La formation d'aide-soignante repose au Luxembourg sur l'obtention du CATP d'aide-soignante. Celui-ci se prépare en trois années après une 9ème, théorique, polyvalente ou pratique.
Seul le lycée Technique pour Professions de la Santé (LTPS) propose cette formation. Les diplômes d'aide-soignant de Belgique et d'Allemagne sont également reconnus sans aucun problème.
Par contre, le diplôme français (DPAS) jugé incomplet n'est pas reconnu en tant que tel au Luxembourg. Une aide-soignante française doit donc obtenir une homologation, homologation qui est accordée toutefois aisément après une courte période de stage.
Hormis le diplôme, il est également fortement souhaité de parler les trois langues officielles du pays. Logique, car les patients ont plus de facilité à exprimer leur douleur et désarroi dans leur langue maternelle. Mais rassurez-vous, le secteur de la santé au Luxembourg a besoin de travailleurs frontaliers, et le métier d'aide-soignante de déroge pas à la règle ! D'ailleurs, près de 50% des aides-soignantes sont belges, allemandes mais surtout françaises.
Enfin, le salaire des aides soignantes, régi par une convention collective, avoisine les 2200 euros/brut en début de carrière pour atteindre plus de 3700 euros en fin de carrière. Rajoutez à cela les primes de nuit et de jours fériés, les pécules de vacances et un treizième mois et vous comprendrez en parti pourquoi les frontaliers sont attirés par le Grand-duché !
http://sante.contenu.monster.lu/6290_fr-LU_p1.asp
Aide-soignante
Parmi le personnel de santé, l'aide-soignante est certainement la personne la plus proche des malades. Dévouée, à l'écoute, elle n'en doit pas moins être efficace et dynamique. Plus de 1600 (situation en janvier 2004) à officier au Grand-duché, cette profession reste ouverte à qui aime travailler pour les autres.
Au quotidien, l'aide-soignante (ce métier est occupé à plus de 87% par les femmes, la galanterie exige donc l'emploi du féminin.toutes mes excuses aux hommes aides-soignants !) aide les patients à faire leur toilette, à s'habiller. Lorsque les personnes sont peu autonomes ou âgées, l'aide-soignante les accompagne dans leurs déplacements, les aide à s'asseoir, à se nourrir, etc. Son travail s'étend aux tâches d'entretien courantes, comme le nettoyage et le rangement des chambres, le changement de la literie et du linge. Contrairement à l'infirmière, l'aide-soignante ne peut pas donner de médicaments, ni procurer de soins médicaux (comme la prise de tension ou la pose d'une perfusion), mais elle participe à d'autres soins : prise de la température, surveillance de la courbe de poids, changement de certains pansements...
L'aide-soignante travaille toujours en collaboration et sous la responsabilité d'une infirmière. Elle fait par ailleurs partie d'une équipe médicale pluridisciplinaire, regroupant d'autres professionnels de santé. Le travail est organisé par rotation des équipes (une semaine de jour, une semaine de nuit), selon des horaires contraignants (nuit, week-end...). Lorsqu'elles sont salariées d'un centre d'action communal ou d'un centre de soins associatif, les aides-soignantes travaillent à domicile et effectuent de nombreux déplacements.
Ce métier requiert des qualités d'écoute, de patience et de disponibilité, mais aussi du dynamisme et des aptitudes au travail en équipe. Et seul un solide équilibre psychologique peut permettre de supporter la souffrance d'autrui.
La formation d'aide-soignante repose au Luxembourg sur l'obtention du CATP d'aide-soignante. Celui-ci se prépare en trois années après une 9ème, théorique, polyvalente ou pratique.
Seul le lycée Technique pour Professions de la Santé (LTPS) propose cette formation. Les diplômes d'aide-soignant de Belgique et d'Allemagne sont également reconnus sans aucun problème.
Par contre, le diplôme français (DPAS) jugé incomplet n'est pas reconnu en tant que tel au Luxembourg. Une aide-soignante française doit donc obtenir une homologation, homologation qui est accordée toutefois aisément après une courte période de stage.
Hormis le diplôme, il est également fortement souhaité de parler les trois langues officielles du pays. Logique, car les patients ont plus de facilité à exprimer leur douleur et désarroi dans leur langue maternelle. Mais rassurez-vous, le secteur de la santé au Luxembourg a besoin de travailleurs frontaliers, et le métier d'aide-soignante de déroge pas à la règle ! D'ailleurs, près de 50% des aides-soignantes sont belges, allemandes mais surtout françaises.
Enfin, le salaire des aides soignantes, régi par une convention collective, avoisine les 2200 euros/brut en début de carrière pour atteindre plus de 3700 euros en fin de carrière. Rajoutez à cela les primes de nuit et de jours fériés, les pécules de vacances et un treizième mois et vous comprendrez en parti pourquoi les frontaliers sont attirés par le Grand-duché !
On est rarement maître de se faire aimer, on l'est toujours de se faire "estimer" ( Fontenelle)
AS depuis PFFIOU... depuis un moment
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