Métiers de la santé... 2005 : Année commune ? Suicide ou
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Ne comparons pas boulot et salaire d'infirmière avec ceux d'un ministre. La question n'en est pas là quand-même.
Bec, t'as raison. Mais je ne compare pas l'incomparable! Je pense comme Marie C: Encore une fois ceux qui pensent , c'est pas ceux qui si collent !!
Voila, et quels que soit les politiques, la santé sera tjs un casse-tete, car tres couteuse.
Et je pense bien que les interets des gens d'en bas, sont plus importants, que leurs reelections.
Apres tout il nous ressemble, ils font ce metier pour apporter des jours meilleurs aux autres, non?
Bec, t'as raison. Mais je ne compare pas l'incomparable! Je pense comme Marie C: Encore une fois ceux qui pensent , c'est pas ceux qui si collent !!
Voila, et quels que soit les politiques, la santé sera tjs un casse-tete, car tres couteuse.
Et je pense bien que les interets des gens d'en bas, sont plus importants, que leurs reelections.
Apres tout il nous ressemble, ils font ce metier pour apporter des jours meilleurs aux autres, non?
On ne vit qu'une fois...
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Bec
Ouais, je suis aussi d'accord avec Marie C. sur ce point.
Petite anecdote encore de ma mère. Elle se plaint de la proliferation des personnes à "clip board" - ils ou elles veulent tous être managers et pas des éxécutants.
Voilà ce qui se passera si on relève le niveau d'études sans relever le reste! Plus personne voudra faire le boulot. Et comme j'ai dit, le taux d'abandon du métier s'accroîtra.
Petite anecdote encore de ma mère. Elle se plaint de la proliferation des personnes à "clip board" - ils ou elles veulent tous être managers et pas des éxécutants.
Voilà ce qui se passera si on relève le niveau d'études sans relever le reste! Plus personne voudra faire le boulot. Et comme j'ai dit, le taux d'abandon du métier s'accroîtra.
re
et dire qu'il manque du monde et ils trouvent rien de mieux : ceux qui connaissent pas du tt la profession de faire cette merde mon dieu ou va t-on !!:!!! je descendrais dans la rue pr lutter contre ça !!!
mais que vont devenir les petits ifsi !!!! c'est aussi l'avenir des régions !!!!!! les apparts des étudiants font vivre des villes !!!!!!!
qui est à l'origine de cette connerie ?!!!!!
ça allait très bien comme ça pourquoi changent -ils toujours a LEUR sauce ça m'énerve !!!
mais que vont devenir les petits ifsi !!!! c'est aussi l'avenir des régions !!!!!! les apparts des étudiants font vivre des villes !!!!!!!
qui est à l'origine de cette connerie ?!!!!!
ça allait très bien comme ça pourquoi changent -ils toujours a LEUR sauce ça m'énerve !!!
"le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauver une société absurde"jean yann
IDE en cardiologie/USIC, bientot ISP, secouriste CRF
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Invité
Bonjour, 
Ce projet de réforme des études de santé date de 2002, et de l'ère Jack Lang / B. Kouchner ?!
J'ai lu les textes, mais n'ai trouvé aucune indication concernant la date de mise en application.
Est-ce-que le gouvernement actuel suit le projet ??
Si qqn a plus d'infos, je le remercie de nous les communiquer !
Sophia.
Ce projet de réforme des études de santé date de 2002, et de l'ère Jack Lang / B. Kouchner ?!
J'ai lu les textes, mais n'ai trouvé aucune indication concernant la date de mise en application.
Est-ce-que le gouvernement actuel suit le projet ??
Si qqn a plus d'infos, je le remercie de nous les communiquer !
Sophia.
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Bec
Pour votre info. extrait d'un article sur la réforme des études, journal le Monde du 26/06/03 (oui d'accord je sais qu'on n'a pas le droit de poster directement les articles - j'ai pas le temps de faire un résumé, c'est juste pour informer....). Dernière phrase clé en ce qui concerne les inf.
-----------LA RÉFORME du premier cycle des études médicales a-t-elle une chance de voir le jour ? Les futurs médecins, pharmaciens, infirmiers, psychomotriciens, ergothérapeutes, orthophonistes, podologues... se retrouveront-ils, prochainement, dans la même première année de formation ?
« De nombreuses difficultés, de nature politique, matérielle et juridique, ont été identifiées », prévient Domitien Debouzie, président de l'université Claude-Bernard (Lyon-I), auteur du rapport d'étape de la Commission pédagogique nationale pour la réforme de la première année des études de santé, que Le Monde s'est procuré.
L'idée d'ouvrir les facultés de médecine à tous les étudiants se destinant à un métier médical ou paramédical n'est pas nouvelle. En 1997, un rapport signé des professeurs Jean-Claude Etienne et Jean-François Mattei proposait de « décloisonner la formation médicale » et de « promouvoir une culture de la santé commune ».
Désormais ministre de la santé, M. Mattei ne peut que reprendre cette idée, approuvée, en leur temps, par Jack Lang et Bernard Kouchner qui avaient installé la commission chargée de faire des propositions. Les objectifs semblent légitimes : en finir avec le « gâchis des reçus-collés » - ces étudiants qui se retrouvent exclus des facultés à cause du numerus clausus - et atténuer la hiérarchie des professions de santé en développant une « culture commune ».
Mais la réforme s'avère ardue. Non seulement les formations, la pédagogie et les modes de sélection des différentes professions sont très hétérogènes, mais le regroupement des étudiants dans une même première année entraînerait, au minimum, le triplement des effectifs actuels (33 000 élèves) des facultés de médecine et de pharmacie. « La commission souligne le besoin absolu de dégager des moyens supplémentaires en enseignants » et demande de « connaître les options politiques » sur cette question budgétaire, indique le rapport qui propose le télé-enseignement et des cours délocalisés pour résoudre partiellement un autre problème, celui des locaux.
En attendant, les membres de la commission ont formulé seize propositions. Quatorze professions - soit tous les métiers de la santé à l'exception des opticiens-lunetiers et des diététiciens - seraient concernées. L'année universitaire serait organisée en deux semestres. Le premier avec une présentation de toutes les professions et des enseignements de sciences humaines et sociales, d'anatomie, de physiologie et de génétique.
Pour le second, les étudiants choisiraient soit la voie scientifique soit la voie sciences humaines et sociales. « Aucune profession ne pourrait recruter exclusivement par l'une de ces deux voies », insiste la commission. Cette solution assurerait une « diversification du recrutement » en permettant à des bacheliers non scientifiques d'intégrer une filière comme médecine ou pharmacie.
« Seconde chance tardive »
En fin d'année, chaque profession aurait son propre concours. Les étudiants seraient libres d'en passer autant qu'ils le souhaitent et pourraient redoubler. Ceux qui échoueraient, mais auraient validé certains enseignements pourraient obtenir des crédits reconnus dans d'autres cursus. Enfin, la commission propose que 10 % à 15 % du recrutement des professions soit réservé, chaque année, à ce qu'elle appelle la « seconde chance tardive ». Elle offrirait la possibilité à des étudiants titulaires d'une licence ou d'un mastère et à des professionnels de la santé qui souhaitent changer de métier d'être admis directement sur dossier.
Ces propositions - non commentées au ministère de la santé - sont accueillies favorablement par l'éducation nationale. Reste leur mise en oeuvre. L'idée d'une montée en charge progressive profession par profession avance, tout en sachant que l'intégration de la grande cohorte des infirmières demeure la plus problématique.-----------
-----------LA RÉFORME du premier cycle des études médicales a-t-elle une chance de voir le jour ? Les futurs médecins, pharmaciens, infirmiers, psychomotriciens, ergothérapeutes, orthophonistes, podologues... se retrouveront-ils, prochainement, dans la même première année de formation ?
« De nombreuses difficultés, de nature politique, matérielle et juridique, ont été identifiées », prévient Domitien Debouzie, président de l'université Claude-Bernard (Lyon-I), auteur du rapport d'étape de la Commission pédagogique nationale pour la réforme de la première année des études de santé, que Le Monde s'est procuré.
L'idée d'ouvrir les facultés de médecine à tous les étudiants se destinant à un métier médical ou paramédical n'est pas nouvelle. En 1997, un rapport signé des professeurs Jean-Claude Etienne et Jean-François Mattei proposait de « décloisonner la formation médicale » et de « promouvoir une culture de la santé commune ».
Désormais ministre de la santé, M. Mattei ne peut que reprendre cette idée, approuvée, en leur temps, par Jack Lang et Bernard Kouchner qui avaient installé la commission chargée de faire des propositions. Les objectifs semblent légitimes : en finir avec le « gâchis des reçus-collés » - ces étudiants qui se retrouvent exclus des facultés à cause du numerus clausus - et atténuer la hiérarchie des professions de santé en développant une « culture commune ».
Mais la réforme s'avère ardue. Non seulement les formations, la pédagogie et les modes de sélection des différentes professions sont très hétérogènes, mais le regroupement des étudiants dans une même première année entraînerait, au minimum, le triplement des effectifs actuels (33 000 élèves) des facultés de médecine et de pharmacie. « La commission souligne le besoin absolu de dégager des moyens supplémentaires en enseignants » et demande de « connaître les options politiques » sur cette question budgétaire, indique le rapport qui propose le télé-enseignement et des cours délocalisés pour résoudre partiellement un autre problème, celui des locaux.
En attendant, les membres de la commission ont formulé seize propositions. Quatorze professions - soit tous les métiers de la santé à l'exception des opticiens-lunetiers et des diététiciens - seraient concernées. L'année universitaire serait organisée en deux semestres. Le premier avec une présentation de toutes les professions et des enseignements de sciences humaines et sociales, d'anatomie, de physiologie et de génétique.
Pour le second, les étudiants choisiraient soit la voie scientifique soit la voie sciences humaines et sociales. « Aucune profession ne pourrait recruter exclusivement par l'une de ces deux voies », insiste la commission. Cette solution assurerait une « diversification du recrutement » en permettant à des bacheliers non scientifiques d'intégrer une filière comme médecine ou pharmacie.
« Seconde chance tardive »
En fin d'année, chaque profession aurait son propre concours. Les étudiants seraient libres d'en passer autant qu'ils le souhaitent et pourraient redoubler. Ceux qui échoueraient, mais auraient validé certains enseignements pourraient obtenir des crédits reconnus dans d'autres cursus. Enfin, la commission propose que 10 % à 15 % du recrutement des professions soit réservé, chaque année, à ce qu'elle appelle la « seconde chance tardive ». Elle offrirait la possibilité à des étudiants titulaires d'une licence ou d'un mastère et à des professionnels de la santé qui souhaitent changer de métier d'être admis directement sur dossier.
Ces propositions - non commentées au ministère de la santé - sont accueillies favorablement par l'éducation nationale. Reste leur mise en oeuvre. L'idée d'une montée en charge progressive profession par profession avance, tout en sachant que l'intégration de la grande cohorte des infirmières demeure la plus problématique.-----------
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Invité
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Le_yeti_des_neiges
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- Inscription : 15 avr. 2004 21:31
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Infos
Voici un article que j'ai trouvé sur Internet... Je ne sais pas de quel journal il provient 
Vous avez dû en entendre parler si vous vous destinez à emprunter le long chemin des études médicales : la réforme de PCEM1 !Une 1re année commune de préparation au concours et de formation aux 14 professions de santé suivante : médecine, pharmacien, chirurgien-dentiste, sage-femme, infirmier, masseur-kinésithérapeute, ergothérapeute, psychomotricien, orthophoniste, orthoptiste, pédicure-podologue, audioprothésiste, manipulateur en électroradiologie médicale et technicien en analyses biomédicales… c'est ce que propose le rapport de la commission pédagogique nationale de la première année des études de santé, présidée par Domitien Debouzie, président de l'université de Lyon I Claude-Bernard. Alors que tout le monde s'attendait à ce qu'elle soit mise en place à la rentrée 2004, il faudra probablement patienter plus longtemps avant que ce projet ne se finalise. Le rapport suggère aussi que l'accès à toutes ces professions de santé soit exclusivement réservé aux étudiants inscrits dans la voie universitaire. Cette première année ne serait donc plus une année de préparation mais une réelle année de formation qui délivrerait des unités d'enseignements (modules donc), avec des crédits, habilitées par une instance nationale. Une 1re année composée de sept modulesSerait-il possible de fournir un début de culture commune à tous les étudiants, tout en conservant le niveau actuel des études en médecine, pharmacie, odontologie et sage-femme et de réunir à la fois tous les candidats aux 14 professions de santé autour de même modules d'enseignement ? La question reste posée. En attendant, le rapport propose une année composée de sept modules. Au premier semestre, trois modules seraient communs à tous les étudiants : un module de présentation de toutes les professions de santé, un module de sciences humaines et sociale, et un module d'anatomie, de physiologie, de génétique et de biologie de la reproduction. Au second semestre, l'étudiant devrait alors choisir entre la voie A, teintée "scientifique", et la voie B, tournée plutôt vers les sciences humaines et sociales, toutes deux en trois modules. Un module de chaque profession de santé complèterait alors la formation de l'année commune. Le but ? Permettre à un étudiant de présenter plusieurs concours avec de réelles chances de réussite. Quatorze concours différentsLa commission a retenu le principe de concours distincts par profession de santé afin d'éviter toute hiérarchie entre les professions et restreindre les choix d'étudiants faits par dépit. Si le nombre de concours que souhaite passer l'étudiant est libre, il est suggéré que des campagnes d'information leurs conseillent de tenter, dès leur première inscription en année commune, au moins deux, voire trois concours. Les étudiants disposeront alors de deux chances : un droit au redoublement, exprimé sous la forme de deux inscriptions administratives à l'université dans l'année commune. Les étudiants qui auront échoué aux concours et épuisé leur deuxième chance pourront, grâce aux crédits ECTS qu'ils auront acquis, s'inscrire dans d'autres filières universitaires !
Vous avez dû en entendre parler si vous vous destinez à emprunter le long chemin des études médicales : la réforme de PCEM1 !Une 1re année commune de préparation au concours et de formation aux 14 professions de santé suivante : médecine, pharmacien, chirurgien-dentiste, sage-femme, infirmier, masseur-kinésithérapeute, ergothérapeute, psychomotricien, orthophoniste, orthoptiste, pédicure-podologue, audioprothésiste, manipulateur en électroradiologie médicale et technicien en analyses biomédicales… c'est ce que propose le rapport de la commission pédagogique nationale de la première année des études de santé, présidée par Domitien Debouzie, président de l'université de Lyon I Claude-Bernard. Alors que tout le monde s'attendait à ce qu'elle soit mise en place à la rentrée 2004, il faudra probablement patienter plus longtemps avant que ce projet ne se finalise. Le rapport suggère aussi que l'accès à toutes ces professions de santé soit exclusivement réservé aux étudiants inscrits dans la voie universitaire. Cette première année ne serait donc plus une année de préparation mais une réelle année de formation qui délivrerait des unités d'enseignements (modules donc), avec des crédits, habilitées par une instance nationale. Une 1re année composée de sept modulesSerait-il possible de fournir un début de culture commune à tous les étudiants, tout en conservant le niveau actuel des études en médecine, pharmacie, odontologie et sage-femme et de réunir à la fois tous les candidats aux 14 professions de santé autour de même modules d'enseignement ? La question reste posée. En attendant, le rapport propose une année composée de sept modules. Au premier semestre, trois modules seraient communs à tous les étudiants : un module de présentation de toutes les professions de santé, un module de sciences humaines et sociale, et un module d'anatomie, de physiologie, de génétique et de biologie de la reproduction. Au second semestre, l'étudiant devrait alors choisir entre la voie A, teintée "scientifique", et la voie B, tournée plutôt vers les sciences humaines et sociales, toutes deux en trois modules. Un module de chaque profession de santé complèterait alors la formation de l'année commune. Le but ? Permettre à un étudiant de présenter plusieurs concours avec de réelles chances de réussite. Quatorze concours différentsLa commission a retenu le principe de concours distincts par profession de santé afin d'éviter toute hiérarchie entre les professions et restreindre les choix d'étudiants faits par dépit. Si le nombre de concours que souhaite passer l'étudiant est libre, il est suggéré que des campagnes d'information leurs conseillent de tenter, dès leur première inscription en année commune, au moins deux, voire trois concours. Les étudiants disposeront alors de deux chances : un droit au redoublement, exprimé sous la forme de deux inscriptions administratives à l'université dans l'année commune. Les étudiants qui auront échoué aux concours et épuisé leur deuxième chance pourront, grâce aux crédits ECTS qu'ils auront acquis, s'inscrire dans d'autres filières universitaires !
c'est pour moi une vaste connerie !!!!!!! 
je ne pense pas que cela soit très utile car des cours à plus de 1000 étudiants je vois pas bien l'intéret, de plus en fonction du projet professionnel je pense pas que le tronc commun soit d'un grand intéret encore que faut-il savoir ce qu'il va contenir... si c'est math, chimie orga et biochimi alors pour les futurs P1 là c'est tout bénéf..... pour les futurs ESI alors là pas cool du tout
faut voir comme dirait l'autre
je ne pense pas que cela soit très utile car des cours à plus de 1000 étudiants je vois pas bien l'intéret, de plus en fonction du projet professionnel je pense pas que le tronc commun soit d'un grand intéret encore que faut-il savoir ce qu'il va contenir... si c'est math, chimie orga et biochimi alors pour les futurs P1 là c'est tout bénéf..... pour les futurs ESI alors là pas cool du toutfaut voir comme dirait l'autre
"La fonction rechercher n'étant pas nuisible pour la santé, vous pouvez l'utiliser sans risque immédiat pour votre vie"
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Bec
CATHLEN a écrit :Perso je suis contre parce que je suis AS et je me voit mal à 27 ans sans BAC aller en 1er année de medecine
Sinon je suis pour 1 revalorisation du diplome et du salaire
A ce que j'avais entendu, il y aurait une autre voie pour les as.
Quand des femmes discutent devant un Nespresso, c'est bien de Chuck Norris qu'elles parlent.
roi du flood
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Dédé from 74
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Dédé, il y a une foule de candidats, je pense pas que le problème est là.
Faut voir la qualité des candidats aussi !!!!
on se demande pourquoi il arrivent pas a remplir les ifsi en région parisienne
et pourquoi ils sont encore moins a arriver au DE ... et à l'obtenir ...
Tout est question de niveau et de motivation !!!
Alors c'est sur que là va en falloir de la motivation
Je pense que si à mon epoque il etait question de 4 ans d'etudes , j'aurais fait autre chose et j'aurais fini prof !!!
IDE en Réa, ici et là
Personellement Déd2 en entrant a l ifisi + les formations annexes qui m interressent apres le DE j en prend pour environ 10 ans d etude pour au mieux gagner 2500 euros par mois.
De ce qui est humain et de ce qui ne l'est pas, de ce qui est divin et de ce qui est simplement ... un rêve
Charlotte Bousquet
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Dédé from 74
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