psychiatrie a l'étranger
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psychiatrie a l'étranger
Bonjour.
Dans plueisuers documents j'aipu voir que les pays anglo saxons, le canada sont des pays soit disant en avance sur nous pour la prise en charge des patients et notamment de la violence.
J'aurais voulu savoir en quoi il y a une différence avec les services de pychiatrie en france? que font ils de mieux que nous?
Les infirmiers ont ils une formation differente que celle des francais? laquelle?
Je vous remercie
Dans plueisuers documents j'aipu voir que les pays anglo saxons, le canada sont des pays soit disant en avance sur nous pour la prise en charge des patients et notamment de la violence.
J'aurais voulu savoir en quoi il y a une différence avec les services de pychiatrie en france? que font ils de mieux que nous?
Les infirmiers ont ils une formation differente que celle des francais? laquelle?
Je vous remercie
fais de ta vie un rêve et d'un rêve une réalité
Disons qu'on avance à l'envers...
On détruit peu à peu le formidable outil qu'est la psychiatrie de secteur, on pioche de moins en moins dans les principes de la psychothérapie institutionnelle (notre histoire, et bien française).
Alors si on est adepte de la médicalisation à tout va et dès le plus jeune âge (vive la ritaline), ou adepte de l'anti-psychanalyse, oui l'outre atlantique est en avance...
Dommage, on donne de moins en moins de sens au symptôme, on élabore de moins en moins, et ne parlons de la perte pour notre profession!! Donner des médocs, c'est bien beau, mais ce n'est pas pour ça que j'aime ce métier!! Enfin, une fois de plus, à chacun son point de vue, certains trouvent leur compte dans les TCC, moins chères, moins longues, "mesurables".
Bonne chance pour la soutenance, à moins que ce ne soit déjà qu'un souvenir.
On détruit peu à peu le formidable outil qu'est la psychiatrie de secteur, on pioche de moins en moins dans les principes de la psychothérapie institutionnelle (notre histoire, et bien française).
Alors si on est adepte de la médicalisation à tout va et dès le plus jeune âge (vive la ritaline), ou adepte de l'anti-psychanalyse, oui l'outre atlantique est en avance...
Dommage, on donne de moins en moins de sens au symptôme, on élabore de moins en moins, et ne parlons de la perte pour notre profession!! Donner des médocs, c'est bien beau, mais ce n'est pas pour ça que j'aime ce métier!! Enfin, une fois de plus, à chacun son point de vue, certains trouvent leur compte dans les TCC, moins chères, moins longues, "mesurables".
Bonne chance pour la soutenance, à moins que ce ne soit déjà qu'un souvenir.